Récits musclés (5)
Récit érotique écrit par Nicolas94720 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-11-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Récits musclés (5)
— Ok, coach, je vais le faire.
Sur ces paroles, Xavier s’était résolu de lui céder sa virginité anale en échange d’un plaidoyer en sa faveur auprès du doyen de l’université. Il avait besoin d'obtenir des bourses afin de poursuivre ses longues études. Agé de 21 ans, Xavier était un petit gymnaste baraqué d’un mètre soixante et onze.
Il n’était pas beau mais mignon avec de belles lèvres que l'on avait envie d'embrasser ou d’avoir enroulées autour de sa bite. Physiquement, le brun aux yeux noisette avait des pectoraux bombés, des triceps épais et des cuisses larges cintrées.
Généralement, Il portait des vêtements de ville qui semblaient le compresser. Ses chemises étaient poussées en avant par sa poitrine et les manches longues étaient intégralement remplie par ses bras. Ses pantalons ajustés comprimaient ses jambes robustes et mettaient en valeur son cul parfait. Ses fesses étaient bien évidemment rondes, relevées et serrées. Elles éblouissaient tous ceux qui le croisaient mais Xavier demeurait insensible à tous ses regards de curiosité ou lubriques. Il repoussait toutes les avances faites par des hommes qui voulaient l’engrosser. Il était déterminé à rester vierge de ce côté-là. Pourtant, de peur de perdre des bourses indispensables, Xavier s’était résolu, à contre-cœur, à desserrer ses sphincters pour y laisser passer un organe fécondateur. Ce changement d’avis était l’œuvre de Thomas qui lui avait fortement conseillé de coucher contre de l’argent. Bref, c’était un prétexte orienté pour qu’il se fasse péter la rondelle comme de nombreux mecs musclés de l’université.
Le coach Gérard regardait avec gourmandise l’arrière-train de Xavier.
— Ton cul exceptionnel est comme je les aime. Ma queue en bave d'avance.
— Xavier rougit.
— Avant que je te mette en cloque, il faudra te préparer.
— C’est à dire Coach ?
— On va se donner rendez-vous ce soir à la salle de musculation « Le Temple d'Héraclès ». Est-ce que tu y es déjà allé ?
— Non. Je ne fréquente que celle de l’université qui est toute petite. J’ai entendu dire qu’à cet endroit il y avait aussi un sauna et beaucoup de sexe entre homme, dit-il tout penaud.
— Exacte ! Là-bas, tu travailleras le bas du corps et après nous baiserons dans le sauna, dit-il en lui faisant un clin d'œil.
— Heu... d’accord Coach.
— Je t’avertis, c'est principalement masculin comme tu l’as souligné. Donc il me semble impossible que tu ne te fasses pas draguer. Tes fesses superbes vont attirer les convoitises, ne cède pas encore aux plaisirs charnels et laisse-moi l'exclusivité d'élargir ton passage étroit. As-tu bien compris ?
— Oui, rien ne passera avant vous, coach.
— Si tu n’es plus vierge ce soir, tu diras au revoir à tes longues études. Répète !
— Je dois rester vierge.
— Ne succombe pas à la tentation et délivre-toi de la luxure !
Xavier, interloqué, ne comprenait pas l'insistance du coach. Il était un sportif tout en force et il connaissait des parades pour se défendre. C'était à croire qu’il ne lui faisait pas confiance, comme s’il allait écarter les cuisses au premier assaillant venu.
Après le diner, Xavier se rendit au temple d'Héraclès où il rejoignit le coach qui parlait au beau gosse de l'accueil qui était obligatoirement musclé ; il faut bien achalander les clients.
— Voici le programme de ce soir. D’abord congestion du bas du corps en faisant du cardio, les jambes et les fessiers. Ensuite, nous passerons à des choses plus festives.
— Reçu coach, dit Xavier à faible voix.
— Tiens, prends ces habits de sport et va les mettre.
Xavier sortit des vestiaires, habillé d’un débardeur blanc ultra moulant et d'un mini short gris clair. Ses formes généreuses étaient parfaitement moulées, aussi bien en haut qu’en bas, devant que derrière. Cette tenue ne lui plaisait guère ; il attira immédiatement l’attention des autres gars aux alentours.
Xavier commença son entraînement cardiaque dans la salle principale suréquipée en faisant du vélo elliptique. Une minute après, des hommes âgés, faisant plus ou moins semblant de s’entrainer, s'étaient rapprochés de l’étudiant athlétique pour mieux reluquer les mouvements de son cul admirable. Peu après, Xavier courra sur un tapis roulant à un rythme soutenu. D'innombrables regards se posèrent sur ses fesses qui fléchissaient et sautaient de haut en bas à chaque pas ; c’était merveilleux à contempler.
À travers les miroirs, il apercevait des mecs se caresser le sexe en le matant. Il entendait leurs commentaires salaces uniquement axés sur son cul. Il fut choqué quand un type déclara qu’il était déterminé à le sodomiser coûte que coûte. Xavier voulait fuir ce lieu bourré de pervers, mais le coach lui avait ordonné, sur un ton autoritaire, de faire avec, de rester stoïque. Ces vingt minutes de course lui parurent interminables. Pourquoi devait-il faire du cardio ? Est-ce que c’était pour exposer son corps d’athlète en mouvement devant eux, se demanda-t-il. De plus, il aurait voulu savoir si les autres sportifs s’apercevaient de la scène et si oui, pourquoi ne faisaient-ils rien ?
Quand il eut fini, Xavier était en chaleur. Son débardeur blanc trempé de sueur laissait apparaitre ses pectoraux développés et l’ondulation de ses abdominaux. Son shorty humide au niveau de la raie et de l'entrejambe était un vrai régal pour tous les regards vicieux. Gérard arriva.
— Tu as besoin d'une bonne douche avant que tu sautes sur ma pine.
Le coach lui tendit une nouvelle tenue propre ainsi qu'une bouteille pour faire un lavement intime. Le nettoyage en profondeur terminé, Xavier alla dans les douches collectives où il rencontra l’homme âgé qui voulait le baiser à tout prix ; il choisit une douche à l’opposé de lui. Il se décontracta sous l’eau chaude qui s’écoulait le long de ses muscles quand soudain, il lâcha une série de pets bruyants. Xavier, embarrassé, jeta un regard furtif vers Henri.
— Ne soit pas gêné, je suppose que tu as fait un lavement avant de te faire baiser. Il n'y a pas de problème, tu peux dégazer joyeusement.
Comment avait-il deviné, se demanda Xavier. Il ne savait pas quoi répondre.
— C’est important d’être propre. Il faut faire un bon accueil lorsqu’on reçoit un visiteur chez soi.
— Je découvre, c’est ma première fois avec un homme.
— Ces incroyables fesses n'ont jamais été pénétrées ? C’est difficile à croire !
— Je ne suis pas gay.
— C’est ce que disent les hétéros comme toi avant d’y avoir goûté. Ils deviennent ensuite accros et veulent se faire enculer, encore et encore, dit-il en le fixant dans les yeux.
Xavier déglutit.
— Quel homme va avoir le bonheur de te prendre ta virginité anale ? Moi ?
— Non pas vous. Ça fait mal ? demanda-t-il fébrilement.
— Ça dépend. Si tu es bien préparé, ça passe facilement. Au début, tu trouveras cela bizarre mais après, tu couineras comme une fille.
Henri voulut l’effrayer.
— Cependant, avec un cul serré comme le tien, on a envie d'y entrer d'un coup sans ménagement. Là, tu pleureras d'abord de douleur avant de crier de plaisir.
Xavier s'inquiéta, qu'avait prévu le coach ?
