Rémi la déchirure
Récit érotique écrit par Akileditu [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2022 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rémi la déchirure
Au bout de quatre jours – mais aussi de QUATRE NUITS… -, Rémi est REVENU !
Je dois avouer que je n’y croyais plus. Pas un seul coup de fil pendant ces quatre jours. Durant tout ce temps, je les ai imaginés entrain de baiser dans toutes les positions et dans tous les endroits possibles.
Quand il ouvrit la porte de l’appart, on se sauta dessus, littéralement. On s’arracha nos vêtements mutuellement. Il y en avait partout, de l’entrée à la chambre. Tiens, Rémi avait un slip que je ne lui connaissais pas… En slips, bandés comme des arcs, on roula sur le lit, se dévorant la bouche furieusement comme si on ne s’était pas vu depuis des semaines. Ca ressemblait beaucoup aux retours inopinés de Paulo.
C’était à qui voudrait prendre l’autre en premier. On s’embrassait, on se léchait, on se mordillait les tétons, on se suçait le gland, on se doigtait à qui mieux mieux. Rémi me coiffa sur le poteau en m’enculant presqu’à sec. Je lui enduisis le reste de sa hampe de gel. Pour rigoler, je lui en mis aussi sur les couilles ! Direct, il se mit à me trombonner furieusement. J’étai trop content de le retrouver ainsi, affamé de mon corps. Il me serrait à me rompre. J’eus droit à une séance homérique. Il finit en nage et moi aussi. Il éjacula sur mon visage et vint me lécher aussitôt.
Je ne le laissais guère récupérer et, à mon tour, je le sodomisais d’un seul coup. Avec du gel quand même. J’aimais sentir son corps plein de sueur contre le mien. Je savais que j’aurais du lui laisser un peu de temps pour récupérer après toute cette débauche d’énergie, mais j’avais trop faim de lui, de son corps, de son cul, après ces quatre jours sans. A mon tour, je le pistonnais de toutes mes forces. Cela dura moins longtemps que lui car je jouis plus vite en général.
Repus tous les deux, on retomba côte à côte, en nage. Et on commença à parler…Il commença par me raconter comment Tim s’était comporté pendant ces quatre jours. A son avis, au fil des jours, il reprenait du poil de la bête, les crises de larmes étant de plus en plus espacées. Commençait-il déjà à oublier Léa ? Là était la question. Rémi reconnut aussi qu’il n’avait pas eu l’idée du siècle en tenant compagnie à Tim mais il avait trop peur que Tim fasse une bêtise comme lui-même l’avait fait quelques années plus tôt.
Car, bien sûr, ils avaient baisé, rebaisé et rerebaisé comme des malades, comme des fous. Pardon, ils avaient FAIT L’AMOUR ! Aîe ! Ils avaient adoré Tim, comme Rémi. Et c’est bien là qu’était le problème. Honnêtement, Rémi reconnaissait que Tim l’attirait beaucoup….Et pas seulement sa bite ! Il le trouvait touchant, sincère, honnête et bogosse aussi. C’était aussi le cas de Tim, d’après Rémi. Bref, Rémi essayait de me dire qu’il aimerait peut être tenter un essai de vie commune avec Tim. Il me dit aussi qu’il AVAIT CRU m’aimer mais qu’il ressentait quelque chose de plus fort, de plus troublant avec Tim.
J’étais crucifié.
Bien sûr, j’avais eu un pressentiment mais on pense toujours qu’on psychote…Rémi me dit aussi que j’avais toujours dit que c’était Paulo que j’aimais et que c’était réciproque. Il se mit à pleurer doucement. Il était mortifié de m’avoir fait de la peine et de me faire ce coup là après qu’on l’ait « recueilli » après sa bêtise. De plus, c’était évident qu’on tenait encore l’un à l’autre. Nos retrouvailles l’avaient prouvé.
Mais….C’est la vie. Chacun son parcours. Je lui dis que je le regretterai beaucoup car c’était un gars bien, honnête, franc et bogosse aussi. Que je regretterai aussi beaucoup sa douceur, son expérience et nos « corps à corps », assez exceptionnels, grâce à lui. Ca le fit pleurer encore plus.
Il me demanda la permission de dormir ici cette nuit. Il partirait demain, sans forcément prendre toutes ses affaires… Je me collais à lui pour m’endormir. Je ne réussis pas à trouver le sommeil. Lui non plus.
A la pointe du jour, il voulut, à nouveau me refaire l’amour. Je n’attendais que ça. Je me mis aussitôt sur le dos, mes chevilles surs ses épaules. Je voulais me le graver définitivement dans la rétine. Pour toujours. Ce fut doux, doux, doux… Cette fois, c’est moi qui pleurais. Plusieurs fois, il me proposa d’arrêter, à la limite de perdre son érection.
« -Surtout pas, Rémi ! Fais moi l’amour comme jamais ! » Ce qu’il fit.
Généreux, il pensa aussi à mon plaisir, inassouvi. Il me prit en bouche et me fit une magnifique fellation. Il avala tout jusqu’à la dernière goutte.
