Récits musclés (1) - histoire érotique

Il était une fois un étudiant de dix-neuf ans attiré uniquement par les hommes musclés. Étienne fréquentait les bars, les saunas et tous les autres endroits où il pouvait trouver ce genre de mecs. Bien évidemment, il fréquentait aussi les salles de sport génératrices de beaux mâles baraqués. Malheureusement pour lui, quand il trouvait des gars bi ou gays, il n’arrivait pas à les mettre dans son lit. En effet, il avait un corps quelconque et la taille de son sexe était bien inférieure à la moyenne. Cette recherche inlassable de mecs sportifs l’empêchait de s’amuser avec des types ayant un physique plus traditionnel. Cependant, la chance allait lui sourire pour une fois. Elle se présenta le dernier jour de sa première année universitaire ; son professeur d’archéologie l’avait envoyé chercher un objet dans la réserve du bâtiment.

En fouillant dans les reliques, il trouva une lampe semblable à celle du conte d’Aladin ; instinctivement, il la frotta et un génie apparut.
- Ça existe, c’est vrai, s’exclame-t-il joyeusement.
- Mais oui, mais oui, je suis bien là et prêt à accomplir tes trois vœux, c’est le même principe depuis des millénaires.
Étienne demanda immédiatement l’obsession de tous ses rêves humides : posséder aussi un corps harmonieusement musclé.
- Demain tu auras ce corps musclé.
Après avoir formulé son premier vœu impulsivement, il se rendit compte qu'il avait oublié un gros détail, voire un très gros détail. Ce fut l'objet de son deuxième vœu.
- Demain tu auras un gros pénis.

Il garda le troisième en réserve et s’empara de la lampe. Chez lui, devant le miroir, il regarda une dernière fois son corps mince avant la métamorphose. Il jubila de passer d’un vilain canard à un cygne. Étienne était complexé car il ne répondait pas aux critères de beauté lui permettant de se taper n’importe quel homme. Il s'endormit heureux en pensant à ce nouveau corps qu’il allait acquérir, inspiré par la morphologie de deux camarades.

À son réveil le lendemain matin, il palpa son corps et éclata de joie ; le génie avait réalisé ses deux souhaits. Étienne bondit ensuite de son lit comme il ne l'avait jamais fait auparavant pour aller admirer son nouveau corps devant le miroir ; il le photographia sous toutes les coutures avec enthousiasme. Il prit une douche où toutes ses nouvelles formes suaves furent tâtées. Ses caresses lui provoquèrent une formidable érection, il exulta devant la taille imposante de son nouveau pénis. Il le prit bien en main jusqu’à la jouissance.

En ce premier jour des vacances d’été, les plus intenses sexuellement qu’il n’aura jamais vécues, il se pavana dans les rues de sa ville natale en portant des vêtements ultras moulants qu’il venait d’acheter. En déambulant, son attention était sans cesse attirée par les hommes et les femmes qui le reluquaient ; c’était nouveau pour lui. Ses pectoraux volumineux, ses biceps massifs et son gros sexe parfaitement moulés par le tissu étaient les parties ciblées par les innombrables regards curieux. Certains hommes lubriques se retournaient pour admirer ses belles fesses bombées lascives. Maintenant, il voulait passer aux choses sérieuses car il avait beaucoup de temps à rattraper. Ces vacances d'été allaient lui permettre de combler son vide affectif. Le soir même, il se rendit dans différents bars à la recherche de son type de mec inaccessible. A travers les nombreux regards et les mains baladeuses, il trouva la perle rare. Étienne lui mit la main au panier, le beau lutteur lui mit la main au paquet, l'affaire fut conclue.

Le lendemain matin, Étienne se réveilla seul dans son lit et se remémora la première nuit la plus fantastique qu'il n'avait jamais passée. Le corps athlétique du lutteur avait été à sa disposition pour tous ses fantasmes sensuels et sexuels ; il avait eu le dessus sur lui. Bien qu'il soit aux anges ce matin-là, un certain agacement le hanta. En effet, sans avoir eu recours au génie, il n'aurait jamais dragué le lutteur. Ainsi, durant plusieurs soirs consécutifs, son pénis démesuré trouva des cavités accueillantes au sein de ces corps athlétiques qui l’émerveillaient tant.

Bien qu'il soit vigoureux pour son âge, une pose s'imposait mais il était toujours insatiable de sexe avec ce corps de rêve. Donc après avoir été donneur de sperme, il devint receveur ; rien de tel qu'un sauna pour faire l'affaire en abondance. Il s'y rendit comme souvent tard dans la nuit, à l'heure où les bourses désœuvrées pleines de liquide sont prêtes à se déverser dans le premier antre chaud et humide venu. Étienne s'installa sur un sling, les jambes en l'air avec son anus serré attentant son empalement. Il avait fait comme d'habitude en oubliant qu'il était passé de crapaud à prince. Immédiatement, une longue queue de manches érigés ruisselants de pré-cum attendait de féconder ses parfaites fesses royales. Il faut toujours faire attention aux habitudes. Contraint par le nombre et la surexcitation des mâles devant ce beau gosse athlétique soumis, ses fesses voluptueuses ont été inlassablement honorées par des verges de toutes tailles et de toutes formes, Jean passe et des meilleurs. Des gémissements de plaisir, des cris de jouissance et le son de ses fesses claquées résonnaient continuellement dans la cabine. Étienne exténué et couvert de foutre parvint à se libérer, mais sous la douche, il dut vider les autres hommes frustrés de ne pas l'avoir baisé sur le sling.