— Bon, je te laisse dans tes pensées. Henri laissa Xavier seul sous la douche.
Dès le départ d’Henri, Alfred, un autre quinquagénaire, fit son entrée.
— J’ai entendu votre conversation, je peux te préparer si tu veux ; tu auras moins mal s'il te prend brutalement.
Xavier resta bouche bée devant la démarche audacieuse d’Alfred. Deux pensées s'opposèrent dans son esprit : 1) c'est un piège, il va me prendre,
2) peut-être qu’il a raison, je sais que le coach est bien membré, je vais avoir mal, très mal.
— Tu es plus fort que moi, si je tente quelque chose qui t’embarrasse, tu m’arrêteras sans difficulté.
Xavier céda face à cet argument imparable.
— Allons dans une douche individuelle, nous serons tranquilles.
Xavier, debout les deux mains contre le mur, se cambrait pour présenter son cul. Alfred était agenouillé derrière lui. Pour la première fois de sa vie, un homme le prenait à pleines mains. Là, il ne s’agissait pas des traditionnelles tapes viriles que les mecs se donnent sur les fesses. C’étaient des mains qui les écartaient pour des préliminaires avant d’être initié aux plaisirs entre hommes.
— T’es monticules sont très beaux, j’aurai aimé être le premier à les explorer.
Xavier sursauta de surprise lorsqu’il sentit la langue d’Alfred titiller son anus. L’organe buccale s’introduisait petit à petit dans la fissure rose, Xavier tortillait du cul. Alfred continua son travail de dilatation en remplaçant sa langue par un doigt, puis deux. Il s’empressa de trouver la prostate. L’intrusion digitale fit dresser fièrement le pénis de Xavier.
— Je vois que tu aimes ça, alors imagine la sensation avec quelque chose de plus gros.
Néanmoins, avant qu’Alfred en mette un autre, le coach appela Xavier.
— Je suis là coach, j’arrive.
— Dépêche-toi, tu as d’autres exercices à faire, dit Gérard visiblement agacé.
— C’est lui qui va te baiser, interrogea Alfred.
— Oui, dit Xavier timidement.
— Humm, le coach qui profite de son bel étudiant musclé, c’est un fantasme classique.
Xavier retrouva le coach qui l’amena dans une salle plus petite et intimiste. Il y avait aussi des équipements mais elle était réservée au voyeurisme ou autres plaisirs charnels. Sur toute la longueur d’un mur, Il y avait des miroirs sans tain. Derrières ceux-ci, il y avait des canapés pour permettre aux clients du sauna de reluquer les sportifs qui étaient à cet endroit, soit torse nu, soit en jockstrap, pendant qu’ils congestionnaient leurs muscles.
— Tu vas utiliser trois appareils. Je veux que tu travailles intensément tes fessiers pour qu’ils soient aussi durs que mon gourdin qui va te desserrer ta rondelle.
Xavier était mal à l’aise, il remarqua des sangles sur les machines.
— Comme tu peux le constater, c’est un endroit un peu spécial, disons pour certains jeux… pour punir… heu… tu vas essayer.
Le premier entrainement débuta avec la machine à fessiers (machine « glute »). En étant debout, le buste posé sur un pupitre, il faut faire une extension arrière d’une jambe en posant un pied sur un reposoir.
Le coach attacha Xavier sur le pupitre et le sangla.
— C’est pour mieux te stabiliser.
Xavier trouvait ça bizarre mais il accepta, le coach a toujours raison.
— Tu vas faire 4 séries de 12 répétitions par jambe. Si j’entends les poids cogner parce que tu as relâché la tension, tu auras droit à une fessée.
Sur ce, Gérard ouvrir une grande armoire contenant des accessoires SM. Il attrapa une pagaie et la posa à côté de son élève pour lui mettre la pression. Il lui chuchota à l’oreille :
— Ça va m’exciter de claquer ton beau cul avant de le pénétrer. Je reviens dans 15 minutes, bosse bien.
Le coach choisit volontairement un poids élevé à lever. En sortant de la pièce, il croisa Alfred.
— Cher Monsieur, pourriez-vous me rendre un petit service s'il vous plait ?
— Bien sûr, si c’est dans mes compétences.
— C’est très simple, si mon élève ne travaille pas correctement, il faudra le punir en lui donnant une fessée avec une pagaie.
— Avec joie Monsieur l’entraineur.
Xavier lança un regard foudroyant à Alfred. Il effectua les deux premières séries par jambe, mais à la troisième, il ne parvint pas à faire toutes les répétitions. C’était trop lourd, il lâcha les poids dans un grand fracas. Alfred s'approcha et prit la pagaie.
— Tu ne fais pas bien tes exercices jeune homme, je vais te corriger à la place de ton coach.
— Non arrêtez !
Et paf ! Alfred donna pour commencer un grand coup sur le postérieur arrondi. Xavier laissa échapper un puissant « aïe ». Puis, Alfred continua par des coups irréguliers en variant la force. Plus les fesses parfaites de Xavier ondulaient, plus Alfred avait envie de taper fort pour accroitre leurs mouvements.
— Arrêtez, ça fait mal.
— C’est le principe.
La pagaie continuait de s’abattre sur le cul magnifique endolori. Xavier étant attaché, il ne pouvait pas se soustraire à sa punition.
— Arrêtez.
— Arrêtez qui ?
— Arrêtez Monsieur s’il vous plait.
Alfred cessa ça correction. Il posa la pagaie et baissa le shorty Xavier sous les lobes écarlates.
— Vous faites quoi là, demande-t-il furieux.
— Je contemple les marques rouges sur tes fesses blanches
Le coach entra.
— Qu'est-ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que vous foutez avec mon gosse ?
— J'ai fait ce que vous m'avez demandé parce qu’il n'avait pas bien travaillé.
— Laissez-le tranquille maintenant. Ce n’était pas la peine de le mettre cul nu.
Xavier poussa un ouf de soulagement. S'il s'avait la suite... Maintenant, il se trouva lié sur la machine des ischio-jambiers (machine « leg curl ») pour le deuxième entrainement. Il était allongé à plat ventre sur le banc, les jambes tendus avec les chevilles engagées sous un boudin. L’exercice consistait à fléchir les deux jambes en ramenant le boudin vers les fesses. Gérard s’adressa à Alfred :
— S’il fait n’importe quoi, c’est moi qui le punirai sévèrement. N’abusez pas de lui.
Gérard quitta de nouveau la pièce pendant qu’Xavier faisait les mouvements. Alfred s’approcha du beau gosse.
— Qu’est-ce que vous voulez ?
— Je ne peux pas m’empêcher de reluquer cette perfection au masculin.
— Laissez-moi tranquille sale pervers.
— Non, je vais terminer ce que j’ai commençai quand nous étions tous les deux sous la douche.
Xavier eut de nouveau le shorty baissé, cette fois jusqu’aux cuisses.
— Arrêtez, dégagez de là.
— Tu te plains trop, je vais pimenter ton exercice.
Alfred prit dans l’armoire un phallus en silicone.
— C’est quoi ce truc ? Qu’est-ce que vous allez faire avec ça ?
— Ne fait pas l’enfant, tu as très bien compris l’objectif.
Alfred fixa le jouet sexuel au boudin de la machine, la tête pointant vers le bouton rose.
— Soit un bon garçon. Est-ce que tu veux que ton entraineur enfonce d’un coup son gros chibre dans ton trou serré ?
Xavier tortilla son cul de surprise en sentant un liquide se rependre sur son anus pour l’humidifier. Après l’avoir étalé, Alfred donna un bon coup de pagaie pour le fun ; Xavier se retint de crier.
— Au travail.
