RENCONTRE AVEC AMEDE
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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RENCONTRE AVEC AMEDE
Rencontre entre Karen et Amédé, (son amant black préféré)
Karen et moi, Frantz son MARI nous pratiquions le Candaulisme depuis déjà pas male de temps. Nous avions fait connaissance de Philippe, son premier amant "Très Bien Monté". Karen prenait des rendez-vous avec lui lorsqu’elle envisageait une soirée trio. Comme Philippe était un TBM, elle n’osait même pas l’autoriser pour la sodomie lors des quelques doubles pénétrations car le calibre était de 4cms sur 20 cms. Mais plusieurs fois déjà, Karen avait parlé d’ essayer un Black TBM. Mais la difficulté était de le trouver. Un soir ou j’en parlais à Philippe, il pensait avoir cet homme dans son entourage. Un cadre black de sa société avait du mal à trouver des femmes à cause justement de la taille de son sexe car au moment de passer à l’acte, ses "possibles maitresses" refusaient même la pénétration après une difficulté pour une pipe. Mais le problème était que Philippe n’avait jamais vu ce fameux sexe et que donc il fallait l’essayer. Il a proposé de nous le présenter en entrant dans le restaurant ou comme par hasard nous dinerions Karen et moi sans même que notre mode de vie candauliste lui soit révélé. C’est ainsi que nous avons rencontré Amédé alors que nous déjeunions. Autant Philippe que moi, nous avons tout de suite remarqué l’attirance presque immédiate entre eux , le coup de foudre pourrait-on dire.
Dès le lendemain, Philippe nous téléphonait pour nous dire qu’Amédé lui avait posé beaucoup de questions sur Karen et même avoué son coup de foudre. Je préconisais donc qu’il lui donne "son 06" pour qu’il puisse lui faire la cour en lui disant que Karen avait elle aussi posé beaucoup de questions sur lui. 100% réussi puisque Karen a reçu un appel le soir même pour demander s’il lui serait possible de la revoir. Cette demande avait été tellement bien formulée, sans ambiguïté, que Karen a accepté de le revoir dans un bistrot. Chose faite, ils avaient parlés, karen lui avait révélé notre mode de vie et de fil en aiguille le rendez vous était posé pour le samedi suivant dans le restaurant pour se rencontrer tous les trois. C’est donc après un repas frugal que nous sommes allés chez nous pour un premier trio. Durant le trajet, Karen s’était arrangée pour qu’ils se retrouvent à l’arrière, en amoureux, ou elle pourrait "juger sur pièce". J’avais bien compris qu’elle l’avait caressé et même masturbé lorsqu’elle m’a annoncé l’assurance d’une bonne soirée. Et nous sommes arrivés chez nous. L’excitation était déjà bien avancée puisque Amédé, la braguette mal refermée a aidé Karen a descendre, le chemisier ouvert jusqu’au nombril et les tétons en totale arrogance. Nous nous sommes installés au salon, pris le café avec le pousse café servi par Karen qui exhibait ainsi sa poitrine sans pudeur. Amédé, avait du mal à détacher ses regards de ces deux gros biberons qui se balançaient sans vergogne et ne cherchait même pas à se camoufler ce regards indiscrets, ce qui m’a permit de pouvoir lui dire en plaisantant:
« - Personne n’a jamais résisté à un tel panorama. Ils sont magnifiques n’est il pas? Et tellement doux à caresser.
- Comment y résister ce sont des splendeurs non seulement agréablement à caresser mais les tétons d’une rondeur parfaite sont un rappel à la tétée maternelle.
- C’est gentiment flatteur, c’est un don de ma mère.
- Et merci Belle maman .»
