Rencontre du 3ème sexe Chapitre 1 - Au hasard d'une plage
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 18 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de John62 ont reçu un total de 65 210 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 112 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Rencontre du 3ème sexe Chapitre 1 - Au hasard d'une plage
Pour la deuxième fois mon oncle Théo m'amène à la plage, cette fois avec son copain Polo, dans un endroit oublié entre Palavas et Frontignan où le naturisme est pratiqué. C'est le paradis sur terre, devant la mer bleue, derrière les étangs domaine des flamants, hérons, aigrettes, entre les deux, une bande de sable blond à la végétation sauvage avec chardons bleus, saladelles et bosquets d'arbustes.
Polo, un type semblable à mon oncle, d'une soixantaine d'années bien de sa personne, un peu plus rondouillard. A le voir et suivant le dicton 'Qui se ressemble, s'assemble' c'est un sacré queutard.Nous sommes installés à l'ombre d'un bosquet, éloignés de la mer et du passage des promeneurs, on bavarde, on fait connaissance, on me taquine.
Le bain permet au nouvel arrivé de me connaître parfaitement. On regagne les serviettes en se tenant par la main et une fois essuyés l'application de la crème solaire lui donne l'occasion de me peloter sans limite.
Allongé entre les deux hommes je zyeute Polo entrain de se tripoter tranquillement alors qu'il ne cesse de nous raconter des balades dans les fourrés de la plage ou des rencontres libertines. Il se masturbe très lentement, son engin pas vraiment en érection me paraît aussi épais que celui de mon oncle mais plus long. L'entendre, le voir me fait bander. Je réagis brusquement quand mon oncle me touche mais tout de suite il m'immobilise et commence à sucer "Ne fais pas ta chochotte... Polo sait déjà tout de toi." Il me regarde fixement tout en continuant de se caresser, me fait une petite moue et je me penche sur lui.
Je remplace sa main, sa queue est chaude, noueuse, ferme sans être vraiment dure, je la masse un peu, remonte le prépuce et le prend en bouche, taquine le méat de ma langue et décalotte le bourgeon de mes lèvres. Appuyé sur un coude, je le masse et le suce dans une position pas très confortable, il tente d'améliorer la situation et finalement me tire par le bras pour me mettre en 69 sur lui. Loin de tous je me sens tranquille, je deviens "une vraie salope" je lui fais une turlute qui lui donne une bite bien dure et légèrement arquée tout en m'offrant le mieux possible. Tout de suite il m'écarte les fesses, me lèche la raie, s'attarde sur mon petit trou, il me doigte un peu.
Mon oncle nous regarde nonchalamment appuyé sur un coude tout en se touchant. Polo me renverse sur le côté, me bouscule comme une poupée, me met à quatre pattes, plus rien ne pourrait l'arrêter; il est à genoux contre mes fesses, je sens son gland sur ma rondelle, il me prend par les hanches et me tire à lui, en fin de compte c'est moi qui m'emmanche sur sa queue, le gland avalé, le tronc s'enfile sans résistance jusqu'aux burnes. Lentement il commence à me buriner, il me sent disponible et ouvert et accélère son coït. A ce moment mon oncle, Théo, vient à genoux face à moi et m'impose une fellation sous les rires et les ricanements des deux.
On me besogne depuis cinq bonnes minutes lorsque je vois un couple venir tranquillement vers nous. Comme à chaque fois que je suis surpris je perds tous mes moyens, repousse Théo de ma bouche quand on contraire Polo me bloque contre lui.
Les deux sont maintenant debout tout près de nous. Elle en maillot, c'est une jolie blonde de moins de 30 ans toute fine. Son mini-bikini noir cache juste la pointe des seins et la base de son clito tellement le pubis est découvert, sa taille est marquée des deux ficelles du slip. Son visage d'ange est illuminé par ses yeux et son sourire malicieux.
Lui est un Antillais de 40 ans environ, sombre de peau, des yeux noirs, une chevelure épaisse et bouclée comme un mouton, des traits fins, tout en muscle. Il est sacrément membré et fier de l'être, de la manière dont il se caresse le chibre pas vraiment en érection tout en venant vers nous.
L'homme nous sourit et nous demande pardon pour le dérangement tout en s'accroupissant près de mon oncle:
— Bonjour ! Vous permettez ?... Vous offrez un joli spectacle !... Je m'appelle René et ma femme c'est Valérie
— Bonjour ! moi c'est Théo avec mon jeune neveu John et mon copain Polo.
