Relations de bon voisinage
Récit érotique écrit par Janus04 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 26 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Janus04 ont reçu un total de 142 612 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2022 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 6 767 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Relations de bon voisinage
Relations de bon voisinage
Sylvain et sa mère avaient emménagé depuis peu dans ce nouvel appartement. Nouvelle ville, nouveau quartier, nouveau lycée, Sylvain avait perdu ses anciens camarades et, plutôt réservé, il avait un peu de mal à nouer de nouvelles relations, quelques copains dans sa classe de terminale. Plus de garçons que de filles bien sûr car elles l’intimidaient, tant et si bien qu’à un âge ou beaucoup avaient déjà eu des rapports sexuels, il était encore puceau.
Bien entendu, il souffrait de cette maudite timidité qui le condamnait à des pratiques solitaires. Il rêvait alors à quelques camarades de classe (dont certaines n’auraient d’ailleurs pas dit non s’il avait osé les solliciter) mais surtout à des femmes plus matures, la pulpeuse boulangère, sa tante Zoé, et surtout sa voisine de palier, ravissante quadragénaire brune très sexy. Ils s’étaient croisés quelquefois et avaient échangé un bonjour ; leur relation s’arrêtait là mais cela suffisait à le faire fantasmer le soir, seul dans son lit. Il avait regardé son nom sur la boite aux lettres : Céline Dutertre. Elle vivait donc seule.
Cet après-midi-là, de retour du lycée, quand il entre dans le hall, la belle madame Dutertre se débat avec une multitude de sacs pour entrer dans l’ascenseur. Elle lui maintient la porte ouverte et il se retrouve tout près d’elle.
« J’ai fait des emplettes et je crois bien que j’ai fait des folies. Quand quelque chose me plaît je ne sais pas résister !
-Je crois que ma mère est un peu comme vous, répond Sylvain pour dire quelque chose. »
L’ascenseur est arrivé à leur étage.
« Tu veux bien m’aider à rentrer tout ça, jeune homme, tu serais gentil.
-Bien sûr, madame. »
Il la suit dans le salon où elle jette ses sacs sur un fauteuil avec son élégant blouson de cuir.
« Pose tout ça où tu peux, j’arrive mais j’ai une terrible envie de faire pipi. Fais comme chez toi. »
Elle disparait. Sylvain pose les paquets sur le second fauteuil et regarde autour de lui. Mobilier design, décoration sobre et moderne. Il s’assoit sur le canapé. Aussitôt une jolie chatte blanche saute familièrement sur ses genoux.
Venant d’une autre pièce, une voix demande :
« Coca ou jus de fruit ?
-Jus de fruit, s’il vous plait. »
Céline arrive bientôt avec deux verres et un pack de jus d’orange.
« Ouf ! J’avais hâte de me mettre à l’aise. En période de soldes, c’est fou le monde qu’il y a dans les magasins !
Orange, ça te conviens ? De toute façon je n’ai rien d’autre, ajoute-t-elle avec un petit rire. »
Sylvain a du mal à retrouver assez de voix pour acquiescer. Céline s’est mise à l’aise, en effet : Elle lui apparait vêtue d’un court kimono noir qui lui arrive à mi-cuisse Elle se penche pour remplir les verres, et ce faisant laisse entrevoir au jeune garçon, dans l’échancrure du kimono, deux seins ronds sous un soutien-gorge blanc. Elle s’assoit ensuite près de lui. Le bas du kimono s’écarte et c’est au tour d’une cuisse et d’un peu de la petite culotte de se dévoiler.
« Je vois qu’Olympe t’a adopté. Elle est très câline. »
Sylvain continue à caresser machinalement la chatte qui ronronne. Céline pose une main sur sa cuisse, juste au-dessous de l’excroissance que forme à présent dans son jean, heureusement dissimulée par Olympe, sa verge en érection.
