Rencontre du 3ème sexe Chapitre 2 - Au pluriel
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rencontre du 3ème sexe Chapitre 2 - Au pluriel
Je n'ai pas eu longtemps à attendre pour retrouver Valérie puisque le soir même René nous invitait tous les trois à venir chez lui le lendemain en avertissant ma tante Jade qu'elle serait la seule à ne pas avoir "ce petit quelque chose entre les jambes". Je décide de porter une chemisette et un short bleu-ciel près du corps, une tenue qui souligne ma silhouette sans cacher ma masculinité
En début d'après-midi nous arrivons chez René. Sa propriété à l'écart du village est close d'un haut mur, nous entrons directement dans le jardin. Il nous reçoit en boxer et tee-shirt blancs, très ajustés et qui met en valeur une musculature que je n'avais pas remarqué sur la plage. Il salue respectueusement ma tante et finalement avec sa permission, l'embrasse du bout des lèvres alors que pour Théo, c'est une tape sur l'épaule et moi la main aux fesses en chuchotant « Valie t'attend avec impatience ».
Je reconnais la ''jeune femme'' de dos au milieu de leurs amis avec ses cheveux blonds sur les épaules, sa silhouette callipyge est juste marquée par la cordelette du soutien-gorge et le triangle noir du slip brésilien au sommet de ses fesses. Elle se retourne, son sourire est radieux, dès qu'elle nous voit, elle court toute excitée, me saute au cou en m'embrassant tendrement puis fait à Théo un bisou, échange quelques paroles avec Jade avant de l'embrasser.
Elle me prend par la main et nous présente ses amis (tous entre 30 et 40 ans), d'abord Max et Martine (elle, grande, aux cheveux noirs, la robe lycra bleu-nuit raz des fesses découvre ses jambes longilignes et moule ses tout petits seins ; lui juste en slip fait certainement du body-building) puis Moussa et Monique (elle, une jolie femme à la chevelure flamboyante et aux formes épanouies à peines couvertes par sa robe blanche ; lui, un grand sénégalais, bien foutu, son boxer jaune met en valeur son sexe au repos).
Valérie nous offre un verre et nous laisse en compagnie de ses copines, en s'excusant « Je fais le service et on se retrouve dès que possible ». René nous rejoint et drague ouvertement ma tante. Les conversations tournent autour des rencontres de plage et deviennent rapidement coquines. L'ambiance est joyeuse et conviviale. De mon côté le courant passe bien avec Martine, même si elle plus grande elle a la même morphologie que Valérie. Quand René s'éloigne avec ma tante, on s'installe sur un banc pour flirter un peu et je découvre sans surprise la réalité de son genre.
On est dans notre monde à se conter fleurette quand on entend crier et on voit Monique traverser la pelouse à moitié à poil derrière mon oncle qui agite sa robe blanche comme un trophée sous les éclats de rire des autres. Martine pouffe de rire dans mon cou « Dis donc ton tonton est un sacré coquin ! » Quelqu'un s'est approché derrière nous sans bruit et d'un coup il lui abaisse sa robe de lycra bleue à la taille dans un rire graveleux. Le black surgit par dessus nos têtes en criant « Alors les jeunes on batifole ! », il renverse Martine par les épaules sur le dossier du banc en grognant « Ça ne vous dérange pas que je me mêle à vous ? » Elle lui répond en le prenant par le cou et l'embrassant à pleine bouche.
Alors toute retenue disparaît d'autant plus quand Valérie distribue des draps de bains. Moussa nous entraine tous les deux à terre, elle en mini-slip bleu et lui déjà à poil.
Le tendre flirt tourne à l'orgie. Je me sens petit garçon entre ce colosse et cette grande gigue. Timide de nature, je me laisse faire quand l'un plonge sa main dans mon short et l'autre défait ma chemise. Sous leurs mains je me retrouve nu, sous leurs doigts je me réveille, sous leurs bouches je m'abandonne. C'est Moussa qui me pompe et Martine qui me tète, je les encourage mollement d'une main dans le dos de l'une, sur la tête de l'autre. On m'embrasse comme du bon pain., on me lèche, on me tripote.
