Regardez moi !
Récit érotique écrit par Helen [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 5.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.6
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2010 dans la catégorie Fétichisme
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Couleur du fond :
Regardez moi !
Je suis une femme de quarante six ans, j'habite une ville de province. Je suis mariée et j'ai un enfant de seize ans. Certains me traiteront de perverse, mais pour moi, c'est cela la liberté. Pour moi, le plaisir sexuel est très important. Je précise que mon mari est complice. J'aime me promener en ville uniquement vêtue d'une simple robe moulante ou d'une courte jupe et d'un corsage légèrement transparent et très décolleté. Vous avez compris, je suis exhibitionniste. Dans cette tenue, je fais les magasins. J'affectionne particulièrement les marchands de chaussures. Quel régal de voir les vendeurs et les vendeuses accroupis devant vos genoux pour vous faire essayer une paire de hauts talons, sans savoir où regarder. J'ai le sexe entièrement épilé. Une vraie petite fille, pas un poil. La plupart du temps, le fait de lever la jambe pour aider la vendeuse à passer la chaussure suffit ; ses yeux sont justes à la hauteur de ma chatte nue. Aussitôt, son visage s'empourpre et elle devient toute gauche. Sauf un jour où une petite blonde me trouva fort à son goût, et après m'avoir dit :« Quel joli nid d'amour », joignit le geste à la parole et me caressa l'intérieur des cuisses. Malheureusement, il y avait trop de monde pour aller plus loin.
Une autre fois, toujours ainsi vêtue, je suis rentrée dans un magasin du centre ville. Après avoir choisi plusieurs robes, j'ai demandé à une vendeuse de venir m'aider en cabine à les essayer. Celle-ci s'exécuta et après m'avoir enlevé ma robe et marqué un temps d'arrêt du fait de ma complète nudité, m'aida gentiment à passer plusieurs robes. A chaque fois, ses doigts frôlaient mes pointes érigées pour mettre le tissu bien en place sur mes seins. Mais, lorsqu'elle m'aida à retirer une robe droite fuseau, elle s'accroupit, et son visage se trouva à vingt centimètres de ma chatte. Je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres toutes humides d'excitation. En levant la jambe pour lui permettre de sortir la robe qui se trouvait au niveau de mes mollets, mes lèvres s'ouvrirent et je lâchai un flot de ma liqueur sur mes cuisses. La vendeuse s'en rendit compte et, levant la tête vers moi, me sourit. Je lui répondis, ce qui déclencha tout. Elle se précipita sur moi, et de sa bouche, goba mes lèvres en léchant à grands coups de langue mon clitoris et ma cyprine.
Dans cette cabine où quelqu'un pouvait entrer à tout moment, j'étais en train de me faire lutiner, debout, toute nue, par une fille de vingt ans, la jambe perchée sur la chaise, elle à genoux devant moi. Ce fut une très bonne après-midi. Mais les jardins publics ou les terrasses de brasseries sont des endroits où je peux le mieux exposer mes trésors pour le plus grand plaisir de tous mes spectateurs. Assise sur un banc, minijupe à mi-cuisses, en train de lire une revue il est très facile de satisfaire tous ces gens qui ramassent un objet ou relacent leurs chaussures, justement devant moi, en écartant innocemment mes cuisses.
Je pratique mes exhibitions en plein accord avec mon mari qui m'accompagne certains samedis dans les galeries. Bien sûr, nous empruntons toujours les escalators ou escaliers, et mon mari monte devant moi pour ne pas gêner ceux qui me suivent... Parfois, à l'occasion de commissions dans les grandes surfaces, nous mangeons à la cafétéria, à condition que celle-ci soit à l'étage avec vue sur la salle, et qu'il y ait une table libre au bord. Je m'assois toujours face aux rayons pour pouvoir regarder ceux qui passent et repassent, faisant semblant de chercher quelque chose, mais qui lèvent les yeux pour voir ma chatte nue. Le soir, avec mon mari, au lit, je lui raconte mes aventures. Cela le met en pleine forme et il me prend plusieurs, fois avec fougue. Grâce à cela, nous nous entendons à merveille, c'est le bonheur.
