Rencontre avec un couple 5 épisode - histoire érotique

Je me réveillais doucement, le réveil indiquait qu’il était 6 heures, je décidais alors de me lever pour profiter pleinement de cette journée. Après avoir enfilé un peignoir et fait mes besoins, je descendis à la cuisine pour prendre une petite collation. Sophie était à table entrain de déjeuner, elle était radieuse dans sa nuisette noir en satin qui faisait ressortir ses seins, je m’approchais d’elle, puis en l’embrassant sur la joue je lui dis : bonjour Sophie, as-tu passé une bonne nuit ? Elle me répondit en souriant : bonjour ma petite bite, j’ai passé une nuit mémorable, et toi ? Moi aussi. Pendant que je lui répondais, elle défit la ceinture de mon peignoir, laissant ainsi apparaître mon petit sexe. Elle regarda alors ma petite quéquette qui était toute recroquevillé au-dessus de mes couilles à peine tombantes, d’un doigt elle la souleva, et me dit : j’adore ta toute petite bite, maintenant enlève ton peignoir. Alors je le fis glisser au sol. Ensuite elle ajouta : aller tourne toi. Ce que je fis immédiatement. Puis, elle me caressa les fesses, d’une main elle écarta légèrement ma raie et de l’autre elle introduisit un doigt dans mon cul, elle le fit tourner, et commença un va-et-vient. En même temps, elle regardait mon petit zizi, qui sous l’effet de l’excitation et de la pénétration commençait à bander, laissant ainsi poindre le bout de mon gland. Alors elle me dit : à ce que je vois, tu aimes bien te faire enculer. Je lui répondis que oui, puis elle retira son doigt de mon rectum et le porta à sa bouche, le suça tout en ajoutant : j’aime vraiment le gout de ton cul. Ensuite, elle me proposa de déjeuner rapidement pour découvrir la surprise dont elle m’avait parlé la veille. Après m’être sustenté, nous nous dirigeâmes vers le sous-sol. Elle ouvrit la porte d’une pièce et entra, emboitant le pas je la suivis à l’intérieur, et là quelle fut ma surprise. La salle était drapé de tissus grenats, au centre de celle-ci était disposé un lit en fer, au-dessus de celui-ci, un grand miroir recouvrait le plafond, sur le côté gauche de la pièce il y avait un canapé, et sur le côté droit des étagères ou était disposés toute sorte de toys et articles divers. Sophie me dit : voilà la surprise dont je t’ai parlé ! Je ne comprenais pas trop où elle voulait en venir. Mais rapidement elle dissipa mes interrogations, elle enleva sa nuisette et s’allongea sur le lit face à moi, les jambes bien écartées, j’avais une vu magnifique sur son entrecuisses, je pouvais ainsi admirer son mont de venus couvert de poils, son long prépuce de couleur chair dissimulant son clitoris, ses lèvres vaginales à demis-ouvertes me faisant penser à des ailes de papillon et le sillon de sa lune qui exposait son sphincter anal à tous mes désirs. Quand soudain, surpris, je sentis deux mains passer sous mes bras et caresser mon torse, en même temps je ressentis la chaleur d’un corps enveloppant mon dos et une bite effleurer mes fesses. Immédiatement, mon regard se porta vers le miroir, je pu voir ainsi que c’était Joe. De nouveau j’observais Sophie, qui d’une main se caressait le clitoris et de l’autre les seins. Je sentis alors une des mains de Joe, descendre vers mon pubis, puis de deux doigts, il saisit mon pénis et décalotta ma petite verge déjà bien raide sous l’effet du spectacle, conjointement je sentais sa bite bien dure se frotter contre mon cul, c’était une sensation délicieuse. Sophie, nous fit un signe de la main, nous invitant à la rejoindre sur le lit. Une fois devant le lit, elle me dit : viens à côté de moi et allonges toi sur le dos. Ce que je fis rapidement. Une fois sur le dos, Sophie se mit à califourchon sur moi, elle posa sa chatte bien humide et odorante sur mon nez et ma bouche, ensuite elle saisit mes deux chevilles et tira mes jambes au maximum vers l’arrière, offrant ainsi une vue et un accès dégagé à Joe sur mon entrejambes. Sophie lui dit : j’ai envie que tu lui suce sa petite bite. Alors Joe lui répondit : si tu veux, je vais enfin gouter au parfum de cette petite chose. Ajoutant le geste à la parole, de deux doigts il saisit ma petite quéquette bien dure, coulissa mon prépuce vers le bas, puis sa langue vint lécher le dessus de mon nœud, ensuite il glissa doucement sous la couronne du gland et en fit le tour, après je pu ressentir une chaleur humide envelopper mon petit pénis en entier ainsi qu’un mouvement de succion. Pendant ce temps, mes mains écartaient le globe de Sophie et la pointe de mon nez agaçait son anus qui se contractait et se décontractait sous l’effet de ses mouvements, avec ma langue je lui léchais sa fente, j’oscillais entre les lèvres de son vagin et l’intérieur de son prépuce clitoridien. Elle était tellement excitée qu’elle bougeait dans tous les sens, ce qui avait pour effet de propager ces effluves intimes enivrantes. Maintenant, la langue de Joe descendait sur mes minuscules testicules, il les lapait avec volupté, puis il continua sa descente et s’introduit à l’intérieur de mon anus avec sa langue. Il se redressa et embrassa Sophie sur la