Martine vient sur moi et me murmure d'une voix éraillée « Tu sais que t'es mignon ! » Elle roule sur le dos et m'entraîne sur elle ses jambes autour des miennes, je n'ai qu'à écarter le tissus de son bikini dans lequel se cache sa bistouquette pour m'accoupler. Elle tortille du croupion, se place mieux et commence à se balancer. On se tient serré, ses mains sur mes fesses, les miennes sur ses seins, deux renflements au centre desquels se dressent des tétons mi-homme, mi-femme. On s'embrasse, elle me dit des "Je t'aime..." Je commence à lui ramoner le fion alors que Moussa me pelote les fesses, je sens sa respiration, je l'entends marmonner « C'est vrai que t'es mignonne, t'as un beau p'tit cul, t'es toute douce ». Me parler au féminin me transforme. Je me redresse et lui tends mon postérieur.
C'est alors que Valérie nous rejoint en s'excusant d'avoir tardé. Elle s'allonge à notre côté, me regarde intensément, me sourit tout en tripotant le téton de sa copine. Nous voilà tout les quatre réunis, les deux filles se bisoutant, moi copulant et le black s'occupant de mon cul. Il m'embrasse le derrière, me lape la raie, me touche le petit trou qui par réflexe se contracte, alors des deux pouces il m'écarte, me lèche la pastille avant que deux gros doigts m'ouvrent sans précaution et qu'un flot de salive m'inonde. Il grommelle « Ouais t'es comme les autres, une belle salope qui ne demande que ça ». Je sens tout de suite son gland s'appuyer sur ma rondelle, l'homme me tient fermement aux hanches, je l'accompagne dans sa poussée mais sans résultat, c'est un sacré gourdin qu'il veut m'enfiler. Mécontent, il continue à grogner, me crache dessus et me plante brutalement trois doigts qui me font gémir de douleur. Dans une tension extrême les doigts me taraudent,se font leur place avant que la matraque ne revienne et me défonce dans un "Ha !" de victoire et un "Aaaah" d'apaisement. Prévenant il me laisse respirer, m'adapter à son engin, il bouge un peu avant de me déraciner de la fille en me tirant à lui. Il chuchote « Tu mouilles bien... T'es une bonne !... ».
Le colosse me redresse contre son torse et m'empale d'un coup jusqu'à la garde. Je sens son souffle chaud dans mon cou, ses lèvres épaisses, il me mordille l'oreille en me disant des tas de choses, que je suis gentille, que j'ai la peau douce... Il me caresse la poitrine, me presse les tétons, les étire. Sous la douleur, je cambre le dos et m'étire en le prenant par le cou. Il m'embrasse goulûment, je m'abandonne en penchant la tête, sa bouche fait ventouse, ses dents me pincent. Je suis sa chose, immobilisée dans ses bras, plantée sur sa queue. Doucement il me pistonne, mal à l'aise il me soulève, me porte à sa hauteur, que sont mes 60 kilos entre ses mains ? Je m'accroche à son cou, ses coups de reins sont saccadés, puissants, me font sauter sur son pieu. Je me tends comme un arc, je ne me suis jamais senti si fragile, si disponible, si féminine. Après un moment à me ballotter, d'un coup il me repousse, se sépare de moi, me jette au sol en grognant d'une voix enrouée « J'vais t'baiser comme une pute »
A peine couché, les genoux sur ma poitrine, il me pénètre d'un coup, se couche sur moi. Il veut m'embrasser mais je tourne la tête, il grogne d'un mécontentement « Ouais ! T'es vraiment une pute t'embrasse pas ! » Sans insister, il me laboure sous mes ''Ha, ha'' rythmant ses coups de boutoirs. J'ai l'anus éclaté, mes chairs en feu, je suis incapable de réagir, je me sens vraiment un sac à foutre, dans lequel il se vide sous le regard admiratif des deux filles. Il décule, me bise dans le cou en murmurant « C'était vachement bon ». Content de la chose, il se relève et prend Martine par la main pour rejoindre les autres à la piscine, je reste anéanti au sol.
Valérie est avec moi couché sur la serviette. On est en plein soleil, je suis en sueur, les yeux fermés éblouis par le lumière. Je reprends mon souffle et sens mon ventre se vider, mes fesses baigner dans le sperme. La fille en se penchant sur moi me fait de l'ombre, je la regarde, la chevelure blonde auréolée de lumière, on s'embrasse tendrement du bout des lèvres, elle me caresse doucement, m'aide à retrouver le calme, on se sourit, on est heureux.
