Rémédios
Récit érotique écrit par Baiserjouir [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rémédios
Le meilleur moyen de parler une langue est d’aller dans le pays étranger. La boite qui s’occupe des échanges me propose un séjour de 2 semaines à Barcelone. Quand on propose à un jeune de 22 ans d’aller voir une belle ville, ce n’est pas de refus. Je suis fort bien reçu dans une famille espagnole qui parle un français impeccable, bien mieux que moi l’espagnol. Cette famille, parlons en : le père dans la quarantaine vachement sympa et décontracté, la mère du même âge drôlement bien fichue. On ne lui donnerai que 30 ans. Il y a en plus une fille, que je ne connais que par une photos, qui me semble bien désirable. Malheureusement elle est absente au moins pour une semaine.
J’ai une chambre pour moi tout seul et un cabinet de toilette. Rémédios, la mère me dit de faire la grasse matinée le lendemain. Pour ce genre de sport il ne faut pas me prier.
Le lendemain je suis réveillé vers 10 heures par Rémédios. Je dois venir lui donner un coup de main dans le séjour. Le seul ennui est que je dors toujours nu. Pour me faire presser, elle soulève le drap. Ma robinetterie est bien en vu !!! Je veux me recouvrir mais pas question ! Elle veut que je lui montre le matériel même elle veut s’en servir. Sa main prend ma bite, je bande aussi sec. Pourtant elle ne fait rien que de m’avoir dans sa main.
- Tu bandes fort, tu as envie de moi ?
- Oui, j’aimerai vous passer dessus.
- Tu sais baiser ?
- Je crois.
- On va vérifier. Sort du lit et suis moi.
Je me lève en regardant ma bite qui en effet est des plus grosse. Je regrette que sa main m’ai lâché. Elle passe devant, je regarde ses fesses se dandiner devant moi. Je n’avais pas fait trop attention à son cul. Un ange le suivrai jusqu’au fond de l’enfer. Dans le séjour elle me demande de m’assoir sur une chaise. Le cuir froid me fait presque débander.
- Nous sommes seuls jusqu’à ce soir. Si tu baises bien nous le ferons longtemps, j’aime bien avoir une bite dans mon ventre. Elle se penche sur la table, lève sa robe et j’ai un éblouissement. Je n’avais jamais vue un tel panorama : elle me montre tout depuis le plus prêt de moi : son anus, jusqu’à plus loin, son pubis. Je reste immobile.
- Qu’est ce que tu attends ? Vas-y entre.
- Où ?
- Tu ne vois rien, j’ai deux trous, choisis.
Je me lève pour la satisfaire. Je n’ai pas trop d’expérience, alors j’hésite entre son cul est son con. Quand je pose le gland sur elle, entre ses fesses je ne suis toujours pas décidé. Je laisse faire le sort : il me dirige naturellement vers son anus. Quand je pose ma bite sur lui, il s’écarte en me laissant entrer. Pour moi c’est le nirvana. J’ai bien enculé une ou deux filles, mais pas de cette classe.
Ses fesses montent et descendent en cadence avec moi. Elle parle en espagnol ou catalan, pour dire je ne sais quoi, sans doute des saloperies. Je comprends vaguement qu’elle aime cette étreinte. Je sens ses spasmes.
Si elle continue elle va me faire jouir, ce qui ne manque pas : je crache le sperme dans son arrière train. Je me retire...
- Pourquoi tu es sorti, j’adore me faire mettre par là.
- Je débande.
- A ton âge on bande rapidement. Tu vas voir.
Pour voir, je vois sa bouche me bouffer la queue. Pour accompagner mon début de bandaison, elle me caresse doucement le cul.
Quand je suis à ma taille normale, elle nous fais remonter dans ma chambre. Elle se déshabille, un corps de jeune fille apparait. Elle donne envie de la baiser
Cette fois elle se couche juste au bord du lit, écarte ses jambes, maintenant je vois tout son sexe.
- Lèches moi.
- Je ne suis pas très fort pour ça.
- Poses ta bouche sur ma chatte, je te dirai où aller.