Je me suis levé et collé aux fesses de mon épouse et prenant Karen a la taille je l’ai faite danser face à Amédé. Un par un, je dégrafais les boutons qui retenaient encore le décolleté entrouvert. Toujours face à Amédé, je lui sortais le chemisier. Regardant fixement la poitrine, il s’extasiait sur les deux nichons qui tressautaient au moindre attouchement. Puis toujours aussi lentement, je continuais à strip-teaser Karen avant d’en arriver à l’offrir entièrement nue à son futur amant. Je descendais la fermeture éclair de la mini jupe et celle-ci est tombée à ses pieds. En habituée de ce genre de strip-tease elle a lancé la jupette vers Amédé d’un drop réussi. Amédé en profitait pour se déshabiller aussi. Bloqué dans la vision de Foufoune il n’a pas réagi et a gardé la jupette sur ses genoux. Karen, maintenant était entièrement nue ne gardant que ses deux souliers à talons. Elle s’est avancée vers Amédé et lui a tendu les bras pour qu’il finisse le slow que j’avais commencé. Elle s’est décollé de lui pour qu’il puisse sentir, voir et caresser les seins qui se balançaient en effleurant son torse velu. Ils se sont longuement embrassés très amoureusement, elle le tenant enlacé par la taille, lui, couvrant les fesses de caresses. Ses mains sont entrées entre les fesses et j’ai pu voir un doigt qui chatouillait le trou de balle alors que mon épouse commençait à gémir. Le baiser terminé, les caresses ont cessées. Il a amené Karen sur le lit. Elle était allongée sur le dos, il lui a écarté les cuisses, s’est mis à genoux. Après avoir longuement titillé foufoune, doigté foufoune, caressé foufoune il a plongé la tête entre les cuisses écartées, et lui a prodigué un cunni bien appuyé, s’amusant avec la langue pour réveillé un clito mi endormi. Karen a posé ses deux mains sur la nuque pour l’empêcher de repartir, mais visiblement pas l’intention d’Amédé. Je voyais sa langue baiser méthodiquement l’antre du plaisir. Karen tortillait ses fesses, elle l’insultait, lui donnait des ordres et des encouragements et poussait de cris de plaisir. J’ai pu voir les mains d’Amédé entourer les cuisses pour permettre sa main d’arriver au trou de balle. Alors qu’il lui enfonçait un doigt, puis deux, il a commencé de petits va et vient de plus en plus rapides. Maintenant, Karen était au comble du plaisir. Elle ne l’insultait plus, ne lui donnait plus d’ordre, elle balbutiait de vagues mots en criant, elle implorait un dieu, des mon chéri, des salops et plein d’autres incompréhensions. Puis, sans prévenir, il la prise par les hanches il l’a faite basculer pour se retrouver sous elle. Elle le regardait, surprise, quémandant des ordres.
- A ton tour, vas-y, empale toi. Mets là au chaud dans ta chatte. Frantz attend que tu te mettes en position pour qu’il puisse garnir ton cul. Moi, je ne peux pas, je te déchirerais. Il va te garnir de lubrifiant. Tu sentiras sa bite se loger le long de la mienne. Je veux absolument t’entendre gueuler. T’entendre nous demander de te défoncer le cul. Tu verras, tu t’en souviendra longtemps, nous aussi, on s’en souviendra longtemps. On ne peux pas oublier un cul comme le tien.
Pendant qu’il parlait Karen s’empalait doucement, précautionneusement faisant partiellement disparaitre cet énorme pieu dans foufoune débordante. Karen ne parlait plus, elle écoutait son plaisir. Elle connaissait les pénétrations par des TBM, elle en connaissait les sensations lorsqu’il "raclait" le clito ainsi que le point G. Elle connaissait le plaisir qui la mettrait au bord de l’évanouissement. Phillipe lui avait montré tout ça, mais la, la bitte était plus grosse et plus longue. Ses caresses étaient sublimes, son cunni l’avait faite grimper au sommet de l’Immalaya. Et maintenant, la seule pénétration du gland la transportait déjà très haut. Elle gardait la bouche ouverte, prête à "gueuler", ses yeux fixaient Amédé comme si elle voulait voir ses réactions alors qu’elle venait de s’assoir, le pieu bien enfoncé dans son cul. C’est là qu’elle a fermé les yeux. Ses gémissements avaient grossis, mais on sentait que le plaisir était plus fort. Elle a blotti sa tête dans son cou et là oui elle a gueulé. Elle étouffait ses cris dans le cou de son amant. Amédé, la prenant par les épaules la faite se redresser. Et elle était loin de gémir. Elle ne gueulait même pas, elle rugissait, elle balançait la tête à droite et à gauche, ses nichons se balançaient au même rythme, à se les décrocher, et elle s’est exclamé en balbutiant:
« -mon di...eu c’est pas ...po...ssible, comme ...ça, jam...ais, vas...y con… ti...nu, oh … mon ...dieu...vas...y
- vas y, gueule ma belle. Tu verras, pour le moment il n’y a que ma bitte. Mais Franck arrive il va doubler la mise. Alors heureusement que vous n’habitez pas un HLM, parce que tu affolerais du monde. Allez Frantz, viens la garnir.
