Rencontre à la piscine Ep01
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontre à la piscine Ep01
Rencontre à la piscine Ep01
Chez David
Vous savez, j'ai l’œil, et j'ai remarqué le détail à mon premier coup d’œil. Il était grand, mince, les muscles se dessinaient parfaitement sur son torse et sur son ventre, il avait les bras et les jambes bien forts, il se tenait bien droit avec un léger sourire. Il avait un maillot de bain noir.
C'était une bonne idée s'il voulait passer inaperçu, mais malgré cette petite précaution on devinait la forme d'un petit dispositif de chasteté. Oh c'était discret et il fallait bien regarder, et au bon endroit en plus, au risque de ne rien voir.
Malgré tout je n'étais pas sûr de moi. Je le regardais,peut être avec un peu trop d'insistance, il a fini par le remarquer.
Son comportement alors changeait légèrement, j'avais comme l'impression qu'il voulait que je le voie. Il me rendais regard pour regard. Et un instant, il était alors assis en face de moi sur le rebord de la piscine, les pieds dans l'eau, les cuisses écartées. C'est en me regardant qu'il ajustait son maillot et là c'était très clair, d’où j'étais je le voyais parfaitement, il avait bien une cage de chasteté.
Je parvenais même à en deviner le modèle. C'était le modèle ' Panthère sauvage ' un modèle de la PK, un modèle très en vogue en ce moment dans cette petite communauté d'homme chaste.
Il me rendait tous mes regards, j'écartais moi aussi les cuisses. Pas d'une manière langoureuse, vous m'imaginez allongé sur le rebord de la piscine dans une position lascive ! Il y avait du monde tout de même. Non, j'étais juste dans une position décontractée.
Mais il m'a remarqué, je le voyais. Il fixait mon entre jambe et tout particulièrement la bosse élégante que j'avais là au niveau de mon maillot de bain. Il était blanc. La bosse se voyait bien sans pour autant être indécente. Mon maillot de bain blanc semblait mieux mouler ce qu'il contenant que le sien qui était noir.
On devinait tout avec une certaine précision. Ça restait tout à fait convenable, la taille de la bosse restait modeste, rien d'extravagant et compte tenu de l'endroit et du type de vêtements portés ici. Personne ne faisait attention.
Sauf ce personnage, d'accord c'est moi qui avait commencé mais, il ne me lâchait plus.
On a fini par se rapprocher. On s'est présenté.
– Salut, moi c'est David. Tu viens souvent ici ?
– Salut moi c'est Charly, non pas très et toi ?
Bref un premier contact un peu froid, mais on s'est vite réchauffé.
– Tu connais ' Panthère sauvage ' ? Me demandait-il.
En réponse je jetais un coups d’œil à son maillot de bain. Il le remarquait, son regard se portait vers son dispositif, il me confirmait mon intuition.
– Tu dois avoir une grosse bite ! Me faisait-il remarquer dans l'oreille.
– J'ai peut être moi aussi une cage à bite ?
Il pouffait de rire. Il regardait mon maillot de bain qui ne cachait rien. Au travers de l'étoffe on devinait parfaitement ma queue bien confinée et on distinguait parfaitement mon gland, la base de mon gland et le relief qu'il imprime.
– Je suis sûr sûr que tu as une très belle bite.
Tu es passif ?
– A ton avis ?
– J'ai posé une question idiote !
– Et toi, j'espère que tu es actif !
Je préférais ne pas répondre. On a continué à discuter pendant un moment, on a nagé aussi. J'aimais bien regarder la forme qui transparaissait sur son maillot de bain. Il aimait bien me regarder, j'avais une grosse queue, bien retenue, qui ne bougeait pas mais qui se voyait si bien.
C'est plus tard bien plus tard qu'on remontait de la piscine pour nous rendre dans les vestiaire sous la douche. Il y avait une salle de taille moyenne avec des douche, c'était très propre, très moderne. Un couloir partait de cette salle, il y avait là des niches de chaque coté, c'étaient des douches aussi mais pour ceux qui voulaient plus d'intimité. Les niches fermaient juste avec un rideau.
Il se rendait au fond de ce couloir et prenait soin de ne pas fermer le rideau, je prenais la niche en face de la sienne.
Il me regardait avec un regard coquin et un sourire amusé. D'un geste rapide il retirait son maillot de bain et me faisait face. Je lui répondais par un large sourire approbateur.