La charge n’étant pas excessive, Xavier parvenait sans difficulté à ramener les pieds vers son séant sur la première série, mais sans le toucher.
— Tu attends quoi pour te le mettre ? Je vais te montrer comment faire.
Alfred ramena de force le boudin et plaqua la tête du phallus évasé contre l’anus intact. Ensuite, il appuya doucement ; Xavier sentit sa rondelle s’ouvrir peu à peu pour le laisser s’enfonçait progressivement dans ses entrailles. Toutefois, Alfred n’enfonça pas l’intégralité du godemichet.
— Ça fait mal !
— Tu l’as déjà dit. Recommence les répétitions ! Va à ton rythme mais je veux que le phallus s’engouffre entièrement dans tes fesses !
Mais qui est-il ce sale type pour me donner des ordres, pensa Xavier. Ses idées étaient confuses. Devait-il se laisser faire ? Devait-il appeler le coach ? Est-ce que c’était un hasard s’il était attaché ?
Finalement, il comprit qu’il était ici pour des jeux sexuels auxquels il devait se prêter.
A chaque mouvement, il essayait de faire entrer cet objet évasé de plus en plus profondément en lui. Par la force des choses, il parvint à tout entrer par la sortie de son corps. Petit à petit, ses fesses furent envahies par une agréable chaleur. Alfred diminua les poids afin de lui permettre d’accélérer le rythme de son empalement. Il jubilait en voyant le phallus se déplacer entre les deux joues musclées, inexplorées jusqu’à présent par un vrai sexe masculin.
— Xavier as-tu bientôt fini, cria Gérard de l’autre côté.
— Le coach arrive, enlevez ça, il ne faut pas qu’il le voit !
Alfred détacha le phallus du boudin mais au lieu de le ranger dans l’armoire, il le fourra entièrement dans les fesses dilatées.
— Enlevez-moi cette merde, dit Xavier paniqué.
Alfred remonta le shorty juste avant l’entrée du coach.
— A-t-il bien travaillé, demanda l’entraineur.
— Oui, il a été docile, ouvert.
— Bien, nous allons maintenant passer au dernier exercice.
Gérard détacha Xavier.
— Merci Monsieur, vous pouvez retourner à vos occupations.
Alfred s’installa à proximité pour faire des abdos sur un tapis de gymnastique. Xavier suivit le coach vers la barre guidée (« Smith machine ») en prenant soin de cacher sa formidable érection visible à travers le tissu. Il ne comprenait pas pourquoi il bandait autant avec un truc dans son vide ordure.
Gérard mit Xavier dans une position particulière (ndla : vue en vrai). Qu’est-ce qu’il va encore inventer, se demanda Xavier dépité. Dos sur le banc, ses jambes étaient pliées à quatre-vingt-dix degrés avec les genoux au-dessus de ses épaules. Son torse était attaché au banc et ses chevilles étaient liées à la barre. Le but était de pousser la barre guidée vers le haut avec les pieds.
Après avoir chargé la barre avec des disques, le coach voulut regarder Xavier réaliser les premiers soulèvements. Le plus dur pour Xavier, en plus de son pénis, était de garder le phallus dans ses entrailles afin qu’il ne soit pas expulsé devant le coach. Chaque manœuvre faisait bouger le sextoy qui pressait sa prostate. Xavier se retenait de laisser échapper des gémissements de plaisir.
— Qu’est-ce que tu as, tu n’as pas l’air bien ?
— Ce n’est rien coach… il faut que je me positionne bien.
Après quelques répétitions réalisées par son élève fourré, Gérard s’en alla.
— Je retourne à côté, fais bien durcir ton cul pour moi.
— Ok coach. Ouais c’est ça barre-toi, se dit-il en pensée.
Henri entra dans la foulée. Face à la position très lascive de Xavier, il ne put s’empêcher d’aller à sa rencontre.
— Quelle belle vue. Le coach veut nous montrer le cul qu’il va dépuceler. Cela donne envie de le préparer, dit-il en rigolant.
— C’est en cours, dit Alfred.
— Comme ça ?
— Notre bel athlète à actuellement un phallus qui laboure ses intestins.
— Ça suffit sortez-le s’il vous plait, dit Xavier.
— Puisque c’est demandé si gentiment, je vais le faire.
Les jambes du gymnaste étant écartées, il était difficile de baisser vers le haut le shorty ; Alfred tira sur les coutures afin qu’elles se déchirent au niveau du sillon inter-fessier.
— Regardez mon cher ami.
Henri vit l’élastique rose enserrer le phallus.
Xavier était rouge de honte à cause des deux vieux qui regardaient son anus fourré.
— Pousse jeune homme, je vais l’enlever.
Alfred ôta doucement l’objet de l’arrière-train. Xavier sentit un grand vide qu’il voulut curieusement de nouveau remplir ; cette pensée l’embrouilla. Les deux hommes âgés dévoraient des yeux son orifice ouvert.
— Le coach va pouvoir entrer facilement, dit Henri.
Xavier fut quelque peu soulagé sur ces paroles, il aura moins mal lors de l’introduction. Puis, la conversation prit une autre tournure.
— Pourquoi devrait-on le laisser à l’entraineur, alors qu’il est juste là devant nous, jambes écartées, trou distendu, prêt à être baisé, dit Henri.
— Je ne dois pas me faire baiser par vous, s’exclama Xavier.
— Un cul si admirable disponible, je le veux, je ne peux plus me retenir.
— Monsieur, je vous le défends, dit Alfred en s’interposant.
Xavier protesta à son tour pour abonder dans le sens d’Alfred.
— Ok les gars vous avez gagné, je me retire, je capitule, dit Henri.
Alfred retourna faire des abdos, Xavier fut soulagé ; il avait été effrayé à l’idée d’affronter la colère du coach pour avoir donné sa virginité anale à un autre homme. Alors qu’il observait les deux hommes s’éloignaient, Xavier eut soudain une révélation. Et si tout ceci n’était qu’un scénario ? Les lieux étaient propices à des jeux homoérotiques et ils étaient comme par hasard seuls tous les trois.
Quand Alfred s’éloigna suffisamment de Xavier, Henri revint à la charge pour y déposer la sienne. Sans leur laisser le temps de réagir, il se plaça entre les cuisses écartées du sportif. Il sortit sa queue dure de son jogging et la plongea progressivement dans l’antre chaud et humide. Celle-ci étant plus large que le gode, Xavier se sentait déchiré par l’étirement de son anus. L’insertion lui paraissait interminable, il sut que tout était à l’intérieur quand les testicules de son dépuceleur étaient contre son anus douloureux.
— Aïe, aïe, retirez-vous.
— Ne te fait pas désirer, tu reçois plus tôt ce que tu allais recevoir à l’intérieur de toi.
Xavier voulait riposter violemment. Néanmoins, il se concentra pour accepter l’intrusion car il était persuadé que c’était planifié depuis le début. Ce n’était pas son entraineur qui devait prendre sa cerise.
— Allez moins vite, ça fait mal.
— Arrête de geindre, tu as l’habitude d’en baver pour forger de telles fesses de rêve. Tu as travaillé durement tous les muscles de ton cul sauf ceux du milieu ; je vais combler cet oubli.
Alfred s’approcha de l’action.
— Qu’est-ce que vous avez fait, dit Alfred décontenancé. Vous avez tout saccagé.
— J’obtiens toujours ce que je veux, dit Henri.
Xavier bougeait pour essayer de mieux prendre le membre qui le pilonnait. C’était néanmoins compliqué car il était attaché.
— Oh oui, bouge ton boule, c’est trop bon.