— Ça va ? Me demande-t-elle inquiète, je la rassure d'un clin d’œil. Ben dis-donc qu'est ce que tu t'es pris... T'es une vraie Sissy ! Je la regarde sans comprendre, elle ajoute : Ben oui, comme nous, une femboy si tu préfères, il te manque juste les nichons, t'as une ligne, des jambes, un p'tit cul, très féminin. Je la regarde stupéfait, elle saute sur ses pieds et me tend la main en criant : Allez viens on va se baigner !.
Peu après on se retrouve tous dans l'eau mais je suis dans ma bulle, je ne prête attention à personne même pas à Jade. Je pense à la déclaration de Valérie, je l'entends dire d'un air moqueur "Une femboy si tu préfères". Je me touche les fesses, mon anus est défoncé, comme celui de Martine, je le fouille directement avec quatre doigts, touche avec plaisir mes chairs secrètes, moelleuses... J'y trouve une substance gluante Serai-je comme Martine une femboy ? Comme Valérie ? Contrairement à elles j'ai pas de seins et j'ai une vraie bite !!! Puis j'aime faire l'amour aux femmes, j'aime pas les hommes... Oui mais... J'aime être prise comme une femme, j'aime sucer comme une femme, être traitée comme une femme, être femme. Je nage lentement, régulièrement je plonge la tête et sors les fesses de l'eau, j'aime sentir l'eau filer sur mon corps. Je suis dans mes pensées quand j'entends Valérie m'appeler pour manger. Elle m'attend avec une serviette, un subterfuge pour me retrouver et m'embrasser
— Viens, j'ai préparé un buffet avec des cakes, plein de choses, du café des jus.
Tout le monde est regroupé autour d'un table et m'accueille en criant « Enfin te voilà ! » Je vois ma tante avec Max et Moussa qui m'envoie un bisou de la main et mon oncle avec René très occupés avec Martine.
Valérie s'active entre la cuisine et le buffet, je suis un peu perdu et c'est Monique qui vient à mon secours, la femme à la chevelure auburn et aux beaux nichons. Elle a juste gardé son slip qui couvre une motte pubienne rebondie. Elle me propose une tasse de café, mord dans une madeleine et me met en bouche l'autre moitié. Même un peu rondelette, elle est vachement séduisante, on pouffe de rire en s'étouffant à moitié avec le gâteau. Elle se rend compte de l'effet qu'elle me fait et se colle à moi pour cacher mon érection :
— Oh ! Monsieur, dit-elle d'un air choqué. Ce n'est pas correcte devant une inconnue.
— Il ne tient qu'à vous que vous ne restiez pas une inconnue, lui répliquè-je en éclatant de rire
On s'embrasse à pleine bouche et on part en courant main dans la main sous l'arbre où j'étais avant.
Allongés sur une serviette, face à face, on continue à s'embrasser en se caressant, elle me prend la queue en susurrant « Je crois que c'est la meilleure manière de faire connaissance. ». En parlant un peu j'apprends qu'elle vit avec son copain depuis deux ans et qu'ils ont rencontré René il y a quelques mois, depuis elle est très amie avec Valérie. Tout en l'écoutant avec attention je la découvre, mon doigt court sur son visage, souligne ses lèvres charnues, descend sur le cou, arrive sur sa poitrine si attractive. Je commence à lui peloter les seins et découvre l'opération magique. Elle cambre fièrement le buste « Ils te plaisent ?... Fais doucement, c'est un cadeau de Moussa ».
D'un bisou sur les lèvres je lui réponds « Ils sont très beaux » ma main file sur le ventre à la découverte de ce mont de Vénus proéminent qui n'est que la racine d'une verge semblable à la mienne. Monique, hermaphrodite ! Avec sa poitrine de femme et son sexe d'homme. Nos baisers s'enflamment, nos langues bataillent, je la couche sur le dos. Je veux tout à la fois, lui bouffer les nichons et lui sucer la bite, la niquer et qu'elle m'encule.
Je la renverse sur le dos, immobilise ses poignets, la couvre de baisers du cou à la poitrine, les seins sont superbes, joliment galbés, je lèche les deux petites entailles à leur base, remonte sur les pointes, les suçote avant de les téter comme un bébé. Puis je continue à descendre en accordéon sur le creux du sternum, du nombril. J'ai sa queue qui bute sur mon menton. Je lâche les mains de la femme pour prendre le sexe de l'homme. Il est gros et dur. Ma main en fait juste le tour et d'un geste le décalotte de l'autre je saisis les couilles grosses comme une mandarine. Avec gourmandise, je suce, je branle, je masse.