La moitié des vacances d'été venaient de s'écouler. Après avoir eu d’innombrables partenaires, Étienne se lassa des parties de jambes en l'air sans lendemain et il désirait avoir une relation durable. Le muscle attirant le muscle, dans les lieux de rencontres, il se liait facilement d'amitié avec les mecs sportifs traditionnellement inaccessibles. Néanmoins, l'été étant la période des amours éphémères, il ne parvenait jamais à les garder avec lui plus de deux jours.
Le jour de la rentrée universitaire arriva ; Étienne était impatient de montrer ses nouveaux atouts à tous les mecs de l’université. Malheureusement pour lui, il ne savait pas qu’il ne lui restait plus que trois jours à vivre avec ses atouts physiques empruntés. Lors de la rentrée des classes, il porta un t-shirt ample qui ne mettait pas en valeur ses bras épais et ses pectoraux développés car il ne voulait pas faire de jaloux dès le premier jour. Pourtant, ses formes généreuses n’avaient pas échappé au regard aguerri d’Édouard, le mec musclé qu’Étienne glorifié. Le deuxième jour, en plus des regards de plus en plus appuyés d’Édouard, Éric l’étalon de sa promotion matait de temps en temps son entrejambe proéminant. Étienne était flatté et en même temps gêné que ses camarades de l’année précédente s’intéressent autant à lui….
Le troisième jour, après une bonne séance de sport où les muscles ont été travaillés si durement, une bonne douche était indispensable. Ayant été de corvée pour ramasser les accessoires, Étienne fut le dernier dans les douches collectives.

Pendant qu’il savonnait ses gros muscles, Étienne entendit une personne entrer dans le vestiaire.
- Étienne t’es là ?
- Oui, ici.
Étienne vit Édouard arriver. Il le regarda d’un air médusé !
- C’est quoi ce bazar, tu n’étais pas comme ça l’année dernière, c’est impossible… si rapidement... on dirait mon ancien corps… je le reconnais parfaitement…, tu me l’as volé !
- Je ne comprends pas, dit Étienne.

Édouard enleva son t-shirt pour lui montrer qu’il avait perdu tous ses muscles ; il avait le corps mince d’Étienne avant la métamorphose. Peu après, Éric fit son apparition. Il jeta un œil scrutateur sur les torses de ses deux camarades de promotion.
- Je vois que tu as le même problème que moi, dit Éric énervé.
Sur ses paroles, il sortit son petit sexe de son short et reluqua celui d’Étienne.
- Il ressemble exactement au mien, je le reconnais, rends-le-moi !
- Rends-nous notre physique, dirent-ils à l’unisson.
- Mais ce n’est pas moi dit Étienne interloqué.

Soudain, il se souvint qu’il avait décrit les attributs d’Édouard et d’Éric au génie. Celui-ci avait tout simplement interverti les corps ; ce que le génie donne d’un côté, il le prend de l’autre. Édouard et Éric devenant de plus en plus menaçants, Étienne dut raconter son histoire.
- Maintenant que vous savez tout, il me reste un dernier vœu à faire.

Édouard et Éric se disputèrent dans une surenchère de bonnes ou mauvaises attentions envers Étienne pour l’avoir. D’une certaine façon, Étienne se régala de les voir à ses pieds le supplier tels deux oisillons réclamant de la nourriture à l’arrivée de leur mère. Étienne profita de la situation.
- Il y a une solution pour régler les deux problèmes simultanément, mais à une seule condition.
- Laquelle ? Demandèrent-ils ensemble.
- Je veux un plan cul avec vous.
- Hors de question, dit Éric.
- D’accord, dit Édouard.
- Édouard, rendez-vous ce soir chez moi. Et toi Éric si tu changes d’avis, prépare-toi !

C’est douloureux de prendre dans le cul un tel membre pour la première fois ; Édouard fit un petit sourire approbateur.
Le soir venu, Étienne prit des photos de son futur ancien corps en attendant les festivités. Celles-ci commencèrent par l’arrivée d’Édouard qui fut accueilli par Étienne en boxer ; le sous vêtement mettait parfaitement en valeur le pénis volumineux et les belles fesses rondes. En regardant le corps athlétique d’Étienne, Édouard pensa qu’il venait de passer les plus mauvaises vacances d’été de sa vie à cause de lui. En effet, l’été était la parfaite occasion pour exhiber à tout le monde son corps harmonieusement musclé. Grâce à lui, il concluait sans effort avec les hommes et les femmes de son choix. Mais là, son corps lui avait été volé et il avait passé les deux mois sans baiser à outrance. Là, il était à prêt tout pour le récupérer.

