Récompense pour un mois de chasteté 10
Récit érotique écrit par Belle-Mère [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Récompense pour un mois de chasteté 10
Surprise par le vice de mon gendre, j’avais néanmoins une grande tendresse pour lui, et même une affection qui se transformait progressivement en amour. Oui, je tenais à lui et voulais le garder auprès de moi aussi longtemps que possible. Il m’avait initiée à la gestion de la chasteté masculine qu’il considérait comme un jeu lorsque nous avions commencé à flirter. Presqu’aussitôt, le jeu avait basculé dans un mode relationnel où il s’était soumis à moi, sa belle-mère pourtant déjà âgée, et je prenais goût à ma nouvelle position dominante.
J’avais compris que le contrôle renforcé de sa libido me donnait tous les pouvoirs. Mon amour naissant pour lui était teinté de la crainte que je ne lui plaise plus, qu’il me quitte. A 75 ans, j’étais également remuée par un sentiment inconnu de grande jalousie. Aussi, je continuais à prendre soin de mon corps pour rester mince et féminine. Pas question que je m’habille sexy car c’était vulgaire, mais de temps à autre, je lui montrais un peu de moi. Je savais que mes dessous pourtant sages le rendaient dingue. Moi qui n’avais jamais porté de string car c’était sale, je m’étais procuré quelques tangas et un corset noir que je lui dévoilais parfois.
Son regard sur une autre femme me mettait en colère et je le conditionnais à ne pas le faire. J’aimais qu’il me regarde et je le voulais pour moi seule. C’est lui qui avait demandé à être tenu en abstinence pour me désirer toujours. Alors je l’empêchais d’être en érection, de jouer avec son joujou et de se soulager comme bon lui semblait. Je surveillais son appétit détestable pour le porno. Je le voulais totalement attentif à mes besoins et désirs par une frustration quasi-permanente.
Je décidais, il m’obéissait, je le récompensais ou je le punissais. Très simple et absolument efficace.
Je prenais mes marques dans mon nouveau rôle et avais en tête de le faire tenir un mois sans éjaculation : son 1er mois entier en abstinence. S’il pouvait accepter cela, les durées de chasteté pourraient augmenter. Je n’avais jamais été une folle de sexe mais j’aimais beaucoup le plaisir qu’il me donnait quand il léchait ma vieille chatte. Nous n’avions pas encore fait l’amour, mais je savais que ça viendrait. J’avais envie de le récompenser s’il se comportait comme il s’y était engagé dans notre contrat de soumission.
A son 28ème jour de chasteté, il me dit :
- Je ne te demande pas quand tu me permettras de jouir pour toi car je sais que je n’ai pas le droit de te le demander sinon tu te fâches. Je dis seulement que je vis une ère nouvelle d’abstinence et que j’ai des sentiments mêlés. Bien sur, j’ai très envie de te faire l’amour ou simplement que tu me laisses jouir. En même temps, j’adore être en manque prolongé : ça me rend tout chose, mon désir permanent de toi est comme une drogue doucereuse. Cela me rend plus sensible que jamais à chaque détail de ta féminité. J’aime tout de toi et pas seulement ton physique : j’aime nos longues conversations et nos gestes tendres, ta douceur et ton intelligence, ton caractère fort et même tes caprices (si, si tu en as parfois et j’apprends à les apprécier) et ton contrôle sur mes mauvais penchants.
- Je crois que je te comprends, et moi je prends également goût à notre forme de rapport amoureux. Je te préviens qu’il n’y aura pas de retour en arrière. J’aime te soumettre, je veux que tu m’obéisses et me fasses plaisir. C’est trop bon.
- Oui j’accepte tes termes. Nous vivons quelque chose d’exceptionnel que je veux poursuivre mon amour. Alors voilà: comme tu portes en permanence mes clés de cage de chasteté à ton cou, ce qui est pour moi comme une alliance de mariage, je voudrais te demander ce que tu penses si je me fais tatouer mon engagement pour toi.
- Je n’aime pas les tatouages, personne dans la famille n’en a. De plus c’est très difficile de s’en débarrasser, et on dit que c’est malsain.