bouche, au même moment je sentis poindre sur mon rectum la tête de son gros gland. Elle lui dit : va y encule le d’un coup sec, il aime ça. Alors, il enfonça sa grosse queue dans mon trou qui rentra sans grande difficulté, et commença à me défoncer le cul, pendant ce temps il embrassait Sophie sur la bouche et moi je continuais à lui lécher son intimité. Je sentais sa grosse verge glisser et coulisser dans mes entrailles, à chaque coup de butoir, je sentais mon corps frémir et je poussais des petits gémissements de plaisirs. Au bout d’un moment, Sophie dit à Joe : maintenant c’est mon tour, je veux que tu me baises, j’ai envie de sentir ta bonne grosse bite dans ma chatte. Alors Joe retira son pénis de mon cul, puis s’allongea sur le dos. Sophie lâcha mes chevilles et s’empala immédiatement sur le sexe de son mari. Elle était tellement humide, qu’elle glissait facilement sur sa bite, on pouvait même entendre les bruits émis par son vagin complètement détrempé. Elle était telle une furie, se donnant sans retenue. Puis elle s’arrêta d’un coup net de monter et descendre, et se mit à onduler du bassin, son vagin bien empalé sur la bite de Joe. Ensuite elle tourna sa tête vers moi et me dit : allez, viens m’enculer avec ta petite bite. Alors, je m’avançais vers elle, je pris mon pénis en main, puis je pointais l’orée de son trou et en un seul mouvement j’introduisis en entier ma petite queue dans son sphincter anal, elle rentra comme dans du beurre tellement elle était excité et en chaleur. Nos deux verges lui pilonnaient ces trous de concert, à chaque mouvement elle hurlait de plaisir. Elle gémissait et bougeait comme une chienne enragée. Puis elle nous dit : ohh… ce que c’est bon de se faire prendre par deux bonnes bites bien dures …, elle ne put finir sa phrase, tellement elle prenait son pied. Soudain, Joe poussa des cris de plaisir et je pu alors sentir au travers de la paroi vaginale de Sophie, les spasmes de sa queue envoyant des jets de sperme par saccades. Sophie l’embrassa alors à pleine bouche, puis elle me regarda et me dit : maintenant, j’ai envie que tu l’encules. Alors, je me retirais du derrière de Sophie, ensuite elle se souleva et se mit à genoux sur le côté. Joe ne soumis aucune protestation et se positionna à quatre pattes le ventre plaqué sur le lit et les fesses bien hautes, ainsi je pouvais voir toute son intimité, je m’avançais simplement vers ce trou qui m’était offert. Sophie saisit au passage ma petite bite, qu’elle branla d’une main pendant que son autre main jouait avec son clitoris, je pouvais également voir, que sur ses cuisses suintait un mélange de sperme et de cyprine. Ensuite, avec mes deux mains, j’écartais le plus largement possible les fesses de Joe, ce qui me livra une vue imprenable sur son orifice. Avec ma langue j’entrepris de lui lécher son anus afin de bien le lubrifier. Après je me redressais et Sophie guida ma petite queue jusqu’à son anus. J’introduisis alors ma petite bite à l’intérieur, qui pénétra sans trop de difficulté et ainsi je pus commencer une série de va et viens. Pendant ce temps, Sophie toujours sur le côté, se masturbait le clitoris d’une main, alors que son autre main secouait certainement la queue de son mari. Puis elle dit : mais c’est que tu es tout dur mon cochon, tu aimes bien te faire prendre ! Au même moment, elle me regardait l’enculer, je voyais au travers de son regard tout le plaisir que lui procurait la situation. Dans la chaleur ambiante de la pièce et le mélange d’odeurs suaves libérées par les différentes hormones sexuelles de chacun, régnait une atmosphère des plus érotiques. Sous l’effet des frottements de sa main sur sa chatte, Sophie commença à onduler du bas ventre, son corps était pris de spasmes, suivi un feulement de tigresse qui libera au même instant une sorte de liquide, qui ruissela le long de ces cuisses. Pendant ce temps, je continuais à baiser le cul de Joe, toujours de plus en plus vite, de plus en plus fort, mes deux mains étaient agrippées sur les parties extérieures de sa croupe, ce qui me permettait de donner plus de vigueur à chacune de mes pénétrations. Sous chacun de mes coups, je sentais son sphincter anal se contracter et enserrer mon petit pénis, ce qui me stimula à un tel point, que je sentis remonter mes petites noisettes et mes mains se crispèrent, puis dans un râle je laissais échapper toute ma semence à l’intérieur de son cul. Une fois les ébats finis, on resta un moment dans le lit le temps de se remettre de nos émotions. Sophie fit également quelques photos de moi nu dans diverses positions, prenant bien soin de photographier ma petite bite et mon cul. Après s’être douché, habillé et avoir discuté, le week-end touchait à sa fin. Il était temps pour moi de partir, ils me conduisirent à la gare, et sur le quai nous échangions quelques accolades, puis je repris le train pour mon domicile, plein de bon souvenir en tête . Fin... Je suis impatient de lire vos commentaires, de connaitre vos avis et quelles émotions vous ont procuré cette histoire. N’hésiter pas à m’écrire même en privé je répondrais aux mails.