Reconfinement 2

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : Reconfinement 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Reconfinement 2
Reconfinement 2




On ne bougeait plus, il restait allongé de travers sur le lit avec deux gros coussins sous la tête. Je m'étais installé confortablement la tête sur son ventre, j'entendais sa respiration, et quelques gargouillis aussi, son cœur battait fort.

Il me caressait le torse en descendant régulièrement sa main sur ma cage, il en profitait pour me tripoter les couilles. Ça avait l'air de l'amuser cette affaire. Il avait joui, j'avais vibré et à ce moment c'était la frustration qui montait et avec elle ma queue s'énervait.

Je bandais de plus en plus, jusque là, la concentration m'avait presque fait oublié ma queue qui était en cage. Il faut dire aussi que ça faisait un moment qu'elle y était et l'habitude faisait loi. Mais là, c'était la frustration qui faisait loi. Je sentais ma cage se refermer autour de ma queue.

Il s'en rendait compte. Ça devenait infernal.

– On dirait qu'il y a de la pression la dedans … Disait il.
– C'est que je bande à mort moi là !
– Et tu fais comment pour te soulager toi … Ah c'est vrai j'oubliais, tu ne fais pas toi !
– C'est malin !
– Ça ne répond pas à ma question. Tu fais comment avec les filles ?
– Avec les filles, mais tu es fou toi. Arrête de dire des horreurs pareil !

Il pouffait de rire. Je me retournais sur le ventre et lui donnais des baisers sur le ventre. Je descendais mon visage vers sa queue qui était retombée, et s'étalait lourdement sur sa cuisse.

Un petit coup de langue sur son gland, elle réagissait, j'insistais un peu, elle se relevait. Finalement je la prenais dans la bouche et recommençais à la sucer. Il gémissait de plaisir et me caressait de nouveau. Il me tripotais les couilles comme juste avant, s'amusait à me secouer la cage sur la gauche, sur la droite puis sa main se dirigeait vers mes fesses.

Là il me les caressait avec insistance, il glissait un puis deux doigt entre mes deux fesses, il insistait sur mon cul, il insistait avec force. Il tentait de glisser un doigt à l'intérieur de mon cul. Je relevais la tête.

– Ah, non pas comme ça !
– Tu n'aimes pas ?
– Si mais il faut y aller doucement et surtout … Pas à sec. Met du gel !

Je recommençais à lui sucer la queue, il trouvait le gel sur la table de nuit en mettait une dose et reprenait lui aussi. Avec un doigt il me massait l'ouverture de mon cul avec un mouvement circulaire. Je gémissais de plaisir, j'aime bien ça moi !

Sa queue entrait complètement dans ma bouche et s'écrasait dans ma gorge. Il posait une main sur ma tête, comme pour me caresser les cheveux et appuyait doucement sur ma tête.

Il enfonçait alors deux doigts dans mon cul, j'ai laissé faire mais là j'ai compris que la main qu'il avait posé sur ma tête était surtout là pour m'empêcher de relever la tête. Je gémissais plus fort et ne tentais pas de me dégager. Il me caressait les cheveux et me massait la prostate. Je ne sais pas s'il savait exactement ce qu'il faisait mais c'était pas désagréable tout de même.

On continuait à se faire plaisir, à faire plaisir à l'autre puis je finissait par relever la tête. Je le regardais.

– Tu veux que … ? Me demandait il.
– Encule moi !

C'est ce qu'il avait voulu dire mais sans oser terminer sa phrase. Il affichait alors un large sourire satisfait.

– Tu as déjà fait ça ? Lui demandais je.
– Moi ! Ah , ah … Mais enfin … Tu me prends pour qui … Tu parles … Euh non jamais !

Je pouffais de rire. Et lui donnais quelques conseils.

– Tu es bien monté, tu y vas doucement au début, mais je suis bien entraîné.
– Ça marche !

Il avait l'air content, bien excité. Il bandait à fond à ce moment, sa queue se relevait presque à la verticale. Il était vraiment beau.

Ma queue se rappelait à moi, quand je le regardais. Elle voulait lui défoncer le cul. C'était désagréable, frustrant, pas vraiment douloureux. C'était jouissif.

Je prenais position, à quatre patte sur le lit. Il s'installait juste derrière moi, il avait compris qu'il fallait que ça glisse et continuait à me lubrifier le cul. Il me glissait de nouveau deux doigts dans le cul et quand il jugeait que c'était bon, sans prévenir il m'enfonçait sa queue en un mouvement rapide … Heureusement que j'avais dit doucement !

J'ai hurlé.

Je ne me suis pas dégagé, j'ai hurlé c'est tout ! J'ai encaissé, il y allait un peu fort mais ça faisait un moment que j'avais envie de me faire défoncer le cul, j'ai encaissé et j'ai dégusté, il y allait un peut fort et il me faisait un peu mal mais j'ai laissé faire.

Rapidement la douleur à passée. Il se retirait, il revenait. Il bougeait avec douceur, avec force, avec violence, il alternait et par moment ne bougeait plus. Il gardait alors sa queue bien enfoncée dans mon cul et se contentait de pousser son ventre contre mes fesses.

Là j'ai craqué et me suis laissé tomber sur le ventre, il était bien redressé derrière moi, il a suivi le mouvement et s'est retrouvé allongé sur mon dos, au passage il avait donné un violent coup de bassin et j'ai de nouveau hurlé.

