Rencontre au fast-food
Récit érotique écrit par AndréDu31 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-12-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre au fast-food
Bonjour à tous, aujourd'hui me voici revenu confesser ma seconde histoire d'infidélité. Plus
courte que mon histoire avec Madeleine, cette passade ne m'en as pas moins plus pour autant,
et me voici aujourd'hui devant vous pour vous en faire part.
C'était il y a quelques années, ma relation avec Céline marchait aussi bien
qu'habituellement. Nous étions chacun chez nos parents et on se voyait de temps en temps,
mais pas suffisamment pour combler mes peut-être trop important besoin de sexe. Je voyais
toujours Madeleine deux à trois fois l'an et nous adorions nous envoyer en l'air en toutes
ces occasions, mais elles étaient tout de même rares. Moi, je travaillait à ce moment-là
pour un fast-food bien connu, et l'ambiance avec les collègues étaient ma foi bonne. Ma
timidité m'empêchait quelque peu de réellement profiter de l'ambiance à la limite de la
débauche qui régnait parmi mes collègues où les couples se faisaient et se défaisaient avec
une facilité extrême, mais je m'entendais malgré tout très bien avec tous.
Et parmi ceux-là, Elodie. Cela faisait un an et demi environ que je travaillais là sur les
deux qu'auront duré cette période, quand Elodie est arrivée. Comme toujours, difficile de
remarquer qui que ce soit au début, mais nous avons relativement vite sympathisé,
particulièrement quand arriva l'été. Nos horaires correspondant harmonieusement, nous nous
retrouvions souvent après le boulot sur la terrasse à discuter un peu parmi les autres,
jusqu'à ce que, notre sympathie réciproque grandissant, nous en venions à échanger nos
numéros et choisir de nous isoler un peu pour discuter. Nous apprenions à nous connaître et
nous commencions à passer suspicieusement de plus en plus de temps ensemble. Je la
raccompagnait chez elle après le boulot au milieu de la nuit, et nous restions à converser,
en nous baladant sous la lune ou bien installés sur la banquette arrière de ma voiture.
Elle me racontait des choses très personnelle et moi j'écoutais plus que je ne me livrais.
Car je suis comme ça et qu'elle avait surtout besoin d'un confident, la situation était
parfaite et nous apprécions ces soirées ensemble.
Au fur et à mesure que nous apprenions à nous connaître, elle abordait des sujets plus
personnels. En raffolant, j'écoutais, bien sûr. J'apprenais qu'elle avait eu quelques
mauvaises expériences plus jeune, ce qui avait tendance à l'effrayer un peu côté sexuel.
J'apprenais aussi qu'elle avait eu une relation avec une autre fille pendant un temps, et
qu'elle en gardait un bon souvenir, même si elle ne se considère pas pour autant bisexuelle.
Évidement, à mesure qu'elle se confiait je me disais que les choses pourraient évoluer vers
des perspectives intéressantes. Pourtant, parmi les rares moments de conversations où je
parlais, je décidais de ne pas lui cacher que j'avais une copine, décidant par là que si
quelque chose devait se passer entre nous, se serait en connaissance de cause et non pas en
lui mentant effrontément.
Cet état de fait n'a de toute façon que retardé l'inévitable. Je venais de démissionner du
restaurant et elle continuait à y bosser. Mais appréciant de passer du temps ensemble, nous
continuions à nous voir presque tous les soirs, jusqu'au jour où la tentation a cédé. Elle
était visiblement amoureuse et elle paraissait très ennuyée que j'ai une copine. De fait
elle ne voulais pas faire le premier pas, mais après une soirée passée dans les bras l'un de
l'autre sur ma banquette arrière de plus, je n'y tenais plus et je posais mes lèvres sur les
siennes. Elle me rendit mon baiser sans se faire prier, signe qu'elle n'avait pas de souci
particulier avec le fait de ne pouvoir être réellement ma petite amie. Une petite mise au
point s'est imposé : nous pouvons être un couple devant nos collègues, mais nous ne pourrons
être réellement ensemble. La durée de notre relation a aussi dès le début été définie comme
ne pouvant durer très longtemps.