— Il est mignon le p'tit jeune. En même temps je sens sa main glisser sur mon dos jusqu'aux fesses et d'un coup son doigt se planter en moi contre la bite de Polo, il ajoute : Et bien souple !
Je réagis à peine à cette violence, n'ayant d'yeux que pour la jeune fille qui s'assied à mon côté sur ses talons, en m'embrassant du bout des lèvres, elle chuchote « C'est vrai qu' t'es mignon... T'es un peu comme moi ». Puis tout en me tenant par les épaules elle se penche sur Théo et lui avale le dard couvert de ma salive. Je reste interloqué par sa comparaison "T'es un peu comme moi", en quoi ressemblè-je à cette nana mis à part notre peau lisse et qu'elle suce le type que je suçais ?
Derrière Polo reprend sa copulation dans mes fesses, assisté du nouvel arrivant qui à deux mains me les tient écartées. De mon côté je suis sublimé par la jeune femme, je lui caresse le dos jusqu'à glisser la main sans le bikini sans pouvoir aller au delà du bas des fesses tellement les cuisses sont serrées, alors je passe sous le ventre, couvre le pubis sans atteindre le slip caché entre ses cuisses.
Là tout change, la fille abandonne Théo pour m'embrasser à pleine bouche tout en marmonnant « T'es un coquin ». En me redressant je me libère du sexe de Polo tandis qu'elle fait sauter son maillot et découvre deux seins à peine formés, deux cônes de chair bien ferme, au sommet desquels pointent deux framboises qui paraissent disproportionnées par rapport à la poitrine. Je les caresse avec délicatesse du creux de la main, avant de les palper et les presser en faisant jaillir les pointes que je gobe et tète goulument.
Elle bombe le torse tout en gémissant de douleur « Doucement, doucement ». Je cesse d'un petit bisou, elle part en arrière et s'allonge, je me couche à moitié sur elle. On s'embrasse longuement, tendrement sous les yeux des trois amis. Elle m'attire sur elle, ses jambes passent à l'extérieur des miennes, mon sexe s'imprime sur son ventre, se frotte contre son pubis qui amorce une mouvement de coït. Je ne tarde pas à répondre à ses envies en glissant ma main dans son slip et là... Quelle surprise ! Il n'y a pas de vulve, mais la base d'un pénis replié en arrière à peine plus gros qu'un doigt. La jeune femme est une transsexuelle. Sous ses yeux exorbités, implorant le silence, je me calme, me reprends, ne laisse rien paraître et lui murmure :
— Tu es une cachotière ...
— S'il te plaît garde mon secret, pour la rassurer je lui fais un bisou. Fais-moi l'amour, je suis très accessible, tu peux venir sans préparation, écarte juste mon slip.
Sans rien faire paraître, elle relève ses genoux sur sa poitrine, j'écarte le tissu de l'entrejambe dans lequel se cache sa bistouquette, discrètement je couvre mon gland de salive qui se loge tout naturellement dans un creux humide, un léger cambrement, une petite poussée et mon gland est avalé, je la possède sans difficulté, on reste ainsi accouplés, sans bouger, satisfaits.
C'est seulement à ce moment que je me rends compte de ce qui se passe autour de nous. Polo suce René et en même temps branle mon oncle.
— Dis donc fils, me dit-il, tu ne perds pas de temps. Elle est aussi bonne que belle.
Tandis qu'on faisait l'amour, Valérie bande comme un beau diable et par confort sort de sa quéquette de sa cachette et la place entre nos ventres, un truc vachement dur, d'une quinzaine de centimètres et gros comme deux doigts.
— Laisse-moi faire, on va intervertir les rôles, murmure-t-elle en tendant la main vers son compagnon.
— …. Je la regarde stupéfait, comment va-t-elle faire sans dévoiler la réalité ?
