Remi1
Récit érotique écrit par Sucette [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Remi1
Je m'appelle Rémi. Il y a 40 ans, j'ai rencontré celle qui m’a tout appris.
Avant elle, je n'avais eu que des rapports homosexuels. Petit et sec, je ne faisais pas le poids. J'étais timide et complexé.
Je n'ai jamais connu mon père qui s'est barré dès ma conception.
Ma mère s'est marié avec un homme divorcé et c'est ma grand-mère veuve qui m'a élevé en partie.
Ma scolarité s'est terminée en internat et j'étais le souffre douleur des garçons plus téméraires.
Je me laissais tripoter, on m'imposait toutes sortes d'humiliation et de jeux sexuels.
On me traitait de gonzesse, de pédé et je suis devenue la femme des plus forts. Le jeudi, il m'obligeait à me maquiller, à porter jupe et bas résille, de faux seins et d'aller aguicher des vieux pervers dans les jardins publics.
Le soir, ils venaient dans mon lit, m'obligeait à me déshabiller et ils m'embrassaient. Puis je devrais prendre leurs verges, la décalotter, la faire durcir et la prendre en bouche silencieusement pour ne pas alerter le surveillant.
Ils me baisaient la bouche à force de grands coups de rein puis ils se répandaient. Un second prenaient sa place malgré mes pleurs.
Il m'était impossible de me rebeller sous peine de châtiments corporels.
La douche du matin ou du soir était aussi une épreuve. On me coinçait dans une douche la plus éloignée, deux costauds en interdisaient l'accès pendant que l'on me savonnait le postérieur et que l'on me violait.
J'avais personne à qui me confier et je m'adaptais à mon sort avec comme objectif la réussite scolaire.
Plus tard,j'ai réussi les concours d'entrée dans une grande école d'ingénieurs et le bizutage a recommencé et s'est poursuivi pendant toute ma formation si bien que jeune adulte, cela faisait partie de moi. J'étais conditionné et recherchais ce type de soumission à des hommes actifs et dominateurs.
J'aimais fréquenter les lieux de drague.
Une après midi, je déambulais dans le sous bois, ne gardant que mon tee shirt, le reste dans un petit sac dans l'espoir de trouver un coin pour bronzer intégralement, près de la rivière .
Tout autour de moi, il y avait des alcôves aménagés dans la végétation. Ce jour-là, aucune n'était occupé quand je vis deux filles se gamahuchant. Je m'arrête pour contempler cette situation inhabituelle.
Dans ce genre d'endroit il est courant de voir deux mecs flirter, se sucer ou se prendre mais c'était la première fois que je voyais deux filles en pleine action.
Une fille était allongée sur le dos, la tête vers moi, la seconde, au dessus tête bêche, son postérieur face à moi, son anus étoilé me regardait comme un soleil.
Chacune léchait avec application l'autre. Je voyais la langue de celle qui était dessous laper son clitoris et ses grandes lèvres. La tête de l'autre disparaissant entre ses cuisses. Leurs gestes étaient frénétiques.
En regardant ces deux nymphes s'octroyant du plaisir, mon sexe s'est allongé et redressé.
Instinctivement, ma main saisit ma verge et je commence à me masturber.
J'entends les filles jouir de concert et être agitées de soubresauts. Celle qui est en dessous me fait signe d'approcher, elle saisit mon sexe et me force à m'agenouiller.
Mon postérieur repose sur son visage, mes testicules sont sur ses lèvres et ma verge bute sur l'entrée du vagin de sa copine. Elle la saisit par les hanches et l'empale sur ma verge.
Je bute sur son col . Surprise, elle comprends et accepte volontiers la situation. Sans que je fasse quoi que ce soit, elle entame une série de va et viens de plus en plus rapide.
Un nouvel orgasme la saisit, pendant que j'expulse une quantité de sperme phénoménale. Elle se redresse à moitié étourdie. Nous écrasons la tête de sa camarade . Je sens toute notre jouissance coulée sur son visage, ses lèvres et sa poitrine.
