Récits musclés (3) - histoire érotique

Bonjour chers lecteurs. Cette troisième histoire est la suite directe de la deuxième. Bonne lecture.

Ce jour-là, Patrick pensa qu'il avait vécu l'un des plus beaux jours de sa vie. Il avait eu la chance de baiser un magnifique jeune mec baraqué, spécimen généralement inaccessible au commun des mortels. Après le sauna, Thomas avait accepté de suivre Patrick chez lui. La nuit fut longue, le quadragénaire usa et abusa de la pilule bleue afin d'utiliser sexuellement le corps athlétique à sa disposition sans limite. Au petit matin, Patrick se réveilla agréablement. Thomas était toujours à ses côtés et sa trique matinale était enfouie dans le cul musclé du blondinet. Visiblement, ils étaient restés unis en cuillère après leurs endormissements. Patrick caressa les pectoraux pendant qu'il donna quelques coups de bites. Le beau gosse ne se réveillant pas, Patrick cessa son assaut.

Vers midi, il mangeait lorsque Thomas sortit des bras veineux de Morphée. Patrick obligea Thomas à rester en boxer durant le déjeuner afin qu'il puisse admirer constamment sa musculature. Thomas s'amusait à simuler une fellation en avalant les saucisses. En le regardant faire, Patrick avait évidemment envie de lui donner sa banane comme dessert. Cependant, il savait que cet amusement n'était que temporaire et qu'il n'aurait plus jamais l'occasion de se taper un tel culturiste. Pourtant, Il avait essayé plusieurs fois d'intégrer « Les Héraclides » mais il n'était pas suffisamment riche. Il jalousait ces hommes âgés qui se tapaient sans vergogne des étudiants sportifs. C'est alors qu'une idée lumineuse lui parvint : faire un don en nature pour adhérer au club.

Ainsi, Patrick s’y inscrit en ayant fourni Thomas. Celui-ci avait accepté de s'offrir à des adorateurs de muscles en échange de pouvoir et d'argent. Son expérience au sauna l'avait transformé en décharge à sperme. Toutefois, la validation de l'adhésion annuelle de Patrick dépendait exclusivement du potentiel sexuel de Thomas. À ce titre, les membres voulurent lui faire passer une audition. S'il était bon, l'un et l'autre intégreront le club. Seulement, Patrick avait les boules car Thomas était un piètre suceur. Son avenir était incertain en cas de disqualification, il se désola en imaginant tous les culs musclés qu'il ne pourra pas fourrer. Patrick fut rassuré par un responsable du groupe qui lui expliqua qu’il pouvait initier Thomas. Patrick délégua cette tâche à Étienne qui avait donné précédemment son numéro de téléphone à Thomas. Qui mieux qu'un suceur expert peut en former un autre ?
L’annonce de la venue d’un nouveau sportif universitaire consentant s'étaient rapidement propagée parmi les hommes surexcités du club.

L’initiation se déroula au temple d'Héraclès. C'était un ancien bâtiment industriel, en briques rouges, reconverti en salle de sport, sauna et autres installations aux services des plaisirs masculins. Gérard, portant un débardeur bleu et un petit short blanc avec des rayures, était le coach à l'université et occasionnellement dans cet endroit. Il fit amicalement connaissance avec Thomas et Étienne. Il leur présenta le fonctionnement du temple ainsi que celui du club « Les Héraclides » dont il était l’un des dirigeants. Gérard emmena les deux jeunes dans la partie du bâtiment comportant des appareils de musculation affectés aux ébats sexuels. Là, ils croisèrent un certain Laurent de vingt-deux ans. C'était un bœuf avec des pectoraux surdimensionnés. Il faisait des squats en s'abaissant sur un plug anal évasé hyper large. Le dos tourné vers les vitres sans tain, les spectateurs, qui s'y dissimulaient, admiraient le godemiché s'enfonçait dans le fessier proéminent. Ils étaient impatients de le remplacer par leurs mains, certains avaient des avant-bras semblables à ceux de Popeye le marin.

Revenons au sujet principal. Thomas, volontaire et motivé, allait suivre un entrainement intensif de succion à partir d'une fuck machine. Celle-ci disposait à son extrémité d'un phallus déformable mécaniquement. Il était ainsi possible de changer la longueur, la grosseur et l'inclinaison de celui-ci, afin de reproduire les différents aspects des sexes masculins. Pour plus de réalisme, le gland suintait un liquide aux saveurs de caoutchouc, poisson, salé, urée ou bien épicé. Le mécanisme simulait également des éjaculations dont la texture et la quantité étaient réglables. C'était Étienne qui utilisa cette machine sur le blondinet aux yeux bleus.

