Rencontre à la piscine
Récit érotique écrit par Katagena [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre à la piscine
Aujourd’hui, pour me détendre, je décide d’aller à la piscine. Cela fait quelques
temps que je n’ai pas
pris le temps d’aller nager.
Je me remets dans le rythme, enchaîne les longueurs, puis après 45 minutes plutôt
intensives,
je décide de m’arrêter là. Je sors du bassin et pars chercher ma serviette. Je sens
alors un regard
insistant sur moi, qui ne me lâche plus. Je le sens me suivre lorsque je marche le
long du bassin, et
jette furtivement un regard à l’homme qui me l’adresse. Brun, plutôt musclé, il semble
captivé par
mon corps, j’en suis presque mal à l’aise. Je continue à marcher vers la sortie et me
dirige vers les
douches, d’une démarche plutôt mal assurée.
L’eau chaude me fait le plus grand bien, l’odeur des savons mélangés me délasse. Je
reste ainsi un
moment, happé par cette sensation de l’eau ruisselant sur ma peau, j’ai toujours adoré
ça. Puis vient
le moment de se rhabiller. J’ai choisi une robe noire, qui arrive à mi-cuisse, plutôt
décolletée, avec
des bas rouges et des bottes. Je sors sur le banc à l’extérieur des vestiaires et me
retrouve alors face
à cet homme, assis sur le banc d’en face, en train de lacer ses chaussures. Je souris
intérieurement,
cela ne peut pas être une coïncidence. Il a dû rester à peine 15 minutes dans l’eau.
Je remonte la
fermeture éclair de mes bottes, attrape mon sac et monte les escaliers sans le
regarder, je sens ses
pas derrière moi, mon cœur s’accélère, je suis convaincue qu’il veut me parler. Puis
rien, je sors
de la piscine, me dirige vers ma voiture, tout en me disant que je ferai bien d’être
un peu moins
présomptueuse, tous les hommes ne me courent pas après !
C’est alors que j’entends une voix derrière moi. C’est lui. Je souris et me retourne.
Il me dit
alors : « on a déjà du te le dire mais tu m’as carrément excité avec tes tatouages ».
Je suis un
peu étonnée du côté très direct de ses propos. Non on ne l’avait jamais dit de cette
façon ! Il me
demande alors si on peut aller boire un verre. Me disant qu’après tout, rien n’était
plus grisant que
d’aller vers l’inconnu, je lui réponds que je suis d’accord et le suis jusqu’à sa
voiture. Cette part
d’inconscience m’excite autant qu’elle m’inquiète. Alors que je m’assieds, je vois son
regard se poser
sur mes jambes. Alors qu’il conduit, il en profite pour frôler ma jambe chaque fois
qu’il passe une
vitesse. Le contact de sa main m’étourdit, je décale légèrement ma jambe afin qu’il
soit plus franc, ce
qui a également pour effet de faire remonter ma jupe jusqu’au liseret de mes bas. Il
pose carrément
sa main sur ma cuisse, alors qu’il regarde droit devant. Il ne dit pas un mot, si je
ne sentais pas le
contact de sa main brûlante sur ma cuisse, l’on pourrait penser qu’il est totalement
indifférent à mes
charmes. Il s’arrête sur un parking situé sur la place du centre-ville et reste dans
la voiture, attendant
que je descende. Sans aucun scrupule, il regarde mes fesses. J’aime son côté direct,
sans équivoque.
Nous marchons une minute et entrons dans un bar. Nous nous installons à l’intérieur à
une table
légèrement en retrait, et nous commandons 2 cocktails maison. Nous sommes assis côte à
côte,
devant une petite table ronde. La chaleur de nos corps bouillonnant de plaisir doit se
sentir à des
kilomètres à la ronde. Je me sens fébrile. La discussion reste tout d’abord banale,
nous parlons de
la piscine, je lui explique que je viens plutôt un autre jour d’habitude, lui au
contraire vient toujours
nager le mardi, ce qui explique que nous ne nous sommes jamais croisés. La discussion
est banale,
mais les gestes ne le sont pas. Je caresse le pied de mon verre, il regarde ma main
monter de haut
en bas avec envie, mon geste est lent, équivoque. Je le regarde dans les yeux. Il
passe alors sa main
sous la table et la pose sur mon genou. Il le masse un instant, puis commence à
remonter doucement
sous ma robe, il se glisse sous le fin tissu et arrive jusqu’à la dentelle de mes bas.
J’écarte un peu les
jambes, ne pouvant me retenir. Ma main ne bouge plus, elle serre mon verre maintenant.
Ses doigts
grimpent, explorent, caressent ma peau. Je me mords la lèvre tandis qu’il frôle le
tissu de mon string.