Tandis que nous nous levons, elle boit nos jus et les ramasse avec ses doigts qu'elle lèche.
Nous nous asseyons sur le plaid face à la rivière. Tout est calme, nous sommes détendus face au soleil. Je romps le silence en les remerciant. Je leur avoue qu'elles m'ont dépucelé.
Elle apprenne mon âge et sont ébahies qu'à 24 ans je n'ai jamais connu de femme.
A mon tour je leur demande si ce que je viens de voir est habituel pour elle.
Elles m'avouent être bisexuelles avec une préférence pour les hommes.
Mais elles aiment aussi mater des homos et qu'aujourd'hui, il n'y avait personne. C'est en s'étalant de la crème solaire qu'elles ont commencé à se caresser puis à s'embrasser avant d'être en 69.
La discussion commençait à m'émoustiller à nouveau et nous avons commencé à nous caresser.
Celle qui m'avait fait signe se montrait très câline et entreprenante. Elle trouvait mon sexe long et fin et elle le faisait rebondir contre mon nombril. Elle m'a demandé si je pouvais l'embrasser en me courbant.
Je lui ai montré que si je m'appuyais sur mes épaules et ma nuque, les jambes en l'air, mon gland effleurait mes lèvres et qu'ainsi , je pouvais éjaculer dans ma bouche…
Elles m'ont branlé, sucé et je les ai pénétré l'une après l'autre en compagnie des oiseaux.
Elles se sont séparées et j'ai invité la plus entreprenante chez moi.
C'est une fille forte, voire très forte avec un mental surprenant. Nous nous sommes trouvés beaucoup de points communs : Une histoire compliquée, une sexualité tourmentée, un grand appétit de connaissances, une culture scientifique en math physique. Nucléaire pour moi, biologique pour elle.
Nous avons refait l'amour comme des bêtes mais pour chacun il manquait quelque chose.
Aussi pour le lendemain, nous avons projeté une sortie plus hard.
Avant elle, je n'avais eu que des rapports homosexuels. Petit et sec, je ne faisais pas le poids. J'étais timide et complexé.
Je n'ai jamais connu mon père qui s'est barré dès ma conception.
Ma mère s'est marié avec un homme divorcé et c'est ma grand-mère veuve qui m'a élevé en partie.
Ma scolarité s'est terminée en internat et j'étais le souffre douleur des garçons plus téméraires.
Je me laissais tripoter, on m'imposait toutes sortes d'humiliation et de jeux sexuels.
On me traitait de gonzesse, de pédé et je suis devenue la femme des plus forts. Le jeudi, il m'obligeait à me maquiller, à porter jupe et bas résille, de faux seins et d'aller aguicher des vieux pervers dans les jardins publics.
Le soir, ils venaient dans mon lit, m'obligeait à me déshabiller et ils m'embrassaient. Puis je devrais prendre leurs verges, la décalotter, la faire durcir et la prendre en bouche silencieusement pour ne pas alerter le surveillant.
Ils me baisaient la bouche à force de grands coups de rein puis ils se répandaient. Un second prenaient sa place malgré mes pleurs.
Il m'était impossible de me rebeller sous peine de châtiments corporels.
La douche du matin ou du soir était aussi une épreuve. On me coinçait dans une douche la plus éloignée, deux costauds en interdisaient l'accès pendant que l'on me savonnait le postérieur et que l'on me violait.
J'avais personne à qui me confier et je m'adaptais à mon sort avec comme objectif la réussite scolaire.
Plus tard,j'ai réussi les concours d'entrée dans une grande école d'ingénieurs et le bizutage a recommencé et s'est poursuivi pendant toute ma formation si bien que jeune adulte, cela faisait partie de moi. J'étais conditionné et recherchais ce type de soumission à des hommes actifs et dominateurs.
J'aimais fréquenter les lieux de drague.
Une après midi, je déambulais dans le sous bois, ne gardant que mon tee shirt, le reste dans un petit sac dans l'espoir de trouver un coin pour bronzer intégralement, près de la rivière .