« Elle adore les caresses… Elle n’est pas la seule, dit-elle en souriant. »
Son visage est maintenant tout proche de celui du garçon pétrifié par le trac. Elle se rapproche encore, pose ses lèvres sur sa bouche et sa langue va chercher la sienne. Tandis qu’ils échangent ce premier baiser, sa main remonte et vient palper doucement la bite comprimée par le tissu du pantalon. Olympe a sauté par terre pour laisser le champ libre à sa maitresse et s’éloigne dignement.
Cécile ouvre son peignoir et Sylvain comprend que s’il ne veut pas être ridicule il doit faire quelque chose. Il pose une main peu assurée sur un sein qu’il pétrit maladroitement. Elle recule un peu, dégrafe son soutien-gorge et attire le visage du garçon vers un des seins ainsi libérés. Ils sont ronds et fermes, les tétons pointent au centre des aréoles ocres. Sylvain referme les lèvres et retrouve instinctivement le reflexe enfantin de la tétée. Céline ne reste pas passive ; elle ouvre prestement la fermeture éclair du jean, glisse la main dans le boxer et met à l’air libre un sexe en complète érection qu’elle entreprend de caresser délicatement.
Elle interrompt Sylvain, se penche, saisit son gland entre les lèvres et le suçote tandis que sa main glisse sur le membre raidi d’excitation. Du bout de la langue elle titille le petit orifice. Mais très vite elle a sur la langue le goût d’une première goutte de liquide séminal. Elle cesse aussitôt sa fellation : elle sait que le jeune homme, trop excité, risque d’éjaculer trop tôt.
Elle se débarrasse vivement de sa petite culotte, dévoilant à Sylvain sa motte épilée où subsiste un petit triangle de poils bruns juste au-dessus de la fente à peine entrouverte ourlée du liseré froissé des lèvres ocre rose. Elle vient ensuite se positionner à califourchon au-dessus du garçon toujours assis au fond du canapé. Paralysé, il sent son gland effleurer la vulve frémissante.
« C’est la première fois mon petit chat, n’est-ce pas ? lui demande-t-elle gentiment.
-Oui, madame, répond-il dans un souffle.
-Au point où nous en sommes, tu peux m’appeler Céline, tu sais, chaton, dit-elle avec un petit rire. »
Sylvain sent glisser tout naturellement sa queue dans l’étroit étui chaud et humide du vagin qui aussitôt l’étreint dans une succession de petites contractions. Experte, Céline va et vient très lentement afin de faire durer le plaisir. En vain, car Sylvain, trop excité, a tôt fait d’éjaculer en gémissant, yeux écarquillés, sous le regard bienveillant de son initiatrice.
Céline continue à chevaucher Sylvain jusqu’à ce qu’elle sente sa bite se rétracter. Elle n’a pas eu véritablement d’orgasme, mais elle est satisfaite : elle sait que ce moment sera inoubliable pour le jeune homme. Elle se retire doucement et se serre contre lui. Il enfouie son visage au creux de son cou.
« Ça t’a plu, chaton ? demande-t-elle a mi-voix.
-Oh oui mad… Céline ! C’est… »
Elle lui pose un baiser sur le bout du nez et ajoute !
« Tu devrais rentrer chez toi maintenant, chaton. »
Céline accompagne Sylvain dans l’entrée.
« Si tu en as envie, tu peux revenir me voir, mon chéri. »
Sur le palier, il se trouve nez à nez avec sa mère qui rentrait. Surprise, elle regarde son fils, sa voisine en kimono, hausse les sourcils puis les fronce.
Pour se justifier, Sylvain dit précipitamment :
« J’ai aidé Cé… heu… madame Dutertre à porter ses sacs.
-Votre fils est très aimable, madame Legrand, ajoute Céline.
-Oui, et très serviable, n’est-ce pas, répond-elle avec un sourire entendu. Bonne soirée, madame Dutertre. »
Sylvain se précipite dans sa chambre :
« J’ai un devoir à terminer.