Nous étions seuls à ce moment de la journée, les douches étaient tranquilles. Il actionnait l'eau, je le voyais se caresser le corps, il se rinçait plus qu'il ne se lavait.
Rapidement je faisais comme lui, mon maillot de bain tombait et je lui faisais face. Vous auriez vu sa figure. Je portais moi aussi un dispositif de chasteté mais il était totalement invisible sous une une simple étoffe, même légère, même comme celle d'un maillot de bain, qui s'étire et moule parfaitement ce qu'elle est sensé cacher.
Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il était surpris. Je lui souriais !
Il me regardait incrédule pendant toute la durée de la douche. Je finissais par rigoler de bon cœur .
C'est avec notre serviette autour de la ceinture que nous regagnons les vestiaires ou étaient nos armoires et nos vêtements. On profitait que la salle était vide pour tomber la serviette et terminer de bien nous essuyer. Puis je passais un pantalon, sans sous vêtement, il faisait de même.
– On ne voit rien, ton dispositif est totalement invisible ! Marmonnait-il. C'est étonnant.
– Il est bien conçu, j'ai beaucoup étudié le problème.
– C'est toi qui l'a fait ?
Je faisais oui de la tête.
Nous étions présentables et il était temps, deux personnes rentraient à leur tour dans les vestiaires. On terminait de se rhabiller puis on sortait. David me proposait alors de prendre un verre chez lui …
– C'est une invitation honnête au moins ? Lui demandais-je.
– Bien sûr que oui ! Me répondait-il.
– Dommage ! Sinon j'aurais dit oui avec plaisir !
–Bon d'accord, je te montrerai mes estampes japonaises ! Me répondait-il en pouffant de rire !
Je le suivais en voiture, il n'habitait pas très loin. Il ne traînait pas en préliminaires, il m'attrapait les couilles au travers de mon pantalon et me tripotait joyeusement. Je sursautais de surprise, mais comme il m'avait promis de me montrer ses estampes japonaises … je laissais faire en ouvrant ma ceinture et les premiers bouton de ma braguette.
Il me tirait vers lui et m'embrassait. Un instant j'ai pensé qu'il allait retirer son dispositif de chasteté, je n'aurais rien eu contre cette idée. Moi je n'avais pas la clé sur moi mais comme on était chez lui.
On s'embrassait avec passion et c'est d'un geste fébrile que je lui ouvrais son pantalon. Il glissait sur le sol. Je lui caressais les couilles.
Une de ses mains glissait sous mon T-shirt. Avec l'autre il continuait à me tripoter les couilles sans ménagement. Je finissais par lui rentre la politesse et c'est sans ménagement que je lui tripotais les couilles. Son corps était doux, plus que je ne l'aurais pensé. Je lui faisais sauter son T-shirt, il en faisait de même et nous nous retrouvions nus, enlacés.
– Et on fait quoi après ça ? Lui demandais-je alors.
Il glissait alors sa main avec force entre mes cuisses, au passage il m'écrasait les couille. Deux doigts tentaient de forcer l'entrée de mon cul. Je le laissait faire, c'était un plaisir étrange, ce n'était pas vraiment douloureux c'était étrange. Il rajoutait un peu de lubrifiant et là, les deux doigts entraient facilement. Il se frayaient un passage facilement, ils arrivaient à la hauteur de ma prostate, et là ils tambourinaient avec force.
Un plaisir inattendu et particulièrement intense me parcourait alors tout le corps. Je poussais un cris de surprise, je me redressait et je me rendais. Je ne résistais plus, j'étais vaincu.
Il se mettait à genoux devant moi, dans une position plus confortable pour lui. Il me massait la prostate avec force et continuait à me tripoter les couilles, puis finalement il me léchait les couilles avant de me les gober.
C'était terrible, je tremblais, je me laissais submerger par le plaisir.
Un moment plus tard il se relevait, il m'embrassait puis m'entraînait vers la chambre. Il me poussait sur le lit, et tranquillement sortait un gros gode ceinture d'un tiroir.
– Il faut faire preuve d'imagination et être équipé quand on n'a pas les clés.
Je le regardais s'installer le dispositif et acquiesçais ce qu'il disait. J'étais retourné, j'étais déjà retourné, je ne m'attendais pas à une terre entrée en matière.
Quelques instants plus tard une grosse belle queue se dressait juste à la place habituelle. C'était à s'y méprendre, elle était plus réelle que nature ? Peut être un peu grosse. J'ai un gode de cette taille et je ne me l'enfile pas tous les jours. Ça passe mais c'est pas facile.