René semble avoir compris l'envie de sa copine et abandonne mon oncle et Polo pour venir avec nous. Elle se dégage discrètement de mon anus, relève ses genoux entre mes cuisses et les écarte. Je me prête à son jeu, on bascule les bassins l'un vers l'autre, je sens son sexe, il est en moi plus long que je ne le pensais et bien dur, je me contracte pour mieux la sentir. René à genoux à notre côté cache la scène à Polo et Théo trop occupés entre eux. On reste accouplés, on bouge peu, je ne veux pas la perdre, elle reste bien plantée en moi et je joue de mes abdominaux :
— Oh oui, j'aime ! Tu le fais bien, me susurre-t-elle
René a protégé l'inversion des rôles et vient accompagner "sa femme". Je n'en crois pas mes yeux, il se met entre nos jambes, je sens déjà sa queue sur ma rosette, contre la bite qui me fourrage. Non, je n'y crois pas ! Une double ! Valérie me murmure :
— On va te prendre tous les deux, tu vas voir comme on sait bien faire !
D'une main, il appuie sur mes reins, m'oblige à me cambrer, elle se cabre pour ne pas perdre le contact, René m'écarte une fesse, dirige sa bite de l'autre main, Sa poussée est continue, mon anus ne résiste pas longtemps, le gland s'inscrit dans mes chairs, force la place, me pénètre. Ça y est, je l'ai tout entier, mes muscles se contracte dès qu'il est en moi puis laisse filer le membre le long de celui qui s'y trouve déjà, il est un peu plus long, beaucoup plus épais. Ça y est je les ai tous les deux, je suis pris en sandwich par le couple.
Je me rends compte qu'ensemble ils ne sont pas plus larges que le gode utilisé par Jade il y a quelques jours, je les veux tous les deux, je les accompagne. Valérie, en appui sur ses pieds, se bloque au fond de moi, et c'est René qui accroupi au dessus de moi, me besogne sous les regards intéressés de Théo et Polo :
— Dis donc Théo, t'as vu ton neveu baisant la copine et enculé par son mec... En découvrant le pot aux roses, Polo gueule comme un imbécile : Théo ! Johnny est en double, mais pas comme on le pense, les deux enculent le p'tit ! Putain la môme est une trans, j'veux m'la faire ! J'veux m'la faire !!!
— Connard ! S'écrit Valérie les yeux larmoyants. T'es qu'un porc, j'suis pas une pute, et la trans baise avec qui elle veut ! Et certainement pas avec toi espèce de con ! En sanglot, elle me serre contre elle, se cache au creux de mon cou et murmure : C'est avec toi que je veux baiser !
René à peine perturbé par la dispute, continue de s'activer en moi en respirant bruyamment de plus en plus vite jusqu'à rugir : « AAAAHHHH OUIiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiii !!!! ». Il m'écrase de tout son poids, en appui sur mes genoux et mes coudes j'essaie de protéger Valérie inanimée sous moi. Je sens à la fois son bourgeon et la queue de son amant. Plus rien ne bouge. Le gros sexe fond en moi puis s'échappe en inondant ma raie culière, l'homme tombe sur le côté.
Libéré, je me redresse sur elle, assis sur son pubis, je la regarde, essuie une larme au coin des yeux, elle me sourit. Je la chevauche, je la prend par les seins, les masse, les glorifie, je la fais sentir femme. Je comprime son sexe dans mon sphincter, je la sens bien, je la fais sentir amante. Elle se met en mouvement, elle bouge bien, pas longtemps avant de se vider mélangeant son sperme à celui de son compagnon. On reste un moment encore accouplés jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse en moi. Je glisse sur le côté, la laissant entre son copain et moi, sa queue repose sur son ventre couvert de mouille, le sperme perle encore de son méat. Couché sur le ventre, j'ai beau serrer les fesses, je sens la jute suinter sur le périnée.
Mon oncle et Polo sont sur le côté à se palucher tranquillement visiblement satisfaits du spectacle que nous venons de leur donner
Après un moment de repos, quelques bisous, Valérie se rend compte de mon excitation. Elle a une soif de sexe incroyable, elle me pousse sur le dos et commence à me faire une pipe . Elle suce, branle, se caresse avec ma trique et se met en levrette en marmonnant « Viens! ».
En me levant je sens le sperme m'échapper et couler sur mes cuisses, j'en ai plein partout, je me sens sale mais face à ce cul aussi creusé qu'indécent je me complais dans ce foutre. Je l'ouvre encore plus, j'y plonge mon museau et lui fais une feuille de rose bien gourmande, bien baveuse. Elle ne tarde pas à remuer de la croupe comme agacée et supplie d'une voix grave « Baise-moi ! »
A genoux à son postérieur je me positionne mieux, mes deux mains sur ses fesses, c'est elle-même qui d'un coup brutal s'emmanche sur ma queue. Elle est chaud-bouillante et tout de suite son ventre s'anime, se contracte et se relâche au rythme de sa cavalcade. Après un accès de folie, je la ramone calmement, couché sur son dos, je lui caresse les seins. Mais elle veut autre chose, elle grogne « Plus fort, plus fort ! ». Alors, je lui triture les tétons, lui maltraite les nichons, comme pour les arracher, mes coups de reins la font bondir, à mes injures elle répond par des « oui, oui ».
