Refuse par ma femme, mais caresse par les pieds de sa belle-sour
Récit érotique écrit par Lucian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-07-2020 dans la catégorie Fétichisme
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Refuse par ma femme, mais caresse par les pieds de sa belle-sour
REFUSE PAR MA FEMME ET PLAISIRS EXOTIQUES AVEC MA BELLE-SOEUR EN ROUMANIE - Une matinée inoubliable dans les années 90 – histoire dans laquelle ma belle-soeur Ines "m'aide" avec ses petits pieds tendres lors d'une fête chrétienne orthodoxe
Anno Domini 1992.
Ma femme Oana avait une infection, comme de nombreuses femmes.
Metroanexite. Que faire… Et je n'avais pas fais l’amour depuis 14 jours.
Pause totale. Et en moi une tension sexuelle ouh-la-la.
J'avais 25 ans, jeune homme tensionne, que faire?
De plus ma femme avait un problème: elle n'acceptait jamais de me caresser, de me branler. A la lumiere du jour. La branlette charitable.
De vider mes tensions hormi l’acte sexuel. En regardant ma semence jaillisante.
Elle disait toujours: «Non cheri, masturber son mari est un grand péché devant Dieu. Son plaisir ne doit lui venir que lorsqu'il fait l’amour a sa femme.”Il y avait un problème avec elle - après le mariage, pour des raisons inconnues, Oana était devenue une grande bigote religieuse.
Comme une djihadiste, elle avait mis des icônes partout sur les murs et elle brûlait de l'encens dans le salon. Lorsque nous baisions, elle éteignait le lustre et ne laissait qu'une ampoule de 25 W.
J'aurais puis dire que je suis avec une nonne de Lourdes. Bon sang.
Et ce matin-là, je n'ai pas pu resister. J'ai encore essayé, pour la derniere fois. Mene par une envie sauvage d’ejaculer.
Elle mangeait dans la cuisine, le petit déjeuner.
J'ai pris une douche puis je suis venu nue près d’elle, nu et en erection.
Je l'ai embrassée à l'arrière du cou et j'ai poussé ma bite vers elle, d’une maniere obscène.
«Oana, s'il te plaît, caresse ca…» J'étais son mari, bon sang.
Ell arrêta de mâcher, regarda le phallus dur que je continuais à pousser sous son nez et me repoussa.
"Non. Ne recommence pas. Ce n'est pas possible, de plus aujourd'hui c’est le 29 août, l’eglise fete le jour de la décapitation de Saint Jean-Baptiste. C'est un grand péché… ».
Eh oui? Va te faire foutre Saint Jean, j’ai pense.
Je l'ai regardée.
"Alors tu ne me caresses pas?"Elle a dit non.
Sans un mot, je suis allé dans le salon. J'étais très nerveux.
Je l'ai entendue préparer son sac à main, puis elle m’a dit que’elle part au boulot.
Enfin seul. Comment diable n'ai-je pas réalisé que j'avais épouse une sectaire?
Je me suis retourné dans le salon plein d'icônes. Seul et nerveux comme tout.
Puis le téléphone a sonné. C’était la sœur de ma femme, Ines.
Mon cœur s'est mis à battre. Ines? Wow.
Ines avait 8 ans de plus que ma femme et elle n'était pas inhibée.
C’etait une fille "de vie".
Parfois, elle me faisait les yeux doux. Une fois j'ai dansé avec elle et je me suis enfoncé mon ventre dans le sien et elle ne a pas refuse mon erection obscene pendant cette danse.
Certes, je ne lui étais pas indifférent.
À quelques reprises, nous avons même parlé de sexe.
Elle a dit qu'elle "comprend les fantasmes des hommes".
Elle n'était pas belle… avec un nez étrange et petis yeux, style Barbra Streisand. Et elle avait aussi un strabisme. Elle était petite, 1m64, mais elle compensait avec un corps parfait, de statuette grecque, et elle avait de belles jambes avec les plus petits pieds qu'une femme puisse avoir. Pieds d’enfant. Et une mèche de cheveux bouclés couleur miel.
