Rencontre à la piscine Ep02
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 679 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.8 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.4
- • L'ensemble des récits érotiques de Charly Chast ont reçu un total de 1 606 383 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 300 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Rencontre à la piscine Ep02
Rencontre à la piscine Ep02
Sa femme
Je gardais son gode dans le cul jusqu'au moment ou il décidait de se relever. Je sentais alors sa queue en plastique qui se retirait et aspirait à elle toutes mes entrailles. J'avais l'impression qu'on me vidait. Là encore c'était intensément agréable.
Suivait un sensation de grand vide. Il me donnait un baiser sur l'épaule et disparaissait dans la salle de bain. C'était terrifiant à voir, il avait une érection énorme et c'est ce truc que j'avais dans le cul quelques secondes plus tôt.
Quand il revenait, son érection artificielle avait disparue, et c'était sa cage de chasteté qui l'avait remplacée. On aurait cru une amputation instantanée. Je le trouvais encore plus sexy comme ça, et j'étais impressionné qu'on puisse autant s'amuser sans utiliser nos bites.
Je restais là immobile à réfléchir à tout ça avant de me décider à passer à la salle de bain pour me laver le cul. Je passais la encore un moment de plaisir, je me faisais un lavement qui me donnait beaucoup de plaisir.
Je revenais dans la chambre, David était allongé sur le dos, il avait l'air tellement détendu qu'on aurai pu penser qu'il avait joui. Mais enfin on ne joui pas avec un gode, sauf bien sûr si on se le prend dans le cul. Et justement je me disais que si j'avais joui, je n'avais pas éjaculé.
– On se remettait lentement de notre effort en faisant un câlin.
Il finissait par se relever et me tendait un gode, un peu plus gros que celui qu'il avait utilisé, un peu plus long et légèrement plus large. J'étais horrifié par les dimensions du monstre et ne le cachait pas.
Je me prends pas ça dans le cul ! M'exclamais-je.
– Mais c'est pas pour toi ! Me répondait-il.
Il me sautait alors dessus et me fixait le gode. Je commençais à comprendre, il voulait échanger les rôles. On continuait alors les câlins.
Rapidement ma queue, ma vraie queue protestait comme une folle. Je choisissais de l'ignorer. Je me masturbais alors tranquillement la queue en plastique qu'il venait de me greffer.
C'était impressionnant, je n'avais jamais essayé de me branler de cette manière. J'avais déjà vu des mecs qui arrivaient à éjaculer de cette manière, tout se passe alors dans le tête je suppose. Et finalement certains arrivent à éjaculer et à jouir. Mai là pour moi, ça semblait mal parti, je ne ressentais rien.
C'était une grande frustration. C'était nouveau, plus un manque qu'autre chose. Pourtant le manque je le ressentais toujours, ça fait partie du plaisir.
David prenait position à quatre pattes, il m'offrait son cul.
Je prenais mon temps, je laissais le désir monter lentement. Je lui lubrifiais longuement le cul, c'est que le gode était gros. J'avais presque peur de m'en servir au moment ou je le lubrifiais.
Puis je prenais position. Dans ma situation on n'a pas besoin de réfléchir, pas besoin de se demander si on va bien garder son érection jusqu'à la fin. Un gode, même de grosse taille, ne débande jamais. Je le plaçais juste contre son cul. Il commençait à respirer fort.
Je prenais bien mon temps, mais là c'était pour ne pas être violent. Je poussais, je poussais doucement mais avec force. Très lentement je voyais son anus se dilater et le gode glisser tout doucement dans son cul.
Il respirait fort, il gémissait et poussait râle de plaisir. Je supposais que c'était du plaisir même si ça me semblait difficile à croire.
Je faisais des pauses, il râlait à chaque fois que le gode s'introduisait un peu plus. Chaque centimètres ressemblait à une victoire. J'étais impressionné, je ne me serais pas pris ce truc dans le cul moi … Enfin je ne pense pas.
Il râlait mais gémissait ' Oui, vas y …. aaah '
Et je m'enfonçais. Cette énorme bite en plastique disparaissait lentement entre ses fesses. Ma queue protestait et par moment j'avais l'impression de confondre la pression de son anus et la pression des barreaux de ma cage. Je ne savais plus ce que je ressentais.
