Reflexions féministico-sexuelles
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Récit érotique écrit par AniaSb [→ Accès à sa fiche auteur]
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Reflexions féministico-sexuelles
06-02-2025
Je me suis bien exhibée à la webcam devant mes Messieurs. L'un d'eux a reçu de ma part une photo avec écrit "SALOPE" et "PUTE" sur mes seins, juste au-dessus des douces auréoles (moyennes, somme toute, et rosées/brunes claires) de mes tétons. Et ça n'a pas raté, il a voulu, lorsque nous étions en train de faire une webcam, que je réitère avec des phrases de son choix. J'en étais très contente !
Alors, il m'a ordonné entre deux "montre tes mamelles sales putes" dont je me délecte, et autres "écarte ton string, que je voie ta chatte" que j'execute, d'écrire au feutre rouge sur mon corps. D'abord, "Garage à bites" sur ma poitrine, "avec un "s", précise-t-il fermement. Puis, une grosse queue dessinée entre mes seins, avec les couilles en-dessous et bien sûr le prépuce bien dessiné. C'était hyper humiliant parce que je trouve ce dessin vulgaire en général. Ca m'allait bien. Ca contraste avec ma pudeur, certes bien cachée, mais qui me fait rougir lorsque je suis humiliée. Finalement, il m'a fait écrire "sac à foutre", en-dessous des seins. Ca fait contraste avec le "vide-couille" toujours présent, en bleu, accompagné de flèches en direction de mon vagin. C'est mon Maître, bien réel, qui l'avait écrit la veille. Encore un fantasme réalisé.
J'ai continué mon parcours et je suis tombée sur un mec sur un tchat qui me parlait brutalement. Au bout de quelques échanges excitants, je lui ai proposé de me voir en webcam. Puis, après avoir écarté les cuisses et montré mon beau cul cambré, je lui ai demandé si ça le branchait qu'on invite quelqu'un. Trois autres hommes nous ont rejoints dont un qui m'a vraiment faite mouiller : ses ordres étaient fluides, il était strict mais patient et savait comment me faire aller où il voulait que j'aille en douceur. J'ai raccroché, satisfaite, au bout de trente minutes. Vivement la prochaine session.
Je suis fière de les faire jouir plusieurs fois d'affilée. Ils ne montrent pas beaucoup de mépris pour l'instant et cela me rassure. J'en profite pour capter leur attention et leur envoyer des chansons féministes. Je n'ai pas la prétention d'essayer de leur fournir une éducation féministe sous couvert de sexe, mais clairement si. Un exemple rien que pour vous :
Pu besoin de mec avec le womenizer, prenons le pouvoir !
Imaginez que le "level up", le niveau deux, de la chanson de Britney Spears dans Womenizer, en fait, c'est qu'elle parle du jouet. Et qu'elle explique qu'avec le womenizer on peut nous aussi accéder au pouvoir car on est libéré de la charge mentale de trouver un mec qui nous baise bien. On peut pleinement se concentrer sur la prise du pouvoir afin d'instaurer un monde égalitaire par la réduction à néant du patriarcat (puis du captalisme, une fois qu'homme et femmes, non-binaire, trans et cis, marcheront mais dans la main unis pour que les 1% partagent leur richesses - payent leurs impôts c'est pas compliqué putain). Bref, vive le womenizer. Wouhouuu 𝄞 (Bon j'ai lu les paroles et ce n'est pas ça, mais imaginez quand même. Et vive Britney).
Je ne leur dit pas clairement que je suis féministe, mais je tente de leur faire lire certaines paroles qui vont en ce sens. Et je suis gentille et attentive envers ceux qui semblent avoir besoin de tendresse.
"Ne pas se brûler les ailes et provoquer le grand méchant loup, méfie-toi Ania", s'insurge mon double, Annesse, ma garde du corps me suivant aux ténèbres comme au paradis. Elle prend le relais, c'est elle qui dit "non", c'est elle qui choisit quand arrêter de répondre, c'est elle qui dit "fuck, laisse moi tranquille" et qui ne répond plus jamais aux malotrus qui ne comprennent pas mon BDSM, mon consentement, ma tendresse et mon cul qui ne demande qu'à enfin être dilaté sans douleur, au début.
La première fois que j'ai essayé le womenieer c'était chez une copine. C'était la première fois qu'on couchait ensemble. Elle a sorti le Graal et j'en ai pleuré. Deux fois. Salope que je suis, je me suis permise de lui demander si je pouvais encore l'utiliser. Ca a duré 4 heures. J'en rêve encore. Womeniz-wo-womenize.