Parfois, j'avais des fantasmes avec elle.
Je n'aurais pas dit non si elle aurait accepté de me caresser un peu.
Mai son mari etait une gorille de 1m90. Très violent.
En fait, son mariage semblait grincer.
De toute maniere j avais pas envie d une mariee.
Donc ma belle-sœur au téléphone a dit qu'elle veut venir chez nous pour apporter un livre a ma femme.
Sa voix detonna en moi une idee folle: demander a ma belle-soeur un peu d’aide, ce matin-la.
Une petite branlette en famille?
Qu'est-ce qui se passerait si…?
En fait, qu’aurais-je eu a perdre?
Me faire gifler par une femme?
Je lui ai dit qu elle vienne quant elle veut, care moi je suis en conge. Elle a dit que elle arrve en une heure.
J'été vetu seulement d un T-shirt et sans slip sous mon pantalon leger de jogging. Je voulais lui montrer comment j'étais.
Je ne ressentais aucune culpabilité, c'était pas ma faute que Oana ma femme ne faisait pas ses devoirs de femme, n'est-ce pas?
Ines etait donc "éligible" pour ce que je voulais faire.
J'étais complètement fou.
Mais dans les années 90, tout le monde était fou, sexuellement.
Je me suis parfume partout avec Axe, le parfum qui fait ovuler les femmes. Selon la reclame.
Sous le ventre, une érection enorme gonflait le cotton fin.
Et quoi? J'étais juste habillé.
La sonnerie sonna: C'était Ines.
Je pris une profonde inspiration et ouvris la porte. Gonflé et érecte.
Elle m'a dit bonjour et immédiatement mes yeux ont bu ses yeux qui ont photographie le monticule pulsant de mon ventre.
Je l'ai vue sursauter, puis elle a hésité un peu, elle a rougii légèrement et immediatement je fut sûr qu'elle partirais.
De plus j attendais la gifle.
Mais non, la petite Ines… est restée!
Sans accorder d importance a mon erection exhibee… elle entra dans le salon et s'assit sur le canapé.
Mon Dieu, elle etait si petite cette Ines…Elle portait un chemisier blanc et une jupe rose et des sandales roses.
Elle dissipait un parfum floral. Ses petits pieds nus avaient des plantes étroites. Et les ongles des orteils etaient roses. Pieds de fillette.
En les regardant… mon érection est devenue plus violente. J'avais l'impression que je vais me vider.
Donc j'étais assis sur le fauteuil comme ça, gonflé, sous ses yeux, et pourtant Ines commenca à me parler de travail, et de ses dettes a la banque.
Des platitudes. Tandis que moi, comme un animal, je lui montre le gonflement de ma verge.
Elle termina son café, puis dit doucement.
"Lucian, j'ai une question - Pourquoi tu te tiens devant moi comme ça? N'as-tu pas vraiment honte?”
Elle n'avait pas l'air bouleversée, mais elle semblait plutôt curieuse.
J'ai soupiré. Je tremblais devant elle.
"Pardonne-moi... Je sais que c’est pas normal de te dire tout cela ... mais ta sœur est devenue une bigote... Nous ne nous sommes pas aimés depuis 16 jours... Je suis hyper plein... ce matin, je lui ai demandé de m'aider, avec ses caresses… mais ell a dit non, care c'est un peche… care c’est une grande fête chrétienne aujourd'hui... La décapitation de Saint Jean... Qu'est-ce que je vais faire?... Qu'est-ce que je faire?... Mes glandes sont tellement pleines… je suis comme une bouteille de Champagne agitte… J ai tellemenet besoins qu une femme enleve mon bouchon…"
Ines écouta calme mon délire, et elle fronça les sourcils, avec les jambes croisées, en bougeant une cheville mince.
Elle m'a regardé et ses regards glissaient entre mon visage et mon ventre erecte sous le tricot fin.