-C’est ça. Je t’appelle pour diner. »
Songeuse, Sylvie Legrand réalise que son petit garçon est devenu un homme à présent.
Sylvain et sa mère avaient emménagé depuis peu dans ce nouvel appartement. Nouvelle ville, nouveau quartier, nouveau lycée, Sylvain avait perdu ses anciens camarades et, plutôt réservé, il avait un peu de mal à nouer de nouvelles relations, quelques copains dans sa classe de terminale. Plus de garçons que de filles bien sûr car elles l’intimidaient, tant et si bien qu’à un âge ou beaucoup avaient déjà eu des rapports sexuels, il était encore puceau.
Bien entendu, il souffrait de cette maudite timidité qui le condamnait à des pratiques solitaires. Il rêvait alors à quelques camarades de classe (dont certaines n’auraient d’ailleurs pas dit non s’il avait osé les solliciter) mais surtout à des femmes plus matures, la pulpeuse boulangère, sa tante Zoé, et surtout sa voisine de palier, ravissante quadragénaire brune très sexy. Ils s’étaient croisés quelquefois et avaient échangé un bonjour ; leur relation s’arrêtait là mais cela suffisait à le faire fantasmer le soir, seul dans son lit. Il avait regardé son nom sur la boite aux lettres : Céline Dutertre. Elle vivait donc seule.
Cet après-midi-là, de retour du lycée, quand il entre dans le hall, la belle madame Dutertre se débat avec une multitude de sacs pour entrer dans l’ascenseur. Elle lui maintient la porte ouverte et il se retrouve tout près d’elle.
« J’ai fait des emplettes et je crois bien que j’ai fait des folies. Quand quelque chose me plaît je ne sais pas résister !
-Je crois que ma mère est un peu comme vous, répond Sylvain pour dire quelque chose. »
L’ascenseur est arrivé à leur étage.
« Tu veux bien m’aider à rentrer tout ça, jeune homme, tu serais gentil.
-Bien sûr, madame. »
Il la suit dans le salon où elle jette ses sacs sur un fauteuil avec son élégant blouson de cuir.
« Pose tout ça où tu peux, j’arrive mais j’ai une terrible envie de faire pipi. Fais comme chez toi. »
Elle disparait. Sylvain pose les paquets sur le second fauteuil et regarde autour de lui. Mobilier design, décoration sobre et moderne. Il s’assoit sur le canapé. Aussitôt une jolie chatte blanche saute familièrement sur ses genoux.
Venant d’une autre pièce, une voix demande :
« Coca ou jus de fruit ?
-Jus de fruit, s’il vous plait. »
Céline arrive bientôt avec deux verres et un pack de jus d’orange.
« Ouf ! J’avais hâte de me mettre à l’aise. En période de soldes, c’est fou le monde qu’il y a dans les magasins !
Orange, ça te conviens ? De toute façon je n’ai rien d’autre, ajoute-t-elle avec un petit rire. »
Sylvain a du mal à retrouver assez de voix pour acquiescer. Céline s’est mise à l’aise, en effet : Elle lui apparait vêtue d’un court kimono noir qui lui arrive à mi-cuisse Elle se penche pour remplir les verres, et ce faisant laisse entrevoir au jeune garçon, dans l’échancrure du kimono, deux seins ronds sous un soutien-gorge blanc. Elle s’assoit ensuite près de lui. Le bas du kimono s’écarte et c’est au tour d’une cuisse et d’un peu de la petite culotte de se dévoiler.
« Je vois qu’Olympe t’a adopté. Elle est très câline. »
Sylvain continue à caresser machinalement la chatte qui ronronne. Céline pose une main sur sa cuisse, juste au-dessous de l’excroissance que forme à présent dans son jean, heureusement dissimulée par Olympe, sa verge en érection.