- Frantz… ok, ...mais fait ...douc...ement. Mon ...dieu...ja… mais ...com...me... ça.»
Je la connaissais trop bien pour ne pas comprendre qu’elle était à la limite de tomber dans les pommes. Je me suis agenouillé entre ses jambes, je voyais la bitte rentrer et sortir tandis que Karen était retournée dans le cou de son amant toujours en bafouillant son plaisir fou. Je lui caressais le trou de balle. J’ai pu entendre le cri étouffé: Douce...MENT! pendant que j’inondais son cul de lubrifiant. Je me suis avancé et je l’ai caressé avec ma bitte pour la prévenir. Doucement je la pénétrais, anxieux de la douleur que j’allais engendrer. Karen toujours blottie avait arrêté de crier. Elle attendait, espérant qu’elle pourrait supporter une telle jouissance annoncée. Elle n’a eut aucune réaction lorsque je forçais la pénétration. Elle reprenait les gémissements mais ne criait pas. Lorsque je suis arrivé "en fin de course", je me suis arrêté et Karen gémissait toujours mais ne criait toujours pas. J’ai senti la queue d’Amédé reculer et libérer un peu de place. Lorsqu’il a reprit la pénétration, j’ai moi même reculé. Je cherchais à donner une lente cadence aux pénétrations alternées. Karen a repris ses gémissements à la limite de recrier. Pendant un long moment Amédé et moi sommes restés dans une cadence ½ lente. Puis il a accéléré. Donc j’ai fait de même. Jusqu’à ce que Karen, d’elle même fasse encore des commentaires en termes crus. C’est moi qui ai joui en premier, suivi de Karen qui beuglait de plaisir. Comme je m’étais retiré, Amédé a continué ses pénétrations pour enfin ressortir et lâcher sa jouissance sur le nombril de sa maitresse. Karen l’a embrassé amoureusement, longuement, passionnément. Amédé lui caressait les seins en lui demandant si cela lui avait plu.
« - j’ai cru m’évanouir. Jamais je n’ai jouie à ce point. Et pourtant nous n’en sommes pas à notre première DP. Mais non, jamais à ce point. Ca été formidable. A mon avis il ne faudra pas en faire trop souvent. Chaque fois le coeur en prend un sacré coup tout de même. Et je ne parle pas de mon cul. Ca été super. Effectivement je ne suis pas prête de l’oublier. Maintenant je risque de m’ennuyer avec un autre gars. »
Voilà comment c’est passé notre première DP avec Amédé. Et ça n’a pas été la dernière. Celle que nous avons essayée avec Philippe ( un autre TBM) avait été très jouissive mais peut être pas autant qu’avec Amédé. La nouveauté, peut être.