Une autre fois, toujours ainsi vêtue, je suis rentrée dans un magasin du centre ville. Après avoir choisi plusieurs robes, j'ai demandé à une vendeuse de venir m'aider en cabine à les essayer. Celle-ci s'exécuta et après m'avoir enlevé ma robe et marqué un temps d'arrêt du fait de ma complète nudité, m'aida gentiment à passer plusieurs robes. A chaque fois, ses doigts frôlaient mes pointes érigées pour mettre le tissu bien en place sur mes seins. Mais, lorsqu'elle m'aida à retirer une robe droite fuseau, elle s'accroupit, et son visage se trouva à vingt centimètres de ma chatte. Je pouvais sentir son souffle sur mes lèvres toutes humides d'excitation. En levant la jambe pour lui permettre de sortir la robe qui se trouvait au niveau de mes mollets, mes lèvres s'ouvrirent et je lâchai un flot de ma liqueur sur mes cuisses. La vendeuse s'en rendit compte et, levant la tête vers moi, me sourit. Je lui répondis, ce qui déclencha tout. Elle se précipita sur moi, et de sa bouche, goba mes lèvres en léchant à grands coups de langue mon clitoris et ma cyprine.
Dans cette cabine où quelqu'un pouvait entrer à tout moment, j'étais en train de me faire lutiner, debout, toute nue, par une fille de vingt ans, la jambe perchée sur la chaise, elle à genoux devant moi. Ce fut une très bonne après-midi. Mais les jardins publics ou les terrasses de brasseries sont des endroits où je peux le mieux exposer mes trésors pour le plus grand plaisir de tous mes spectateurs. Assise sur un banc, minijupe à mi-cuisses, en train de lire une revue il est très facile de satisfaire tous ces gens qui ramassent un objet ou relacent leurs chaussures, justement devant moi, en écartant innocemment mes cuisses.
Je pratique mes exhibitions en plein accord avec mon mari qui m'accompagne certains samedis dans les galeries. Bien sûr, nous empruntons toujours les escalators ou escaliers, et mon mari monte devant moi pour ne pas gêner ceux qui me suivent... Parfois, à l'occasion de commissions dans les grandes surfaces, nous mangeons à la cafétéria, à condition que celle-ci soit à l'étage avec vue sur la salle, et qu'il y ait une table libre au bord. Je m'assois toujours face aux rayons pour pouvoir regarder ceux qui passent et repassent, faisant semblant de chercher quelque chose, mais qui lèvent les yeux pour voir ma chatte nue. Le soir, avec mon mari, au lit, je lui raconte mes aventures. Cela le met en pleine forme et il me prend plusieurs, fois avec fougue. Grâce à cela, nous nous entendons à merveille, c'est le bonheur.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ayant pris enormement de plaisir ... a vous lire et vous imaginer ... j'adorerais savoir
si cette histoire est vrai ou sorti de votre imagination fertile...
si cette histoire est vrai ou sorti de votre imagination fertile...
Que du bonheur!!!! Je suis a l'affut de ce genre de situation, j'essaie de faire monter
les escaliers à ma femme, je me mets en retrait pour voir les personnes qui regardent
sous ses jupes, elle ne le sait pas, mais moi cela m'excite terriblement.
Alors encore d'autres histoires de vous me comblerons.
J'adore, je suis tout excité de vous lire.
Merciiiiiiiii
Allan
les escaliers à ma femme, je me mets en retrait pour voir les personnes qui regardent
sous ses jupes, elle ne le sait pas, mais moi cela m'excite terriblement.
Alors encore d'autres histoires de vous me comblerons.
J'adore, je suis tout excité de vous lire.
Merciiiiiiiii
Allan
très agréable, à lire et sans doute à vivre.... un peu plus de détail et de
développement serait un plus indéniable
développement serait un plus indéniable
Très agréable à lire, mais manque de développement à mon goût, je reste malheureusement
sur ma faim...
sur ma faim...