Coulant des soirées heureuses à s'embrasser passionnément dans ma voiture garée dans les prés
les plus improbables, nous ne tardions pas à se mettre à nous caresser. Moi au moins, car,
la devinant encore très réticente à certaines idées depuis ses traumatismes passés, Elodie
restait très prude quand à ce qu'elle faisait d'elle-même. C'est néanmoins elle qui me
glissera à l'oreille qu'elle aimerait faire l'amour avec moi,et je ne me fit pas prier pour
lui répondre que c'était d'accord. Nous nous retrouvions donc un soir en pleine nuit sur ma
banquette arrière, planquée au bout d'un chemin s'enfonçant dans un sombre sous-bois.
Pensant qu'elle ne ferait pas grand chose de sa propre initiative, je pris les devants en
glissant une main sous son pull pour lui caresser la poitrine. Ses seins étaient doux et
opulents et je les caressais avec plaisir. Ne m'attardant pas, je la déshabillait pour me
permettre de mieux les découvrir, lui enlevant son pull, son t-shirt et me débarrassant de
son soutien-gorge. Découvrant de visu ses superbes nichons, je me disais que même si cette
relation n'allait ni durer, ni être pleine de ses initiatives, j'aurais tord de ne pas en
profiter. Elle se laissait donc caresser son corps bien fait en continuant de m'embrasser,
tout en restant largement passive, au point que je savais que je devrais prendre toute
initiative. Alors qu'elle était déjà demi-nue, elle n'en était en effet qu'au point de me
prendre dans ses bras, sans trop oser me caresser. Qu'à cela ne tienne, étant donné que
c'est elle qui avait émis le souhait, je savais qu'elle voulait et aurait simplement du mal
à prendre les devants. Je m'adaptais en ôtant moi-même mon t-shirt et je sentis alors ses
douces mains sur la peau de mon dos. Elle ne se lâchera jamais bien plus que ça, pensais-je,
mais ce n'était pas grave, après tout ce qu'elle m'avait raconté, je comprenais aisément.
Pourtant, je n'étais pas au bout de mes surprises.
Tentant de passer à la vitesse supérieure, je lui défit alors le bouton d'attache de son
jean et commença à le lui ôter. Elle ne resta pas immobile et m'aida à la manœuvre, les
positions sur la banquette arrière de ma petite voiture sombre ne rendant pas la chose
facile. Elle ne se fit pas prier non plus quand je complétais en lui enlevant sa culotte. La
pénombre ne me permit pas de le remarquer au premier regard, mais c'est en portant ma main
le long de l'intérieur de ses cuisses et en arrivant à son sexe que je remarquais qu'elle
était intégralement rasée. Woaw. Devant moi qui adore une minette lisse, devant moi qui
avait réussi à convaincre Céline de le faire "pour essayer" une fois et qui avait finalement
adopté une certaine mesure de rasage intime mais qui n'y passait pas suffisamment souvent et
intégralement à mon goût, devant moi qui avait glissé l'idée à Madeleine mais qu'elle n'a
jamais encore concrétisé, devant moi qui imaginait déjà Elodie avec une touffe de poils au
naturel sans entretien du fait de ses traumatismes, se trouvait là son sexe impeccable,
lisse, doux, sans aucun poil ni autour des lèvres ni sur le pubis. Quelle beauté. Je n'en
revenait pas. Elle me racontera plus tard que cela lui venait de son expérience lesbienne,
apparemment elles se rasaient le minou toutes les deux, j'imagine très bien pourquoi, et
depuis elle garde son intimité lisse et vierge de toute imperfection pilleuse au quotidien.
Je n'aurais jamais imaginé ça dans mes fantasmes les plus fous avec elle. Alors évidement,
j'allais en profiter. Consciente de sa passivité dans l'acte, mais révélant finalement plus
de hardiesse que prévue, elle me laissa évidement faire lorsque j'approchais mon visage de
son entre-cuisse. Une si magnifique chatte intégralement rasée, je n'allais pas me priver.