Karen et moi, Frantz son MARI nous pratiquions le Candaulisme depuis déjà pas male de temps. Nous avions fait connaissance de Philippe, son premier amant "Très Bien Monté". Karen prenait des rendez-vous avec lui lorsqu’elle envisageait une soirée trio. Comme Philippe était un TBM, elle n’osait même pas l’autoriser pour la sodomie lors des quelques doubles pénétrations car le calibre était de 4cms sur 20 cms. Mais plusieurs fois déjà, Karen avait parlé d’ essayer un Black TBM. Mais la difficulté était de le trouver. Un soir ou j’en parlais à Philippe, il pensait avoir cet homme dans son entourage. Un cadre black de sa société avait du mal à trouver des femmes à cause justement de la taille de son sexe car au moment de passer à l’acte, ses "possibles maitresses" refusaient même la pénétration après une difficulté pour une pipe. Mais le problème était que Philippe n’avait jamais vu ce fameux sexe et que donc il fallait l’essayer. Il a proposé de nous le présenter en entrant dans le restaurant ou comme par hasard nous dinerions Karen et moi sans même que notre mode de vie candauliste lui soit révélé. C’est ainsi que nous avons rencontré Amédé alors que nous déjeunions. Autant Philippe que moi, nous avons tout de suite remarqué l’attirance presque immédiate entre eux , le coup de foudre pourrait-on dire.
Dès le lendemain, Philippe nous téléphonait pour nous dire qu’Amédé lui avait posé beaucoup de questions sur Karen et même avoué son coup de foudre. Je préconisais donc qu’il lui donne "son 06" pour qu’il puisse lui faire la cour en lui disant que Karen avait elle aussi posé beaucoup de questions sur lui. 100% réussi puisque Karen a reçu un appel le soir même pour demander s’il lui serait possible de la revoir. Cette demande avait été tellement bien formulée, sans ambiguïté, que Karen a accepté de le revoir dans un bistrot. Chose faite, ils avaient parlés, karen lui avait révélé notre mode de vie et de fil en aiguille le rendez vous était posé pour le samedi suivant dans le restaurant pour se rencontrer tous les trois. C’est donc après un repas frugal que nous sommes allés chez nous pour un premier trio. Durant le trajet, Karen s’était arrangée pour qu’ils se retrouvent à l’arrière, en amoureux, ou elle pourrait "juger sur pièce". J’avais bien compris qu’elle l’avait caressé et même masturbé lorsqu’elle m’a annoncé l’assurance d’une bonne soirée. Et nous sommes arrivés chez nous. L’excitation était déjà bien avancée puisque Amédé, la braguette mal refermée a aidé Karen a descendre, le chemisier ouvert jusqu’au nombril et les tétons en totale arrogance. Nous nous sommes installés au salon, pris le café avec le pousse café servi par Karen qui exhibait ainsi sa poitrine sans pudeur. Amédé, avait du mal à détacher ses regards de ces deux gros biberons qui se balançaient sans vergogne et ne cherchait même pas à se camoufler ce regards indiscrets, ce qui m’a permit de pouvoir lui dire en plaisantant:
« - Personne n’a jamais résisté à un tel panorama. Ils sont magnifiques n’est il pas? Et tellement doux à caresser.
- Comment y résister ce sont des splendeurs non seulement agréablement à caresser mais les tétons d’une rondeur parfaite sont un rappel à la tétée maternelle.
- C’est gentiment flatteur, c’est un don de ma mère.
- Et merci Belle maman .»