- Oui mais je te propose un tatouage sur une partie cachée de mon corps. J’ai réfléchi à une formule courte telle que « Soumis à Annette », « Chaste pour Annette », « Soumis à ma Domina Annette »,… Qu’en penses-tu ? Ce pourrait être sur une fesse ou sur le bas de mon ventre. Je veux prouver que je tiens à toi.
- Je vais y réfléchir.
Après vérification de son journal intime, je vis qu’un mois était passé sans lui accorder de plaisir. Un soir, je lui tendis les clés de sa cage et nous nous déshabillâmes entièrement. Je pris sa main et l’entrainai vers mon lit. Je pense qu’il comprit tout de suite et lui confirmai que je me donnais à lui pour sa bonne conduite, son mois de chasteté et surtout parce que je l’aimais.
Il fut très amoureux. Après de longues caresses, nous nous embrassâmes longtemps, lui sur moi en nous disant des mots d’amour. Il me flattait sur mon physique, ce qui me rassurait. Enfin, je m’ouvris à lui. Les yeux dans les yeux, il me pénétra doucement. J’adorais sentir son sexe tendu aller et venir dans ma chatte après des années sans amour. Je fermai les yeux et me livrai entièrement. Je le sentis palpiter tout entier. Je me mis à vibrer. De très loin, mon corps se tendit, et je fus secouée par un orgasme qui me parut long. Comme je me sentais aimée comme jamais, j’acceptai qu’il me prenne en levrette ce qui ne m’était quasiment jamais arrivée. Je me lâchai enfin à 75 ans : je pris plaisir à lui exhiber mon cul et toute mon intimité. Je me sentais chienne sous lui. Je lui soufflai :
- Vas-y, prend moi. Aime moi, fais moi jouir, il te plait mon cul ? Aaaaaah comme c’est bon. Je t’aime.
- Moi aussi mon amour, je veux t’obéir et te faire plaisir pour la vie.
Je voulus qu’il me prenne en missionnaire pour jouir. Au moment où il vint, j’attirai ses fesses pour qu’il éjacule au plus profond de moi. Il hurla comme jamais quand il projeta sa semence dans mon ventre.
J’avais compris que le contrôle renforcé de sa libido me donnait tous les pouvoirs. Mon amour naissant pour lui était teinté de la crainte que je ne lui plaise plus, qu’il me quitte. A 75 ans, j’étais également remuée par un sentiment inconnu de grande jalousie. Aussi, je continuais à prendre soin de mon corps pour rester mince et féminine. Pas question que je m’habille sexy car c’était vulgaire, mais de temps à autre, je lui montrais un peu de moi. Je savais que mes dessous pourtant sages le rendaient dingue. Moi qui n’avais jamais porté de string car c’était sale, je m’étais procuré quelques tangas et un corset noir que je lui dévoilais parfois.
Son regard sur une autre femme me mettait en colère et je le conditionnais à ne pas le faire. J’aimais qu’il me regarde et je le voulais pour moi seule. C’est lui qui avait demandé à être tenu en abstinence pour me désirer toujours. Alors je l’empêchais d’être en érection, de jouer avec son joujou et de se soulager comme bon lui semblait. Je surveillais son appétit détestable pour le porno. Je le voulais totalement attentif à mes besoins et désirs par une frustration quasi-permanente.
Je décidais, il m’obéissait, je le récompensais ou je le punissais. Très simple et absolument efficace.
Je prenais mes marques dans mon nouveau rôle et avais en tête de le faire tenir un mois sans éjaculation : son 1er mois entier en abstinence. S’il pouvait accepter cela, les durées de chasteté pourraient augmenter. Je n’avais jamais été une folle de sexe mais j’aimais beaucoup le plaisir qu’il me donnait quand il léchait ma vieille chatte. Nous n’avions pas encore fait l’amour, mais je savais que ça viendrait. J’avais envie de le récompenser s’il se comportait comme il s’y était engagé dans notre contrat de soumission.
A son 28ème jour de chasteté, il me dit :
- Je ne te demande pas quand tu me permettras de jouir pour toi car je sais que je n’ai pas le droit de te le demander sinon tu te fâches. Je dis seulement que je vis une ère nouvelle d’abstinence et que j’ai des sentiments mêlés. Bien sur, j’ai très envie de te faire l’amour ou simplement que tu me laisses jouir. En même temps, j’adore être en manque prolongé : ça me rend tout chose, mon désir permanent de toi est comme une drogue doucereuse. Cela me rend plus sensible que jamais à chaque détail de ta féminité. J’aime tout de toi et pas seulement ton physique : j’aime nos longues conversations et nos gestes tendres, ta douceur et ton intelligence, ton caractère fort et même tes caprices (si, si tu en as parfois et j’apprends à les apprécier) et ton contrôle sur mes mauvais penchants.