Son départ fut un vrai déchirement. On n’en finissait plus de se serrer dans les bras, sans réussir à se quitter.
Je dois avouer que je n’y croyais plus. Pas un seul coup de fil pendant ces quatre jours. Durant tout ce temps, je les ai imaginés entrain de baiser dans toutes les positions et dans tous les endroits possibles.
Quand il ouvrit la porte de l’appart, on se sauta dessus, littéralement. On s’arracha nos vêtements mutuellement. Il y en avait partout, de l’entrée à la chambre. Tiens, Rémi avait un slip que je ne lui connaissais pas… En slips, bandés comme des arcs, on roula sur le lit, se dévorant la bouche furieusement comme si on ne s’était pas vu depuis des semaines. Ca ressemblait beaucoup aux retours inopinés de Paulo.
C’était à qui voudrait prendre l’autre en premier. On s’embrassait, on se léchait, on se mordillait les tétons, on se suçait le gland, on se doigtait à qui mieux mieux. Rémi me coiffa sur le poteau en m’enculant presqu’à sec. Je lui enduisis le reste de sa hampe de gel. Pour rigoler, je lui en mis aussi sur les couilles ! Direct, il se mit à me trombonner furieusement. J’étai trop content de le retrouver ainsi, affamé de mon corps. Il me serrait à me rompre. J’eus droit à une séance homérique. Il finit en nage et moi aussi. Il éjacula sur mon visage et vint me lécher aussitôt.
Je ne le laissais guère récupérer et, à mon tour, je le sodomisais d’un seul coup. Avec du gel quand même. J’aimais sentir son corps plein de sueur contre le mien. Je savais que j’aurais du lui laisser un peu de temps pour récupérer après toute cette débauche d’énergie, mais j’avais trop faim de lui, de son corps, de son cul, après ces quatre jours sans. A mon tour, je le pistonnais de toutes mes forces. Cela dura moins longtemps que lui car je jouis plus vite en général.
Repus tous les deux, on retomba côte à côte, en nage. Et on commença à parler…Il commença par me raconter comment Tim s’était comporté pendant ces quatre jours. A son avis, au fil des jours, il reprenait du poil de la bête, les crises de larmes étant de plus en plus espacées. Commençait-il déjà à oublier Léa ? Là était la question. Rémi reconnut aussi qu’il n’avait pas eu l’idée du siècle en tenant compagnie à Tim mais il avait trop peur que Tim fasse une bêtise comme lui-même l’avait fait quelques années plus tôt.
Car, bien sûr, ils avaient baisé, rebaisé et rerebaisé comme des malades, comme des fous. Pardon, ils avaient FAIT L’AMOUR ! Aîe ! Ils avaient adoré Tim, comme Rémi. Et c’est bien là qu’était le problème. Honnêtement, Rémi reconnaissait que Tim l’attirait beaucoup….Et pas seulement sa bite ! Il le trouvait touchant, sincère, honnête et bogosse aussi. C’était aussi le cas de Tim, d’après Rémi. Bref, Rémi essayait de me dire qu’il aimerait peut être tenter un essai de vie commune avec Tim. Il me dit aussi qu’il AVAIT CRU m’aimer mais qu’il ressentait quelque chose de plus fort, de plus troublant avec Tim.
J’étais crucifié.
Bien sûr, j’avais eu un pressentiment mais on pense toujours qu’on psychote…Rémi me dit aussi que j’avais toujours dit que c’était Paulo que j’aimais et que c’était réciproque. Il se mit à pleurer doucement. Il était mortifié de m’avoir fait de la peine et de me faire ce coup là après qu’on l’ait « recueilli » après sa bêtise. De plus, c’était évident qu’on tenait encore l’un à l’autre. Nos retrouvailles l’avaient prouvé.
Mais….C’est la vie. Chacun son parcours. Je lui dis que je le regretterai beaucoup car c’était un gars bien, honnête, franc et bogosse aussi. Que je regretterai aussi beaucoup sa douceur, son expérience et nos « corps à corps », assez exceptionnels, grâce à lui. Ca le fit pleurer encore plus.
Il me demanda la permission de dormir ici cette nuit. Il partirait demain, sans forcément prendre toutes ses affaires… Je me collais à lui pour m’endormir. Je ne réussis pas à trouver le sommeil. Lui non plus.
A la pointe du jour, il voulut, à nouveau me refaire l’amour. Je n’attendais que ça. Je me mis aussitôt sur le dos, mes chevilles surs ses épaules. Je voulais me le graver définitivement dans la rétine. Pour toujours. Ce fut doux, doux, doux… Cette fois, c’est moi qui pleurais. Plusieurs fois, il me proposa d’arrêter, à la limite de perdre son érection.
« -Surtout pas, Rémi ! Fais moi l’amour comme jamais ! » Ce qu’il fit.
Généreux, il pensa aussi à mon plaisir, inassouvi. Il me prit en bouche et me fit une magnifique fellation. Il avala tout jusqu’à la dernière goutte.
Son départ fut un vrai déchirement. On n’en finissait plus de se serrer dans les bras, sans réussir à se quitter.
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