Je l'embrassais à la jonction de ses douces cuisses et de ses lèvres les plus sensibles, de
chaque côté, puis j'invitais ma langue à prendre part au débat, marquant le contour de son
sexe, puis m'aventurant le long de cette fente plus accueillante que prévue. Visiblement
heureuse de se faire ainsi câliner l'abricot, Elodie ne retenait pas ses premiers
gémissements de plaisir. Je lui léchais alors le sexe de bas en haut et de haut en bas,
immisçant ma langue aussi profond que possible, goutant son jus de désir qui se faisant de
plus en plus abondant à mesure que mon cunni progressait, humant cette odeur si particulière
de la chatte excitée d'une femme qui aime ça. Je m'attardais sur le clitoris qui pointait
de lui-même, lui titillant du bout de la langue, ajoutant par moment une petite caresse du
doigt. Ses jambes ne pouvaient être plus écartées et je la surpris posant sa main sur ma
nuque m'invitant à continuer de lui faire du bien. Ses gémissements se changèrent en petits
cris de plaisirs et cela dura jusqu'à ce qu'elle me fasse remonter pour me chuchoter à
l'oreille de la prendre.
Sa passivité avait temporairement disparue et je ne m'en faisais plus vraiment au sujet de
ses traumatismes passés, elle aimait toujours bien pratiquer l'acte visiblement. Mon sexe à
moi n'en pouvait de toute façon plus de bander à mort prisonnier de mon pantalon, et je
défit donc le tout pour exaucer le souhait exprimé d'Elodie. Le sexe pointé vers son
entrejambe trempée d'un mélange de mouille et de salive, j'hésitais encore une seconde à la
pénétrer, la faute à l'absence de capote, mais ses mains sur mes fesses et un mouvement
pressant vers elle eurent vite raison de cette faible défense. Mon pénis entra en elle d'un
coup sans résistance et elle lâcha un cri de plaisir sous l'effet de cette brusque
pénétration. Il était clair que le rapport serait tout sauf calme et j'entamais alors
immédiatement de rapide mouvement de vas-et-viens. Je la baisais maintenant dans une
position pas très confortable, elle adossée à la banquette les jambes écartées au maximum,
les seins rebondissant suivant les coups de boutoirs que je lui infligeais pour son grand
plaisir, moi au dessus d'elle mon sexe allant et venant avec une grande facilité dans son
intimité complètement offerte. Elle gémissait fort au rythme de notre rapport et j'étais
excité par ce rapport plus violent et animal que tout ce que j'avais connu jusque là. Ses
seins opulents bondissant, son expressivité dans l'acte, son visage d'ange transformé par
le plaisir que je n'aurais jamais soupçonne qu'elle aime autant, tout cela était si grisant
que nous ne pouvions nous arrêter. Je lui plaçais les mains sur les hanches, la prenant en
profondeur, me perdant dans les cris qu'elle poussait. Perdant le compte de son plaisir, je
ne sût à quel moment elle commençait à jouir, ou combien de temps son orgasme dura, en tout
cas je continuais jusqu'au mien qui me vit éjaculer en elle au terme d'une jouissance pour
moi aussi puissante que la façon dont je la prenais. Nous sommes retombés l'un sur l'autre,
haletants, en sueur, fatigués de la violence de cette partie de jambe en l'air que nous
attendions depuis bien longtemps, tous les deux visiblement.
Je ne savais trop si cela nous suffirait. Après une partie de jambe en l'air aussi intense
il était difficile de juste se rhabiller et s'en aller. Cependant, une certaine pudeur la
prenait à nouveau malgré tout et je percevais clairement qu'elle ne voulait pas voir mon
organe, encore moins le toucher. J'avais encore envie d'elle, mais il allait me falloir un
peu de temps, et je ne savais pas trop ce que elle ressentait. Fort heureusement, elle
semblait vouloir continuer aussi, car c'est sans résistance d'aucune sorte que la main que
je glissais à nouveau le long de sa cuisse pu rencontrer son minou encore ruisselant de
mouille. Génial. J'introduisis donc un doigt dans sa caverne de plaisir pour reprendre une
stimulation qui permettrait d'attendre mon retour aux affaires. Elle écarte à nouveau les
jambes pour me laisser faire. Mon autre main vient alors lui caresser ses magnifiques seins
et elle vint de son côté m'embrasser à pleine bouche. Nos langues se rencontrèrent et ne se
quittèrent plus un temps, pendant que mon doigt la fouillait à la recherche de son point G.