Elle est la première à me demander un cunnilingus. J’ai bien voulu le faire avec les copines, toutes trouvaient que c’était sale ou n‘aimaient pas disaient elles. Rémédios pense le contraire. Je sors ma langue et la plante dans sa chatte.
- Montes en haut, tu trouveras un petit appendice. Prend le avec la langue et lèches le, tu me feras jouir.
Je cherche quand même un petit moment pour trouver son appendice, son clitoris.
Je le lèche assez rapidement et c’est vrai qu'elle jouit. Comme elle a pris ma tête entre ses mains, maintenant c’est elle qui me dirige. J’entre dans son fourreau un bon bout de langue. Elle me fait descendre encore plus et je lui mets la langue sur l’anus. Personne me l’a demandé, elle semble en être friande.
- Entre ta langue dans mon cul.
- Mais je vient de t’enculer.
- Entre ta langue.
Je m’exécute en trouvant un peu de sperme. Le plus fort est qu’elle jouit encore. Ce n’est pas possible, elle a un mec semble-t-il fort bien qui doit savoir baiser mieux que moi, pauvre débutant.
- Ton mari ne te suffit pas ?
- Mon mari ne peut plus baiser depuis longtemps, tu le remplaces pour quelques jours. Sinon j’ai un ami en ville qui me baise quand j’en ai trop envie.J’ignorais ce « détail ». Je vais en profiter.
- Pourquoi attendre qu’il soit absent.
- Pour ne pas le faire souffrir, tu sais c’est douloureux de ne plus baiser.
Au fond je m'en fout, je baise une femme qui est une sacrée bonne baiseuse.
Elle se couche sur le lit, me donne ses lèvres. Son baiser est le meilleur que j’ai eu depuis que j’embrasse. Elle me tend sa poitrine, je n’ai que le choix, je les suce, les caresse. Je tire un peu les tétons.
Ma main va sur sa chatte. Ce que j’y trouve est une caverne mouillée, très mouillée. Je ne cherche plus son clitoris, je sais où il se cache, je le caresse en tournant deux doigts autour.
Et puis j’en ai assez de ne m’occuper que d’elle. Je vais entre ses jambes. Elle prend ma bite, la caresse un moment en parlant encore en espagnol, des gros mots sans doute. Elle me caresses les couilles, là je comprends quand elle dit « cojones« . Maintenant c’est mon gland dont elle se sert pour se masturber avant d’ouvrir sa grotte. Je m’y sens parfaitement bien. Je suppose qu’elle doit en prendre pas mal de plaisir car je l’entend gémir sans arrêt. Elle m’excite encore plus et quand elle jouis, je ne peux m’empêcher de jouir en elle.
Nous allons déjeuner, nus, elle sur mes genoux, avec ma main sur son sexe. Je dois la branler sans arrêt. De temps en temps, elle cherche ma bite pour me faire jouir.
C’est vrai que ma jeunesse me permet de reprendre des forces rapidement.
Nous n’arrêtons pas ensuite de nous caresser, nous branler et nous baiser.
Malheureusement pour nous la fille entre chez elle, le portrait de sa mère avec 20 ans de moins. Rémédios me dit adieu. Pour nous deux c’est fini. Pourquoi adieu ? Je comprend plus tard, Dolorès, la fille semble avoir le même tempérament que sa mère. J’en ai confirmation le soir même : ma porte s’ouvre sur une jeune en tenue olé olé, vêtue d’un nuisette transparente, Dolorès vient me dire bonsoir ou bonne nuit, au choix.
En vérité, si j’ai perdu sa mère je trouve une très large consolation avec la fille. Elle aussi a un tempérament de feu. D’abord ses lèvres sur les miennes sont plus chaudes, comme sa langue agile dans ma bouche. Elle ne s’embarrasse par de fioriture, directe, elle a envie de baiser, elle baise. Elle ne parle pas un mot de français. Le langage de l’amour est universel. Ce que je peux oublier, elle le compense et vice versa. Cette nuit j’ai pu explorer tout son corps. Que de secrets découverts. Que d’endroits à caresser. Cette première nuit ne nous suffit pas. Si elle m’a sucé, j’ai pu lui en faire autant pendant un 69. Malgré ses demandes je ne l’ai pas enculée. Ce sera pour demain.