Thomas s'assit sur une chaise qui avait des sangles en cuir. Étienne attacha ses mains et sa tête, puis il colla le faux sexe contre ses lèvres. Il mit en branle la machine. Le phallus sophistiqué mouvait dans chaque recoin de la bouche de Thomas, telle une brosse à dent. Étienne changeait constamment les paramètres à l'aide d'une télécommande, il s'amusait comme un gamin avec son jouet préféré. Comme vous devez le deviner, chers lecteurs, Étienne prenait un malin plaisir à paramétrer un phallus, gros et long, se déplaçant à un rythme effréné, au risque de déboiter la mâchoire du pauvre Thomas. La première partie de la formation dépendait de son aptitude à ne pas griffer l'objet phallique avec ses dents. Une fois réussie, il devait, lors de la deuxième, être capable de sucer en se mettant à genou, sur le ventre ou le dos. Lors du passage en gorge profonde, Étienne était curieux de savoir jusqu'où il était possible d'enfoncer le phallus dans l'œsophage ; Thomas devait gérer entre sa respiration et les éjaculations incessantes.
La deuxième partie fut achevée avec succès quelques jours plus tard. La troisième s'enchaina où Thomas devait prouver que les hommes sont capables de faire deux choses à la fois. Étienne donna de sa personne. Lorsque la machine pilonnait la bouche de Thomas, Étienne tâtait les puissants biceps, pétrifiait les pectoraux volumineux et caressait les grosses cuisses. Pendant qu'on lui procurait du plaisir, Thomas ne devait pas faillir et continuer à sucer le membre artificiel sans le mordre. Il y arrivait même quand Étienne enfonçait dans ses fesses ses doigts ou sa verge de modeste taille. Pourtant, une chose le faisait tressaillir. C'était la bouche d'or d'Étienne. Là, Thomas ne pouvait pas résister. Il perdait sa concentration et le phallus se couvrait de rayures. C'était tellement bon que parfois, il s'écartait du droit chemin. La machine faillit plusieurs fois lui crever un œil à cause d'un mauvais coup de bite dans le vide. Lors du test final, Thomas goba la verge d'Étienne sans accro tandis que son cul était martelé par la fuck machine et son corps caressé.

Le jeune homme musclé épilé pouvait maintenant être livré aux vieux libidineux. Mais avant cela, Étienne lui demanda un rendez-vous. Il ne savait pas s'il pourrait être de nouveau seul avec Thomas quand il intègrera le club. Ainsi, deux jours avant ses multiples inséminations, ils sortirent ensemble comme deux amants. Ce soir-là, Étienne avait Thomas pour lui tout seul dans un climat serein. Il n'y avait pas de pression, pas de mecs en chaleur pour précipiter leurs ébats sexuels ou d'obscures nuages à l'horizon. Ils regardèrent un film au cinéma, main dans la main, puis Étienne prépara chez lui un diner romantique qu'ils dégustèrent à la lumière des bougies. Au dessert, Étienne lécha les mamelons juteux du blondinet recouverts de chantilly. Thomas avala la mignonne petite verge enrobée de sauce chocolat tiède.

Au lit, chacun réclama le meilleur de l'autre. Thomas voulait que son pénis soit éternellement pompé par la bouche du minet. La langue d'Étienne était aussi exquise en haut qu'en bas, il aurait voulu qu'il ait deux langues pour l'embrasser et être sucé simultanément. Étienne souhaitait que le pénis imposant laboure ses entrailles sans fin. Ils firent l'amour tendrement et charnellement. Étienne espérait qu'il avait été meilleur que Roger. Il avait su raviver la bisexualité de Thomas qui sommeillait en lui. Néanmoins, leurs sentiments n'étaient pas réciproques. Alors qu'Étienne était amoureux de lui, Thomas ne voyait en lui qu'un énième admirateur de sa plastique parfaite. Certes il était adorable, mais il ne l’aimait pas. De plus, il ne voulait pas qu’on lui fasse des crises de jalousie parce qu’il avait accepté de donner son corps athlétique à d'autres hommes.

Le jour J arriva. Le gang-bang du sportif allait se dérouler dans la pièce de débauche du temple d’Héraclès. Une dizaine d’homme en rut majeur s'était précipité pour assister à l’heureux évènement.
Thomas s’échauffa avant d’effectuer des exercices physiques, puis, les festivités commencèrent lors de son cardio. Thomas courait sur un tapis de course. Un homme se mit derrière lui en posant ses pieds sur les rebords de la machine. Il mit son sexe érigé dans le sillon inter fessier. Sa queue se trouva branlée par les deux lobes qui rebondissaient à chaque pas, c'était exquis. Après, il baissa son sexe à quatre-vingt-dix degrés et l'insérera entre eux. L'homme actif resta statique pendant que le passif tortillait son cul durant sa course. Il resta ainsi une minute avant de devoir céder le passage à un autre engin. Des queues firent une file d’attente pour courser l’athlète.

