Recruté dans un cinéma, j'ai été baisé par une femme et son mari
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-12-2013 dans la catégorie Plus on est
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Recruté dans un cinéma, j'ai été baisé par une femme et son mari
Je sens quelque chose qui frôle ma cuisse. Je me tourne légèrement sur le côté. Je ne suis pas à l'aise. Résultat, je reviens à ma position initiale. Le film commence et je m'enfonce dans mon fauteuil. Devant moi, deux hommes baisent une femme. Elle suce la bite du premier pendant que le deuxième l'encule. J'ai la bite bien raide. Le slip me gène un peu. De la main, je rectifie la position inconfortable de ma bite. C'est à ce moment, qu'une main glisse sous la mienne.
Je sursaute. Tandis que la main me saisit par les couilles, une voix masculine chuchote dans mon oreille :
- Laisses-toi faire !
Sans bruit, le gars ouvrit ma braguette et glisse sa main dans mon slip. Ma bite a doublé de volume. Il a enveloppé le gland dans sa main. Sa main dans mon pantalon, il a tiré doucement sur mon slip. Son autre main s'est glissée sous mon cul et m'a soulevé légèrement pour laisser passer le slip jusqu'à mes cuisses. La main, sous mon cul s'est insinuée entre mes fesses, un doigt allant chatouiller mon petit trou. Je me suis soulevé un peu plus et le doigt m'a pénétré. Sa main gauche tenait ma bite et la branlait doucement. Il sortit la main droite de sous mon cul et la posa sur mes reins. Il me poussa vers le bord du siège et écarta mes genoux. Il accéléra le mouvement de sa main gauche et je jouis sur le fauteuil de devant. Il referma la braguette et me prit par la main.
- Suis-moi, me dit-il.
Nous nous sommes levés et sommes sortis de la salle. De chaque côté de la porte, un escalier montait. Dans la salle du haut, un balcon s'ouvrait sur l'écran. Le fond était dans le noir. On n'y voyait absolument rien. C'est vers cette zone qu'il m'entraîna. Le gars me poussa dans une rangée et s'assit. On en avait démonté une, juste devant la notre. Nous étions seuls. Il m'avait empêché de m'asseoir. J'étais debout devant lui. Pesant sur mes épaules, il me fit comprendre de m'agenouiller. Il sortit sa bite et il courba ma tête vers elle. Sa tige toucha mon nez et je la pris dans ma bouche. Il prit ma tête entre ses mains et fit glisser mes lèvres le long son manche.
- Baisses ton pantalon et ton slip, me glissa-t-il dans l'oreille. Mouilles bien ! ajouta-t-il, ça rentrera mieux.
Ses mains imprimaient à ma tête le mouvement qui devait l'amener au plaisir. Quand il jugea que le moment était venu, il me releva et me tourna vers le balcon. Il me prit par les hanches et m'empala sur son pieu. Les mains posées sur ses genoux, je sentis le gland toucher mon trou. Je me suis assis lentement et la grosse bite est entrée dans mon cul. Quand j'ai senti ses poils me chatouiller, j'ai écarté mes fesses et me suis assis sur ses cuisses. Alors, il s'est saisi de mes mains et les a posées sur les accoudoirs. Il m'a attrapé par les hanches et a initié le mouvement. Je montais et descendais le long de son membre. Je le sentais qui allait et venait dans mon cul, faisant monter le plaisir. Il m'a relevé et la bite est ressortie de mon cul. Il m'a tourné vers lui et me prenant par les fesses, bien écartées, il m'a rassit sur lui, la bite bien enfoncée dans mon cul. Il a pris ma bite dans sa bouche. Le mouvement faisait que, quand sa bite sortait de mon cul, la mienne rentrait dans sa bouche. Nous avons joui ensemble, moi dans sa bouche et lui dans mon cul.
Quand ce fut fini, il me demanda :
- Tu veux venir à la maison ?
- Pourquoi ?
- Ma femme adore avoir son sandwich !
- Ben, pendant que tu la baises, elle adore me regarder t'enculer !
- Elle est jolie ?
- Si elle te plaît pas, tu pourras toujours te barrer !
C'était une blonde super sexy. Elle m'examina sous tout les angles, me faisant tourner devant elle.
- Pas malade j'espère ?
- Aucun problème ! répondis-je.
Elle me prit par la taille et son autre bras dans le cou. Elle me roula une pelle en pétrissant mes fesses. Elle défit les boutons de ma chemise, couvrant mon torse de petits baisers et de coups de langue. Elle me caressait dans le cou, ses mains expertes, glissant de mes épaules à mon dos. A genoux devant moi, elle dégrafa mon pantalon, le laissant tomber à mes pieds. Elle prit ma bite entre ses dents à travers le tissu du slip. Dans le même temps, elle retira mes chaussures et mes chaussettes. Elle se releva et d'un coup sec, retira son justaucorps et la jupe ultra courte. Vêtue seulement d'un string noir, elle m'attira et me plaqua contre elle.