- Je crois que je te comprends, et moi je prends également goût à notre forme de rapport amoureux. Je te préviens qu’il n’y aura pas de retour en arrière. J’aime te soumettre, je veux que tu m’obéisses et me fasses plaisir. C’est trop bon.
- Oui j’accepte tes termes. Nous vivons quelque chose d’exceptionnel que je veux poursuivre mon amour. Alors voilà: comme tu portes en permanence mes clés de cage de chasteté à ton cou, ce qui est pour moi comme une alliance de mariage, je voudrais te demander ce que tu penses si je me fais tatouer mon engagement pour toi.
- Je n’aime pas les tatouages, personne dans la famille n’en a. De plus c’est très difficile de s’en débarrasser, et on dit que c’est malsain.
- Oui mais je te propose un tatouage sur une partie cachée de mon corps. J’ai réfléchi à une formule courte telle que « Soumis à Annette », « Chaste pour Annette », « Soumis à ma Domina Annette »,… Qu’en penses-tu ? Ce pourrait être sur une fesse ou sur le bas de mon ventre. Je veux prouver que je tiens à toi.
- Je vais y réfléchir.
Après vérification de son journal intime, je vis qu’un mois était passé sans lui accorder de plaisir. Un soir, je lui tendis les clés de sa cage et nous nous déshabillâmes entièrement. Je pris sa main et l’entrainai vers mon lit. Je pense qu’il comprit tout de suite et lui confirmai que je me donnais à lui pour sa bonne conduite, son mois de chasteté et surtout parce que je l’aimais.
Il fut très amoureux. Après de longues caresses, nous nous embrassâmes longtemps, lui sur moi en nous disant des mots d’amour. Il me flattait sur mon physique, ce qui me rassurait. Enfin, je m’ouvris à lui. Les yeux dans les yeux, il me pénétra doucement. J’adorais sentir son sexe tendu aller et venir dans ma chatte après des années sans amour. Je fermai les yeux et me livrai entièrement. Je le sentis palpiter tout entier. Je me mis à vibrer. De très loin, mon corps se tendit, et je fus secouée par un orgasme qui me parut long. Comme je me sentais aimée comme jamais, j’acceptai qu’il me prenne en levrette ce qui ne m’était quasiment jamais arrivée. Je me lâchai enfin à 75 ans : je pris plaisir à lui exhiber mon cul et toute mon intimité. Je me sentais chienne sous lui. Je lui soufflai :
- Vas-y, prend moi. Aime moi, fais moi jouir, il te plait mon cul ? Aaaaaah comme c’est bon. Je t’aime.
- Moi aussi mon amour, je veux t’obéir et te faire plaisir pour la vie.
Je voulus qu’il me prenne en missionnaire pour jouir. Au moment où il vint, j’attirai ses fesses pour qu’il éjacule au plus profond de moi. Il hurla comme jamais quand il projeta sa semence dans mon ventre.
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Faites attention : restez MAÎTRESSE de la situation ; il vous a fait beaucoup de "bien" mais ne mélangez pas les sentiments. Comme j'aimerais être votre soumis avec encore plus d'autorité et de virilité.
Magnifique !
"C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes"... sans être péjoratif ! Une mamie en chaleurs, rien de tel... Elle connaît tout les secrets pour faire jouir un homme...
Bonne continuation !
Roger
"C'est dans les vieux pots qu'on fait les meilleures soupes"... sans être péjoratif ! Une mamie en chaleurs, rien de tel... Elle connaît tout les secrets pour faire jouir un homme...
Bonne continuation !
Roger
Bravo ! Très belle entrée en matière...
Excellent bien que chaque fois trop ce qui est frustrant…
Excellente histoire madame de Bordeaux,que je rêverai d’être prit en main comme vous le faite si bien..
Mes sincères hommages
Mes sincères hommages
très belle écriture. Bravo
Très belle histoire que j'aimerais vivre