Henri, trop enserré et excité, gicla rapidement. Dans un bruyant râle de plaisir, il déchargea une grande quantité de semence dans l'intimité défloré.
Xavier avait reçu sa première semence de la soirée. Il se doutait qu’il allait en recevoir d’autres. Henri sortit son sexe couvert de sperme et il laissa le cul se refermer avec son foutre à l’intérieur.
— Je t’ai vu, je t’ai voulu, je t’ai eu.
Gérard qui avait observait la scène derrière les miroirs sans tînt revint. Il fit mine de ne pas savoir ce qu’il s’était passé et détacha son élève. Alfred fit discrètement un signe à Gérard, il voulait lui aussi tirer son coup. Ce dernier jeta un coup d’œil rapide et choisit la chaise romaine.
— Tiens, tu vas faire des abdominaux. Congestionne aussi ton pack de six, ça sera bandant !
Gérard vit Xavier marchait maladroitement vers l’agrée.
— Pourquoi tu boites ? Tu t’es cassé le cul ? J’espère pour toi qu’il est toujours fonctionnel !
— C’est à cause de la position qui n’était pas confortable, dit-il à voix basse.
— Je reviens dans quinze minutes.
Sur la chaise romaine, il faut placer les coudes sur les deux accoudoirs. Le dos collé au dossier, on monte les genoux en direction de la poitrine en décollant le bassin. Ensuite, on redescend les genoux jusqu'à ce que les cuisses soient parallèles au sol. Mais là, les jambes allaient reposer sur les accoudoirs, position aisée pour Xavier car il était souple. Là, il n’allait pas être attaché. Le sportif était prêt à se faire assaillir une nouvelle fois, convaincu que c’était le plan originel.
— C’est à mon tour de te baiser.
Alfred mit un step entre les pieds de la chaise afin qu’en montant dessus, son sexe soit à la hauteur du cul musclé. Plus épais, Alfred poussait petit à petit pour élargir la rondelle serrée ; Xavier se mordit les lèvres de douleurs lorsqu’elle céda face à la pression du deuxième envahisseur. Le donneur de sperme lisait la douleur sur le visage de son receveur. Le vieux approcha ses lèvres de l’étudiant sportif pour l’embrasser. Celui-ci répondit au baiser pour détourner la douleur de son esprit. Toute la queue était dans ses intestins, c’était trop profond pour Xavier. Peu après, malgré son âge, Alfred sodomisa énergiquement le corps athlétique. Il lui ordonna de le dévisager pendant la saillie. Le jus d’Henri lui permit de glisser plus facilement dans le conduit étroit. Xavier appréciait de plus en plus ce nouvel assaut anal.
— Ta chatte de mec est très accueillante, tu vas te faire engrosser une deuxième fois pour ta première fois.
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Un nouveau jet de foutre fut propulsé dans les fesses du jeune corps musclé. Xavier était partagé entre le plaisir procuré par les pénétrations et la gêne qu’elles aient été entreprises par des anciens.
Le gymnaste se mit debout en serrant les fesses, il ne fallait pas laisser de traces. Dans la foulée, Gérard arriva. Il avait assisté à toute la scène derrière les miroirs. Il rejoignit le beau gosse au cul rond et dur en faisant encore semblant d’ignorer ce qu’il venait de subir.
— Je vois que tu es en sueur, va reprendre une douche dans la partie commune. Je ne veux pas que tu sois dégueulasse quand nos corps ne feront qu’un.
Après avoir été initié à un nouvel exercice physique entre mâle, Xavier se savonna vigoureusement sous l’eau tiède pour être parfaitement propre. Brusquement, il sursauta lorsque le coach entra bruyamment et utilisa la douche à côté de la sienne.
— Je veux être présentable pour ma pucelle.
Xavier ne pouvait pas s’empêcher d’observer la bite imposante de Gérard.
— Regarde bien ce qui va entrer à l’intérieur de toi, elle va te déboiter la mâchoire et te percer un nouveau trou du cul.
Le coach laissa volontairement échapper son savon des mains pour que le gymnaste lui présente son cul.
— Ramasse-le.
Pendant qu’il se baissa, il arriva ce qui devait arriver. Plié en deux, les lobes s’écartèrent, l’anus boursoufflé s’ouvrit et un liquide translucide s’en échappa.
— C’est quoi ça, hurla Gérard.
Xavier ne savait pas quoi dire. Vu la fureur de son entraineur en prononçant ses paroles, il se ravisa en prenant conscience qu’il n’y avait pas de mise en scène avec les deux vieux. Il n’aurait pas dû forniquer avec eux !
— Tu t’es fait baiser pendant que j’avais le dos tourné !!!
— Ce n’est pas ce vous croyez, dit-il tout penaud.
— Tu peux dire adieu à notre arrangement.
— Non s’il vous plait coach…, ne faites pas ça, ce n’est pas ma faute…, c’est eux qui…
Le coach l’interrompit.
— Comment ça ? Qui eux ? Tu en prends plusieurs à la fois ?
Xavier, dépité, écoutait le coach qui s’était lancé dans une longue tirade délirante à ses yeux. Il disait qu’il avait forgé ce cul parfait uniquement pour y attirer des bites et être la femelle des vieux.
— Finis de te laver, tu vas recevoir une leçon que tu ne seras pas près d’oublier.
Xavier voulait disparaitre, se cacher dans un trou de souris. Il avait perdu la confiance et le respect de son entraineur. A cet instant, c’est son cœur qui était déchiré.
Gérard sortit de la douche et se rhabilla. Quand il estima que Xavier était suffisamment propre aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, il le tira nu par un bras. Ils retournèrent dans la salle des jeux coquins où se trouvaient maintenant six hommes. Il y avait ses deux assaillants, ainsi que quatre autres bonhommes quinquagénaires.
— C’est les deux-là qui m’ont sodomisé, cria Xavier en colère en les pointant du doigt.
— Pas la peine de brailler, j’ai compris.
— Messieurs, est-il vrai que vous avez indument profité du cul vierge de mon étudiant ?
— Monsieur l’entraineur, nous reconnaissons les faits mais c’était à sa demande, dit Alfred.
— Menteur, ce n’est pas vrai. Je vais vous…
Immédiatement, le coach retint Xavier qui allait bondir sur eux afin de les tabasser.
— Calme-toi.
Les hommes rigolèrent. Gérard enlaça affectueusement Xavier énervé en lui susurrant à l’oreille :
— Tout ça tout était planifié, c’était un jeu de rôle. Je ne devais pas être ta première bite.
Le choc émotionnel passé, Xavier était rassuré d’avoir deviné la supercherie au début, avant de douter à la fin. Il y avait trop de concordances et d’aspects troublants. Néanmoins, il était offensé car il s’était fait doublement baiser : physiquement par ses ainés et moralement par le coach qui avait joué un rôle. Il maudissait son ami Thomas qui lui avait conseillé ce plan.
— Maintenant, ces hommes vont t’apprendre à travailler intensément tes muscles de l’anus. Profite bien de cette leçon et notre accord sera scellé.
Le coach invita Xavier craintif à s’allonger sur les tapis de gym.
— Ne t’inquiète pas, ces gars savent comment ouvrir les sportifs comme toi à de nouveaux plaisirs entre mecs.
Ces hommes faisaient partie des « Héraclides ». Ils sollicitaient fréquemment Gérard afin d’obtenir de la chair fraiche musclée à baiser toute la nuit.
Henri, le doyen de l’université, donna le top départ du gangbang. Ainsi, durant de longues heures, le coach bienveillant s’assurait que tous les hommes baisés Xavier avec modération. En permanence, ses pectoraux étaient maltraités, sa bouche et son anus étaient toujours comblés par des sexes masculins.