- J'adore les petits jeunes !
Le torse collé à sa poitrine, je sentais ses seins durs et dressés, frémir contre ma peau. Ses mains malaxaient mes fesses.
- Quel cul, pour un homme. Il est presque plus beau que le mien. Ca va être génial !
Les mains de la guerrière se posèrent sur mes épaules. Elles glissèrent jusqu'à mes fesses, quand elle se mit à genoux. Elles s'agrippèrent à mon slip, et elle saisit le gland entre ses dents. Elle fit glisser le slip, très lentement sur mes fesses, suivant de ses doigts, avec gourmandise, leur forme cambrée. Le slip juste à la naissance des cuisses, elle ouvrit la bouche, et ma bite jaillit du tissu. Elle l'emboucha lentement. Le gland glissant sur sa langue, elle l'engloutit tout entier, ses lèvres se posant sur mes poils. Elle est restée dans cette position pendant un long moment. Voir ses lèvres écartelées par ma bite, augmentait mon excitation. Elle se releva, me pencha légèrement en arrière, et prit mes couilles dans bouche. Après cette ultime caresse, elle se releva et passa sa langue sur ses lèvres.
- Je pense que celui-là te plaît ! dit son mari.
- C'est le plus beau de tous ! dit-elle en l'embrassant.
Elle se tourna vers moi et me prit par la main. Me faisant tourner devant son mari, elle dit :
- Et toi, il te plaît ?
- Il a un cul d'enfer ! En plus, il est mignon ! J'espère qu'il voudra revenir !
Le mari se déshabilla, lui aussi. Il était pas mal, viril, musclé, la peau bronzée. On aurait dit un de ces playboys qui hantent les plages. Il passa dans mon dos et posa ses mains sur mes épaules.
Elle s'est de nouveau mise à genoux devant moi et a repris ma bite dans sa bouche. Ses joues se creusaient quand elle aspirait le gland tenu entre ses dents. Elle s'est couchée au sol, et m'a attiré vers elle. Une fois planté en elle, elle a croisé ses jambes autour de mes reins. Elle a posé ses mains sur mes fesses et les a écartées pour inviter son mari à s'y introduire.
- Ne l'abîmes pas, dit-elle, il est trop beau ! Essayons de le garder un peu !
Il s'est enfoncé dans mon cul avec douceur. Quand ses cuisses ont touché mes fesses, il s'est allongé sur moi. Pris en sandwich entre la femme et son mari, ceux-ci me caressaient, tout en s'embrassant. La dame avait glissé ses mains entre mes fesses et les cuisses de son mari et lui, entre celles de sa femme et mes hanches. Il a joui dans mon cul, moi en elle, et elle a crié.
Je sursaute. Tandis que la main me saisit par les couilles, une voix masculine chuchote dans mon oreille :
- Laisses-toi faire !
Sans bruit, le gars ouvrit ma braguette et glisse sa main dans mon slip. Ma bite a doublé de volume. Il a enveloppé le gland dans sa main. Sa main dans mon pantalon, il a tiré doucement sur mon slip. Son autre main s'est glissée sous mon cul et m'a soulevé légèrement pour laisser passer le slip jusqu'à mes cuisses. La main, sous mon cul s'est insinuée entre mes fesses, un doigt allant chatouiller mon petit trou. Je me suis soulevé un peu plus et le doigt m'a pénétré. Sa main gauche tenait ma bite et la branlait doucement. Il sortit la main droite de sous mon cul et la posa sur mes reins. Il me poussa vers le bord du siège et écarta mes genoux. Il accéléra le mouvement de sa main gauche et je jouis sur le fauteuil de devant. Il referma la braguette et me prit par la main.
- Suis-moi, me dit-il.
Nous nous sommes levés et sommes sortis de la salle. De chaque côté de la porte, un escalier montait. Dans la salle du haut, un balcon s'ouvrait sur l'écran. Le fond était dans le noir. On n'y voyait absolument rien. C'est vers cette zone qu'il m'entraîna. Le gars me poussa dans une rangée et s'assit. On en avait démonté une, juste devant la notre. Nous étions seuls. Il m'avait empêché de m'asseoir. J'étais debout devant lui. Pesant sur mes épaules, il me fit comprendre de m'agenouiller. Il sortit sa bite et il courba ma tête vers elle. Sa tige toucha mon nez et je la pris dans ma bouche. Il prit ma tête entre ses mains et fit glisser mes lèvres le long son manche.
- Baisses ton pantalon et ton slip, me glissa-t-il dans l'oreille. Mouilles bien ! ajouta-t-il, ça rentrera mieux.