J'ai bien cru par moment que j'allais jouir. Avec la queue je veux dire, j'avais déjà joui mais avec le cul, sans éjaculer. Je savais qu'on pouvait éjaculer avec une stimulation exclusivement anale, ça m'était déjà arrivé. Mais avec un gode accroché à la place de ma queue, ce n'était pas sérieux.
Ça résistait, je forçais, il gueulait. Je le sentait trembler là, entre mes mains. Il respirait fort et sanglotait. Comme il ne disait plus rien, j'ai forcé encore un peu et le gode s'est enfoncé jusqu'à la garde. Mon ventre touchait ses fesses, il poussait un dernier cri.
Je me penchais alors sur lui et le prenais dans mes bras. Je le couvrais de baisers, enfin toute la partie de son corps que je pouvais atteindre avec ma bouche. Il tournait la tête vers moi, j'en profitais pour l'embrasser sur la bouche avec passion.
Puis on reprenait. Je me redressais, ma queue en caoutchouc était bien en place, bien au fond de ses entrailles. Lentement je me retirais, il gémissait. Lentement je me retirais totalement. Il se laissait tomber sur les coudes, le visage dans les coussins.
Je reprenais position, et de nouveau je m'enfonçais dans ses entrailles, un peu plus vite, un peu plus décidé. Il relevait la tête, la bouche grande ouverte comme s'il manquait d'air.
Mon gode s'enfonçait plus vite, plus fort. Mon ventre s'écrasait sur ses fesses, il ne criait plus, il hurlait et en redemandait plus. J'accélérais le mouvement. Je rentrais bien à fond puis marquais à peine une très courte pause avant de revenir, toujours bien à fond.
Chaque aller-retour était plus rapide que le précédent. Il encaissait, et plus j'y allais fort plus il encaissait, plus ça semblait facile pour lui. J'en revenais pas, c'était terrible.
C'est du sport, vous savez. Je me retirais et décidait de respirer un peu. David s'écroulait sur le ventre. Un peu plus tard il se retournait. J'étais assis juste à côté de lui. Son corps était beau, très beau, il avait des muscles juste là ou il fallait, sa silhouette était mince et agréable et sa cage à bite de bande marque le rendait encore plus sexy à mes yeux.
Je me relevais. Il écartait les jambes, je me plaçais entre ses genoux. Il me faisait un sourire entendu. Je bandais encore, oui je sais c'est une précision inutile.
Je lui soulevais les pieds, les pausais sur mes épaule, il se repliait et soulevait son cul, c'est alors que je me redressais et lui enfonçait le gode jusqu'à la garde. Il hurlait mais ne tentait pas de dégager, il ne me repoussait pas.
Je le limais, je le limais rapidement de toutes mes forces. Mon cœur battait fort. Je me lâchais sur lui. J'étais étonné de voir avec quelle facilité il encaissait tous mes coups.
Par moment je le sentais se contracter, j'avais l'impression qu'il convulsait. Je sentais le plaisir monter jusqu'au bout de ma queue. Je n'y faisait pas attention, je savait qu'il n'y avait aucun risque d'éjaculation. Le plaisir, je le savais, ne pourrait venir que de mon cul. De la bite, je ne risquais rien.
Je portais la cage à bite depuis assez longtemps pour savoir qu'il en fallait plus pour me faire jouir.
Je limais et à un moment, je ne sais pas trop ce qui s'est passé, le plaisir est monté puis à passé ce dernier cran, vous connaissez, cette étape au delà de laquelle on ne contrôle plus rien. Le plaisir monte alors et on éjacule.
Je n'ai pas compris tout de suite mais, je limais puis j'éjaculais, je continuais à limer et à juter.
David gémissait lui aussi, je le regardais, sa queue bien confinée était magnifique et … lui aussi il jutais.
Je ne bougeais plus, il convulsait, le gode continuait à entrer et à sortir de son cul, mais là c'est lui qui faisait le travail et lui aussi il jutais. Je le prenais dans mes bras et le serrais très fort. On jouissait ensemble, en même temps, on roulait l'un sur l'autre.
On tombait du lit et on atterrissait sur le tapis, c'était un tapis très épais on ne s'est pas fait mal, le gode était ressorti, c'est tout !
On est resté là sans bouger, étonné de ce qui venait de nous arriver. Je passais ma main sur sa cage, il n'y avait aucun doute, il avait éjaculé. Il en faisait de même.