Je la besogne avec force depuis plus de cinq minutes quand je sens qu'on me touche les fesses, qu'on les écarte, qu'on me lèche le cul alors que je sais qu'il dégueule tout le sperme qu'il a reçu, le type pointe son gland sur ma rosette et d'un coup, me défonce. Il y va fort, je ne reconnais pas les habitudes de mon oncle, c'est probablement Polo. Il me tient fermement aux hanches et ne fait pas dans la dentelle, mais il n'a pas de résistance, je le sens se fatiguer, je ralentis également et d'un coup il se bloque au fond de moi dans un grognement sourd. Je l'entends souffler et il me quitte en laissant un nouveau flot de jute s'échapper.
La place est immédiatement reprise par un sexe plus épais, des manières plus douces, un rythme plus lent. C'est mon oncle, il sait faire durer le plaisir, il fait ça en douceur, nous sommes tous les trois en harmonie.
C'est moi qui m'emballe, qui perds le contrôle, mes coups de reins s'accélèrent, Théo s'en rend compte, il sait que je suis au bord de l'explosion, il veut jouir en même temps que moi et même décide de me faire jouir. En deux, trois coup de reins rapprochés, il me pousse dans le ventre de Valérie, donne l’estocade qui provoque l'éjaculation. Mon oncle se vide en moi alors que j'écrase Valérie de tout mon poids.
L'un et l'autre libérons notre partenaire, On se félicite du plaisir partagé, on s'embrasse. René debout presse le mouvement « Allez Valie, il faut rentrer ! ». Avec la "fille" on prend le temps d'aller se laver et quand on revient tous les trois sont déjà habillés à discuter.
— On a été très heureux de vous rencontrer, dit René. Restons en contact si vous voulez ! Nous avons des amis qui seraient très contents de vous connaître.
— Ben oui avec grand plaisir ! Répond mon oncle. Un moment, je vous donne mes coordonnées.
Avec Valérie, on se fait un gros bisou, trop heureux de se revoir très bientôt.
Polo, un type semblable à mon oncle, d'une soixantaine d'années bien de sa personne, un peu plus rondouillard. A le voir et suivant le dicton 'Qui se ressemble, s'assemble' c'est un sacré queutard.Nous sommes installés à l'ombre d'un bosquet, éloignés de la mer et du passage des promeneurs, on bavarde, on fait connaissance, on me taquine.
Le bain permet au nouvel arrivé de me connaître parfaitement. On regagne les serviettes en se tenant par la main et une fois essuyés l'application de la crème solaire lui donne l'occasion de me peloter sans limite.
Allongé entre les deux hommes je zyeute Polo entrain de se tripoter tranquillement alors qu'il ne cesse de nous raconter des balades dans les fourrés de la plage ou des rencontres libertines. Il se masturbe très lentement, son engin pas vraiment en érection me paraît aussi épais que celui de mon oncle mais plus long. L'entendre, le voir me fait bander. Je réagis brusquement quand mon oncle me touche mais tout de suite il m'immobilise et commence à sucer "Ne fais pas ta chochotte... Polo sait déjà tout de toi." Il me regarde fixement tout en continuant de se caresser, me fait une petite moue et je me penche sur lui.
Je remplace sa main, sa queue est chaude, noueuse, ferme sans être vraiment dure, je la masse un peu, remonte le prépuce et le prend en bouche, taquine le méat de ma langue et décalotte le bourgeon de mes lèvres. Appuyé sur un coude, je le masse et le suce dans une position pas très confortable, il tente d'améliorer la situation et finalement me tire par le bras pour me mettre en 69 sur lui. Loin de tous je me sens tranquille, je deviens "une vraie salope" je lui fais une turlute qui lui donne une bite bien dure et légèrement arquée tout en m'offrant le mieux possible. Tout de suite il m'écarte les fesses, me lèche la raie, s'attarde sur mon petit trou, il me doigte un peu.