Il me repoussait sur le dos, c'est lui qui avait le relais, c'est lui qui commandait. Il attrapait mes jambes et plaçais mes chevilles sur ses épaules. Je le sentais me lubrifier l'anus généreusement puis il prenait position.
Je n'avais plus rien à dire, il se penchait sur moi et en un mouvement ferme s’enfonçait dans mon cul.
Là j'ai râlé, il était presque violent. C'était juste un peu douloureux, très supportable. Je supportais. Je le laissais faire et je sentais tous mes muscles se contracter, sauf ceux de mon cul.
Dans un cas pareil, il ne faut jamais serrer les fesses.
Le gros gode glissait en moi et me dilatait les entrailles. C'était affolant, il y avait cette double sensation de plaisir et de douleur. Le plaisir était de loin le plus important, mais cet ensemble de sensations était particulièrement intense.
Le ventre de mon partenaire s'écrasait sur mes fesses, je râlais, j'avais l'impression que le gode allait ressortir par l'autre bout, je vous rassure ce n'était qu'un impression. J'avais l'impression que mon ventre allait exploser de l'intérieur. Ça aussi ce n'était qu'une impression.
Quand il ressortait je sentais tout l'intérieur de montre comme aspiré et là encore je râlais. Puis c'était un plaisir intense qui naissait. Mes entrailles massées, malaxées, dilatées et contractées me déclenchaient un plaisir, un plaisir intense que je contrôlais plus. Je jouissais, tout mon corps jouissais, tout mon corps tremblait.
Je ne contrôlais plus mes membres, si je parvenais à tenir debout, c'est que justement je n'étais pas debout mais à quatre pattes . Il me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui en même temps qu'il avançait son bassin.
C'était violent, c'était intense, c'était puissant, j'avais oublié que tout comme moi, il ne pouvait pas s'amuser avec sa queue mais c'était encore mieux.
Nous étions en sueur, on tremblait et je finissais par m'écrouler sur le lit. Il me lâchait et s'écroulait sur moi. Sa queue s'enfonçait en moi, il ne bougeait plus. Je le sentais en moi.
C'est vrais que ce genre de queue, ça ne débande pas .
A suivre
Chez David
Vous savez, j'ai l’œil, et j'ai remarqué le détail à mon premier coup d’œil. Il était grand, mince, les muscles se dessinaient parfaitement sur son torse et sur son ventre, il avait les bras et les jambes bien forts, il se tenait bien droit avec un léger sourire. Il avait un maillot de bain noir.
C'était une bonne idée s'il voulait passer inaperçu, mais malgré cette petite précaution on devinait la forme d'un petit dispositif de chasteté. Oh c'était discret et il fallait bien regarder, et au bon endroit en plus, au risque de ne rien voir.
Malgré tout je n'étais pas sûr de moi. Je le regardais,peut être avec un peu trop d'insistance, il a fini par le remarquer.
Son comportement alors changeait légèrement, j'avais comme l'impression qu'il voulait que je le voie. Il me rendais regard pour regard. Et un instant, il était alors assis en face de moi sur le rebord de la piscine, les pieds dans l'eau, les cuisses écartées. C'est en me regardant qu'il ajustait son maillot et là c'était très clair, d’où j'étais je le voyais parfaitement, il avait bien une cage de chasteté.
Je parvenais même à en deviner le modèle. C'était le modèle ' Panthère sauvage ' un modèle de la PK, un modèle très en vogue en ce moment dans cette petite communauté d'homme chaste.
Il me rendait tous mes regards, j'écartais moi aussi les cuisses. Pas d'une manière langoureuse, vous m'imaginez allongé sur le rebord de la piscine dans une position lascive ! Il y avait du monde tout de même. Non, j'étais juste dans une position décontractée.
Mais il m'a remarqué, je le voyais. Il fixait mon entre jambe et tout particulièrement la bosse élégante que j'avais là au niveau de mon maillot de bain. Il était blanc. La bosse se voyait bien sans pour autant être indécente. Mon maillot de bain blanc semblait mieux mouler ce qu'il contenant que le sien qui était noir.
On devinait tout avec une certaine précision. Ça restait tout à fait convenable, la taille de la bosse restait modeste, rien d'extravagant et compte tenu de l'endroit et du type de vêtements portés ici. Personne ne faisait attention.
Sauf ce personnage, d'accord c'est moi qui avait commencé mais, il ne me lâchait plus.