"Aha. Pauvre toi. Donc ma sœur est devenue une puritaine folle?... Moi je susi athée, cheri. Donc tu veux que je t’aide? Je comprends que c'est pour ca que tu t’exhibe devant moi comme un cochon, non? A propos, tres excitante la metaphore avec le champagne…”
J’ai avale mon salive… et j ai pousse un soupir de plaisir et d'embarras et d etonnement, et tendis mes muscles anaux, en bougeant le gonflement obscène de mon ventre, comme un signe d'approbation.
J'étouffais, je pensais rêver. J'ai essaye de parler… avec une voiz rauque:
"Ines… t’es sérieuse? ... Tu veux… m'aider?"
Elle rit, une sorte de gloussement ironique (mais deja ses joues etaient en flammes).
”Pff, évidemment. Je fais pas ca avec tous les mecs, connard, mais toi tu es gentil et sympa et eduque. Et moi je comprends les hommes… et je suis désolée de te voir comme ça.
Et ma sœur est une idiote. Quelque part, ca m'excitera pas mal de faire ça a son mari. "
Merde, elle etait mechante, et détestait en quelque sorte sa sœur.
Ensuite Ines, ses yeux fixés sur mon erection pulsante, sembla reflechir a quelque chose.
Elle morda ses levres.
Je pouvais la voir respirer rapidement, comme si elle cherchait une idée, une solution.
À travers ma tête, à travers mes vagues d'excitation sexuelle inouie, j’ai vu les visages de mon belle-frere et de ma femme, les deux me regardaient avec une mine fachee.
Puis j'ai entendu sa voix.
“Ecoute, je vais te caresser avec mes pieds. C’est bon un footjob, avec mes plantes veloutees? J'ai des pieds extrêmement petits, comme tu peux le voir. Mais je veux aussi quelque chose en revanche: 100 euros. J'ai une dette que mon mari ne connaît pas. J'en demande beaucoup?... “
Elle était folle. Ou étais-je moi le fou? Des frissons inimaginables ont traversé mon corps. Mes joues ont pris feu.
Bien decidee, Ines la mignonne se leva et alla aux toilettes où elle se lava les pieds de la poussière des rues. Elle fut de retour, sans sandales et avec une serviette. Pieds nus, elle avait l'air encore plus petite.
Elle sortit un tube de crème Avon de son sac et enduit abondamment ses pieds.
Le parfum excitant de crème de pieds m'a rendu encore plus érecté. La verge et les couilles me faisaient mal.
"Allez, beau-frere… déshabille-toi et mets-toi la. Il fait tard et je dois aller a la maison."
Comme dans un rêve, j’ai jete mes vetements et, dans le salon illumine par le soleil estival du midi je me suis retrouvé nu avec la bite en l’air devant ma belle-sœur.
Ma bite pulsait, arquée vers le lustre.
Elle le regarda avec étonnement.
"Wow, pauvre toi… T’as l’air d’un cheval…"
Je me suis assis sur le canapé, la verge en l’air… puis elle s'installa de l'autre côté et leva gracieusement ses belles jambes fines vers mon ventre après quoi elle attrapa soigneusement mon organe pulsant entre ses petites plantes veloutées qui repandaient l'arôme de l acreme Avon. Petits pieds nus avec des ongles roses.
Les icônes de ma femme sur les murs nous regardaient avec mepris.
J'ai gémit fortement sous l'énorme plaisir de l’attouchement anormal et j'ai saisi ses petits pieds chauds et veloutés, comme ceux d’une fillette. Pieds d’asiatique. Le talon était incroyablement petit, comme celui d'un enfant. Petit et rose et tellement soyeux.
J'ai gémi son nom. Le salon a resonne et j ai pense que la voisine entendra ma voix qui crie le nom d une autre femme, mais je m en foutais.
J'ai caressé ses jambes chaudes pendant qu'elle, prouvant des compétences en gymnastique, a commencé un mouvement rythmique de ses jambes, de haut en bas, me branlant avec ses pieds, en alternance avec des pressions des orteils sur mon membre enflé.
