RENCONTRE A LA PLAGE

- Par l'auteur HDS Maxlife -
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Récit libertin : RENCONTRE A LA PLAGE Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-10-2007 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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RENCONTRE A LA PLAGE
Une journée pas comme les autres.
J’ai 23 ans et je vis seul depuis 6 mois, les femmes me manquent beaucoup.
C’est l’été, il doit être 13h et je décide d’aller me promener sur la promenade le long de la plage. Comme toujours, je suis très excité à l’idée de faire une rencontre et plus… Malheureusement cela ne m’est pas encore arrivé.
Ce jour là donc, les gens sont tous partis déjeuner et la plage est plutôt déserte, la chaleur est écrasante.
Je décide de m’asseoir un instant sur le muret de la plage pour faire une pause. Ma surprise fut immense, à 10 mètres sur ma gauche, il y avait une femme seule sur sa serviette le long du mur.
Je me suis arrêté au bon endroit car de la promenade je n’aurai pas pu la voir.
J’ai donc commencé à la mater, elle était allongée sur le coté droit, avec la tête vers moi, elle lisait un livre.
J’été totalement caché de sa vue. Elle devait avoir 45 ans, très bronzée, bien proportionné, brune au cheveux cours, en topless SVP !
Ses seins sont mignons, pas très gros, l’huile solaire les rends encore plus attirants. Je voyais une de ses hanches qui me laissait présager de très belles fesses fermes.

Ce jeu a bien duré une demie heure, puis elle se tourna sur le ventre, montrant son cul superbe, je ne m’étais pas trompé. Sa culotte était rentrée dans ses fesses pour pouvoir bronzer un peu plus, elle était magnifique.

Soudain elle se tourna légèrement et me vit dans son angle de vision. Elle parut surprise mais ne changea pas de position pour autant. Je me faisais très insistant du regard pour qu’elle comprenne que je la matais.
Elle ne bougea pas pendant de longues minutes, espérant sans doute que je m’en aille.
Tout à coup elle décida de changer littéralement de position sur sa serviette. Elle était maintenant sur le dos avec sa tête à mon opposé. J’avais donc une parfaite vue de son entre jambe, mais elle pouvait désormais me voir.
Elle lisait toujours son livre mais je devinais que sous ses lunettes de soleil elle me regardait.
Elle écarta légèrement les jambes, ce qui me laissait une bonne vue sur sa cramouille.
Maintenant c’est elle qui avait l’initiative, elle me voyait et se jouait de moi.
J’avais tellement envie de descendre, de lui arracher son petit maillot bleu ciel et de lui bouffer la chatte !

De longues minutes passèrent, elle passa doucement sa main sur son sexe comme pour se gratter, cependant, quand elle l’enleva, je vis deux auréoles foncées sur sa culotte qui me laissaient croire que les lèvres de sa chatte mouillaient.

Ni une ni deux, je descendis la voir.

M ----Moi
E -----Elle

M : Bonjour, il fait chaud aujourd’hui ?
E : Oui c’est sur.
M : Vous ne devriez pas rester le long du mur, il fait encore plus chaud ici. Je m’appel Max.
E : Enchanté Max moi c’est Eve.
M : Comme Adam et Eve ! (Réplique à chier)
E : Si on veut. Pourquoi vous me matez depuis tout à l’heure, cela fait au moins une heure ?
M : Je vous trouve vraiment très attirante.
E : Ce n’est pas une raison pour dévisager les gens ainsi.
M : Je sais ce n’est pas correcte mais regardez, je ne vous ment pas.
Je lui montre ma queue considérablement tendue dans mon short.
E : Vous n’avez pas honte jeune homme !
M : Honnêtement, vous n’avez jamais fantasmé sur une partie de jambe en l’air avec un jeune homme de 23 ans au sexe fort et dynamique. Avouez que c’est excitant, je vous ai vu mouiller tout à l’heure vous savez !
E : Non pas du tout, cela est excitant, mais pas pour une femme comme moi !
Je lui met ma main sur sa culotte et commence à lui malaxer la chatte, sa culotte est bien humide.
M : Je savais bien que vous étiez trempée !
E : Qu’est ce que vous faites, non !
Ma main se faisait insistante, je rentre maintenant ma main sous sa culotte pour toucher ce minou bien rasé. Elle soupire.
E : Je suis mariée, et mon mari est dans le camping car de l’autre coté de la route !
M : Votre mari n’est pas là et votre corps réclame du sexe, laissez vous aller.

Je la touchais, l’embrassais, elle était vraiment bandante, imaginer fourrer une femme de 45 ans me donner une énorme érection. Elle laissait échapper des petits gémissements qui me montraient qu’elle était à moi.

M : Si nous allions chez moi, nous serions tranquille, j’habite à deux pas.
E : Mon mari peut nous voir.
M : Comment est il ?
E : Il a toujours un bob 51 sur la tête
Je passe la tête par-dessus le mur et voit le mari en question occupé à une partie de pétanque sur le parking entre les camping car.