Je me suis levé et collé aux fesses de mon épouse et prenant Karen a la taille je l’ai faite danser face à Amédé. Un par un, je dégrafais les boutons qui retenaient encore le décolleté entrouvert. Toujours face à Amédé, je lui sortais le chemisier. Regardant fixement la poitrine, il s’extasiait sur les deux nichons qui tressautaient au moindre attouchement. Puis toujours aussi lentement, je continuais à strip-teaser Karen avant d’en arriver à l’offrir entièrement nue à son futur amant. Je descendais la fermeture éclair de la mini jupe et celle-ci est tombée à ses pieds. En habituée de ce genre de strip-tease elle a lancé la jupette vers Amédé d’un drop réussi. Amédé en profitait pour se déshabiller aussi. Bloqué dans la vision de Foufoune il n’a pas réagi et a gardé la jupette sur ses genoux. Karen, maintenant était entièrement nue ne gardant que ses deux souliers à talons. Elle s’est avancée vers Amédé et lui a tendu les bras pour qu’il finisse le slow que j’avais commencé. Elle s’est décollé de lui pour qu’il puisse sentir, voir et caresser les seins qui se balançaient en effleurant son torse velu. Ils se sont longuement embrassés très amoureusement, elle le tenant enlacé par la taille, lui, couvrant les fesses de caresses. Ses mains sont entrées entre les fesses et j’ai pu voir un doigt qui chatouillait le trou de balle alors que mon épouse commençait à gémir. Le baiser terminé, les caresses ont cessées. Il a amené Karen sur le lit. Elle était allongée sur le dos, il lui a écarté les cuisses, s’est mis à genoux. Après avoir longuement titillé foufoune, doigté foufoune, caressé foufoune il a plongé la tête entre les cuisses écartées, et lui a prodigué un cunni bien appuyé, s’amusant avec la langue pour réveillé un clito mi endormi. Karen a posé ses deux mains sur la nuque pour l’empêcher de repartir, mais visiblement pas l’intention d’Amédé. Je voyais sa langue baiser méthodiquement l’antre du plaisir. Karen tortillait ses fesses, elle l’insultait, lui donnait des ordres et des encouragements et poussait de cris de plaisir. J’ai pu voir les mains d’Amédé entourer les cuisses pour permettre sa main d’arriver au trou de balle. Alors qu’il lui enfonçait un doigt, puis deux, il a commencé de petits va et vient de plus en plus rapides. Maintenant, Karen était au comble du plaisir. Elle ne l’insultait plus, ne lui donnait plus d’ordre, elle balbutiait de vagues mots en criant, elle implorait un dieu, des mon chéri, des salops et plein d’autres incompréhensions. Puis, sans prévenir, il la prise par les hanches il l’a faite basculer pour se retrouver sous elle. Elle le regardait, surprise, quémandant des ordres.
- A ton tour, vas-y, empale toi. Mets là au chaud dans ta chatte. Frantz attend que tu te mettes en position pour qu’il puisse garnir ton cul. Moi, je ne peux pas, je te déchirerais. Il va te garnir de lubrifiant. Tu sentiras sa bite se loger le long de la mienne. Je veux absolument t’entendre gueuler. T’entendre nous demander de te défoncer le cul. Tu verras, tu t’en souviendra longtemps, nous aussi, on s’en souviendra longtemps. On ne peux pas oublier un cul comme le tien.
Pendant qu’il parlait Karen s’empalait doucement, précautionneusement faisant partiellement disparaitre cet énorme pieu dans foufoune débordante. Karen ne parlait plus, elle écoutait son plaisir. Elle connaissait les pénétrations par des TBM, elle en connaissait les sensations lorsqu’il "raclait" le clito ainsi que le point G. Elle connaissait le plaisir qui la mettrait au bord de l’évanouissement. Phillipe lui avait montré tout ça, mais la, la bitte était plus grosse et plus longue. Ses caresses étaient sublimes, son cunni l’avait faite grimper au sommet de l’Immalaya. Et maintenant, la seule pénétration du gland la transportait déjà très haut. Elle gardait la bouche ouverte, prête à "gueuler", ses yeux fixaient Amédé comme si elle voulait voir ses réactions alors qu’elle venait de s’assoir, le pieu bien enfoncé dans son cul. C’est là qu’elle a fermé les yeux. Ses gémissements avaient grossis, mais on sentait que le plaisir était plus fort. Elle a blotti sa tête dans son cou et là oui elle a gueulé. Elle étouffait ses cris dans le cou de son amant. Amédé, la prenant par les épaules la faite se redresser. Et elle était loin de gémir. Elle ne gueulait même pas, elle rugissait, elle balançait la tête à droite et à gauche, ses nichons se balançaient au même rythme, à se les décrocher, et elle s’est exclamé en balbutiant:
« -mon di...eu c’est pas ...po...ssible, comme ...ça, jam...ais, vas...y con… ti...nu, oh … mon ...dieu...vas...y
- vas y, gueule ma belle. Tu verras, pour le moment il n’y a que ma bitte. Mais Franck arrive il va doubler la mise. Alors heureusement que vous n’habitez pas un HLM, parce que tu affolerais du monde. Allez Frantz, viens la garnir.