–Tu arrives à jouir avec un gode ceinture ?
Je ne savais pas que c'était possible ! Et toi, un gode dans le cul et …–Ça par contre oui, si on me stimule trop le cul, je joui, j'éjacule.
– C'est sans doute plus naturel ! Répondais-je.
On passait sous la douche. Chacun câlinait et caressait le corps de l'autre. Chacun caressait et savonnait généreusement les couilles de l'autre, sans oublier de bien lui nettoyer le cul aussi. Il me glissait deux doigts dans le cul, les agitait et me donnait de nouveau un immense plaisir. Je réagissais vite et lui rendais la politesse.
On était bien dilaté du cul, tous les deux. Les doigts entraient rapidement et facilement, on se tambourinaient sur la prostate et rapidement, de nouveau, le plaisir montait.
On s'est pris dans les bras sans arrêter pour autant de masser la prostate de l'autre, on s'est serré l'un contre l'autre, on s'est embrassé avec passion et on a fini par jouir et par éjaculer l'autre.
Même sous la douche on avait l'impression d'être en sueur !
Je vous jure c'était chaud !
Puis on est passé sous la douche. Remarquez on y était déjà sous la douche, on n'est donc pas allé loin. On s'est frictionné avec douceur pour changer et pour retrouver notre souffle. Tout en douceur avec l'un comme l'autre un large sourire satisfait, on s'est séché.
On est revenu dans la chambre, nous avions retrouvé notre calme, nos deux cœurs battaient à une vitesse normale, notre respiration aussi. On retrouvait enfin un peu de calme, on en profitait pour faire connaissance.
Je lui expliquait que je portais le dispositif en permanence.
– Moi aussi ! Répondait-il.
– Que personne n'avait ma clé.
– Moi non plus ! Rajoutait-il.
– Que je vivais seul.
– Moi pareil !
– Que je portais le truc pour découvrir de nouvelles sensation.
– Moi de même !
Là je commençais à me dire que décidément il n'était pas contrariant.
C'est à ce moment qu'une voix féminine m'a fait sursauté …
– Alors les garçons, on s'amuse sagement ?
– Lui, il n'a pas bronché, il a juste dit …
Et merde, c'est ma femme !
– J'ai compris qu'il m'avait raconté des salades …
Fin de l'épisode
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Sa femme
Je gardais son gode dans le cul jusqu'au moment ou il décidait de se relever. Je sentais alors sa queue en plastique qui se retirait et aspirait à elle toutes mes entrailles. J'avais l'impression qu'on me vidait. Là encore c'était intensément agréable.
Suivait un sensation de grand vide. Il me donnait un baiser sur l'épaule et disparaissait dans la salle de bain. C'était terrifiant à voir, il avait une érection énorme et c'est ce truc que j'avais dans le cul quelques secondes plus tôt.
Quand il revenait, son érection artificielle avait disparue, et c'était sa cage de chasteté qui l'avait remplacée. On aurait cru une amputation instantanée. Je le trouvais encore plus sexy comme ça, et j'étais impressionné qu'on puisse autant s'amuser sans utiliser nos bites.
Je restais là immobile à réfléchir à tout ça avant de me décider à passer à la salle de bain pour me laver le cul. Je passais la encore un moment de plaisir, je me faisais un lavement qui me donnait beaucoup de plaisir.
Je revenais dans la chambre, David était allongé sur le dos, il avait l'air tellement détendu qu'on aurai pu penser qu'il avait joui. Mais enfin on ne joui pas avec un gode, sauf bien sûr si on se le prend dans le cul. Et justement je me disais que si j'avais joui, je n'avais pas éjaculé.
– On se remettait lentement de notre effort en faisant un câlin.
Il finissait par se relever et me tendait un gode, un peu plus gros que celui qu'il avait utilisé, un peu plus long et légèrement plus large. J'étais horrifié par les dimensions du monstre et ne le cachait pas.
Je me prends pas ça dans le cul ! M'exclamais-je.
– Mais c'est pas pour toi ! Me répondait-il.
Il me sautait alors dessus et me fixait le gode. Je commençais à comprendre, il voulait échanger les rôles. On continuait alors les câlins.
Rapidement ma queue, ma vraie queue protestait comme une folle. Je choisissais de l'ignorer. Je me masturbais alors tranquillement la queue en plastique qu'il venait de me greffer.