Mon oncle nous regarde nonchalamment appuyé sur un coude tout en se touchant. Polo me renverse sur le côté, me bouscule comme une poupée, me met à quatre pattes, plus rien ne pourrait l'arrêter; il est à genoux contre mes fesses, je sens son gland sur ma rondelle, il me prend par les hanches et me tire à lui, en fin de compte c'est moi qui m'emmanche sur sa queue, le gland avalé, le tronc s'enfile sans résistance jusqu'aux burnes. Lentement il commence à me buriner, il me sent disponible et ouvert et accélère son coït. A ce moment mon oncle, Théo, vient à genoux face à moi et m'impose une fellation sous les rires et les ricanements des deux.
On me besogne depuis cinq bonnes minutes lorsque je vois un couple venir tranquillement vers nous. Comme à chaque fois que je suis surpris je perds tous mes moyens, repousse Théo de ma bouche quand on contraire Polo me bloque contre lui.
Les deux sont maintenant debout tout près de nous. Elle en maillot, c'est une jolie blonde de moins de 30 ans toute fine. Son mini-bikini noir cache juste la pointe des seins et la base de son clito tellement le pubis est découvert, sa taille est marquée des deux ficelles du slip. Son visage d'ange est illuminé par ses yeux et son sourire malicieux.
Lui est un Antillais de 40 ans environ, sombre de peau, des yeux noirs, une chevelure épaisse et bouclée comme un mouton, des traits fins, tout en muscle. Il est sacrément membré et fier de l'être, de la manière dont il se caresse le chibre pas vraiment en érection tout en venant vers nous.
L'homme nous sourit et nous demande pardon pour le dérangement tout en s'accroupissant près de mon oncle:
— Bonjour ! Vous permettez ?... Vous offrez un joli spectacle !... Je m'appelle René et ma femme c'est Valérie
— Bonjour ! moi c'est Théo avec mon jeune neveu John et mon copain Polo.
— Il est mignon le p'tit jeune. En même temps je sens sa main glisser sur mon dos jusqu'aux fesses et d'un coup son doigt se planter en moi contre la bite de Polo, il ajoute : Et bien souple !
Je réagis à peine à cette violence, n'ayant d'yeux que pour la jeune fille qui s'assied à mon côté sur ses talons, en m'embrassant du bout des lèvres, elle chuchote « C'est vrai qu' t'es mignon... T'es un peu comme moi ». Puis tout en me tenant par les épaules elle se penche sur Théo et lui avale le dard couvert de ma salive. Je reste interloqué par sa comparaison "T'es un peu comme moi", en quoi ressemblè-je à cette nana mis à part notre peau lisse et qu'elle suce le type que je suçais ?
Derrière Polo reprend sa copulation dans mes fesses, assisté du nouvel arrivant qui à deux mains me les tient écartées. De mon côté je suis sublimé par la jeune femme, je lui caresse le dos jusqu'à glisser la main sans le bikini sans pouvoir aller au delà du bas des fesses tellement les cuisses sont serrées, alors je passe sous le ventre, couvre le pubis sans atteindre le slip caché entre ses cuisses.
Là tout change, la fille abandonne Théo pour m'embrasser à pleine bouche tout en marmonnant « T'es un coquin ». En me redressant je me libère du sexe de Polo tandis qu'elle fait sauter son maillot et découvre deux seins à peine formés, deux cônes de chair bien ferme, au sommet desquels pointent deux framboises qui paraissent disproportionnées par rapport à la poitrine. Je les caresse avec délicatesse du creux de la main, avant de les palper et les presser en faisant jaillir les pointes que je gobe et tète goulument.
Elle bombe le torse tout en gémissant de douleur « Doucement, doucement ». Je cesse d'un petit bisou, elle part en arrière et s'allonge, je me couche à moitié sur elle. On s'embrasse longuement, tendrement sous les yeux des trois amis. Elle m'attire sur elle, ses jambes passent à l'extérieur des miennes, mon sexe s'imprime sur son ventre, se frotte contre son pubis qui amorce une mouvement de coït. Je ne tarde pas à répondre à ses envies en glissant ma main dans son slip et là... Quelle surprise ! Il n'y a pas de vulve, mais la base d'un pénis replié en arrière à peine plus gros qu'un doigt. La jeune femme est une transsexuelle. Sous ses yeux exorbités, implorant le silence, je me calme, me reprends, ne laisse rien paraître et lui murmure :
— Tu es une cachotière ...