- Frantz… ok, ...mais fait ...douc...ement. Mon ...dieu...ja… mais ...com...me... ça.»
Je la connaissais trop bien pour ne pas comprendre qu’elle était à la limite de tomber dans les pommes. Je me suis agenouillé entre ses jambes, je voyais la bitte rentrer et sortir tandis que Karen était retournée dans le cou de son amant toujours en bafouillant son plaisir fou. Je lui caressais le trou de balle. J’ai pu entendre le cri étouffé: Douce...MENT! pendant que j’inondais son cul de lubrifiant. Je me suis avancé et je l’ai caressé avec ma bitte pour la prévenir. Doucement je la pénétrais, anxieux de la douleur que j’allais engendrer. Karen toujours blottie avait arrêté de crier. Elle attendait, espérant qu’elle pourrait supporter une telle jouissance annoncée. Elle n’a eut aucune réaction lorsque je forçais la pénétration. Elle reprenait les gémissements mais ne criait pas. Lorsque je suis arrivé "en fin de course", je me suis arrêté et Karen gémissait toujours mais ne criait toujours pas. J’ai senti la queue d’Amédé reculer et libérer un peu de place. Lorsqu’il a reprit la pénétration, j’ai moi même reculé. Je cherchais à donner une lente cadence aux pénétrations alternées. Karen a repris ses gémissements à la limite de recrier. Pendant un long moment Amédé et moi sommes restés dans une cadence ½ lente. Puis il a accéléré. Donc j’ai fait de même. Jusqu’à ce que Karen, d’elle même fasse encore des commentaires en termes crus. C’est moi qui ai joui en premier, suivi de Karen qui beuglait de plaisir. Comme je m’étais retiré, Amédé a continué ses pénétrations pour enfin ressortir et lâcher sa jouissance sur le nombril de sa maitresse. Karen l’a embrassé amoureusement, longuement, passionnément. Amédé lui caressait les seins en lui demandant si cela lui avait plu.
« - j’ai cru m’évanouir. Jamais je n’ai jouie à ce point. Et pourtant nous n’en sommes pas à notre première DP. Mais non, jamais à ce point. Ca été formidable. A mon avis il ne faudra pas en faire trop souvent. Chaque fois le coeur en prend un sacré coup tout de même. Et je ne parle pas de mon cul. Ca été super. Effectivement je ne suis pas prête de l’oublier. Maintenant je risque de m’ennuyer avec un autre gars. »
Voilà comment c’est passé notre première DP avec Amédé. Et ça n’a pas été la dernière. Celle que nous avons essayée avec Philippe ( un autre TBM) avait été très jouissive mais peut être pas autant qu’avec Amédé. La nouveauté, peut être.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Si tu ne sais pas mettre les points sur les I dès le début. Puis questions de manque de respect, les blacks sont comme tous les hommes: il y en a des respectueux, il y a des timides, des effrontés, des caïds, des mal polis.... C'est aux "prétendantes" de bien les choisir.
Jamais essayé mais j'en ai vu passé et pas mal sur les 27 dernières années beaucoup en plus .
Pour la prise de risque ce n'est pas le respect qui les étouffe les mecs.
Pour la prise de risque ce n'est pas le respect qui les étouffe les mecs.
Pour la lectrice:
Donc, tu n'as jamais essayé !
Donc, tu n'as jamais essayé !
Le candaulisme la femme accepte de niquer ailleurs mais sans amour et avec capotes !!
C’est comme la sardine qui a bouché le Vieux Port à Marseille votre histoire et le coup de black monte comme 1 taureau non.
C’est 1 légende urbaine les blacks.
C’est comme la sardine qui a bouché le Vieux Port à Marseille votre histoire et le coup de black monte comme 1 taureau non.
C’est 1 légende urbaine les blacks.