A ce moment Valérie nous rejoint, s'allonge à notre côté en m'interrogeant d'un air moqueur « Elle est bonne ma copine ? » Les deux "femmes" se retrouvent, s'embrassent, parlent, rigolent. J'assiste à leurs cajoleries tout branlant d'une main la "banane macho" de l'une et du bout des doigts le "clito" de l'autre, un appendice à peine plus long qu'un doigt. Des idées diaboliques, malsaines traversent mon esprit et malgré tout je continue à branler l'homme tout en suçant l'enfant qui me régale de son précum légèrement sucré.
C'est une baffe que je reçois quand le jeune enfourche le corps de l'homme et sous mes yeux s'emmanche sur son pieu, une baffe qui me ramène à la réalité des deux amies qui font l'amour.
Valérie tout de suite, tel un cheval de carrousel, monte et descend sur la colonne de chair. Je suis subjugué par l'action qui se passe sous mon nez, je n'ai jamais vu de si près un accouplement, j'en suis partie prenante. Juste en tirant la langue je lui balaie la raie des fesses et en baissant le menton je lèche les roustons de l'autre. La tête sur le matelas, je plonge le museau entre les deux et j'ai la bouche à la base de la colonne de chair qui se couvre de sécrétions. Je tiens Valérie d'une main au creux de la hanche et de l'autre lui asticote la bistouquette définitivement mollassonne.
La tête plongée dans les fesses des deux filles j'entends la voix de fausset de Valérie « Viens ! Prends-moi en double » Je n'en crois pas mes oreilles et pourtant elle décolle son ventre, se couche sur sa copine. Je me redresse et vois la bite basanée à moitié enfoncée entre les fesses à la peau claire de la blonde. Je ne peux m'imaginer la prendre en double et pourtant les deux m'attendent immobiles. Je bande comme un âne, pris d'une folie de débauche, je presse ma queue contre celle de Monique dont l’urètre est gonflée à mort, je bute contre les fesses, le doigt appuyé sur le gland je force le passage qui doucement s'élargit, J'ai la pointe de ma verge en elle, je pousse, l'anneau cède, se laisse transpercer et d'un coup se contracte sur le gland qu'il vient de manger. La môme gémit « Doucement, doucement ! »... Je la laisse respirer avant de pénétrer le sphincter millimètre par millimètre puis d'être avalé, mes couilles posées sur les autres. On reste soudés les trois ensemble retrouvant notre souffle
Je suis seul à vraiment pouvoir usiner le trou. En appui sur les reins de Valérie je fais des extension quand elle se redresse telle une sphinge poussée aux épaules par Monique.
Ça y est, nous sommes coordonnés, je coulisse dans les chairs distendue de l'une contre la bite en béton de l'autre. Je ne me retiens pas quand je sens la sève monter bien au contraire, j'accélère et je lâche tout, je me redresse et sors trop vite continuant à juter sur le dos de ma chérie. Monique la prend dans ses bras, leur coït se prolonge, s’accélère ; miaulement et feulements se mélangent et tout s'arrête en une longue étreinte.
Dans le silence, nos amis nous ont rejoint et sont devenus spectateurs, Jade entre Max et René tandis que Martine est encadrée par Théo et René.
Malheureusement René met fin à notre bonheur en nous annonçant qu'il doit nous quitter pour rejoindre l'aéroport.
emo
— Oh René, tu pars ! s'écrie ma tante, quel dommage et ta femme reste seule ?
— Ouais ! Question travail. Mais t'inquiète Valie a l'habitude et je rentre demain soir.
— Et que dis-tu si elle vient avec nous ? On la ramènera demain.
— Oh pour moi pas de problème si elle est d'accord
— Et pour moi c'est banco, s'écrie Valérie... et mille mercis Jade !
— Si vous voulez, intervient mon oncle, je vous chercherai à l'aéroport et nous dînerons ensemble.
— Top là Théo, c'est super sympa !
L'après-midi s'écourte ainsi mais tout le monde semble heureux dans la perspective de se retrouver. Après les traditionnelles embrassades, Jade passe juste une robe et nous trois enfilons juste un slip. Théo prend le volant, Jade s'installe à l'arrière avec l'invitée prétextant ne pas bien se connaître, il me reste le siège passager.