— S'il te plaît garde mon secret, pour la rassurer je lui fais un bisou. Fais-moi l'amour, je suis très accessible, tu peux venir sans préparation, écarte juste mon slip.
Sans rien faire paraître, elle relève ses genoux sur sa poitrine, j'écarte le tissu de l'entrejambe dans lequel se cache sa bistouquette, discrètement je couvre mon gland de salive qui se loge tout naturellement dans un creux humide, un léger cambrement, une petite poussée et mon gland est avalé, je la possède sans difficulté, on reste ainsi accouplés, sans bouger, satisfaits.
C'est seulement à ce moment que je me rends compte de ce qui se passe autour de nous. Polo suce René et en même temps branle mon oncle.
— Dis donc fils, me dit-il, tu ne perds pas de temps. Elle est aussi bonne que belle.
Tandis qu'on faisait l'amour, Valérie bande comme un beau diable et par confort sort de sa quéquette de sa cachette et la place entre nos ventres, un truc vachement dur, d'une quinzaine de centimètres et gros comme deux doigts.
— Laisse-moi faire, on va intervertir les rôles, murmure-t-elle en tendant la main vers son compagnon.
— …. Je la regarde stupéfait, comment va-t-elle faire sans dévoiler la réalité ?
René semble avoir compris l'envie de sa copine et abandonne mon oncle et Polo pour venir avec nous. Elle se dégage discrètement de mon anus, relève ses genoux entre mes cuisses et les écarte. Je me prête à son jeu, on bascule les bassins l'un vers l'autre, je sens son sexe, il est en moi plus long que je ne le pensais et bien dur, je me contracte pour mieux la sentir. René à genoux à notre côté cache la scène à Polo et Théo trop occupés entre eux. On reste accouplés, on bouge peu, je ne veux pas la perdre, elle reste bien plantée en moi et je joue de mes abdominaux :
— Oh oui, j'aime ! Tu le fais bien, me susurre-t-elle
René a protégé l'inversion des rôles et vient accompagner "sa femme". Je n'en crois pas mes yeux, il se met entre nos jambes, je sens déjà sa queue sur ma rosette, contre la bite qui me fourrage. Non, je n'y crois pas ! Une double ! Valérie me murmure :
— On va te prendre tous les deux, tu vas voir comme on sait bien faire !
D'une main, il appuie sur mes reins, m'oblige à me cambrer, elle se cabre pour ne pas perdre le contact, René m'écarte une fesse, dirige sa bite de l'autre main, Sa poussée est continue, mon anus ne résiste pas longtemps, le gland s'inscrit dans mes chairs, force la place, me pénètre. Ça y est, je l'ai tout entier, mes muscles se contracte dès qu'il est en moi puis laisse filer le membre le long de celui qui s'y trouve déjà, il est un peu plus long, beaucoup plus épais. Ça y est je les ai tous les deux, je suis pris en sandwich par le couple.
Je me rends compte qu'ensemble ils ne sont pas plus larges que le gode utilisé par Jade il y a quelques jours, je les veux tous les deux, je les accompagne. Valérie, en appui sur ses pieds, se bloque au fond de moi, et c'est René qui accroupi au dessus de moi, me besogne sous les regards intéressés de Théo et Polo :
— Dis donc Théo, t'as vu ton neveu baisant la copine et enculé par son mec... En découvrant le pot aux roses, Polo gueule comme un imbécile : Théo ! Johnny est en double, mais pas comme on le pense, les deux enculent le p'tit ! Putain la môme est une trans, j'veux m'la faire ! J'veux m'la faire !!!
— Connard ! S'écrit Valérie les yeux larmoyants. T'es qu'un porc, j'suis pas une pute, et la trans baise avec qui elle veut ! Et certainement pas avec toi espèce de con ! En sanglot, elle me serre contre elle, se cache au creux de mon cou et murmure : C'est avec toi que je veux baiser !
René à peine perturbé par la dispute, continue de s'activer en moi en respirant bruyamment de plus en plus vite jusqu'à rugir : « AAAAHHHH OUIiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiii !!!! ». Il m'écrase de tout son poids, en appui sur mes genoux et mes coudes j'essaie de protéger Valérie inanimée sous moi. Je sens à la fois son bourgeon et la queue de son amant. Plus rien ne bouge. Le gros sexe fond en moi puis s'échappe en inondant ma raie culière, l'homme tombe sur le côté.