Elodie était décidément bien plus vicieuse que je ne l'aurais cru. Bien sûr à ce rythme là
je ne tardais pas à reprendre la vigueur nécessaire pour la prendre à nouveau. Je la
basculais alors en position pour une levrette, à genoux sur la banquette, le cul pointé vers
moi. Moi un genou derrière elle et l'autre jambe en appui sur le sol, j'empoignais ses
hanches et la pénétrais ainsi par derrière aussi vigoureusement que tout à l'heure. Toujours
aussi méconnaissable dans cette situation, elle se remit à gémir au rythme des vas-et-viens.
Venant juste de jouir une première fois, je savais que j'allais pouvoir la prendre sans
ménagement. Et elle réagissait en conséquence, criant son plaisir de plus en plus
intensément. Nous ne faisions plus l'amour mais nous baisions clairement. Et c'était bon.
J'avais d'ailleurs l'impression de peut-être la baiser trop violemment mais elle aimait elle
aussi, et je sais que parmi ses cris de plaisirs l'un plus fort que les autres trahis un bel
orgasme. Pas peu fier, j'en arrivait finalement à mon propre orgasme beaucoup plus intense
que le premier. C'était violent et intense, mais nous en avions largement profité tous les
deux. C'est tout essoufflé que nous nous sommes rassis sur la banquette arrière, crevés mais
satisfaits.
Notre relation dura environ deux semaines après ça, et faute de trous d'emplois du temps
suffisamment discret pour éviter Céline, nous n'avons pu remettre ça de façon aussi intense.
Un petit coup par-ci par-là et puis se fut la rupture d'un commun accord pour préserver ma
relation avec Céline à l'abri du danger. Restera ce formidable souvenir d'une Elodie que je
n'aurais jamais soupçonné d'être aussi avide de sexe sous des airs assez prudes. Comme quoi,
les apparences sont trompeuses, et la surprise sexuelle est terriblement délicieuse.
courte que mon histoire avec Madeleine, cette passade ne m'en as pas moins plus pour autant,
et me voici aujourd'hui devant vous pour vous en faire part.
C'était il y a quelques années, ma relation avec Céline marchait aussi bien
qu'habituellement. Nous étions chacun chez nos parents et on se voyait de temps en temps,
mais pas suffisamment pour combler mes peut-être trop important besoin de sexe. Je voyais
toujours Madeleine deux à trois fois l'an et nous adorions nous envoyer en l'air en toutes
ces occasions, mais elles étaient tout de même rares. Moi, je travaillait à ce moment-là
pour un fast-food bien connu, et l'ambiance avec les collègues étaient ma foi bonne. Ma
timidité m'empêchait quelque peu de réellement profiter de l'ambiance à la limite de la
débauche qui régnait parmi mes collègues où les couples se faisaient et se défaisaient avec
une facilité extrême, mais je m'entendais malgré tout très bien avec tous.
Et parmi ceux-là, Elodie. Cela faisait un an et demi environ que je travaillais là sur les
deux qu'auront duré cette période, quand Elodie est arrivée. Comme toujours, difficile de
remarquer qui que ce soit au début, mais nous avons relativement vite sympathisé,
particulièrement quand arriva l'été. Nos horaires correspondant harmonieusement, nous nous
retrouvions souvent après le boulot sur la terrasse à discuter un peu parmi les autres,
jusqu'à ce que, notre sympathie réciproque grandissant, nous en venions à échanger nos
numéros et choisir de nous isoler un peu pour discuter. Nous apprenions à nous connaître et
nous commencions à passer suspicieusement de plus en plus de temps ensemble. Je la
raccompagnait chez elle après le boulot au milieu de la nuit, et nous restions à converser,
en nous baladant sous la lune ou bien installés sur la banquette arrière de ma voiture.
Elle me racontait des choses très personnelle et moi j'écoutais plus que je ne me livrais.
Car je suis comme ça et qu'elle avait surtout besoin d'un confident, la situation était
parfaite et nous apprécions ces soirées ensemble.
Au fur et à mesure que nous apprenions à nous connaître, elle abordait des sujets plus
personnels. En raffolant, j'écoutais, bien sûr. J'apprenais qu'elle avait eu quelques
mauvaises expériences plus jeune, ce qui avait tendance à l'effrayer un peu côté sexuel.