Un de ses doigts s’immisce dessous. Je me rapproche alors un peu de lui et, tandis que
nos lèvres se
rencontrent, ma main prend la direction de son entrejambe et n’est pas déçue du
voyage. Il semble
prêt à passer à la suite de toute évidence et son jean le laisse à l’étroit. Il me
murmure à l’oreille qu’il
n’habite pas loin et me propose de continuer chez lui.
Alors que j’acquiesce, il part payer et nous partons à pied en direction d’un immeuble
qui est à
quelques mètres du bar. Je comprends mieux le regard complice du barman quand nous
sommes
entrés. Il ouvre la porte et, à peine refermée, il m’attrape et me serre contre lui en
m’embrassant.
Je lui enlève son tee-shirt, j’aime sentir sa peau chaude et parfumée de chlore. Ses
mains ne savent
plus où aller, tantôt sur mes seins, tantôt sur mes fesses. Il soulève carrément ma
robe pour les
pétrir avec envie. Pendant ce temps, je défais les boutons de son jean et le laisse
glisser le long de
ses jambes. Je m’accroupis et commence à lécher son sexe à travers son caleçon. Il
gémit en me
caressant les cheveux. Ne tenant plus, il baisse de lui-même son caleçon et son sexe
se dresse vers
moi. Il est beau, et donne envie immédiatement de le prendre en bouche. Il lui reste
un petit goût
de javel, qui n’est pas du tout désagréable. Il me laisse faire quelques minutes puis
me prend par
la main et m’emmène dans sa chambre. Il me retire ma robe, mes sous-vêtements, je suis
debout
devant lui, ne portant plus que mes bas. Je retire mes bottes et m’allonge sur le lit
où il s’empresse
de me rejoindre, m’embrassant à nouveau. Ses doigts vont directement vers mon antre
trempé, et
il semble satisfait à cette sensation. J’attrape son sexe et commence à le caresser
comme ce verre
tout à l’heure, doucement. Tandis qu’il me caresse les seins, sa langue se promène
maintenant sur
mon corps. Elle semble vouloir parcourir le chemin de mes tatouages qui le mènent
droit vers mon
clitoris. Sa langue s’y attarde, tourne, le presse. Je bascule la tête en arrière,
ferme les yeux, et sens
l’orgasme monter. Je ne peux retenir un cri de jouissance.
Il enfile alors rapidement un préservatif et me pénètre sans ménagement. Ses coups de
hanches
se font brusques, il est débordé par son envie. J’agrippe ses fesses, y plante mes
ongles, et
l’accompagne dans ce mouvement. Puis il se retire et me tourne. Je suis maintenant à
quatre pattes,
le menton sur le dessus de lit, les fesses relevées et cambrées avec provocation. Il
me prend par
derrière tout en me pénétrant l’anus d’un doigt. Il semble vouloir tester ma réaction.
Je gémis de
plus belle, un nouvel orgasme m’envahit. Mes mains se crispent et tire le dessus de
lit. Il se retire
alors et présente son gland à l’entrée de mes fesses. Il pousse doucement, m’observe.
Je soupire de
plaisir, il sait qu’il peut y aller. Et il ne s’en prive pas. Les va-et-vient son
rapide, il tient fermement
mes hanches, je me cambre de plus belle. Je crie telle une lionne, je ne me soucie
plus d’être discrète
tellement je perds pied. Il gémit également à chaque coup de hanche, et l’entendre
ainsi m’excite
encore davantage. Puis il laisse tout son poids me tomber dessus, je m’allonge alors
et sens son sexe
tressaillir. Il reste allongé ainsi, puis se retire doucement. Il me caresse l’épaule
et me dit : « C’était
vraiment trop bon ! »
Je lui souris. Je sens encore mes jambes trembler de trop de jouissance. Il me faut
quelques minutes
pour me ressaisir. Il m’apporte un grand verre d’eau fraîche que je descends d’un
trait. Il m’a
vraiment donné chaud ! Il a remis son jean, et est resté torse nu, comme si une fois
nos ébats passés,
la pudeur était revenue. Il me propose sa salle de bains si je le souhaite, mais j’ai
envie de garder son
odeur sur moi, j’aime tellement me sentir collante de la sueur d’un homme qui a joui
en moi. Je me
rhabille, et il me ramène au parking de la piscine.
Il sort de la voiture pour me dire au revoir. Il me tire vers lui, et m’embrasse
langoureusement en
plaquant ses mains sur mes fesses. Je passe mes bras autour de son cou et lui rend ce
baiser. Peut-
être qu’un jour je le reverrai, je ne connais même pas son nom, mais une chose est
sûre je ne suis pas
prête de l’oublier…
temps que je n’ai pas
pris le temps d’aller nager.