Je vous aime,
Ô Maîtres et Maîtresses sacrées.
Je me suis bien exhibée à la webcam devant mes Messieurs. L'un d'eux a reçu de ma part une photo avec écrit "SALOPE" et "PUTE" sur mes seins, juste au-dessus des douces auréoles (moyennes, somme toute, et rosées/brunes claires) de mes tétons. Et ça n'a pas raté, il a voulu, lorsque nous étions en train de faire une webcam, que je réitère avec des phrases de son choix. J'en étais très contente !
Alors, il m'a ordonné entre deux "montre tes mamelles sales putes" dont je me délecte, et autres "écarte ton string, que je voie ta chatte" que j'execute, d'écrire au feutre rouge sur mon corps. D'abord, "Garage à bites" sur ma poitrine, "avec un "s", précise-t-il fermement. Puis, une grosse queue dessinée entre mes seins, avec les couilles en-dessous et bien sûr le prépuce bien dessiné. C'était hyper humiliant parce que je trouve ce dessin vulgaire en général. Ca m'allait bien. Ca contraste avec ma pudeur, certes bien cachée, mais qui me fait rougir lorsque je suis humiliée. Finalement, il m'a fait écrire "sac à foutre", en-dessous des seins. Ca fait contraste avec le "vide-couille" toujours présent, en bleu, accompagné de flèches en direction de mon vagin. C'est mon Maître, bien réel, qui l'avait écrit la veille. Encore un fantasme réalisé.
J'ai continué mon parcours et je suis tombée sur un mec sur un tchat qui me parlait brutalement. Au bout de quelques échanges excitants, je lui ai proposé de me voir en webcam. Puis, après avoir écarté les cuisses et montré mon beau cul cambré, je lui ai demandé si ça le branchait qu'on invite quelqu'un. Trois autres hommes nous ont rejoints dont un qui m'a vraiment faite mouiller : ses ordres étaient fluides, il était strict mais patient et savait comment me faire aller où il voulait que j'aille en douceur. J'ai raccroché, satisfaite, au bout de trente minutes. Vivement la prochaine session.
Je suis fière de les faire jouir plusieurs fois d'affilée. Ils ne montrent pas beaucoup de mépris pour l'instant et cela me rassure. J'en profite pour capter leur attention et leur envoyer des chansons féministes. Je n'ai pas la prétention d'essayer de leur fournir une éducation féministe sous couvert de sexe, mais clairement si. Un exemple rien que pour vous :
Pu besoin de mec avec le womenizer, prenons le pouvoir !
Imaginez que le "level up", le niveau deux, de la chanson de Britney Spears dans Womenizer, en fait, c'est qu'elle parle du jouet. Et qu'elle explique qu'avec le womenizer on peut nous aussi accéder au pouvoir car on est libéré de la charge mentale de trouver un mec qui nous baise bien. On peut pleinement se concentrer sur la prise du pouvoir afin d'instaurer un monde égalitaire par la réduction à néant du patriarcat (puis du captalisme, une fois qu'homme et femmes, non-binaire, trans et cis, marcheront mais dans la main unis pour que les 1% partagent leur richesses - payent leurs impôts c'est pas compliqué putain). Bref, vive le womenizer. Wouhouuu 𝄞 (Bon j'ai lu les paroles et ce n'est pas ça, mais imaginez quand même. Et vive Britney).
Je ne leur dit pas clairement que je suis féministe, mais je tente de leur faire lire certaines paroles qui vont en ce sens. Et je suis gentille et attentive envers ceux qui semblent avoir besoin de tendresse.
"Ne pas se brûler les ailes et provoquer le grand méchant loup, méfie-toi Ania", s'insurge mon double, Annesse, ma garde du corps me suivant aux ténèbres comme au paradis. Elle prend le relais, c'est elle qui dit "non", c'est elle qui choisit quand arrêter de répondre, c'est elle qui dit "fuck, laisse moi tranquille" et qui ne répond plus jamais aux malotrus qui ne comprennent pas mon BDSM, mon consentement, ma tendresse et mon cul qui ne demande qu'à enfin être dilaté sans douleur, au début.
La première fois que j'ai essayé le womenieer c'était chez une copine. C'était la première fois qu'on couchait ensemble. Elle a sorti le Graal et j'en ai pleuré. Deux fois. Salope que je suis, je me suis permise de lui demander si je pouvais encore l'utiliser. Ca a duré 4 heures. J'en rêve encore. Womeniz-wo-womenize.
Je vous aime,
Ô Maîtres et Maîtresses sacrées.
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