J'apprenais aussi qu'elle avait eu une relation avec une autre fille pendant un temps, et
qu'elle en gardait un bon souvenir, même si elle ne se considère pas pour autant bisexuelle.
Évidement, à mesure qu'elle se confiait je me disais que les choses pourraient évoluer vers
des perspectives intéressantes. Pourtant, parmi les rares moments de conversations où je
parlais, je décidais de ne pas lui cacher que j'avais une copine, décidant par là que si
quelque chose devait se passer entre nous, se serait en connaissance de cause et non pas en
lui mentant effrontément.
Cet état de fait n'a de toute façon que retardé l'inévitable. Je venais de démissionner du
restaurant et elle continuait à y bosser. Mais appréciant de passer du temps ensemble, nous
continuions à nous voir presque tous les soirs, jusqu'au jour où la tentation a cédé. Elle
était visiblement amoureuse et elle paraissait très ennuyée que j'ai une copine. De fait
elle ne voulais pas faire le premier pas, mais après une soirée passée dans les bras l'un de
l'autre sur ma banquette arrière de plus, je n'y tenais plus et je posais mes lèvres sur les
siennes. Elle me rendit mon baiser sans se faire prier, signe qu'elle n'avait pas de souci
particulier avec le fait de ne pouvoir être réellement ma petite amie. Une petite mise au
point s'est imposé : nous pouvons être un couple devant nos collègues, mais nous ne pourrons
être réellement ensemble. La durée de notre relation a aussi dès le début été définie comme
ne pouvant durer très longtemps.
Coulant des soirées heureuses à s'embrasser passionnément dans ma voiture garée dans les prés
les plus improbables, nous ne tardions pas à se mettre à nous caresser. Moi au moins, car,
la devinant encore très réticente à certaines idées depuis ses traumatismes passés, Elodie
restait très prude quand à ce qu'elle faisait d'elle-même. C'est néanmoins elle qui me
glissera à l'oreille qu'elle aimerait faire l'amour avec moi,et je ne me fit pas prier pour
lui répondre que c'était d'accord. Nous nous retrouvions donc un soir en pleine nuit sur ma
banquette arrière, planquée au bout d'un chemin s'enfonçant dans un sombre sous-bois.
Pensant qu'elle ne ferait pas grand chose de sa propre initiative, je pris les devants en
glissant une main sous son pull pour lui caresser la poitrine. Ses seins étaient doux et
opulents et je les caressais avec plaisir. Ne m'attardant pas, je la déshabillait pour me
permettre de mieux les découvrir, lui enlevant son pull, son t-shirt et me débarrassant de
son soutien-gorge. Découvrant de visu ses superbes nichons, je me disais que même si cette
relation n'allait ni durer, ni être pleine de ses initiatives, j'aurais tord de ne pas en
profiter. Elle se laissait donc caresser son corps bien fait en continuant de m'embrasser,
tout en restant largement passive, au point que je savais que je devrais prendre toute
initiative. Alors qu'elle était déjà demi-nue, elle n'en était en effet qu'au point de me
prendre dans ses bras, sans trop oser me caresser. Qu'à cela ne tienne, étant donné que
c'est elle qui avait émis le souhait, je savais qu'elle voulait et aurait simplement du mal
à prendre les devants. Je m'adaptais en ôtant moi-même mon t-shirt et je sentis alors ses
douces mains sur la peau de mon dos. Elle ne se lâchera jamais bien plus que ça, pensais-je,
mais ce n'était pas grave, après tout ce qu'elle m'avait raconté, je comprenais aisément.
Pourtant, je n'étais pas au bout de mes surprises.