C'était impressionnant, je n'avais jamais essayé de me branler de cette manière. J'avais déjà vu des mecs qui arrivaient à éjaculer de cette manière, tout se passe alors dans le tête je suppose. Et finalement certains arrivent à éjaculer et à jouir. Mai là pour moi, ça semblait mal parti, je ne ressentais rien.
C'était une grande frustration. C'était nouveau, plus un manque qu'autre chose. Pourtant le manque je le ressentais toujours, ça fait partie du plaisir.
David prenait position à quatre pattes, il m'offrait son cul.
Je prenais mon temps, je laissais le désir monter lentement. Je lui lubrifiais longuement le cul, c'est que le gode était gros. J'avais presque peur de m'en servir au moment ou je le lubrifiais.
Puis je prenais position. Dans ma situation on n'a pas besoin de réfléchir, pas besoin de se demander si on va bien garder son érection jusqu'à la fin. Un gode, même de grosse taille, ne débande jamais. Je le plaçais juste contre son cul. Il commençait à respirer fort.
Je prenais bien mon temps, mais là c'était pour ne pas être violent. Je poussais, je poussais doucement mais avec force. Très lentement je voyais son anus se dilater et le gode glisser tout doucement dans son cul.
Il respirait fort, il gémissait et poussait râle de plaisir. Je supposais que c'était du plaisir même si ça me semblait difficile à croire.
Je faisais des pauses, il râlait à chaque fois que le gode s'introduisait un peu plus. Chaque centimètres ressemblait à une victoire. J'étais impressionné, je ne me serais pas pris ce truc dans le cul moi … Enfin je ne pense pas.
Il râlait mais gémissait ' Oui, vas y …. aaah '
Et je m'enfonçais. Cette énorme bite en plastique disparaissait lentement entre ses fesses. Ma queue protestait et par moment j'avais l'impression de confondre la pression de son anus et la pression des barreaux de ma cage. Je ne savais plus ce que je ressentais.
J'ai bien cru par moment que j'allais jouir. Avec la queue je veux dire, j'avais déjà joui mais avec le cul, sans éjaculer. Je savais qu'on pouvait éjaculer avec une stimulation exclusivement anale, ça m'était déjà arrivé. Mais avec un gode accroché à la place de ma queue, ce n'était pas sérieux.
Ça résistait, je forçais, il gueulait. Je le sentait trembler là, entre mes mains. Il respirait fort et sanglotait. Comme il ne disait plus rien, j'ai forcé encore un peu et le gode s'est enfoncé jusqu'à la garde. Mon ventre touchait ses fesses, il poussait un dernier cri.
Je me penchais alors sur lui et le prenais dans mes bras. Je le couvrais de baisers, enfin toute la partie de son corps que je pouvais atteindre avec ma bouche. Il tournait la tête vers moi, j'en profitais pour l'embrasser sur la bouche avec passion.
Puis on reprenait. Je me redressais, ma queue en caoutchouc était bien en place, bien au fond de ses entrailles. Lentement je me retirais, il gémissait. Lentement je me retirais totalement. Il se laissait tomber sur les coudes, le visage dans les coussins.
Je reprenais position, et de nouveau je m'enfonçais dans ses entrailles, un peu plus vite, un peu plus décidé. Il relevait la tête, la bouche grande ouverte comme s'il manquait d'air.
Mon gode s'enfonçait plus vite, plus fort. Mon ventre s'écrasait sur ses fesses, il ne criait plus, il hurlait et en redemandait plus. J'accélérais le mouvement. Je rentrais bien à fond puis marquais à peine une très courte pause avant de revenir, toujours bien à fond.
Chaque aller-retour était plus rapide que le précédent. Il encaissait, et plus j'y allais fort plus il encaissait, plus ça semblait facile pour lui. J'en revenais pas, c'était terrible.
C'est du sport, vous savez. Je me retirais et décidait de respirer un peu. David s'écroulait sur le ventre. Un peu plus tard il se retournait. J'étais assis juste à côté de lui. Son corps était beau, très beau, il avait des muscles juste là ou il fallait, sa silhouette était mince et agréable et sa cage à bite de bande marque le rendait encore plus sexy à mes yeux.
Je me relevais. Il écartait les jambes, je me plaçais entre ses genoux. Il me faisait un sourire entendu. Je bandais encore, oui je sais c'est une précision inutile.