Puis le téléphone a sonné, c'était Oana, ma femme chrétienne.
Essayant de pas gémir, j ai repondu… et, le cœur battant dans ma poitrine, j'ai parlé à ma femme, nu et avec mon pénis captif entre les pieds nus de sa soeur.
Excitée par la situation, Ines la mignonne intensifia son massage, serrant davantage mon sexe entre ses pieds… comme une sadique.
Comme dans un rêve, j'entendis Oana s'excuser au telephone de son refus matinal. Aussi, elle me demandait d’acheter du pain.
J'ai dit au revoir cherie… et j'ai raccroché le téléphone à temps, parce que dans la seconde suivante, j’ai plus resisté sous ces caresses sensuelles inttendues: j’ai levé mes hanches et, sous les yeux de Ines, les spasmes vertigineux de mes glandes ont commencé à pomper dehors mon sperme abondant, dans plusieures giclées d’un demi-mètre.
Tout fut souille par ma semence chaude: ses pieds et mollets, le canapé de ma femme et le tapis. Un orgasme comme je n'en avais jamais eu auparavant.
Quand je me suis remis des contractions (appelées "la petite mort" par Verlaine), la belle-sœur Ines s'essuyait lentement les pieds avec la serviette, puis, je l'ai vue porter à son nez cette serviette et renifler avidement l'odeur de ma semence fraiche, en soupirant.
Elle m'a regardé avec curiosité.
"Wow, combien avez-vous éjaculé cher beau-frere? Eh, c'était bien… monsieur?" Et maintenant, l'argent. "
Petite et cynique femmelette.
Cent euros c était tout ce que j'avais dans la maison. Oana m'avait laissé ca pour payer les utilites. Mon Dieu…Je lui ai donné l'argent le cœur lourd, essayant d'imaginer comment je pourrais le remettre. Epuise par les spasmes, vide, je l'ai conduite dans le couloir, elle m'a embrassé légèrement sur la bouche, elle est sortie et je me suis effondré sur le canapé… J’etais malade, en entendant ses talons résonnant dans l'escalier.
Dehors, je pouvais entendre le vent d'été et mon cœur était aussi lourd qu'un rocher de ce que j'avais fait.
En moi, les remords pour cet acte illicite luttaient avec le plaisir ressenti.
Auteurlucius.ro@gmail.com
Anno Domini 1992.
Ma femme Oana avait une infection, comme de nombreuses femmes.
Metroanexite. Que faire… Et je n'avais pas fais l’amour depuis 14 jours.
Pause totale. Et en moi une tension sexuelle ouh-la-la.
J'avais 25 ans, jeune homme tensionne, que faire?
De plus ma femme avait un problème: elle n'acceptait jamais de me caresser, de me branler. A la lumiere du jour. La branlette charitable.
De vider mes tensions hormi l’acte sexuel. En regardant ma semence jaillisante.
Elle disait toujours: «Non cheri, masturber son mari est un grand péché devant Dieu. Son plaisir ne doit lui venir que lorsqu'il fait l’amour a sa femme.”Il y avait un problème avec elle - après le mariage, pour des raisons inconnues, Oana était devenue une grande bigote religieuse.
Comme une djihadiste, elle avait mis des icônes partout sur les murs et elle brûlait de l'encens dans le salon. Lorsque nous baisions, elle éteignait le lustre et ne laissait qu'une ampoule de 25 W.
J'aurais puis dire que je suis avec une nonne de Lourdes. Bon sang.
Et ce matin-là, je n'ai pas pu resister. J'ai encore essayé, pour la derniere fois. Mene par une envie sauvage d’ejaculer.
Elle mangeait dans la cuisine, le petit déjeuner.
J'ai pris une douche puis je suis venu nue près d’elle, nu et en erection.
Je l'ai embrassée à l'arrière du cou et j'ai poussé ma bite vers elle, d’une maniere obscène.
«Oana, s'il te plaît, caresse ca…» J'étais son mari, bon sang.
Ell arrêta de mâcher, regarda le phallus dur que je continuais à pousser sous son nez et me repoussa.