Tentant de passer à la vitesse supérieure, je lui défit alors le bouton d'attache de son
jean et commença à le lui ôter. Elle ne resta pas immobile et m'aida à la manœuvre, les
positions sur la banquette arrière de ma petite voiture sombre ne rendant pas la chose
facile. Elle ne se fit pas prier non plus quand je complétais en lui enlevant sa culotte. La
pénombre ne me permit pas de le remarquer au premier regard, mais c'est en portant ma main
le long de l'intérieur de ses cuisses et en arrivant à son sexe que je remarquais qu'elle
était intégralement rasée. Woaw. Devant moi qui adore une minette lisse, devant moi qui
avait réussi à convaincre Céline de le faire "pour essayer" une fois et qui avait finalement
adopté une certaine mesure de rasage intime mais qui n'y passait pas suffisamment souvent et
intégralement à mon goût, devant moi qui avait glissé l'idée à Madeleine mais qu'elle n'a
jamais encore concrétisé, devant moi qui imaginait déjà Elodie avec une touffe de poils au
naturel sans entretien du fait de ses traumatismes, se trouvait là son sexe impeccable,
lisse, doux, sans aucun poil ni autour des lèvres ni sur le pubis. Quelle beauté. Je n'en
revenait pas. Elle me racontera plus tard que cela lui venait de son expérience lesbienne,
apparemment elles se rasaient le minou toutes les deux, j'imagine très bien pourquoi, et
depuis elle garde son intimité lisse et vierge de toute imperfection pilleuse au quotidien.
Je n'aurais jamais imaginé ça dans mes fantasmes les plus fous avec elle. Alors évidement,
j'allais en profiter. Consciente de sa passivité dans l'acte, mais révélant finalement plus
de hardiesse que prévue, elle me laissa évidement faire lorsque j'approchais mon visage de
son entre-cuisse. Une si magnifique chatte intégralement rasée, je n'allais pas me priver.
Je l'embrassais à la jonction de ses douces cuisses et de ses lèvres les plus sensibles, de
chaque côté, puis j'invitais ma langue à prendre part au débat, marquant le contour de son
sexe, puis m'aventurant le long de cette fente plus accueillante que prévue. Visiblement
heureuse de se faire ainsi câliner l'abricot, Elodie ne retenait pas ses premiers
gémissements de plaisir. Je lui léchais alors le sexe de bas en haut et de haut en bas,
immisçant ma langue aussi profond que possible, goutant son jus de désir qui se faisant de
plus en plus abondant à mesure que mon cunni progressait, humant cette odeur si particulière
de la chatte excitée d'une femme qui aime ça. Je m'attardais sur le clitoris qui pointait
de lui-même, lui titillant du bout de la langue, ajoutant par moment une petite caresse du
doigt. Ses jambes ne pouvaient être plus écartées et je la surpris posant sa main sur ma
nuque m'invitant à continuer de lui faire du bien. Ses gémissements se changèrent en petits
cris de plaisirs et cela dura jusqu'à ce qu'elle me fasse remonter pour me chuchoter à
l'oreille de la prendre.
Sa passivité avait temporairement disparue et je ne m'en faisais plus vraiment au sujet de
ses traumatismes passés, elle aimait toujours bien pratiquer l'acte visiblement. Mon sexe à
moi n'en pouvait de toute façon plus de bander à mort prisonnier de mon pantalon, et je
défit donc le tout pour exaucer le souhait exprimé d'Elodie. Le sexe pointé vers son
entrejambe trempée d'un mélange de mouille et de salive, j'hésitais encore une seconde à la
pénétrer, la faute à l'absence de capote, mais ses mains sur mes fesses et un mouvement
pressant vers elle eurent vite raison de cette faible défense. Mon pénis entra en elle d'un
coup sans résistance et elle lâcha un cri de plaisir sous l'effet de cette brusque
pénétration. Il était clair que le rapport serait tout sauf calme et j'entamais alors
immédiatement de rapide mouvement de vas-et-viens. Je la baisais maintenant dans une
position pas très confortable, elle adossée à la banquette les jambes écartées au maximum,
les seins rebondissant suivant les coups de boutoirs que je lui infligeais pour son grand
plaisir, moi au dessus d'elle mon sexe allant et venant avec une grande facilité dans son
intimité complètement offerte. Elle gémissait fort au rythme de notre rapport et j'étais
excité par ce rapport plus violent et animal que tout ce que j'avais connu jusque là. Ses
seins opulents bondissant, son expressivité dans l'acte, son visage d'ange transformé par
le plaisir que je n'aurais jamais soupçonne qu'elle aime autant, tout cela était si grisant
que nous ne pouvions nous arrêter. Je lui plaçais les mains sur les hanches, la prenant en
profondeur, me perdant dans les cris qu'elle poussait. Perdant le compte de son plaisir, je
ne sût à quel moment elle commençait à jouir, ou combien de temps son orgasme dura, en tout
cas je continuais jusqu'au mien qui me vit éjaculer en elle au terme d'une jouissance pour
moi aussi puissante que la façon dont je la prenais. Nous sommes retombés l'un sur l'autre,
haletants, en sueur, fatigués de la violence de cette partie de jambe en l'air que nous
attendions depuis bien longtemps, tous les deux visiblement.