- Je vois dans ton regard que tu me désires, dit Étienne ravi.

Sans perdre de temps, Édouard voulait profiter du corps d’Étienne. Il commença par poser ses mains sur les trapèzes, puis il les descendit vers les abdominaux saillants en passant par les épaules, les biceps et les pectoraux. Chaque partie était palpée ou léchée. En fait, il faisait un culte musculaire à son ancien corps. Peu après, ils passèrent dans la salle d’eau. Édouard enleva le boxer d’Étienne et bava en voyant sa sublime paire de fesses nue. Sous l’eau, les corps glissaient sensuellement l’un contre l’autre grâce au savon ; Édouard continua son culte musculaire en savonnant Étienne, il adorait ses muscles volés. Ensuite, en se mettant derrière Étienne, Édouard pétrifia les volumineux pectoraux tout en faisant glisser son sexe entre les deux joues voluptueuses. La respiration forte, l’excitation portée à son paroxysme, Édouard ne pouvait plus attendre d’introduire sa verge palpitante gorgée de sang dans l’orifice accueillant. Dès les premiers va-et-vient, il irradia de sensations exquises en pénétrant son ancien corps athlétique ; de multiples gémissements de plaisirs résonnaient dans la cabine de douche. Surexcité, il ne tarda pas à déverser sa semence dans son ancien corps parfait. Édouard se fit la réflexion que sa verge modeste enserrée dans ses propres fesses paraissait très petite.

Édouard avait rempli sa part du contrat mais avant de se quitter, d’un simple regard, ils s’accordèrent pour un deuxième tour de plaisirs charnels. Dans la chambre baignée par une lumière tamisée chaude, Édouard domina Étienne dans de nombreuses positions afin de profiter au maximum de son trou attrayant.

Peu après, Étienne se faisait prendre en levrette par Édouard dressé derrière lui sur ses genoux. En le tenant par la taille, Édouard faisait claquer les fesses fermes d’Étienne en donnant de puissants coups de boutoir. Pour finir, Édouard coucha Étienne sur le ventre, comme le faisaient généralement ses amants pour se décharger dans son beau cul musclé. Il plaça un coussin sous le bassin d’Étienne pour relever ses fesses et il se mit entre les puissants quadriceps. Édouard s’allongea sur son dos large et il pilonna Étienne énergiquement jusqu’à la fécondation, en empoignant fermement ses gros pectoraux pour s’équilibrer. Après le deuxième acte, une nouvelle douche sensuelle s’en suivie.

Ensuite, comme il s’y attendait, Éric se présenta chez lui après avoir changé d’avis.
- Finalement t'es venu. Tu vas connaitre ce que ressentent tes partenaires quand tu les prends par derrière.

De retour dans la chambre pour une nouvelle partie de jambes en l'air, Éric attendait à quatre pattes l'intromission de son ancien pénis dans son anus préalablement dilaté par ses propres soins. Dès qu’elle débuta, elle fut douloureuse, très douloureuse. Sa rondelle s'élargissait encore et encore. Était-elle élastique à l'infini ? Son pénis qui le pénétrait lui paraissait sans fin. Allait-il transpercer ses intestins ? Dans sa souffrance anale, Éric fut soulagé de sentir le pubis de son dépuceleur contre lui. Ça y est, tout était rentré, il se sentait complètement déchiré et plein. Étienne se retira pour lui laisser le temps de reprendre ses esprits.

- Attends encore ça fait très mal, supplia-t-il.

Étienne replongea dans l'anus défloré en augmentant progressivement le rythme. Il se fit la réflexion que l’imposante verge d’Éric enserrée dans ses petites fesses paraissait surdimensionnée. La douleur passée et la prostate massée, Éric en extase découvrit le plaisir que procure sa bite dans le cul d'un mec. Le trou étant très serré, Étienne dut ralentir la cadence pour ne pas jouir trop vite. Néanmoins, c'était sans compter sur l'intervention d'Édouard qui le pénétra. Pris en sandwich, Étienne ne tarda pas à venir dans le petit cul d’Éric. Une fois ensemencé, Éric voulut recommencer, comme le réclamaient souvent ses partenaires. Toutefois, avant que le trinôme ne refasse l'amour, Étienne tint sa promesse et fit son troisième vœu.

Les trois amants nus furent réveillés le matin par le lever du soleil. Immédiatement, chacun regarda son anatomie. Éric avait retrouvé son alléchant service trois pièces et Édouard sa superbe musculature. Étienne remarqua qu'Édouard contemplait l'imposant pénis d’Éric. En retour, celui-ci reluquait les belles fesses pleines d'Édouard ; ils quittèrent l'appartement ensemble.

Très tristes d’avoir perdu ce physique ravageur, Étienne regarda les photos prises après et avant les deux métamorphoses. Il constata qu’il avait perdu un peu de muscles, un tel corps est attirant mais demande beaucoup d’entretien. Il se dit qu’il devait relativiser et s’ouvrir à des hommes avec des corps et des attributs plus communs.