Allongé sur mon dos il me mordillait le cou et recommençait à me donner des coups de bassin sur les fesses. Je sentais sa queue bien enfoncée en moi qui s'écrasait contre je ne sais quoi. C'était à la fois douloureux et terriblement jouissif. Je sentais que j'allais juter.

Je râlais de plaisir, lui râlait sous l'effort. C'est qu'il se donnait le garçon. Je me disais que sa copine avait de la chance et je comprenais de moins en moins pourquoi elle l'avait quitté. Finalement c'était l'homme idéal. Il était mignon, bien foutu, il avait une belle queue et il savait s'en servir.

C'était peut être une première pour lui, je veux dire, de passer par derrière mais il savait improviser, vous pouvez me croire.

Je sentais son souffle contre mon oreille, je tournais mon visage dans sa direction et je le voyais, il avait le visage tendu, il était concentré sur mes réactions, concentré sur son effort. Il s'enfonçait alors bien à fond, poussait contre mes fesses de toutes ses forces, je devais faire une grimace mais lui me faisait un sourire avant de m'embrasser avec passion.

Nos langues se livraient à combat, le combat de la douceur, de la caresse humide mais son corps ne relâchait rien il continuait à écraser son ventre contre mes fesses de toutes ses forces.

Il relevait la tête et me regardait dans les yeux, il se retirait alors, j'écartais les cuisses encore plus. Sa queue ressortait de mon cul, je me sentais vide à cet instant, je me sentais bien, il déposait une nouvelle dose de gel lubrifiant et sans prévenir revenait avec force, son ventre claquait sur mes fesses. Je hurlais de nouveau.

Il passait un bras sous mon ventre et me relevais, je ne résistais pas et suivait le mouvement. Il se retirait, et revenait avec force. Je gémissais. Il recommençait plus fort et recommençait encore plus vite, plus violent. Il me glissait à l'oreille ...

– Je vais te faire hurler encore et encore, tu vas me supplier d'arrêter.

À partir de ce moment il redoublait de violence, mon cul bien lubrifié laissait passer sa grosse bite qui me limait avec violence. Il savait improviser le gars je ne vous dit pas. Il accélérait, il ralentissait, ses coup étaient d'une violence extrême ou seulement forts.

Je tremblais, je respirais fort, j'avais l'impression de juter, de jouir même avec ma queue. C'était une sensation de plaisir qui se glissait à l'intérieur de mon urètre, un peu comme quand on va éjaculer. C'était étrange et c'était bon. En fait je jutais abondement. C'était le pied. Je prenais mon pied, un peu dans la douleur mais c'était vraiment le pied.

Il râlait de plus en plus fort. Il ralentissait ses mouvement, je le sentais il contrôlait sa respiration, voulait-il se retenir, voulait-il faire durer le plaisir. Je pense oui mais voyant qu'il n'y parviendrait plus, il se lâchait.

Là ça n'a pas duré bien longtemps mais j'en ai pris plein le cul. Il s'est lâché et je l'ai senti. Je ne jutais plus mais je ressentais toujours cette sensation dans ma queue.

Il est tombé sur mon dos, lourdement, amorphe, je suis tombé allongé sur le lit.

Il m'écrasait de tout son poids, son corps était chaud, doux, ferme et j'ai vraiment apprécié ce contact.

Puis il est redevenu doux et tendre, il me donnais des baisers dans le coup, dans le dos, sur les épaules. Il était encore en moi, je sentais de moins en moins sa présence, il débandait. Je l'ai à peine senti quand il est sorti de mon cul.

Son corps était toujours allongé sur le mien, lourd, chaud, doux.

Je le sentais toujours en moi et en même temps je me sentais vidé. J'étais comblé.

On est resté là un long, un très long moment.

– Avec ma copine, c'est pas pareil ! Finissait il par me dire.
– C'est mieux ?
– C'est pas pareil ! Avec elle si je veux remettre ça elle n'est jamais d'accord.
– C'est les filles ça !
– Toi tu es partant si je veux remettre ça ?
– Tu me laisse un peu de temps pour récupérer, s'il te plaît !
– Non, je ne veux pas remettre ça, moi aussi il me faut un moment pour récupérer.

Il se laissait rouler à côté de moi, jusque là il était toujours allongé sur mon dos …

Je me retournais sur le dos, je ne bandais plus du tout. Ma queue se sentait bien à son aise dans sa cage. On se retrouvait allongé tous les deux sur le dos.

– Ah non je ne vais pas remettre ça. Pas tout de suite, mon cœur ne tiendrait pas longtemps à ce rythme. Me disait il.

Il me faisait rire. Chacun tournait la tête vers l'autre. On se regardait dans les yeux et on se souriait.

– Moi non plus mon cœur ne tiendrait pas … Et pas que …

Un moment plus tard il se glissait tout contre moi, posait sa tête sur mon torse, je refermais mes bras autour de lui et on glissait doucement dans le sommeil.

On s'est réveillé pour dîner un long moment plus tard. Il était peut être un peu tôt pour qu'on se mette ensemble. On avait brisé un mur, j'espérais qu'on remette ça, Finalement c'était l'homme idéal. Je ne comprenais vraiment pas pourquoi sa copine l'avait largué.

On a mangé … ensemble puis on s'est couché … chacun chez soi !

Mais on habite à environ trois mètres l'un de l'autre on devrait pouvoir facilement se revoir …



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