Je ne savais trop si cela nous suffirait. Après une partie de jambe en l'air aussi intense
il était difficile de juste se rhabiller et s'en aller. Cependant, une certaine pudeur la
prenait à nouveau malgré tout et je percevais clairement qu'elle ne voulait pas voir mon
organe, encore moins le toucher. J'avais encore envie d'elle, mais il allait me falloir un
peu de temps, et je ne savais pas trop ce que elle ressentait. Fort heureusement, elle
semblait vouloir continuer aussi, car c'est sans résistance d'aucune sorte que la main que
je glissais à nouveau le long de sa cuisse pu rencontrer son minou encore ruisselant de
mouille. Génial. J'introduisis donc un doigt dans sa caverne de plaisir pour reprendre une
stimulation qui permettrait d'attendre mon retour aux affaires. Elle écarte à nouveau les
jambes pour me laisser faire. Mon autre main vient alors lui caresser ses magnifiques seins
et elle vint de son côté m'embrasser à pleine bouche. Nos langues se rencontrèrent et ne se
quittèrent plus un temps, pendant que mon doigt la fouillait à la recherche de son point G.
Elodie était décidément bien plus vicieuse que je ne l'aurais cru. Bien sûr à ce rythme là
je ne tardais pas à reprendre la vigueur nécessaire pour la prendre à nouveau. Je la
basculais alors en position pour une levrette, à genoux sur la banquette, le cul pointé vers
moi. Moi un genou derrière elle et l'autre jambe en appui sur le sol, j'empoignais ses
hanches et la pénétrais ainsi par derrière aussi vigoureusement que tout à l'heure. Toujours
aussi méconnaissable dans cette situation, elle se remit à gémir au rythme des vas-et-viens.
Venant juste de jouir une première fois, je savais que j'allais pouvoir la prendre sans
ménagement. Et elle réagissait en conséquence, criant son plaisir de plus en plus
intensément. Nous ne faisions plus l'amour mais nous baisions clairement. Et c'était bon.
J'avais d'ailleurs l'impression de peut-être la baiser trop violemment mais elle aimait elle
aussi, et je sais que parmi ses cris de plaisirs l'un plus fort que les autres trahis un bel
orgasme. Pas peu fier, j'en arrivait finalement à mon propre orgasme beaucoup plus intense
que le premier. C'était violent et intense, mais nous en avions largement profité tous les
deux. C'est tout essoufflé que nous nous sommes rassis sur la banquette arrière, crevés mais
satisfaits.
Notre relation dura environ deux semaines après ça, et faute de trous d'emplois du temps
suffisamment discret pour éviter Céline, nous n'avons pu remettre ça de façon aussi intense.
Un petit coup par-ci par-là et puis se fut la rupture d'un commun accord pour préserver ma
relation avec Céline à l'abri du danger. Restera ce formidable souvenir d'une Elodie que je
n'aurais jamais soupçonné d'être aussi avide de sexe sous des airs assez prudes. Comme quoi,
les apparences sont trompeuses, et la surprise sexuelle est terriblement délicieuse.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Pour la petite histoire, je suis maintenant marié avec Céline depuis un an, une relation de bien douze ans maintenant. Cela fait 5 ans qu'on ne s'était plus vu ou parlé avec Elodie et depuis deux jours on a repris contact, c'est l'amour fou, c'est prometteur. Deux amants fous l'un de l'autre, de belles histoires à venir...
André
André
Booooonn !!
Je veux la même ;)
Merci pour cette confession :)
Je veux la même ;)
Merci pour cette confession :)