Rencontre au cinéma (1) - histoire érotique

Nina et moi avions passé la soirée au cinéma. Nous avions pensé qu’après avoir parlé à Erwann, Émilie aimerait sans doute rentrer avec lui, et être tranquille pour approfondir cette histoire. Nous n’avions aucune idée de comment Erwann réagirait, mais nous estimions que nous n’avions rien à faire dans cette histoire.

Nous avions choisi un film au hasard, n’ayant pas d’envie particulière. La salle sans être vide était clairsemée. Nous nous sommes installés au dernier rang, et avons attendu le début de la séance en discutant de sujet banal. La salle se plongea doucement dans l’obscurité et le film débuta. Quelques minutes après le début, Nina posa sa main sur mon entrejambe et me massa au travers de mon jean. Je me tournais vers elle. Elle n’avait pas quitté l’écran des yeux. Je replongeais dans le film, et la laissait faire.

Bien vite je perdis le fil de l’histoire. Nina sortit ma bite et me branla avant de me sucer. Je jetais un regard alentour, mais personne ne pouvait la voir à genou devant moi, mon sexe en bouche. Elle me suça, conduit au bord de l’orgasme puis elle se releva et quitta la salle ma laissant à mon malheur, bite à l’air.

Je rangeais mon « matériel » et à mon tour sorti de la salle. Nina m’attendait derrière la porte. Elle me plaqua au mur et m’embrassa à pleine bouche. Elle me prit par la main et m’entraina dans les toilettes. Elle vérifia que nous étions seuls, et me fit entrer dans une cabine.

Nina s’assit sur la cuvette, fit glisser sa culotte, écarta les jambes me dévoilant son sexe trempé. Sans réfléchir je me mis à genou et me glissait sous sa jupe pour la bouffer. Je plongeais en elle, fouillant son petit minou bien lisse, lui tirant des soupirs de plaisir.

Tout à notre affaire nous n’avons pas entendu que quelqu’un était entré et nous ayant entendu était monté sur la cuvette de la cabine d’à côté pour nous observer par-dessus la cloison. Nina la vit et sans se démonter l’interpela.

— Le spectacle vous plait ?
— Il a l’air doué.
— Très doué même, tellement que je ne peux m’en passer et l’oblige à me bouffer la chatte dans les toilettes du cinéma. Vous voulez tester?
— S’il est aussi bon que vous le dites…
Je me relevais, déverrouillais la porte et laissait notre invitée se glisser dans la petite cabine. Elle devait avoir entre 35 et 40 ans. Blonde, aussi grande que moi. Elle ôta son manteau, son pull, son chemisier et dévoila une belle paire de seins encore bien fermes. Nina l’embrassa et lui caressa la poitrine. Je me joignis à elle et fis glisser son pantalon et sa culotte. Sa chatte était rasée, mais elle gardait comme Émilie un petit buisson au-dessus de son clito. Elle s’appuya contre la cloison et m’invita à démontrer mes talents de lécheur.

Nina toujours assise sur la cuvette se caressait en me regardant lécher cette inconnue. Celle-ci avait de larges lèvres que je pouvais sucer, lécher. Elle ne fut pas longue à mouiller, et j’allais recueillir son jus sur mes lèvres pour le partager avec Nina. Je léchais ce sexe offert, jouais avec son clito, passait mes doigts entre ses fesses pour titiller son petit trou. Elle était très réceptive à mes caresses, se cambrant pour s’ouvrir à moi.

— Je crois qu’elle aimerait bien que tu l’encules, dit Nina en se relevant.

Notre inconnue acquiesça et se mit en position pour que je lui prenne le cul. Nina se mit à genou et pris ma place entre les cuisses de cette belle blonde, pendant que me me glissais entre ses fesses, appuyant ma bite contre son petit trou. Elle devait avoir l’habitude de se faire sodomiser, et aimer ça. Je m’introduis en elle sans soucis, et elle gémit de plaisir lors de mes premiers va-et-vient dans son intimité.

Tout en léchant la chatte de la blonde, Nina me donnait de petits coups de langue sur les couilles. Elle glissa ses doigts dans la chatte de notre partenaire. Elle me caressait la bite au travers des chairs de la blonde. Je me retirais de son cul avant de jouir et répandis mon foutre sur le carrelage. Nina et la blonde se gouinèrent et jouirent en se couvrant la bouche pour ne pas trop attirer l’attention.

Nous nous rhabillâmes et quittâmes le cinéma sans même retourner dans la salle. Sur le trottoir, dans le froid, notre belle blonde se présenta. Elle s’appelait Nadége, et nous proposait de poursuivre cette soirée chez elle. Nina répondit oui sans hésiter une seconde.

Nadège habitait un grand appartement dans un immeuble ancien. Hauts plafond, moulure, parquet, lustres, grande tenture aux fenêtres. Tout le décorum d’un intérieur bourgeois. Nadège nous proposa un verre et nous partageâmes une bouteille avec elle.

— Je n’ai pas l’habitude de faire ça, nous dit-elle en sirotant son verre. Je veux dire dans les toilettes de cinémas. Avec mon mari nous sommes libres, mais je n’avais jamais ramené chez moi des couples comme ça.

En nous voyant chez elle, elle semblait réaliser la situation, et ce qu’elle venait de faire. Nina se rapprocha d’elle, elle posa une main sur sa cuisse.

— Nous non plus nous je vous rassure, même si on baise comme des bêtes, avec des hommes, des femmes, à deux, trois ou plus.

Nadège éclata de rire en écoutant Nina.

— Votre mari n’est pas là, demandais-je ?— Il devrait arriver.
— Et il dira quoi en nous voyant ici ?
— Je pense que ça pourrait lui plaire, surtout Nina, elle est tout à fait son type.

Nina fut flattée et embrassa notre hôtesse à pleine bouche. Je bus mon verre en les regardant se déshabiller mutuellement, révélant leurs nudités, leurs seins, leurs sexes encore humides. Je bandais ferme, mais je préférais n’être que spectateur pour le moment. Les laissant se chauffer avant d’entrer dans le jeu.

Nina se laissa glisser vers chatte de Nadège. Celle-ci plongea son regard dans le mien pendant que ma maitresse la léchait.

— Elle suce aussi bien qu’elle lèche, me demanda-t-elle ?
— Mieux encore.

Nadège sourit et se laissa aller aux caresses buccales de Nina. Je ne savais pas combien de temps je résisterais à l’envie de les rejoindre.

Nadège se redressa en entendant la porte claquer. Elle tourna la tête vers le nouveau venu.

— Cheri, regarde ce que je t’ai rapporté.