Je lui soulevais les pieds, les pausais sur mes épaule, il se repliait et soulevait son cul, c'est alors que je me redressais et lui enfonçait le gode jusqu'à la garde. Il hurlait mais ne tentait pas de dégager, il ne me repoussait pas.
Je le limais, je le limais rapidement de toutes mes forces. Mon cœur battait fort. Je me lâchais sur lui. J'étais étonné de voir avec quelle facilité il encaissait tous mes coups.
Par moment je le sentais se contracter, j'avais l'impression qu'il convulsait. Je sentais le plaisir monter jusqu'au bout de ma queue. Je n'y faisait pas attention, je savait qu'il n'y avait aucun risque d'éjaculation. Le plaisir, je le savais, ne pourrait venir que de mon cul. De la bite, je ne risquais rien.
Je portais la cage à bite depuis assez longtemps pour savoir qu'il en fallait plus pour me faire jouir.
Je limais et à un moment, je ne sais pas trop ce qui s'est passé, le plaisir est monté puis à passé ce dernier cran, vous connaissez, cette étape au delà de laquelle on ne contrôle plus rien. Le plaisir monte alors et on éjacule.
Je n'ai pas compris tout de suite mais, je limais puis j'éjaculais, je continuais à limer et à juter.
David gémissait lui aussi, je le regardais, sa queue bien confinée était magnifique et … lui aussi il jutais.
Je ne bougeais plus, il convulsait, le gode continuait à entrer et à sortir de son cul, mais là c'est lui qui faisait le travail et lui aussi il jutais. Je le prenais dans mes bras et le serrais très fort. On jouissait ensemble, en même temps, on roulait l'un sur l'autre.
On tombait du lit et on atterrissait sur le tapis, c'était un tapis très épais on ne s'est pas fait mal, le gode était ressorti, c'est tout !
On est resté là sans bouger, étonné de ce qui venait de nous arriver. Je passais ma main sur sa cage, il n'y avait aucun doute, il avait éjaculé. Il en faisait de même.
–Tu arrives à jouir avec un gode ceinture ?
Je ne savais pas que c'était possible ! Et toi, un gode dans le cul et …–Ça par contre oui, si on me stimule trop le cul, je joui, j'éjacule.
– C'est sans doute plus naturel ! Répondais-je.
On passait sous la douche. Chacun câlinait et caressait le corps de l'autre. Chacun caressait et savonnait généreusement les couilles de l'autre, sans oublier de bien lui nettoyer le cul aussi. Il me glissait deux doigts dans le cul, les agitait et me donnait de nouveau un immense plaisir. Je réagissais vite et lui rendais la politesse.
On était bien dilaté du cul, tous les deux. Les doigts entraient rapidement et facilement, on se tambourinaient sur la prostate et rapidement, de nouveau, le plaisir montait.
On s'est pris dans les bras sans arrêter pour autant de masser la prostate de l'autre, on s'est serré l'un contre l'autre, on s'est embrassé avec passion et on a fini par jouir et par éjaculer l'autre.
Même sous la douche on avait l'impression d'être en sueur !
Je vous jure c'était chaud !
Puis on est passé sous la douche. Remarquez on y était déjà sous la douche, on n'est donc pas allé loin. On s'est frictionné avec douceur pour changer et pour retrouver notre souffle. Tout en douceur avec l'un comme l'autre un large sourire satisfait, on s'est séché.
On est revenu dans la chambre, nous avions retrouvé notre calme, nos deux cœurs battaient à une vitesse normale, notre respiration aussi. On retrouvait enfin un peu de calme, on en profitait pour faire connaissance.
Je lui expliquait que je portais le dispositif en permanence.
– Moi aussi ! Répondait-il.
– Que personne n'avait ma clé.
– Moi non plus ! Rajoutait-il.
– Que je vivais seul.
– Moi pareil !
– Que je portais le truc pour découvrir de nouvelles sensation.
– Moi de même !
Là je commençais à me dire que décidément il n'était pas contrariant.
C'est à ce moment qu'une voix féminine m'a fait sursauté …
– Alors les garçons, on s'amuse sagement ?
– Lui, il n'a pas bronché, il a juste dit …
Et merde, c'est ma femme !
– J'ai compris qu'il m'avait raconté des salades …
Fin de l'épisode
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
N'hésitez surtout pas à me laisser un commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Charly Chast
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...