Ses mains imprimaient à ma tête le mouvement qui devait l'amener au plaisir. Quand il jugea que le moment était venu, il me releva et me tourna vers le balcon. Il me prit par les hanches et m'empala sur son pieu. Les mains posées sur ses genoux, je sentis le gland toucher mon trou. Je me suis assis lentement et la grosse bite est entrée dans mon cul. Quand j'ai senti ses poils me chatouiller, j'ai écarté mes fesses et me suis assis sur ses cuisses. Alors, il s'est saisi de mes mains et les a posées sur les accoudoirs. Il m'a attrapé par les hanches et a initié le mouvement. Je montais et descendais le long de son membre. Je le sentais qui allait et venait dans mon cul, faisant monter le plaisir. Il m'a relevé et la bite est ressortie de mon cul. Il m'a tourné vers lui et me prenant par les fesses, bien écartées, il m'a rassit sur lui, la bite bien enfoncée dans mon cul. Il a pris ma bite dans sa bouche. Le mouvement faisait que, quand sa bite sortait de mon cul, la mienne rentrait dans sa bouche. Nous avons joui ensemble, moi dans sa bouche et lui dans mon cul.
Quand ce fut fini, il me demanda :
- Tu veux venir à la maison ?
- Pourquoi ?
- Ma femme adore avoir son sandwich !
- Ben, pendant que tu la baises, elle adore me regarder t'enculer !
- Elle est jolie ?
- Si elle te plaît pas, tu pourras toujours te barrer !
C'était une blonde super sexy. Elle m'examina sous tout les angles, me faisant tourner devant elle.
- Pas malade j'espère ?
- Aucun problème ! répondis-je.
Elle me prit par la taille et son autre bras dans le cou. Elle me roula une pelle en pétrissant mes fesses. Elle défit les boutons de ma chemise, couvrant mon torse de petits baisers et de coups de langue. Elle me caressait dans le cou, ses mains expertes, glissant de mes épaules à mon dos. A genoux devant moi, elle dégrafa mon pantalon, le laissant tomber à mes pieds. Elle prit ma bite entre ses dents à travers le tissu du slip. Dans le même temps, elle retira mes chaussures et mes chaussettes. Elle se releva et d'un coup sec, retira son justaucorps et la jupe ultra courte. Vêtue seulement d'un string noir, elle m'attira et me plaqua contre elle.
- J'adore les petits jeunes !
Le torse collé à sa poitrine, je sentais ses seins durs et dressés, frémir contre ma peau. Ses mains malaxaient mes fesses.
- Quel cul, pour un homme. Il est presque plus beau que le mien. Ca va être génial !
Les mains de la guerrière se posèrent sur mes épaules. Elles glissèrent jusqu'à mes fesses, quand elle se mit à genoux. Elles s'agrippèrent à mon slip, et elle saisit le gland entre ses dents. Elle fit glisser le slip, très lentement sur mes fesses, suivant de ses doigts, avec gourmandise, leur forme cambrée. Le slip juste à la naissance des cuisses, elle ouvrit la bouche, et ma bite jaillit du tissu. Elle l'emboucha lentement. Le gland glissant sur sa langue, elle l'engloutit tout entier, ses lèvres se posant sur mes poils. Elle est restée dans cette position pendant un long moment. Voir ses lèvres écartelées par ma bite, augmentait mon excitation. Elle se releva, me pencha légèrement en arrière, et prit mes couilles dans bouche. Après cette ultime caresse, elle se releva et passa sa langue sur ses lèvres.
- Je pense que celui-là te plaît ! dit son mari.
- C'est le plus beau de tous ! dit-elle en l'embrassant.
Elle se tourna vers moi et me prit par la main. Me faisant tourner devant son mari, elle dit :
- Et toi, il te plaît ?
- Il a un cul d'enfer ! En plus, il est mignon ! J'espère qu'il voudra revenir !
Le mari se déshabilla, lui aussi. Il était pas mal, viril, musclé, la peau bronzée. On aurait dit un de ces playboys qui hantent les plages. Il passa dans mon dos et posa ses mains sur mes épaules.
Elle s'est de nouveau mise à genoux devant moi et a repris ma bite dans sa bouche. Ses joues se creusaient quand elle aspirait le gland tenu entre ses dents. Elle s'est couchée au sol, et m'a attiré vers elle. Une fois planté en elle, elle a croisé ses jambes autour de mes reins. Elle a posé ses mains sur mes fesses et les a écartées pour inviter son mari à s'y introduire.
- Ne l'abîmes pas, dit-elle, il est trop beau ! Essayons de le garder un peu !
Il s'est enfoncé dans mon cul avec douceur. Quand ses cuisses ont touché mes fesses, il s'est allongé sur moi. Pris en sandwich entre la femme et son mari, ceux-ci me caressaient, tout en s'embrassant. La dame avait glissé ses mains entre mes fesses et les cuisses de son mari et lui, entre celles de sa femme et mes hanches. Il a joui dans mon cul, moi en elle, et elle a crié.
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comme j'aimerais que cela m'arrive un jour... avis aux amateurs !