M : Allons y ma belle, il n’y a personne. Je peux te tutoyer.
E : Attends je me rhabille quand même.
M : Ne remet pas ton soutif, j’aime voir tes seins pointer dans ton haut.
Elle laissa son soutif dans son sac et nous partîmes vers chez moi sans que son mari ne s’aperçoive de rien.
Elle n’avait même pas eu le temps de remettre bien sa culotte qui lui faisait un superbe string.
Voyant cela, alors que nous marchions, je passai ma main sur ses fesses pour la caresser un peu.
Ma queue n’en pouvait plus je bandais comme un taureau, heureusement nous n’avons croisés personne.
Ses seins n’en finissaient plus de pointer, ce qui me montrait bien son excitation.
Je passai donc ma main dans son short et je tirais de haut en bas sur sa culotte pour la faire frotter sur son anus et sa cramouille.
Son short devenait témoin d’un entrejambe trempé.
Enfin nous sommes devant ma porte. Je la fais entrer en me collant derrière elle pour qu’elle sente ma queue bandée à son maximum.
Je la dirige vers la chambre, la retourne et lui dis :

M : Suce moi maintenant, ma queue est brûlante.
Elle m’enleva mon short pour sortir mon mandrin.
E : Tu es monté comme un taureau ma parole !!
M : T’inquiètes pas tu vas réussir à l’avaler, t’es pas la première.
Elle enleva son haut et son short, me poussa sur le lit et entama une pipe avec férocité. Puis se tourna lentement sur le lit pour m’offrir sa chatte en 69.
Je lui frotte sa culotte contre sa chatte qui n’en finie plus de suinter cette délicieuse et enivrante liqueur dont je n’avais pas oublié le goût.
Je lui léchais copieusement la chatte pendant qu’elle me lustrait le dard.

M : viens maintenant, monte sur ma queue, viens t’enfiler !
Elle se redressa, se retourna et présenta sa chatte face à mon gland. Ma queue eu du mal à entrer, elle était très serrée du vagin.

M : Putain mais tu baises jamais avec ton mari ?
E : Ce n’est qu’un con, ne parlons pas de lui, fais moi du bien plutôt.

A ces mots, je m’enfilais d’un coup jusqu'à la garde, elle gémissait comme une pucelle à sa première baise.
Je m’activais pour satisfaire mon ôte qui en redemandait toujours plus.
Soudain, ma queue fut éjectée de sa cramouille et un jet de cyprine sorti de son vagin pour se répandre sur ma queue et sur mes draps.
Ma première réaction fut : « ouah la vache »

E : désolé cela m’arrive parfois
M : T’es une fontaine ma parole, mets toi à quatre pattes je vais devoir te punir !
Elle se mise à quatre pattes sur le lit en se cambrant le cul.

M : Alors t’as mouillé mes draps !
Avant qu’elle eu le temps de répondre, j’enfilais ma queue dans sa chatte en levrette en la traitant de salope.
Elle ne faisait que gémir sous mes coups de boutoir, elle se faisait pilonner comme au premier soir.
J’avais cette femme de 45 ans au bout de ma queue que je limais à toute vitesse, mes couilles frappaient son clito c’était trop bon.

Cette fois j’avais atteint le point de non retour, je sorti ma queue de sa chatte, enleva ma capote et lui ai tout balancé sur son cul. Son cul était recouvert de foutre.
Je l’essuyais avec sa culotte, comme pour lui laisser un petit souvenir de notre rencontre.

Elle se releva, me traita de cochon, que si son mari s’en apercevait elle aurait de gros problèmes.
Elle me demanda pour prendre une douche avant de retourner sur la plage, je lui répondis bien sur en lui montrant la salle de bain.
Elle entra, je reparti à la cuisine nous préparer deux sodas pour nous rafraîchir.
Elle me cria, « t’a pas une serviette ! »
« Si attend »
J’allais vers la salle de bain et la vit nue, pliée en deux en train chercher dans le placard du bas. Elle m’offrait une vue parfaite sur sa chatte, ses lèvres étaient encore détendues de s’être faite défoncés.
Ma queue bandait à nouveau.

E : Ah t’as pas une serviette stp ?
M : Si attend dans ma chambre.
Je retournai dans ma chambre prendre une serviette, mais aussi pour me mettre une capote, j’avais encore envie de baiser.
J’entrais dans la salle de bain, elle était sous la douche, j’y entrais avec elle.

E : Qu’est que tu fais ?
M : Je n’ai pas fini ce que j’avais commencé !
Je l’obligeai à se cambrer pour lui enfiler ma queue, ça y est, je suis en elle.
Elle a les jambes nouées autour de mes hanches et cri tout ce qu’elle peut, alors je sorti de la douche avec elle au bout de mon mandrin, l’allongea sur la descente de bain et lui dit de se mettre à quatre pattes.
Cette femme est une vrai nympho, c’est ce qu’on va voir.
J’ouvre le placard, prend du lubrifiant, m’inonde la queue et son petit trou.

M : Tu vas voir, ça fait si longtemps que je n’ai pas défoncé un cul, je vais t’exploser ta rondelle.
E : Non attend, pas l’anus je ne l’ai jamais fait.

A ces mots je poussai lentement l’entrée de son petit trou, elle mouille encore à fond.
Je m’enfonce en elle et commence des va et vient qui la font gémir à nouveau. Son cul est tellement serré que mon sperme monte à toute vitesse, j’y vais maintenant comme un tigre en chaleur, je la lime de toute mes forces, elle crie….Lorsque je ralenti le rythme, c’est elle qui vient s’empaler jusqu'à la garde de mon sexe.
Je sorti ma queue, enleva ma capote, elle me dit alors :
« Non pas sur moi stp »
Alors j’ai re-rentré ma queue d’un coup sec dans son anus dilaté et lui ai tout lâché dedans.
Quelle excellente sensation !
Lorsque je me suis retiré, un peu de sperme sortait de son cul et coulait le long de sa fente défoncée.

Elle pris sa douche, bu son soda et parti à nouveau en direction de la plage. Je la regardais s’éloigner au loin, amusé par la marche en canard qu’elle n’arrivait visiblement pas à cacher.

Nous ne nous sommes jamais revus, mais ce fut un après midi exceptionnel.

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