En partant je demande à Rémédios si elle a vu son ami. Réponse positive, elle ne peux pas se passer de bite trop longtemps. Pas folle, elle me demande si je baise bien avec sa fille. Elle est satisfaite de ma réponse. C’est elle qui lui a tout appris en parole.
Je regrette de devoir rentrer. Ma bite ne parle pas, mais elle aussi regrette !
J’ai une chambre pour moi tout seul et un cabinet de toilette. Rémédios, la mère me dit de faire la grasse matinée le lendemain. Pour ce genre de sport il ne faut pas me prier.
Le lendemain je suis réveillé vers 10 heures par Rémédios. Je dois venir lui donner un coup de main dans le séjour. Le seul ennui est que je dors toujours nu. Pour me faire presser, elle soulève le drap. Ma robinetterie est bien en vu !!! Je veux me recouvrir mais pas question ! Elle veut que je lui montre le matériel même elle veut s’en servir. Sa main prend ma bite, je bande aussi sec. Pourtant elle ne fait rien que de m’avoir dans sa main.
- Tu bandes fort, tu as envie de moi ?
- Oui, j’aimerai vous passer dessus.
- Tu sais baiser ?
- Je crois.
- On va vérifier. Sort du lit et suis moi.
Je me lève en regardant ma bite qui en effet est des plus grosse. Je regrette que sa main m’ai lâché. Elle passe devant, je regarde ses fesses se dandiner devant moi. Je n’avais pas fait trop attention à son cul. Un ange le suivrai jusqu’au fond de l’enfer. Dans le séjour elle me demande de m’assoir sur une chaise. Le cuir froid me fait presque débander.
- Nous sommes seuls jusqu’à ce soir. Si tu baises bien nous le ferons longtemps, j’aime bien avoir une bite dans mon ventre. Elle se penche sur la table, lève sa robe et j’ai un éblouissement. Je n’avais jamais vue un tel panorama : elle me montre tout depuis le plus prêt de moi : son anus, jusqu’à plus loin, son pubis. Je reste immobile.
- Qu’est ce que tu attends ? Vas-y entre.
- Où ?
- Tu ne vois rien, j’ai deux trous, choisis.
Je me lève pour la satisfaire. Je n’ai pas trop d’expérience, alors j’hésite entre son cul est son con. Quand je pose le gland sur elle, entre ses fesses je ne suis toujours pas décidé. Je laisse faire le sort : il me dirige naturellement vers son anus. Quand je pose ma bite sur lui, il s’écarte en me laissant entrer. Pour moi c’est le nirvana. J’ai bien enculé une ou deux filles, mais pas de cette classe.
Ses fesses montent et descendent en cadence avec moi. Elle parle en espagnol ou catalan, pour dire je ne sais quoi, sans doute des saloperies. Je comprends vaguement qu’elle aime cette étreinte. Je sens ses spasmes.
Si elle continue elle va me faire jouir, ce qui ne manque pas : je crache le sperme dans son arrière train. Je me retire...
- Pourquoi tu es sorti, j’adore me faire mettre par là.
- Je débande.
- A ton âge on bande rapidement. Tu vas voir.
Pour voir, je vois sa bouche me bouffer la queue. Pour accompagner mon début de bandaison, elle me caresse doucement le cul.
Quand je suis à ma taille normale, elle nous fais remonter dans ma chambre. Elle se déshabille, un corps de jeune fille apparait. Elle donne envie de la baiser
Cette fois elle se couche juste au bord du lit, écarte ses jambes, maintenant je vois tout son sexe.
- Lèches moi.
- Je ne suis pas très fort pour ça.
- Poses ta bouche sur ma chatte, je te dirai où aller.
Elle est la première à me demander un cunnilingus. J’ai bien voulu le faire avec les copines, toutes trouvaient que c’était sale ou n‘aimaient pas disaient elles. Rémédios pense le contraire. Je sors ma langue et la plante dans sa chatte.
- Montes en haut, tu trouveras un petit appendice. Prend le avec la langue et lèches le, tu me feras jouir.
Je cherche quand même un petit moment pour trouver son appendice, son clitoris.