"Non. Ne recommence pas. Ce n'est pas possible, de plus aujourd'hui c’est le 29 août, l’eglise fete le jour de la décapitation de Saint Jean-Baptiste. C'est un grand péché… ».
Eh oui? Va te faire foutre Saint Jean, j’ai pense.
Je l'ai regardée.
"Alors tu ne me caresses pas?"Elle a dit non.
Sans un mot, je suis allé dans le salon. J'étais très nerveux.
Je l'ai entendue préparer son sac à main, puis elle m’a dit que’elle part au boulot.
Enfin seul. Comment diable n'ai-je pas réalisé que j'avais épouse une sectaire?
Je me suis retourné dans le salon plein d'icônes. Seul et nerveux comme tout.
Puis le téléphone a sonné. C’était la sœur de ma femme, Ines.
Mon cœur s'est mis à battre. Ines? Wow.
Ines avait 8 ans de plus que ma femme et elle n'était pas inhibée.
C’etait une fille "de vie".
Parfois, elle me faisait les yeux doux. Une fois j'ai dansé avec elle et je me suis enfoncé mon ventre dans le sien et elle ne a pas refuse mon erection obscene pendant cette danse.
Certes, je ne lui étais pas indifférent.
À quelques reprises, nous avons même parlé de sexe.
Elle a dit qu'elle "comprend les fantasmes des hommes".
Elle n'était pas belle… avec un nez étrange et petis yeux, style Barbra Streisand. Et elle avait aussi un strabisme. Elle était petite, 1m64, mais elle compensait avec un corps parfait, de statuette grecque, et elle avait de belles jambes avec les plus petits pieds qu'une femme puisse avoir. Pieds d’enfant. Et une mèche de cheveux bouclés couleur miel.
Parfois, j'avais des fantasmes avec elle.
Je n'aurais pas dit non si elle aurait accepté de me caresser un peu.
Mai son mari etait une gorille de 1m90. Très violent.
En fait, son mariage semblait grincer.
De toute maniere j avais pas envie d une mariee.
Donc ma belle-sœur au téléphone a dit qu'elle veut venir chez nous pour apporter un livre a ma femme.
Sa voix detonna en moi une idee folle: demander a ma belle-soeur un peu d’aide, ce matin-la.
Une petite branlette en famille?
Qu'est-ce qui se passerait si…?
En fait, qu’aurais-je eu a perdre?
Me faire gifler par une femme?
Je lui ai dit qu elle vienne quant elle veut, care moi je suis en conge. Elle a dit que elle arrve en une heure.
J'été vetu seulement d un T-shirt et sans slip sous mon pantalon leger de jogging. Je voulais lui montrer comment j'étais.
Je ne ressentais aucune culpabilité, c'était pas ma faute que Oana ma femme ne faisait pas ses devoirs de femme, n'est-ce pas?
Ines etait donc "éligible" pour ce que je voulais faire.
J'étais complètement fou.
Mais dans les années 90, tout le monde était fou, sexuellement.
Je me suis parfume partout avec Axe, le parfum qui fait ovuler les femmes. Selon la reclame.
Sous le ventre, une érection enorme gonflait le cotton fin.
Et quoi? J'étais juste habillé.
La sonnerie sonna: C'était Ines.
Je pris une profonde inspiration et ouvris la porte. Gonflé et érecte.
Elle m'a dit bonjour et immédiatement mes yeux ont bu ses yeux qui ont photographie le monticule pulsant de mon ventre.
Je l'ai vue sursauter, puis elle a hésité un peu, elle a rougii légèrement et immediatement je fut sûr qu'elle partirais.
De plus j attendais la gifle.
Mais non, la petite Ines… est restée!
Sans accorder d importance a mon erection exhibee… elle entra dans le salon et s'assit sur le canapé.
Mon Dieu, elle etait si petite cette Ines…Elle portait un chemisier blanc et une jupe rose et des sandales roses.