On a fini par se rapprocher. On s'est présenté.
– Salut, moi c'est David. Tu viens souvent ici ?
– Salut moi c'est Charly, non pas très et toi ?
Bref un premier contact un peu froid, mais on s'est vite réchauffé.
– Tu connais ' Panthère sauvage ' ? Me demandait-il.
En réponse je jetais un coups d’œil à son maillot de bain. Il le remarquait, son regard se portait vers son dispositif, il me confirmait mon intuition.
– Tu dois avoir une grosse bite ! Me faisait-il remarquer dans l'oreille.
– J'ai peut être moi aussi une cage à bite ?
Il pouffait de rire. Il regardait mon maillot de bain qui ne cachait rien. Au travers de l'étoffe on devinait parfaitement ma queue bien confinée et on distinguait parfaitement mon gland, la base de mon gland et le relief qu'il imprime.
– Je suis sûr sûr que tu as une très belle bite.
Tu es passif ?
– A ton avis ?
– J'ai posé une question idiote !
– Et toi, j'espère que tu es actif !
Je préférais ne pas répondre. On a continué à discuter pendant un moment, on a nagé aussi. J'aimais bien regarder la forme qui transparaissait sur son maillot de bain. Il aimait bien me regarder, j'avais une grosse queue, bien retenue, qui ne bougeait pas mais qui se voyait si bien.
C'est plus tard bien plus tard qu'on remontait de la piscine pour nous rendre dans les vestiaire sous la douche. Il y avait une salle de taille moyenne avec des douche, c'était très propre, très moderne. Un couloir partait de cette salle, il y avait là des niches de chaque coté, c'étaient des douches aussi mais pour ceux qui voulaient plus d'intimité. Les niches fermaient juste avec un rideau.
Il se rendait au fond de ce couloir et prenait soin de ne pas fermer le rideau, je prenais la niche en face de la sienne.
Il me regardait avec un regard coquin et un sourire amusé. D'un geste rapide il retirait son maillot de bain et me faisait face. Je lui répondais par un large sourire approbateur.
Nous étions seuls à ce moment de la journée, les douches étaient tranquilles. Il actionnait l'eau, je le voyais se caresser le corps, il se rinçait plus qu'il ne se lavait.
Rapidement je faisais comme lui, mon maillot de bain tombait et je lui faisais face. Vous auriez vu sa figure. Je portais moi aussi un dispositif de chasteté mais il était totalement invisible sous une une simple étoffe, même légère, même comme celle d'un maillot de bain, qui s'étire et moule parfaitement ce qu'elle est sensé cacher.
Le moins qu'on puisse dire c'est qu'il était surpris. Je lui souriais !
Il me regardait incrédule pendant toute la durée de la douche. Je finissais par rigoler de bon cœur .
C'est avec notre serviette autour de la ceinture que nous regagnons les vestiaires ou étaient nos armoires et nos vêtements. On profitait que la salle était vide pour tomber la serviette et terminer de bien nous essuyer. Puis je passais un pantalon, sans sous vêtement, il faisait de même.
– On ne voit rien, ton dispositif est totalement invisible ! Marmonnait-il. C'est étonnant.
– Il est bien conçu, j'ai beaucoup étudié le problème.
– C'est toi qui l'a fait ?
Je faisais oui de la tête.
Nous étions présentables et il était temps, deux personnes rentraient à leur tour dans les vestiaires. On terminait de se rhabiller puis on sortait. David me proposait alors de prendre un verre chez lui …
– C'est une invitation honnête au moins ? Lui demandais-je.
– Bien sûr que oui ! Me répondait-il.
– Dommage ! Sinon j'aurais dit oui avec plaisir !
–Bon d'accord, je te montrerai mes estampes japonaises ! Me répondait-il en pouffant de rire !
Je le suivais en voiture, il n'habitait pas très loin. Il ne traînait pas en préliminaires, il m'attrapait les couilles au travers de mon pantalon et me tripotait joyeusement. Je sursautais de surprise, mais comme il m'avait promis de me montrer ses estampes japonaises … je laissais faire en ouvrant ma ceinture et les premiers bouton de ma braguette.
Il me tirait vers lui et m'embrassait. Un instant j'ai pensé qu'il allait retirer son dispositif de chasteté, je n'aurais rien eu contre cette idée. Moi je n'avais pas la clé sur moi mais comme on était chez lui.