Sur ces paroles, Xavier s’était résolu de lui céder sa virginité anale en échange d’un plaidoyer en sa faveur auprès du doyen de l’université. Il avait besoin d'obtenir des bourses afin de poursuivre ses longues études. Agé de 21 ans, Xavier était un petit gymnaste baraqué d’un mètre soixante et onze.
Il n’était pas beau mais mignon avec de belles lèvres que l'on avait envie d'embrasser ou d’avoir enroulées autour de sa bite. Physiquement, le brun aux yeux noisette avait des pectoraux bombés, des triceps épais et des cuisses larges cintrées.
Généralement, Il portait des vêtements de ville qui semblaient le compresser. Ses chemises étaient poussées en avant par sa poitrine et les manches longues étaient intégralement remplie par ses bras. Ses pantalons ajustés comprimaient ses jambes robustes et mettaient en valeur son cul parfait. Ses fesses étaient bien évidemment rondes, relevées et serrées. Elles éblouissaient tous ceux qui le croisaient mais Xavier demeurait insensible à tous ses regards de curiosité ou lubriques. Il repoussait toutes les avances faites par des hommes qui voulaient l’engrosser. Il était déterminé à rester vierge de ce côté-là. Pourtant, de peur de perdre des bourses indispensables, Xavier s’était résolu, à contre-cœur, à desserrer ses sphincters pour y laisser passer un organe fécondateur. Ce changement d’avis était l’œuvre de Thomas qui lui avait fortement conseillé de coucher contre de l’argent. Bref, c’était un prétexte orienté pour qu’il se fasse péter la rondelle comme de nombreux mecs musclés de l’université.
Le coach Gérard regardait avec gourmandise l’arrière-train de Xavier.
— Ton cul exceptionnel est comme je les aime. Ma queue en bave d'avance.
— Xavier rougit.
— Avant que je te mette en cloque, il faudra te préparer.
— C’est à dire Coach ?
— On va se donner rendez-vous ce soir à la salle de musculation « Le Temple d'Héraclès ». Est-ce que tu y es déjà allé ?
— Non. Je ne fréquente que celle de l’université qui est toute petite. J’ai entendu dire qu’à cet endroit il y avait aussi un sauna et beaucoup de sexe entre homme, dit-il tout penaud.
— Exacte ! Là-bas, tu travailleras le bas du corps et après nous baiserons dans le sauna, dit-il en lui faisant un clin d'œil.
— Heu... d’accord Coach.
— Je t’avertis, c'est principalement masculin comme tu l’as souligné. Donc il me semble impossible que tu ne te fasses pas draguer. Tes fesses superbes vont attirer les convoitises, ne cède pas encore aux plaisirs charnels et laisse-moi l'exclusivité d'élargir ton passage étroit. As-tu bien compris ?
— Oui, rien ne passera avant vous, coach.
— Si tu n’es plus vierge ce soir, tu diras au revoir à tes longues études. Répète !
— Je dois rester vierge.
— Ne succombe pas à la tentation et délivre-toi de la luxure !
Xavier, interloqué, ne comprenait pas l'insistance du coach. Il était un sportif tout en force et il connaissait des parades pour se défendre. C'était à croire qu’il ne lui faisait pas confiance, comme s’il allait écarter les cuisses au premier assaillant venu.
Après le diner, Xavier se rendit au temple d'Héraclès où il rejoignit le coach qui parlait au beau gosse de l'accueil qui était obligatoirement musclé ; il faut bien achalander les clients.
— Voici le programme de ce soir. D’abord congestion du bas du corps en faisant du cardio, les jambes et les fessiers. Ensuite, nous passerons à des choses plus festives.
— Reçu coach, dit Xavier à faible voix.
— Tiens, prends ces habits de sport et va les mettre.
Xavier sortit des vestiaires, habillé d’un débardeur blanc ultra moulant et d'un mini short gris clair. Ses formes généreuses étaient parfaitement moulées, aussi bien en haut qu’en bas, devant que derrière. Cette tenue ne lui plaisait guère ; il attira immédiatement l’attention des autres gars aux alentours.
Xavier commença son entraînement cardiaque dans la salle principale suréquipée en faisant du vélo elliptique. Une minute après, des hommes âgés, faisant plus ou moins semblant de s’entrainer, s'étaient rapprochés de l’étudiant athlétique pour mieux reluquer les mouvements de son cul admirable. Peu après, Xavier courra sur un tapis roulant à un rythme soutenu. D'innombrables regards se posèrent sur ses fesses qui fléchissaient et sautaient de haut en bas à chaque pas ; c’était merveilleux à contempler.
À travers les miroirs, il apercevait des mecs se caresser le sexe en le matant. Il entendait leurs commentaires salaces uniquement axés sur son cul. Il fut choqué quand un type déclara qu’il était déterminé à le sodomiser coûte que coûte. Xavier voulait fuir ce lieu bourré de pervers, mais le coach lui avait ordonné, sur un ton autoritaire, de faire avec, de rester stoïque. Ces vingt minutes de course lui parurent interminables. Pourquoi devait-il faire du cardio ? Est-ce que c’était pour exposer son corps d’athlète en mouvement devant eux, se demanda-t-il. De plus, il aurait voulu savoir si les autres sportifs s’apercevaient de la scène et si oui, pourquoi ne faisaient-ils rien ?
Quand il eut fini, Xavier était en chaleur. Son débardeur blanc trempé de sueur laissait apparaitre ses pectoraux développés et l’ondulation de ses abdominaux. Son shorty humide au niveau de la raie et de l'entrejambe était un vrai régal pour tous les regards vicieux. Gérard arriva.
— Tu as besoin d'une bonne douche avant que tu sautes sur ma pine.
Le coach lui tendit une nouvelle tenue propre ainsi qu'une bouteille pour faire un lavement intime. Le nettoyage en profondeur terminé, Xavier alla dans les douches collectives où il rencontra l’homme âgé qui voulait le baiser à tout prix ; il choisit une douche à l’opposé de lui. Il se décontracta sous l’eau chaude qui s’écoulait le long de ses muscles quand soudain, il lâcha une série de pets bruyants. Xavier, embarrassé, jeta un regard furtif vers Henri.
— Ne soit pas gêné, je suppose que tu as fait un lavement avant de te faire baiser. Il n'y a pas de problème, tu peux dégazer joyeusement.
Comment avait-il deviné, se demanda Xavier. Il ne savait pas quoi répondre.
— C’est important d’être propre. Il faut faire un bon accueil lorsqu’on reçoit un visiteur chez soi.
— Je découvre, c’est ma première fois avec un homme.
— Ces incroyables fesses n'ont jamais été pénétrées ? C’est difficile à croire !
— Je ne suis pas gay.
— C’est ce que disent les hétéros comme toi avant d’y avoir goûté. Ils deviennent ensuite accros et veulent se faire enculer, encore et encore, dit-il en le fixant dans les yeux.
Xavier déglutit.
— Quel homme va avoir le bonheur de te prendre ta virginité anale ? Moi ?
— Non pas vous. Ça fait mal ? demanda-t-il fébrilement.
— Ça dépend. Si tu es bien préparé, ça passe facilement. Au début, tu trouveras cela bizarre mais après, tu couineras comme une fille.
Henri voulut l’effrayer.
— Cependant, avec un cul serré comme le tien, on a envie d'y entrer d'un coup sans ménagement. Là, tu pleureras d'abord de douleur avant de crier de plaisir.
Xavier s'inquiéta, qu'avait prévu le coach ?
— Bon, je te laisse dans tes pensées. Henri laissa Xavier seul sous la douche.