Je le lèche assez rapidement et c’est vrai qu'elle jouit. Comme elle a pris ma tête entre ses mains, maintenant c’est elle qui me dirige. J’entre dans son fourreau un bon bout de langue. Elle me fait descendre encore plus et je lui mets la langue sur l’anus. Personne me l’a demandé, elle semble en être friande.
- Entre ta langue dans mon cul.
- Mais je vient de t’enculer.
- Entre ta langue.
Je m’exécute en trouvant un peu de sperme. Le plus fort est qu’elle jouit encore. Ce n’est pas possible, elle a un mec semble-t-il fort bien qui doit savoir baiser mieux que moi, pauvre débutant.
- Ton mari ne te suffit pas ?
- Mon mari ne peut plus baiser depuis longtemps, tu le remplaces pour quelques jours. Sinon j’ai un ami en ville qui me baise quand j’en ai trop envie.J’ignorais ce « détail ». Je vais en profiter.
- Pourquoi attendre qu’il soit absent.
- Pour ne pas le faire souffrir, tu sais c’est douloureux de ne plus baiser.
Au fond je m'en fout, je baise une femme qui est une sacrée bonne baiseuse.
Elle se couche sur le lit, me donne ses lèvres. Son baiser est le meilleur que j’ai eu depuis que j’embrasse. Elle me tend sa poitrine, je n’ai que le choix, je les suce, les caresse. Je tire un peu les tétons.
Ma main va sur sa chatte. Ce que j’y trouve est une caverne mouillée, très mouillée. Je ne cherche plus son clitoris, je sais où il se cache, je le caresse en tournant deux doigts autour.
Et puis j’en ai assez de ne m’occuper que d’elle. Je vais entre ses jambes. Elle prend ma bite, la caresse un moment en parlant encore en espagnol, des gros mots sans doute. Elle me caresses les couilles, là je comprends quand elle dit « cojones« . Maintenant c’est mon gland dont elle se sert pour se masturber avant d’ouvrir sa grotte. Je m’y sens parfaitement bien. Je suppose qu’elle doit en prendre pas mal de plaisir car je l’entend gémir sans arrêt. Elle m’excite encore plus et quand elle jouis, je ne peux m’empêcher de jouir en elle.
Nous allons déjeuner, nus, elle sur mes genoux, avec ma main sur son sexe. Je dois la branler sans arrêt. De temps en temps, elle cherche ma bite pour me faire jouir.
C’est vrai que ma jeunesse me permet de reprendre des forces rapidement.
Nous n’arrêtons pas ensuite de nous caresser, nous branler et nous baiser.
Malheureusement pour nous la fille entre chez elle, le portrait de sa mère avec 20 ans de moins. Rémédios me dit adieu. Pour nous deux c’est fini. Pourquoi adieu ? Je comprend plus tard, Dolorès, la fille semble avoir le même tempérament que sa mère. J’en ai confirmation le soir même : ma porte s’ouvre sur une jeune en tenue olé olé, vêtue d’un nuisette transparente, Dolorès vient me dire bonsoir ou bonne nuit, au choix.
En vérité, si j’ai perdu sa mère je trouve une très large consolation avec la fille. Elle aussi a un tempérament de feu. D’abord ses lèvres sur les miennes sont plus chaudes, comme sa langue agile dans ma bouche. Elle ne s’embarrasse par de fioriture, directe, elle a envie de baiser, elle baise. Elle ne parle pas un mot de français. Le langage de l’amour est universel. Ce que je peux oublier, elle le compense et vice versa. Cette nuit j’ai pu explorer tout son corps. Que de secrets découverts. Que d’endroits à caresser. Cette première nuit ne nous suffit pas. Si elle m’a sucé, j’ai pu lui en faire autant pendant un 69. Malgré ses demandes je ne l’ai pas enculée. Ce sera pour demain.
En partant je demande à Rémédios si elle a vu son ami. Réponse positive, elle ne peux pas se passer de bite trop longtemps. Pas folle, elle me demande si je baise bien avec sa fille. Elle est satisfaite de ma réponse. C’est elle qui lui a tout appris en parole.
Je regrette de devoir rentrer. Ma bite ne parle pas, mais elle aussi regrette !
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