On s'embrassait avec passion et c'est d'un geste fébrile que je lui ouvrais son pantalon. Il glissait sur le sol. Je lui caressais les couilles.
Une de ses mains glissait sous mon T-shirt. Avec l'autre il continuait à me tripoter les couilles sans ménagement. Je finissais par lui rentre la politesse et c'est sans ménagement que je lui tripotais les couilles. Son corps était doux, plus que je ne l'aurais pensé. Je lui faisais sauter son T-shirt, il en faisait de même et nous nous retrouvions nus, enlacés.
– Et on fait quoi après ça ? Lui demandais-je alors.
Il glissait alors sa main avec force entre mes cuisses, au passage il m'écrasait les couille. Deux doigts tentaient de forcer l'entrée de mon cul. Je le laissait faire, c'était un plaisir étrange, ce n'était pas vraiment douloureux c'était étrange. Il rajoutait un peu de lubrifiant et là, les deux doigts entraient facilement. Il se frayaient un passage facilement, ils arrivaient à la hauteur de ma prostate, et là ils tambourinaient avec force.
Un plaisir inattendu et particulièrement intense me parcourait alors tout le corps. Je poussais un cris de surprise, je me redressait et je me rendais. Je ne résistais plus, j'étais vaincu.
Il se mettait à genoux devant moi, dans une position plus confortable pour lui. Il me massait la prostate avec force et continuait à me tripoter les couilles, puis finalement il me léchait les couilles avant de me les gober.
C'était terrible, je tremblais, je me laissais submerger par le plaisir.
Un moment plus tard il se relevait, il m'embrassait puis m'entraînait vers la chambre. Il me poussait sur le lit, et tranquillement sortait un gros gode ceinture d'un tiroir.
– Il faut faire preuve d'imagination et être équipé quand on n'a pas les clés.
Je le regardais s'installer le dispositif et acquiesçais ce qu'il disait. J'étais retourné, j'étais déjà retourné, je ne m'attendais pas à une terre entrée en matière.
Quelques instants plus tard une grosse belle queue se dressait juste à la place habituelle. C'était à s'y méprendre, elle était plus réelle que nature ? Peut être un peu grosse. J'ai un gode de cette taille et je ne me l'enfile pas tous les jours. Ça passe mais c'est pas facile.
Il me repoussait sur le dos, c'est lui qui avait le relais, c'est lui qui commandait. Il attrapait mes jambes et plaçais mes chevilles sur ses épaules. Je le sentais me lubrifier l'anus généreusement puis il prenait position.
Je n'avais plus rien à dire, il se penchait sur moi et en un mouvement ferme s’enfonçait dans mon cul.
Là j'ai râlé, il était presque violent. C'était juste un peu douloureux, très supportable. Je supportais. Je le laissais faire et je sentais tous mes muscles se contracter, sauf ceux de mon cul.
Dans un cas pareil, il ne faut jamais serrer les fesses.
Le gros gode glissait en moi et me dilatait les entrailles. C'était affolant, il y avait cette double sensation de plaisir et de douleur. Le plaisir était de loin le plus important, mais cet ensemble de sensations était particulièrement intense.
Le ventre de mon partenaire s'écrasait sur mes fesses, je râlais, j'avais l'impression que le gode allait ressortir par l'autre bout, je vous rassure ce n'était qu'un impression. J'avais l'impression que mon ventre allait exploser de l'intérieur. Ça aussi ce n'était qu'une impression.
Quand il ressortait je sentais tout l'intérieur de montre comme aspiré et là encore je râlais. Puis c'était un plaisir intense qui naissait. Mes entrailles massées, malaxées, dilatées et contractées me déclenchaient un plaisir, un plaisir intense que je contrôlais plus. Je jouissais, tout mon corps jouissais, tout mon corps tremblait.
Je ne contrôlais plus mes membres, si je parvenais à tenir debout, c'est que justement je n'étais pas debout mais à quatre pattes . Il me tenait fermement par les hanches et me tirait vers lui en même temps qu'il avançait son bassin.
C'était violent, c'était intense, c'était puissant, j'avais oublié que tout comme moi, il ne pouvait pas s'amuser avec sa queue mais c'était encore mieux.
Nous étions en sueur, on tremblait et je finissais par m'écrouler sur le lit. Il me lâchait et s'écroulait sur moi. Sa queue s'enfonçait en moi, il ne bougeait plus. Je le sentais en moi.
C'est vrais que ce genre de queue, ça ne débande pas .
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