« Elle adore les caresses… Elle n’est pas la seule, dit-elle en souriant. »
Son visage est maintenant tout proche de celui du garçon pétrifié par le trac. Elle se rapproche encore, pose ses lèvres sur sa bouche et sa langue va chercher la sienne. Tandis qu’ils échangent ce premier baiser, sa main remonte et vient palper doucement la bite comprimée par le tissu du pantalon. Olympe a sauté par terre pour laisser le champ libre à sa maitresse et s’éloigne dignement.
Cécile ouvre son peignoir et Sylvain comprend que s’il ne veut pas être ridicule il doit faire quelque chose. Il pose une main peu assurée sur un sein qu’il pétrit maladroitement. Elle recule un peu, dégrafe son soutien-gorge et attire le visage du garçon vers un des seins ainsi libérés. Ils sont ronds et fermes, les tétons pointent au centre des aréoles ocres. Sylvain referme les lèvres et retrouve instinctivement le reflexe enfantin de la tétée. Céline ne reste pas passive ; elle ouvre prestement la fermeture éclair du jean, glisse la main dans le boxer et met à l’air libre un sexe en complète érection qu’elle entreprend de caresser délicatement.
Elle interrompt Sylvain, se penche, saisit son gland entre les lèvres et le suçote tandis que sa main glisse sur le membre raidi d’excitation. Du bout de la langue elle titille le petit orifice. Mais très vite elle a sur la langue le goût d’une première goutte de liquide séminal. Elle cesse aussitôt sa fellation : elle sait que le jeune homme, trop excité, risque d’éjaculer trop tôt.
Elle se débarrasse vivement de sa petite culotte, dévoilant à Sylvain sa motte épilée où subsiste un petit triangle de poils bruns juste au-dessus de la fente à peine entrouverte ourlée du liseré froissé des lèvres ocre rose. Elle vient ensuite se positionner à califourchon au-dessus du garçon toujours assis au fond du canapé. Paralysé, il sent son gland effleurer la vulve frémissante.
« C’est la première fois mon petit chat, n’est-ce pas ? lui demande-t-elle gentiment.
-Oui, madame, répond-il dans un souffle.
-Au point où nous en sommes, tu peux m’appeler Céline, tu sais, chaton, dit-elle avec un petit rire. »
Sylvain sent glisser tout naturellement sa queue dans l’étroit étui chaud et humide du vagin qui aussitôt l’étreint dans une succession de petites contractions. Experte, Céline va et vient très lentement afin de faire durer le plaisir. En vain, car Sylvain, trop excité, a tôt fait d’éjaculer en gémissant, yeux écarquillés, sous le regard bienveillant de son initiatrice.
Céline continue à chevaucher Sylvain jusqu’à ce qu’elle sente sa bite se rétracter. Elle n’a pas eu véritablement d’orgasme, mais elle est satisfaite : elle sait que ce moment sera inoubliable pour le jeune homme. Elle se retire doucement et se serre contre lui. Il enfouie son visage au creux de son cou.
« Ça t’a plu, chaton ? demande-t-elle a mi-voix.
-Oh oui mad… Céline ! C’est… »
Elle lui pose un baiser sur le bout du nez et ajoute !
« Tu devrais rentrer chez toi maintenant, chaton. »
Céline accompagne Sylvain dans l’entrée.
« Si tu en as envie, tu peux revenir me voir, mon chéri. »
Sur le palier, il se trouve nez à nez avec sa mère qui rentrait. Surprise, elle regarde son fils, sa voisine en kimono, hausse les sourcils puis les fronce.
Pour se justifier, Sylvain dit précipitamment :
« J’ai aidé Cé… heu… madame Dutertre à porter ses sacs.
-Votre fils est très aimable, madame Legrand, ajoute Céline.
-Oui, et très serviable, n’est-ce pas, répond-elle avec un sourire entendu. Bonne soirée, madame Dutertre. »
Sylvain se précipite dans sa chambre :
« J’ai un devoir à terminer.
-C’est ça. Je t’appelle pour diner. »
Songeuse, Sylvie Legrand réalise que son petit garçon est devenu un homme à présent.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Janus04
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...