Elle dissipait un parfum floral. Ses petits pieds nus avaient des plantes étroites. Et les ongles des orteils etaient roses. Pieds de fillette.
En les regardant… mon érection est devenue plus violente. J'avais l'impression que je vais me vider.
Donc j'étais assis sur le fauteuil comme ça, gonflé, sous ses yeux, et pourtant Ines commenca à me parler de travail, et de ses dettes a la banque.
Des platitudes. Tandis que moi, comme un animal, je lui montre le gonflement de ma verge.
Elle termina son café, puis dit doucement.
"Lucian, j'ai une question - Pourquoi tu te tiens devant moi comme ça? N'as-tu pas vraiment honte?”
Elle n'avait pas l'air bouleversée, mais elle semblait plutôt curieuse.
J'ai soupiré. Je tremblais devant elle.
"Pardonne-moi... Je sais que c’est pas normal de te dire tout cela ... mais ta sœur est devenue une bigote... Nous ne nous sommes pas aimés depuis 16 jours... Je suis hyper plein... ce matin, je lui ai demandé de m'aider, avec ses caresses… mais ell a dit non, care c'est un peche… care c’est une grande fête chrétienne aujourd'hui... La décapitation de Saint Jean... Qu'est-ce que je vais faire?... Qu'est-ce que je faire?... Mes glandes sont tellement pleines… je suis comme une bouteille de Champagne agitte… J ai tellemenet besoins qu une femme enleve mon bouchon…"
Ines écouta calme mon délire, et elle fronça les sourcils, avec les jambes croisées, en bougeant une cheville mince.
Elle m'a regardé et ses regards glissaient entre mon visage et mon ventre erecte sous le tricot fin.
"Aha. Pauvre toi. Donc ma sœur est devenue une puritaine folle?... Moi je susi athée, cheri. Donc tu veux que je t’aide? Je comprends que c'est pour ca que tu t’exhibe devant moi comme un cochon, non? A propos, tres excitante la metaphore avec le champagne…”
J’ai avale mon salive… et j ai pousse un soupir de plaisir et d'embarras et d etonnement, et tendis mes muscles anaux, en bougeant le gonflement obscène de mon ventre, comme un signe d'approbation.
J'étouffais, je pensais rêver. J'ai essaye de parler… avec une voiz rauque:
"Ines… t’es sérieuse? ... Tu veux… m'aider?"
Elle rit, une sorte de gloussement ironique (mais deja ses joues etaient en flammes).
”Pff, évidemment. Je fais pas ca avec tous les mecs, connard, mais toi tu es gentil et sympa et eduque. Et moi je comprends les hommes… et je suis désolée de te voir comme ça.
Et ma sœur est une idiote. Quelque part, ca m'excitera pas mal de faire ça a son mari. "
Merde, elle etait mechante, et détestait en quelque sorte sa sœur.
Ensuite Ines, ses yeux fixés sur mon erection pulsante, sembla reflechir a quelque chose.
Elle morda ses levres.
Je pouvais la voir respirer rapidement, comme si elle cherchait une idée, une solution.
À travers ma tête, à travers mes vagues d'excitation sexuelle inouie, j’ai vu les visages de mon belle-frere et de ma femme, les deux me regardaient avec une mine fachee.
Puis j'ai entendu sa voix.
“Ecoute, je vais te caresser avec mes pieds. C’est bon un footjob, avec mes plantes veloutees? J'ai des pieds extrêmement petits, comme tu peux le voir. Mais je veux aussi quelque chose en revanche: 100 euros. J'ai une dette que mon mari ne connaît pas. J'en demande beaucoup?... “
Elle était folle. Ou étais-je moi le fou? Des frissons inimaginables ont traversé mon corps. Mes joues ont pris feu.
Bien decidee, Ines la mignonne se leva et alla aux toilettes où elle se lava les pieds de la poussière des rues. Elle fut de retour, sans sandales et avec une serviette. Pieds nus, elle avait l'air encore plus petite.
Elle sortit un tube de crème Avon de son sac et enduit abondamment ses pieds.