Je me remets dans le rythme, enchaîne les longueurs, puis après 45 minutes plutôt
intensives,
je décide de m’arrêter là. Je sors du bassin et pars chercher ma serviette. Je sens
alors un regard
insistant sur moi, qui ne me lâche plus. Je le sens me suivre lorsque je marche le
long du bassin, et
jette furtivement un regard à l’homme qui me l’adresse. Brun, plutôt musclé, il semble
captivé par
mon corps, j’en suis presque mal à l’aise. Je continue à marcher vers la sortie et me
dirige vers les
douches, d’une démarche plutôt mal assurée.
L’eau chaude me fait le plus grand bien, l’odeur des savons mélangés me délasse. Je
reste ainsi un
moment, happé par cette sensation de l’eau ruisselant sur ma peau, j’ai toujours adoré
ça. Puis vient
le moment de se rhabiller. J’ai choisi une robe noire, qui arrive à mi-cuisse, plutôt
décolletée, avec
des bas rouges et des bottes. Je sors sur le banc à l’extérieur des vestiaires et me
retrouve alors face
à cet homme, assis sur le banc d’en face, en train de lacer ses chaussures. Je souris
intérieurement,
cela ne peut pas être une coïncidence. Il a dû rester à peine 15 minutes dans l’eau.
Je remonte la
fermeture éclair de mes bottes, attrape mon sac et monte les escaliers sans le
regarder, je sens ses
pas derrière moi, mon cœur s’accélère, je suis convaincue qu’il veut me parler. Puis
rien, je sors
de la piscine, me dirige vers ma voiture, tout en me disant que je ferai bien d’être
un peu moins
présomptueuse, tous les hommes ne me courent pas après !
C’est alors que j’entends une voix derrière moi. C’est lui. Je souris et me retourne.
Il me dit
alors : « on a déjà du te le dire mais tu m’as carrément excité avec tes tatouages ».
Je suis un
peu étonnée du côté très direct de ses propos. Non on ne l’avait jamais dit de cette
façon ! Il me
demande alors si on peut aller boire un verre. Me disant qu’après tout, rien n’était
plus grisant que
d’aller vers l’inconnu, je lui réponds que je suis d’accord et le suis jusqu’à sa
voiture. Cette part
d’inconscience m’excite autant qu’elle m’inquiète. Alors que je m’assieds, je vois son
regard se poser
sur mes jambes. Alors qu’il conduit, il en profite pour frôler ma jambe chaque fois
qu’il passe une
vitesse. Le contact de sa main m’étourdit, je décale légèrement ma jambe afin qu’il
soit plus franc, ce
qui a également pour effet de faire remonter ma jupe jusqu’au liseret de mes bas. Il
pose carrément
sa main sur ma cuisse, alors qu’il regarde droit devant. Il ne dit pas un mot, si je
ne sentais pas le
contact de sa main brûlante sur ma cuisse, l’on pourrait penser qu’il est totalement
indifférent à mes
charmes. Il s’arrête sur un parking situé sur la place du centre-ville et reste dans
la voiture, attendant
que je descende. Sans aucun scrupule, il regarde mes fesses. J’aime son côté direct,
sans équivoque.
Nous marchons une minute et entrons dans un bar. Nous nous installons à l’intérieur à
une table
légèrement en retrait, et nous commandons 2 cocktails maison. Nous sommes assis côte à
côte,
devant une petite table ronde. La chaleur de nos corps bouillonnant de plaisir doit se
sentir à des
kilomètres à la ronde. Je me sens fébrile. La discussion reste tout d’abord banale,
nous parlons de
la piscine, je lui explique que je viens plutôt un autre jour d’habitude, lui au
contraire vient toujours
nager le mardi, ce qui explique que nous ne nous sommes jamais croisés. La discussion
est banale,
mais les gestes ne le sont pas. Je caresse le pied de mon verre, il regarde ma main
monter de haut
en bas avec envie, mon geste est lent, équivoque. Je le regarde dans les yeux. Il
passe alors sa main
sous la table et la pose sur mon genou. Il le masse un instant, puis commence à
remonter doucement
sous ma robe, il se glisse sous le fin tissu et arrive jusqu’à la dentelle de mes bas.
J’écarte un peu les
jambes, ne pouvant me retenir. Ma main ne bouge plus, elle serre mon verre maintenant.
Ses doigts
grimpent, explorent, caressent ma peau. Je me mords la lèvre tandis qu’il frôle le
tissu de mon string.