Libéré, je me redresse sur elle, assis sur son pubis, je la regarde, essuie une larme au coin des yeux, elle me sourit. Je la chevauche, je la prend par les seins, les masse, les glorifie, je la fais sentir femme. Je comprime son sexe dans mon sphincter, je la sens bien, je la fais sentir amante. Elle se met en mouvement, elle bouge bien, pas longtemps avant de se vider mélangeant son sperme à celui de son compagnon. On reste un moment encore accouplés jusqu'à ce qu'elle s'évanouisse en moi. Je glisse sur le côté, la laissant entre son copain et moi, sa queue repose sur son ventre couvert de mouille, le sperme perle encore de son méat. Couché sur le ventre, j'ai beau serrer les fesses, je sens la jute suinter sur le périnée.
Mon oncle et Polo sont sur le côté à se palucher tranquillement visiblement satisfaits du spectacle que nous venons de leur donner
Après un moment de repos, quelques bisous, Valérie se rend compte de mon excitation. Elle a une soif de sexe incroyable, elle me pousse sur le dos et commence à me faire une pipe . Elle suce, branle, se caresse avec ma trique et se met en levrette en marmonnant « Viens! ».
En me levant je sens le sperme m'échapper et couler sur mes cuisses, j'en ai plein partout, je me sens sale mais face à ce cul aussi creusé qu'indécent je me complais dans ce foutre. Je l'ouvre encore plus, j'y plonge mon museau et lui fais une feuille de rose bien gourmande, bien baveuse. Elle ne tarde pas à remuer de la croupe comme agacée et supplie d'une voix grave « Baise-moi ! »
A genoux à son postérieur je me positionne mieux, mes deux mains sur ses fesses, c'est elle-même qui d'un coup brutal s'emmanche sur ma queue. Elle est chaud-bouillante et tout de suite son ventre s'anime, se contracte et se relâche au rythme de sa cavalcade. Après un accès de folie, je la ramone calmement, couché sur son dos, je lui caresse les seins. Mais elle veut autre chose, elle grogne « Plus fort, plus fort ! ». Alors, je lui triture les tétons, lui maltraite les nichons, comme pour les arracher, mes coups de reins la font bondir, à mes injures elle répond par des « oui, oui ».
Je la besogne avec force depuis plus de cinq minutes quand je sens qu'on me touche les fesses, qu'on les écarte, qu'on me lèche le cul alors que je sais qu'il dégueule tout le sperme qu'il a reçu, le type pointe son gland sur ma rosette et d'un coup, me défonce. Il y va fort, je ne reconnais pas les habitudes de mon oncle, c'est probablement Polo. Il me tient fermement aux hanches et ne fait pas dans la dentelle, mais il n'a pas de résistance, je le sens se fatiguer, je ralentis également et d'un coup il se bloque au fond de moi dans un grognement sourd. Je l'entends souffler et il me quitte en laissant un nouveau flot de jute s'échapper.
La place est immédiatement reprise par un sexe plus épais, des manières plus douces, un rythme plus lent. C'est mon oncle, il sait faire durer le plaisir, il fait ça en douceur, nous sommes tous les trois en harmonie.
C'est moi qui m'emballe, qui perds le contrôle, mes coups de reins s'accélèrent, Théo s'en rend compte, il sait que je suis au bord de l'explosion, il veut jouir en même temps que moi et même décide de me faire jouir. En deux, trois coup de reins rapprochés, il me pousse dans le ventre de Valérie, donne l’estocade qui provoque l'éjaculation. Mon oncle se vide en moi alors que j'écrase Valérie de tout mon poids.
L'un et l'autre libérons notre partenaire, On se félicite du plaisir partagé, on s'embrasse. René debout presse le mouvement « Allez Valie, il faut rentrer ! ». Avec la "fille" on prend le temps d'aller se laver et quand on revient tous les trois sont déjà habillés à discuter.
— On a été très heureux de vous rencontrer, dit René. Restons en contact si vous voulez ! Nous avons des amis qui seraient très contents de vous connaître.
— Ben oui avec grand plaisir ! Répond mon oncle. Un moment, je vous donne mes coordonnées.
Avec Valérie, on se fait un gros bisou, trop heureux de se revoir très bientôt.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par John62
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Une délicieuse expérience à vivre..
Cyrille
Cyrille