Dès le départ d’Henri, Alfred, un autre quinquagénaire, fit son entrée.
— J’ai entendu votre conversation, je peux te préparer si tu veux ; tu auras moins mal s'il te prend brutalement.
Xavier resta bouche bée devant la démarche audacieuse d’Alfred. Deux pensées s'opposèrent dans son esprit : 1) c'est un piège, il va me prendre,
2) peut-être qu’il a raison, je sais que le coach est bien membré, je vais avoir mal, très mal.
— Tu es plus fort que moi, si je tente quelque chose qui t’embarrasse, tu m’arrêteras sans difficulté.
Xavier céda face à cet argument imparable.
— Allons dans une douche individuelle, nous serons tranquilles.
Xavier, debout les deux mains contre le mur, se cambrait pour présenter son cul. Alfred était agenouillé derrière lui. Pour la première fois de sa vie, un homme le prenait à pleines mains. Là, il ne s’agissait pas des traditionnelles tapes viriles que les mecs se donnent sur les fesses. C’étaient des mains qui les écartaient pour des préliminaires avant d’être initié aux plaisirs entre hommes.
— T’es monticules sont très beaux, j’aurai aimé être le premier à les explorer.
Xavier sursauta de surprise lorsqu’il sentit la langue d’Alfred titiller son anus. L’organe buccale s’introduisait petit à petit dans la fissure rose, Xavier tortillait du cul. Alfred continua son travail de dilatation en remplaçant sa langue par un doigt, puis deux. Il s’empressa de trouver la prostate. L’intrusion digitale fit dresser fièrement le pénis de Xavier.
— Je vois que tu aimes ça, alors imagine la sensation avec quelque chose de plus gros.
Néanmoins, avant qu’Alfred en mette un autre, le coach appela Xavier.
— Je suis là coach, j’arrive.
— Dépêche-toi, tu as d’autres exercices à faire, dit Gérard visiblement agacé.
— C’est lui qui va te baiser, interrogea Alfred.
— Oui, dit Xavier timidement.
— Humm, le coach qui profite de son bel étudiant musclé, c’est un fantasme classique.
Xavier retrouva le coach qui l’amena dans une salle plus petite et intimiste. Il y avait aussi des équipements mais elle était réservée au voyeurisme ou autres plaisirs charnels. Sur toute la longueur d’un mur, Il y avait des miroirs sans tain. Derrières ceux-ci, il y avait des canapés pour permettre aux clients du sauna de reluquer les sportifs qui étaient à cet endroit, soit torse nu, soit en jockstrap, pendant qu’ils congestionnaient leurs muscles.
— Tu vas utiliser trois appareils. Je veux que tu travailles intensément tes fessiers pour qu’ils soient aussi durs que mon gourdin qui va te desserrer ta rondelle.
Xavier était mal à l’aise, il remarqua des sangles sur les machines.
— Comme tu peux le constater, c’est un endroit un peu spécial, disons pour certains jeux… pour punir… heu… tu vas essayer.
Le premier entrainement débuta avec la machine à fessiers (machine « glute »). En étant debout, le buste posé sur un pupitre, il faut faire une extension arrière d’une jambe en posant un pied sur un reposoir.
Le coach attacha Xavier sur le pupitre et le sangla.
— C’est pour mieux te stabiliser.
Xavier trouvait ça bizarre mais il accepta, le coach a toujours raison.
— Tu vas faire 4 séries de 12 répétitions par jambe. Si j’entends les poids cogner parce que tu as relâché la tension, tu auras droit à une fessée.
Sur ce, Gérard ouvrir une grande armoire contenant des accessoires SM. Il attrapa une pagaie et la posa à côté de son élève pour lui mettre la pression. Il lui chuchota à l’oreille :
— Ça va m’exciter de claquer ton beau cul avant de le pénétrer. Je reviens dans 15 minutes, bosse bien.
Le coach choisit volontairement un poids élevé à lever. En sortant de la pièce, il croisa Alfred.
— Cher Monsieur, pourriez-vous me rendre un petit service s'il vous plait ?
— Bien sûr, si c’est dans mes compétences.
— C’est très simple, si mon élève ne travaille pas correctement, il faudra le punir en lui donnant une fessée avec une pagaie.
— Avec joie Monsieur l’entraineur.
Xavier lança un regard foudroyant à Alfred. Il effectua les deux premières séries par jambe, mais à la troisième, il ne parvint pas à faire toutes les répétitions. C’était trop lourd, il lâcha les poids dans un grand fracas. Alfred s'approcha et prit la pagaie.
— Tu ne fais pas bien tes exercices jeune homme, je vais te corriger à la place de ton coach.
— Non arrêtez !
Et paf ! Alfred donna pour commencer un grand coup sur le postérieur arrondi. Xavier laissa échapper un puissant « aïe ». Puis, Alfred continua par des coups irréguliers en variant la force. Plus les fesses parfaites de Xavier ondulaient, plus Alfred avait envie de taper fort pour accroitre leurs mouvements.
— Arrêtez, ça fait mal.
— C’est le principe.
La pagaie continuait de s’abattre sur le cul magnifique endolori. Xavier étant attaché, il ne pouvait pas se soustraire à sa punition.
— Arrêtez.
— Arrêtez qui ?
— Arrêtez Monsieur s’il vous plait.
Alfred cessa ça correction. Il posa la pagaie et baissa le shorty Xavier sous les lobes écarlates.
— Vous faites quoi là, demande-t-il furieux.
— Je contemple les marques rouges sur tes fesses blanches
Le coach entra.
— Qu'est-ce qui se passe ici ? Qu’est-ce que vous foutez avec mon gosse ?
— J'ai fait ce que vous m'avez demandé parce qu’il n'avait pas bien travaillé.
— Laissez-le tranquille maintenant. Ce n’était pas la peine de le mettre cul nu.
Xavier poussa un ouf de soulagement. S'il s'avait la suite... Maintenant, il se trouva lié sur la machine des ischio-jambiers (machine « leg curl ») pour le deuxième entrainement. Il était allongé à plat ventre sur le banc, les jambes tendus avec les chevilles engagées sous un boudin. L’exercice consistait à fléchir les deux jambes en ramenant le boudin vers les fesses. Gérard s’adressa à Alfred :
— S’il fait n’importe quoi, c’est moi qui le punirai sévèrement. N’abusez pas de lui.
Gérard quitta de nouveau la pièce pendant qu’Xavier faisait les mouvements. Alfred s’approcha du beau gosse.
— Qu’est-ce que vous voulez ?
— Je ne peux pas m’empêcher de reluquer cette perfection au masculin.
— Laissez-moi tranquille sale pervers.
— Non, je vais terminer ce que j’ai commençai quand nous étions tous les deux sous la douche.
Xavier eut de nouveau le shorty baissé, cette fois jusqu’aux cuisses.
— Arrêtez, dégagez de là.
— Tu te plains trop, je vais pimenter ton exercice.
Alfred prit dans l’armoire un phallus en silicone.
— C’est quoi ce truc ? Qu’est-ce que vous allez faire avec ça ?
— Ne fait pas l’enfant, tu as très bien compris l’objectif.
Alfred fixa le jouet sexuel au boudin de la machine, la tête pointant vers le bouton rose.
— Soit un bon garçon. Est-ce que tu veux que ton entraineur enfonce d’un coup son gros chibre dans ton trou serré ?
Xavier tortilla son cul de surprise en sentant un liquide se rependre sur son anus pour l’humidifier. Après l’avoir étalé, Alfred donna un bon coup de pagaie pour le fun ; Xavier se retint de crier.
— Au travail.