En début d'après-midi nous arrivons chez René. Sa propriété à l'écart du village est close d'un haut mur, nous entrons directement dans le jardin. Il nous reçoit en boxer et tee-shirt blancs, très ajustés et qui met en valeur une musculature que je n'avais pas remarqué sur la plage. Il salue respectueusement ma tante et finalement avec sa permission, l'embrasse du bout des lèvres alors que pour Théo, c'est une tape sur l'épaule et moi la main aux fesses en chuchotant « Valie t'attend avec impatience ».
Je reconnais la ''jeune femme'' de dos au milieu de leurs amis avec ses cheveux blonds sur les épaules, sa silhouette callipyge est juste marquée par la cordelette du soutien-gorge et le triangle noir du slip brésilien au sommet de ses fesses. Elle se retourne, son sourire est radieux, dès qu'elle nous voit, elle court toute excitée, me saute au cou en m'embrassant tendrement puis fait à Théo un bisou, échange quelques paroles avec Jade avant de l'embrasser.
Elle me prend par la main et nous présente ses amis (tous entre 30 et 40 ans), d'abord Max et Martine (elle, grande, aux cheveux noirs, la robe lycra bleu-nuit raz des fesses découvre ses jambes longilignes et moule ses tout petits seins ; lui juste en slip fait certainement du body-building) puis Moussa et Monique (elle, une jolie femme à la chevelure flamboyante et aux formes épanouies à peines couvertes par sa robe blanche ; lui, un grand sénégalais, bien foutu, son boxer jaune met en valeur son sexe au repos).
Valérie nous offre un verre et nous laisse en compagnie de ses copines, en s'excusant « Je fais le service et on se retrouve dès que possible ». René nous rejoint et drague ouvertement ma tante. Les conversations tournent autour des rencontres de plage et deviennent rapidement coquines. L'ambiance est joyeuse et conviviale. De mon côté le courant passe bien avec Martine, même si elle plus grande elle a la même morphologie que Valérie. Quand René s'éloigne avec ma tante, on s'installe sur un banc pour flirter un peu et je découvre sans surprise la réalité de son genre.
On est dans notre monde à se conter fleurette quand on entend crier et on voit Monique traverser la pelouse à moitié à poil derrière mon oncle qui agite sa robe blanche comme un trophée sous les éclats de rire des autres. Martine pouffe de rire dans mon cou « Dis donc ton tonton est un sacré coquin ! » Quelqu'un s'est approché derrière nous sans bruit et d'un coup il lui abaisse sa robe de lycra bleue à la taille dans un rire graveleux. Le black surgit par dessus nos têtes en criant « Alors les jeunes on batifole ! », il renverse Martine par les épaules sur le dossier du banc en grognant « Ça ne vous dérange pas que je me mêle à vous ? » Elle lui répond en le prenant par le cou et l'embrassant à pleine bouche.
Alors toute retenue disparaît d'autant plus quand Valérie distribue des draps de bains. Moussa nous entraine tous les deux à terre, elle en mini-slip bleu et lui déjà à poil.
Le tendre flirt tourne à l'orgie. Je me sens petit garçon entre ce colosse et cette grande gigue. Timide de nature, je me laisse faire quand l'un plonge sa main dans mon short et l'autre défait ma chemise. Sous leurs mains je me retrouve nu, sous leurs doigts je me réveille, sous leurs bouches je m'abandonne. C'est Moussa qui me pompe et Martine qui me tète, je les encourage mollement d'une main dans le dos de l'une, sur la tête de l'autre. On m'embrasse comme du bon pain., on me lèche, on me tripote.
Martine vient sur moi et me murmure d'une voix éraillée « Tu sais que t'es mignon ! » Elle roule sur le dos et m'entraîne sur elle ses jambes autour des miennes, je n'ai qu'à écarter le tissus de son bikini dans lequel se cache sa bistouquette pour m'accoupler. Elle tortille du croupion, se place mieux et commence à se balancer. On se tient serré, ses mains sur mes fesses, les miennes sur ses seins, deux renflements au centre desquels se dressent des tétons mi-homme, mi-femme. On s'embrasse, elle me dit des "Je t'aime..." Je commence à lui ramoner le fion alors que Moussa me pelote les fesses, je sens sa respiration, je l'entends marmonner « C'est vrai que t'es mignonne, t'as un beau p'tit cul, t'es toute douce ». Me parler au féminin me transforme. Je me redresse et lui tends mon postérieur.