Le parfum excitant de crème de pieds m'a rendu encore plus érecté. La verge et les couilles me faisaient mal.
"Allez, beau-frere… déshabille-toi et mets-toi la. Il fait tard et je dois aller a la maison."
Comme dans un rêve, j’ai jete mes vetements et, dans le salon illumine par le soleil estival du midi je me suis retrouvé nu avec la bite en l’air devant ma belle-sœur.
Ma bite pulsait, arquée vers le lustre.
Elle le regarda avec étonnement.
"Wow, pauvre toi… T’as l’air d’un cheval…"
Je me suis assis sur le canapé, la verge en l’air… puis elle s'installa de l'autre côté et leva gracieusement ses belles jambes fines vers mon ventre après quoi elle attrapa soigneusement mon organe pulsant entre ses petites plantes veloutées qui repandaient l'arôme de l acreme Avon. Petits pieds nus avec des ongles roses.
Les icônes de ma femme sur les murs nous regardaient avec mepris.
J'ai gémit fortement sous l'énorme plaisir de l’attouchement anormal et j'ai saisi ses petits pieds chauds et veloutés, comme ceux d’une fillette. Pieds d’asiatique. Le talon était incroyablement petit, comme celui d'un enfant. Petit et rose et tellement soyeux.
J'ai gémi son nom. Le salon a resonne et j ai pense que la voisine entendra ma voix qui crie le nom d une autre femme, mais je m en foutais.
J'ai caressé ses jambes chaudes pendant qu'elle, prouvant des compétences en gymnastique, a commencé un mouvement rythmique de ses jambes, de haut en bas, me branlant avec ses pieds, en alternance avec des pressions des orteils sur mon membre enflé.
Puis le téléphone a sonné, c'était Oana, ma femme chrétienne.
Essayant de pas gémir, j ai repondu… et, le cœur battant dans ma poitrine, j'ai parlé à ma femme, nu et avec mon pénis captif entre les pieds nus de sa soeur.
Excitée par la situation, Ines la mignonne intensifia son massage, serrant davantage mon sexe entre ses pieds… comme une sadique.
Comme dans un rêve, j'entendis Oana s'excuser au telephone de son refus matinal. Aussi, elle me demandait d’acheter du pain.
J'ai dit au revoir cherie… et j'ai raccroché le téléphone à temps, parce que dans la seconde suivante, j’ai plus resisté sous ces caresses sensuelles inttendues: j’ai levé mes hanches et, sous les yeux de Ines, les spasmes vertigineux de mes glandes ont commencé à pomper dehors mon sperme abondant, dans plusieures giclées d’un demi-mètre.
Tout fut souille par ma semence chaude: ses pieds et mollets, le canapé de ma femme et le tapis. Un orgasme comme je n'en avais jamais eu auparavant.
Quand je me suis remis des contractions (appelées "la petite mort" par Verlaine), la belle-sœur Ines s'essuyait lentement les pieds avec la serviette, puis, je l'ai vue porter à son nez cette serviette et renifler avidement l'odeur de ma semence fraiche, en soupirant.
Elle m'a regardé avec curiosité.
"Wow, combien avez-vous éjaculé cher beau-frere? Eh, c'était bien… monsieur?" Et maintenant, l'argent. "
Petite et cynique femmelette.
Cent euros c était tout ce que j'avais dans la maison. Oana m'avait laissé ca pour payer les utilites. Mon Dieu…Je lui ai donné l'argent le cœur lourd, essayant d'imaginer comment je pourrais le remettre. Epuise par les spasmes, vide, je l'ai conduite dans le couloir, elle m'a embrassé légèrement sur la bouche, elle est sortie et je me suis effondré sur le canapé… J’etais malade, en entendant ses talons résonnant dans l'escalier.
Dehors, je pouvais entendre le vent d'été et mon cœur était aussi lourd qu'un rocher de ce que j'avais fait.
En moi, les remords pour cet acte illicite luttaient avec le plaisir ressenti.
Auteurlucius.ro@gmail.com
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