La promenade de santé terminée, Thomas fit une pause. Un quadragénaire en profita pour apprécier la fermeté des pectoraux volumineux. Thomas dressa fièrement son torse en mettant ses bras derrière son dos. Là, le quadragénaire donna alternativement des coups de poings sur les seins. Un autre gars trouva l'idée originale. Il voulut participer en s'accaparant un nichon. Ainsi, les pecs de Thomas firent office de sac de frappe. Les poings rebondissaient comme s’ils tapaient sur des ballons de baudruche, pour le plus grand amusement des tourmenteurs. Par action-réaction, les poings revenaient vers les bourreaux. S'ils ne faisaient pas attention, ils risquaient de les recevoir dans leurs figures, bref un retour à l’envoyeur. Thomas ne bronchait pas, il essayait de garder l'équilibre en reculant un pied. Un gentleman l'aida à se tenir debout en plantant son bâton entre ses deux melons. Grâce à son tuteur, la belle plante resta droite.

Quand ils finirent de jouer avec sa poitrine généreuse, Thomas se déplaça vers l'équipement qu'il avait simulé. Il monta à cheval au-dessus du phallus matelassé, sur ressort, en y enroulant ses pieds autour. Sans perdre de temps, un gars plongea son zob dans les belles fesses blanches. Il sodomisa le blondinet athlétique en balançant le punching ball. Pas besoin de remuer énergiquement les hanches, le bodybuilder s'empalait sur le chibre grâce aux mouvements ondulatoires. Après avoir accueilli quelques queues, Thomas changea d'équipement de sport à cause du tangage qui l'étourdissait. Il descendit du boudin et chuta au sol. Le popotin à terre, Thomas était à la hauteur des bites en érection. Les gars ne se firent pas prier pour les enfoncer dans la bouche du bogosse. Thomas mis en œuvre le savoir-faire buccal qu'il avait acquis grâce à Étienne. Il léchait une, ou deux queues simultanément, pendant qu'il en branlait deux autres. Un quinquagénaire parvint à se glisser sous Thomas pour le sodomiser en position de cowboy inversé. Patrick regardait avec une certaine appréhension Thomas gober les sexes les uns après les autres. Pour son avenir dans la luxure masculine, il espérait qu'il suçait correctement. A sa grande surprise, les nombreux gémissements émis par les mecs le rassurèrent.

Peu après, Thomas se déplaça vers un appareil de musculation multifonction où un type l'attendait assis sur le siège avec le zgeg au garde à vous. Ce dernier attendait, sans faiblir, d'être couvert de salive avant de s'engager dans un conduit chaud et humide. Thomas l'enduisit généreusement puis il se positionna pour l’avaler tout cru en s’asseyant dessus. En s'équilibrant avec la barre de tirage, il montait et descendait ses hanches lentement. Le zgeg avait un champignon plus gros que le corps. Ainsi, Thomas faisait en sorte qu'il entre et sorte à chaque mouvement ; il aimait sentir sa rondelle s'ouvrir davantage lors de son passage. A son grand regret, le gars avait été obligé de laisser sa place. C'était la règle, tout le monde devait pouvoir profiter de son corps musclé. Toutefois, Thomas mémorisa la tête du gars car il voulait revoir celle de son gland. Là aussi, les vieux se succédèrent. Thomas les chevauchait en leur présentant soit son dos, soit son torse sculpté qu'ils palpaient des abdominaux aux tétons.

Les festivités se terminèrent dans les vestiaires avec l'ensemble des participants. Sur un banc composé de lattes en bois, Thomas était en position pyramidale. Son cul était levé vers le ciel, prêt à se faire saillir. « Nous allons tous te foutre enceinte ». Chaque homme âgé déchargea ses couilles à l'intérieur des fesses de l'étudiant bodybuildé. Il supporta les assauts incessants sans geindre. Il fit preuve d'abnégation et d'endurance. En attendant leurs tours, les hommes se masturbaient afin qu'ils n'aient que quelques coups de bites à donner pour jouir à l'intérieur du cul athlétique. Une fois purgé, ils changeaient de côté afin que Thomas les nettoie avec sa bouche devenue experte en fellation.
Le dernier inséminateur passé, Thomas s'accroupit afin d'expulser dans un verre toute la semence qu'il avait recueillie. Après l'écoulement de la dernière goutte translucide, il but le foutre cul sec. Thomas fut déclaré apte au service et désigné comme l’égérie du club, tellement il était beau. Patrick intégra le club. Quant à Étienne, sa présence fut tolérée pour servir de faire valoir à Thomas.