Tout autour de moi, il y avait des alcôves aménagés dans la végétation. Ce jour-là, aucune n'était occupé quand je vis deux filles se gamahuchant. Je m'arrête pour contempler cette situation inhabituelle.
Dans ce genre d'endroit il est courant de voir deux mecs flirter, se sucer ou se prendre mais c'était la première fois que je voyais deux filles en pleine action.
Une fille était allongée sur le dos, la tête vers moi, la seconde, au dessus tête bêche, son postérieur face à moi, son anus étoilé me regardait comme un soleil.
Chacune léchait avec application l'autre. Je voyais la langue de celle qui était dessous laper son clitoris et ses grandes lèvres. La tête de l'autre disparaissant entre ses cuisses. Leurs gestes étaient frénétiques.
En regardant ces deux nymphes s'octroyant du plaisir, mon sexe s'est allongé et redressé.
Instinctivement, ma main saisit ma verge et je commence à me masturber.
J'entends les filles jouir de concert et être agitées de soubresauts. Celle qui est en dessous me fait signe d'approcher, elle saisit mon sexe et me force à m'agenouiller.
Mon postérieur repose sur son visage, mes testicules sont sur ses lèvres et ma verge bute sur l'entrée du vagin de sa copine. Elle la saisit par les hanches et l'empale sur ma verge.
Je bute sur son col . Surprise, elle comprends et accepte volontiers la situation. Sans que je fasse quoi que ce soit, elle entame une série de va et viens de plus en plus rapide.
Un nouvel orgasme la saisit, pendant que j'expulse une quantité de sperme phénoménale. Elle se redresse à moitié étourdie. Nous écrasons la tête de sa camarade . Je sens toute notre jouissance coulée sur son visage, ses lèvres et sa poitrine.
Tandis que nous nous levons, elle boit nos jus et les ramasse avec ses doigts qu'elle lèche.
Nous nous asseyons sur le plaid face à la rivière. Tout est calme, nous sommes détendus face au soleil. Je romps le silence en les remerciant. Je leur avoue qu'elles m'ont dépucelé.
Elle apprenne mon âge et sont ébahies qu'à 24 ans je n'ai jamais connu de femme.
A mon tour je leur demande si ce que je viens de voir est habituel pour elle.
Elles m'avouent être bisexuelles avec une préférence pour les hommes.
Mais elles aiment aussi mater des homos et qu'aujourd'hui, il n'y avait personne. C'est en s'étalant de la crème solaire qu'elles ont commencé à se caresser puis à s'embrasser avant d'être en 69.
La discussion commençait à m'émoustiller à nouveau et nous avons commencé à nous caresser.
Celle qui m'avait fait signe se montrait très câline et entreprenante. Elle trouvait mon sexe long et fin et elle le faisait rebondir contre mon nombril. Elle m'a demandé si je pouvais l'embrasser en me courbant.
Je lui ai montré que si je m'appuyais sur mes épaules et ma nuque, les jambes en l'air, mon gland effleurait mes lèvres et qu'ainsi , je pouvais éjaculer dans ma bouche…
Elles m'ont branlé, sucé et je les ai pénétré l'une après l'autre en compagnie des oiseaux.
Elles se sont séparées et j'ai invité la plus entreprenante chez moi.
C'est une fille forte, voire très forte avec un mental surprenant. Nous nous sommes trouvés beaucoup de points communs : Une histoire compliquée, une sexualité tourmentée, un grand appétit de connaissances, une culture scientifique en math physique. Nucléaire pour moi, biologique pour elle.
Nous avons refait l'amour comme des bêtes mais pour chacun il manquait quelque chose.
Aussi pour le lendemain, nous avons projeté une sortie plus hard.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Scénario intéressant et hors des clichés.
A poursuivre, intéressé par une suite
A poursuivre, intéressé par une suite
Scénario intéressant et hors des clichés.
A poursuivre, intéressé par une suite
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Et donc vous n’avez jamais porté pour viol ??? 🤷♀️