Un de ses doigts s’immisce dessous. Je me rapproche alors un peu de lui et, tandis que
nos lèvres se
rencontrent, ma main prend la direction de son entrejambe et n’est pas déçue du
voyage. Il semble
prêt à passer à la suite de toute évidence et son jean le laisse à l’étroit. Il me
murmure à l’oreille qu’il
n’habite pas loin et me propose de continuer chez lui.
Alors que j’acquiesce, il part payer et nous partons à pied en direction d’un immeuble
qui est à
quelques mètres du bar. Je comprends mieux le regard complice du barman quand nous
sommes
entrés. Il ouvre la porte et, à peine refermée, il m’attrape et me serre contre lui en
m’embrassant.
Je lui enlève son tee-shirt, j’aime sentir sa peau chaude et parfumée de chlore. Ses
mains ne savent
plus où aller, tantôt sur mes seins, tantôt sur mes fesses. Il soulève carrément ma
robe pour les
pétrir avec envie. Pendant ce temps, je défais les boutons de son jean et le laisse
glisser le long de
ses jambes. Je m’accroupis et commence à lécher son sexe à travers son caleçon. Il
gémit en me
caressant les cheveux. Ne tenant plus, il baisse de lui-même son caleçon et son sexe
se dresse vers
moi. Il est beau, et donne envie immédiatement de le prendre en bouche. Il lui reste
un petit goût
de javel, qui n’est pas du tout désagréable. Il me laisse faire quelques minutes puis
me prend par
la main et m’emmène dans sa chambre. Il me retire ma robe, mes sous-vêtements, je suis
debout
devant lui, ne portant plus que mes bas. Je retire mes bottes et m’allonge sur le lit
où il s’empresse
de me rejoindre, m’embrassant à nouveau. Ses doigts vont directement vers mon antre
trempé, et
il semble satisfait à cette sensation. J’attrape son sexe et commence à le caresser
comme ce verre
tout à l’heure, doucement. Tandis qu’il me caresse les seins, sa langue se promène
maintenant sur
mon corps. Elle semble vouloir parcourir le chemin de mes tatouages qui le mènent
droit vers mon
clitoris. Sa langue s’y attarde, tourne, le presse. Je bascule la tête en arrière,
ferme les yeux, et sens
l’orgasme monter. Je ne peux retenir un cri de jouissance.
Il enfile alors rapidement un préservatif et me pénètre sans ménagement. Ses coups de
hanches
se font brusques, il est débordé par son envie. J’agrippe ses fesses, y plante mes
ongles, et
l’accompagne dans ce mouvement. Puis il se retire et me tourne. Je suis maintenant à
quatre pattes,
le menton sur le dessus de lit, les fesses relevées et cambrées avec provocation. Il
me prend par
derrière tout en me pénétrant l’anus d’un doigt. Il semble vouloir tester ma réaction.
Je gémis de
plus belle, un nouvel orgasme m’envahit. Mes mains se crispent et tire le dessus de
lit. Il se retire
alors et présente son gland à l’entrée de mes fesses. Il pousse doucement, m’observe.
Je soupire de
plaisir, il sait qu’il peut y aller. Et il ne s’en prive pas. Les va-et-vient son
rapide, il tient fermement
mes hanches, je me cambre de plus belle. Je crie telle une lionne, je ne me soucie
plus d’être discrète
tellement je perds pied. Il gémit également à chaque coup de hanche, et l’entendre
ainsi m’excite
encore davantage. Puis il laisse tout son poids me tomber dessus, je m’allonge alors
et sens son sexe
tressaillir. Il reste allongé ainsi, puis se retire doucement. Il me caresse l’épaule
et me dit : « C’était
vraiment trop bon ! »
Je lui souris. Je sens encore mes jambes trembler de trop de jouissance. Il me faut
quelques minutes
pour me ressaisir. Il m’apporte un grand verre d’eau fraîche que je descends d’un
trait. Il m’a
vraiment donné chaud ! Il a remis son jean, et est resté torse nu, comme si une fois
nos ébats passés,
la pudeur était revenue. Il me propose sa salle de bains si je le souhaite, mais j’ai
envie de garder son
odeur sur moi, j’aime tellement me sentir collante de la sueur d’un homme qui a joui
en moi. Je me
rhabille, et il me ramène au parking de la piscine.
Il sort de la voiture pour me dire au revoir. Il me tire vers lui, et m’embrasse
langoureusement en
plaquant ses mains sur mes fesses. Je passe mes bras autour de son cou et lui rend ce
baiser. Peut-
être qu’un jour je le reverrai, je ne connais même pas son nom, mais une chose est
sûre je ne suis pas
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