La charge n’étant pas excessive, Xavier parvenait sans difficulté à ramener les pieds vers son séant sur la première série, mais sans le toucher.
— Tu attends quoi pour te le mettre ? Je vais te montrer comment faire.
Alfred ramena de force le boudin et plaqua la tête du phallus évasé contre l’anus intact. Ensuite, il appuya doucement ; Xavier sentit sa rondelle s’ouvrir peu à peu pour le laisser s’enfonçait progressivement dans ses entrailles. Toutefois, Alfred n’enfonça pas l’intégralité du godemichet.
— Ça fait mal !
— Tu l’as déjà dit. Recommence les répétitions ! Va à ton rythme mais je veux que le phallus s’engouffre entièrement dans tes fesses !
Mais qui est-il ce sale type pour me donner des ordres, pensa Xavier. Ses idées étaient confuses. Devait-il se laisser faire ? Devait-il appeler le coach ? Est-ce que c’était un hasard s’il était attaché ?
Finalement, il comprit qu’il était ici pour des jeux sexuels auxquels il devait se prêter.
A chaque mouvement, il essayait de faire entrer cet objet évasé de plus en plus profondément en lui. Par la force des choses, il parvint à tout entrer par la sortie de son corps. Petit à petit, ses fesses furent envahies par une agréable chaleur. Alfred diminua les poids afin de lui permettre d’accélérer le rythme de son empalement. Il jubilait en voyant le phallus se déplacer entre les deux joues musclées, inexplorées jusqu’à présent par un vrai sexe masculin.
— Xavier as-tu bientôt fini, cria Gérard de l’autre côté.
— Le coach arrive, enlevez ça, il ne faut pas qu’il le voit !
Alfred détacha le phallus du boudin mais au lieu de le ranger dans l’armoire, il le fourra entièrement dans les fesses dilatées.
— Enlevez-moi cette merde, dit Xavier paniqué.
Alfred remonta le shorty juste avant l’entrée du coach.
— A-t-il bien travaillé, demanda l’entraineur.
— Oui, il a été docile, ouvert.
— Bien, nous allons maintenant passer au dernier exercice.
Gérard détacha Xavier.
— Merci Monsieur, vous pouvez retourner à vos occupations.
Alfred s’installa à proximité pour faire des abdos sur un tapis de gymnastique. Xavier suivit le coach vers la barre guidée (« Smith machine ») en prenant soin de cacher sa formidable érection visible à travers le tissu. Il ne comprenait pas pourquoi il bandait autant avec un truc dans son vide ordure.
Gérard mit Xavier dans une position particulière (ndla : vue en vrai). Qu’est-ce qu’il va encore inventer, se demanda Xavier dépité. Dos sur le banc, ses jambes étaient pliées à quatre-vingt-dix degrés avec les genoux au-dessus de ses épaules. Son torse était attaché au banc et ses chevilles étaient liées à la barre. Le but était de pousser la barre guidée vers le haut avec les pieds.
Après avoir chargé la barre avec des disques, le coach voulut regarder Xavier réaliser les premiers soulèvements. Le plus dur pour Xavier, en plus de son pénis, était de garder le phallus dans ses entrailles afin qu’il ne soit pas expulsé devant le coach. Chaque manœuvre faisait bouger le sextoy qui pressait sa prostate. Xavier se retenait de laisser échapper des gémissements de plaisir.
— Qu’est-ce que tu as, tu n’as pas l’air bien ?
— Ce n’est rien coach… il faut que je me positionne bien.
Après quelques répétitions réalisées par son élève fourré, Gérard s’en alla.
— Je retourne à côté, fais bien durcir ton cul pour moi.
— Ok coach. Ouais c’est ça barre-toi, se dit-il en pensée.
Henri entra dans la foulée. Face à la position très lascive de Xavier, il ne put s’empêcher d’aller à sa rencontre.
— Quelle belle vue. Le coach veut nous montrer le cul qu’il va dépuceler. Cela donne envie de le préparer, dit-il en rigolant.
— C’est en cours, dit Alfred.
— Comme ça ?
— Notre bel athlète à actuellement un phallus qui laboure ses intestins.
— Ça suffit sortez-le s’il vous plait, dit Xavier.
— Puisque c’est demandé si gentiment, je vais le faire.
Les jambes du gymnaste étant écartées, il était difficile de baisser vers le haut le shorty ; Alfred tira sur les coutures afin qu’elles se déchirent au niveau du sillon inter-fessier.
— Regardez mon cher ami.
Henri vit l’élastique rose enserrer le phallus.
Xavier était rouge de honte à cause des deux vieux qui regardaient son anus fourré.
— Pousse jeune homme, je vais l’enlever.
Alfred ôta doucement l’objet de l’arrière-train. Xavier sentit un grand vide qu’il voulut curieusement de nouveau remplir ; cette pensée l’embrouilla. Les deux hommes âgés dévoraient des yeux son orifice ouvert.
— Le coach va pouvoir entrer facilement, dit Henri.
Xavier fut quelque peu soulagé sur ces paroles, il aura moins mal lors de l’introduction. Puis, la conversation prit une autre tournure.
— Pourquoi devrait-on le laisser à l’entraineur, alors qu’il est juste là devant nous, jambes écartées, trou distendu, prêt à être baisé, dit Henri.
— Je ne dois pas me faire baiser par vous, s’exclama Xavier.
— Un cul si admirable disponible, je le veux, je ne peux plus me retenir.
— Monsieur, je vous le défends, dit Alfred en s’interposant.
Xavier protesta à son tour pour abonder dans le sens d’Alfred.
— Ok les gars vous avez gagné, je me retire, je capitule, dit Henri.
Alfred retourna faire des abdos, Xavier fut soulagé ; il avait été effrayé à l’idée d’affronter la colère du coach pour avoir donné sa virginité anale à un autre homme. Alors qu’il observait les deux hommes s’éloignaient, Xavier eut soudain une révélation. Et si tout ceci n’était qu’un scénario ? Les lieux étaient propices à des jeux homoérotiques et ils étaient comme par hasard seuls tous les trois.
Quand Alfred s’éloigna suffisamment de Xavier, Henri revint à la charge pour y déposer la sienne. Sans leur laisser le temps de réagir, il se plaça entre les cuisses écartées du sportif. Il sortit sa queue dure de son jogging et la plongea progressivement dans l’antre chaud et humide. Celle-ci étant plus large que le gode, Xavier se sentait déchiré par l’étirement de son anus. L’insertion lui paraissait interminable, il sut que tout était à l’intérieur quand les testicules de son dépuceleur étaient contre son anus douloureux.
— Aïe, aïe, retirez-vous.
— Ne te fait pas désirer, tu reçois plus tôt ce que tu allais recevoir à l’intérieur de toi.
Xavier voulait riposter violemment. Néanmoins, il se concentra pour accepter l’intrusion car il était persuadé que c’était planifié depuis le début. Ce n’était pas son entraineur qui devait prendre sa cerise.
— Allez moins vite, ça fait mal.
— Arrête de geindre, tu as l’habitude d’en baver pour forger de telles fesses de rêve. Tu as travaillé durement tous les muscles de ton cul sauf ceux du milieu ; je vais combler cet oubli.
Alfred s’approcha de l’action.
— Qu’est-ce que vous avez fait, dit Alfred décontenancé. Vous avez tout saccagé.
— J’obtiens toujours ce que je veux, dit Henri.
Xavier bougeait pour essayer de mieux prendre le membre qui le pilonnait. C’était néanmoins compliqué car il était attaché.
— Oh oui, bouge ton boule, c’est trop bon.
Henri, trop enserré et excité, gicla rapidement. Dans un bruyant râle de plaisir, il déchargea une grande quantité de semence dans l'intimité défloré.
Xavier avait reçu sa première semence de la soirée. Il se doutait qu’il allait en recevoir d’autres. Henri sortit son sexe couvert de sperme et il laissa le cul se refermer avec son foutre à l’intérieur.
— Je t’ai vu, je t’ai voulu, je t’ai eu.
Gérard qui avait observait la scène derrière les miroirs sans tînt revint. Il fit mine de ne pas savoir ce qu’il s’était passé et détacha son élève. Alfred fit discrètement un signe à Gérard, il voulait lui aussi tirer son coup. Ce dernier jeta un coup d’œil rapide et choisit la chaise romaine.
— Tiens, tu vas faire des abdominaux. Congestionne aussi ton pack de six, ça sera bandant !
Gérard vit Xavier marchait maladroitement vers l’agrée.
— Pourquoi tu boites ? Tu t’es cassé le cul ? J’espère pour toi qu’il est toujours fonctionnel !
— C’est à cause de la position qui n’était pas confortable, dit-il à voix basse.
— Je reviens dans quinze minutes.
Sur la chaise romaine, il faut placer les coudes sur les deux accoudoirs. Le dos collé au dossier, on monte les genoux en direction de la poitrine en décollant le bassin. Ensuite, on redescend les genoux jusqu'à ce que les cuisses soient parallèles au sol. Mais là, les jambes allaient reposer sur les accoudoirs, position aisée pour Xavier car il était souple. Là, il n’allait pas être attaché. Le sportif était prêt à se faire assaillir une nouvelle fois, convaincu que c’était le plan originel.
— C’est à mon tour de te baiser.
Alfred mit un step entre les pieds de la chaise afin qu’en montant dessus, son sexe soit à la hauteur du cul musclé. Plus épais, Alfred poussait petit à petit pour élargir la rondelle serrée ; Xavier se mordit les lèvres de douleurs lorsqu’elle céda face à la pression du deuxième envahisseur. Le donneur de sperme lisait la douleur sur le visage de son receveur. Le vieux approcha ses lèvres de l’étudiant sportif pour l’embrasser. Celui-ci répondit au baiser pour détourner la douleur de son esprit. Toute la queue était dans ses intestins, c’était trop profond pour Xavier. Peu après, malgré son âge, Alfred sodomisa énergiquement le corps athlétique. Il lui ordonna de le dévisager pendant la saillie. Le jus d’Henri lui permit de glisser plus facilement dans le conduit étroit. Xavier appréciait de plus en plus ce nouvel assaut anal.
— Ta chatte de mec est très accueillante, tu vas te faire engrosser une deuxième fois pour ta première fois.
Aussitôt dit, aussitôt fait ! Un nouveau jet de foutre fut propulsé dans les fesses du jeune corps musclé. Xavier était partagé entre le plaisir procuré par les pénétrations et la gêne qu’elles aient été entreprises par des anciens.
Le gymnaste se mit debout en serrant les fesses, il ne fallait pas laisser de traces. Dans la foulée, Gérard arriva. Il avait assisté à toute la scène derrière les miroirs. Il rejoignit le beau gosse au cul rond et dur en faisant encore semblant d’ignorer ce qu’il venait de subir.
— Je vois que tu es en sueur, va reprendre une douche dans la partie commune. Je ne veux pas que tu sois dégueulasse quand nos corps ne feront qu’un.
Après avoir été initié à un nouvel exercice physique entre mâle, Xavier se savonna vigoureusement sous l’eau tiède pour être parfaitement propre. Brusquement, il sursauta lorsque le coach entra bruyamment et utilisa la douche à côté de la sienne.
— Je veux être présentable pour ma pucelle.
Xavier ne pouvait pas s’empêcher d’observer la bite imposante de Gérard.
— Regarde bien ce qui va entrer à l’intérieur de toi, elle va te déboiter la mâchoire et te percer un nouveau trou du cul.
Le coach laissa volontairement échapper son savon des mains pour que le gymnaste lui présente son cul.
— Ramasse-le.
Pendant qu’il se baissa, il arriva ce qui devait arriver. Plié en deux, les lobes s’écartèrent, l’anus boursoufflé s’ouvrit et un liquide translucide s’en échappa.
— C’est quoi ça, hurla Gérard.
Xavier ne savait pas quoi dire. Vu la fureur de son entraineur en prononçant ses paroles, il se ravisa en prenant conscience qu’il n’y avait pas de mise en scène avec les deux vieux. Il n’aurait pas dû forniquer avec eux !
— Tu t’es fait baiser pendant que j’avais le dos tourné !!!
— Ce n’est pas ce vous croyez, dit-il tout penaud.
— Tu peux dire adieu à notre arrangement.
— Non s’il vous plait coach…, ne faites pas ça, ce n’est pas ma faute…, c’est eux qui…
Le coach l’interrompit.
— Comment ça ? Qui eux ? Tu en prends plusieurs à la fois ?
Xavier, dépité, écoutait le coach qui s’était lancé dans une longue tirade délirante à ses yeux. Il disait qu’il avait forgé ce cul parfait uniquement pour y attirer des bites et être la femelle des vieux.
— Finis de te laver, tu vas recevoir une leçon que tu ne seras pas près d’oublier.
Xavier voulait disparaitre, se cacher dans un trou de souris. Il avait perdu la confiance et le respect de son entraineur. A cet instant, c’est son cœur qui était déchiré.
Gérard sortit de la douche et se rhabilla. Quand il estima que Xavier était suffisamment propre aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur, il le tira nu par un bras. Ils retournèrent dans la salle des jeux coquins où se trouvaient maintenant six hommes. Il y avait ses deux assaillants, ainsi que quatre autres bonhommes quinquagénaires.
— C’est les deux-là qui m’ont sodomisé, cria Xavier en colère en les pointant du doigt.
— Pas la peine de brailler, j’ai compris.
— Messieurs, est-il vrai que vous avez indument profité du cul vierge de mon étudiant ?
— Monsieur l’entraineur, nous reconnaissons les faits mais c’était à sa demande, dit Alfred.
— Menteur, ce n’est pas vrai. Je vais vous…
Immédiatement, le coach retint Xavier qui allait bondir sur eux afin de les tabasser.
— Calme-toi.
Les hommes rigolèrent. Gérard enlaça affectueusement Xavier énervé en lui susurrant à l’oreille :
— Tout ça tout était planifié, c’était un jeu de rôle. Je ne devais pas être ta première bite.
Le choc émotionnel passé, Xavier était rassuré d’avoir deviné la supercherie au début, avant de douter à la fin. Il y avait trop de concordances et d’aspects troublants. Néanmoins, il était offensé car il s’était fait doublement baiser : physiquement par ses ainés et moralement par le coach qui avait joué un rôle. Il maudissait son ami Thomas qui lui avait conseillé ce plan.
— Maintenant, ces hommes vont t’apprendre à travailler intensément tes muscles de l’anus. Profite bien de cette leçon et notre accord sera scellé.
Le coach invita Xavier craintif à s’allonger sur les tapis de gym.
— Ne t’inquiète pas, ces gars savent comment ouvrir les sportifs comme toi à de nouveaux plaisirs entre mecs.
Ces hommes faisaient partie des « Héraclides ». Ils sollicitaient fréquemment Gérard afin d’obtenir de la chair fraiche musclée à baiser toute la nuit.
Henri, le doyen de l’université, donna le top départ du gangbang. Ainsi, durant de longues heures, le coach bienveillant s’assurait que tous les hommes baisés Xavier avec modération. En permanence, ses pectoraux étaient maltraités, sa bouche et son anus étaient toujours comblés par des sexes masculins.
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