C'est alors que Valérie nous rejoint en s'excusant d'avoir tardé. Elle s'allonge à notre côté, me regarde intensément, me sourit tout en tripotant le téton de sa copine. Nous voilà tout les quatre réunis, les deux filles se bisoutant, moi copulant et le black s'occupant de mon cul. Il m'embrasse le derrière, me lape la raie, me touche le petit trou qui par réflexe se contracte, alors des deux pouces il m'écarte, me lèche la pastille avant que deux gros doigts m'ouvrent sans précaution et qu'un flot de salive m'inonde. Il grommelle « Ouais t'es comme les autres, une belle salope qui ne demande que ça ». Je sens tout de suite son gland s'appuyer sur ma rondelle, l'homme me tient fermement aux hanches, je l'accompagne dans sa poussée mais sans résultat, c'est un sacré gourdin qu'il veut m'enfiler. Mécontent, il continue à grogner, me crache dessus et me plante brutalement trois doigts qui me font gémir de douleur. Dans une tension extrême les doigts me taraudent,se font leur place avant que la matraque ne revienne et me défonce dans un "Ha !" de victoire et un "Aaaah" d'apaisement. Prévenant il me laisse respirer, m'adapter à son engin, il bouge un peu avant de me déraciner de la fille en me tirant à lui. Il chuchote « Tu mouilles bien... T'es une bonne !... ».
Le colosse me redresse contre son torse et m'empale d'un coup jusqu'à la garde. Je sens son souffle chaud dans mon cou, ses lèvres épaisses, il me mordille l'oreille en me disant des tas de choses, que je suis gentille, que j'ai la peau douce... Il me caresse la poitrine, me presse les tétons, les étire. Sous la douleur, je cambre le dos et m'étire en le prenant par le cou. Il m'embrasse goulûment, je m'abandonne en penchant la tête, sa bouche fait ventouse, ses dents me pincent. Je suis sa chose, immobilisée dans ses bras, plantée sur sa queue. Doucement il me pistonne, mal à l'aise il me soulève, me porte à sa hauteur, que sont mes 60 kilos entre ses mains ? Je m'accroche à son cou, ses coups de reins sont saccadés, puissants, me font sauter sur son pieu. Je me tends comme un arc, je ne me suis jamais senti si fragile, si disponible, si féminine. Après un moment à me ballotter, d'un coup il me repousse, se sépare de moi, me jette au sol en grognant d'une voix enrouée « J'vais t'baiser comme une pute »
A peine couché, les genoux sur ma poitrine, il me pénètre d'un coup, se couche sur moi. Il veut m'embrasser mais je tourne la tête, il grogne d'un mécontentement « Ouais ! T'es vraiment une pute t'embrasse pas ! » Sans insister, il me laboure sous mes ''Ha, ha'' rythmant ses coups de boutoirs. J'ai l'anus éclaté, mes chairs en feu, je suis incapable de réagir, je me sens vraiment un sac à foutre, dans lequel il se vide sous le regard admiratif des deux filles. Il décule, me bise dans le cou en murmurant « C'était vachement bon ». Content de la chose, il se relève et prend Martine par la main pour rejoindre les autres à la piscine, je reste anéanti au sol.
Valérie est avec moi couché sur la serviette. On est en plein soleil, je suis en sueur, les yeux fermés éblouis par le lumière. Je reprends mon souffle et sens mon ventre se vider, mes fesses baigner dans le sperme. La fille en se penchant sur moi me fait de l'ombre, je la regarde, la chevelure blonde auréolée de lumière, on s'embrasse tendrement du bout des lèvres, elle me caresse doucement, m'aide à retrouver le calme, on se sourit, on est heureux.
— Ça va ? Me demande-t-elle inquiète, je la rassure d'un clin d’œil. Ben dis-donc qu'est ce que tu t'es pris... T'es une vraie Sissy ! Je la regarde sans comprendre, elle ajoute : Ben oui, comme nous, une femboy si tu préfères, il te manque juste les nichons, t'as une ligne, des jambes, un p'tit cul, très féminin. Je la regarde stupéfait, elle saute sur ses pieds et me tend la main en criant : Allez viens on va se baigner !.
Peu après on se retrouve tous dans l'eau mais je suis dans ma bulle, je ne prête attention à personne même pas à Jade. Je pense à la déclaration de Valérie, je l'entends dire d'un air moqueur "Une femboy si tu préfères". Je me touche les fesses, mon anus est défoncé, comme celui de Martine, je le fouille directement avec quatre doigts, touche avec plaisir mes chairs secrètes, moelleuses... J'y trouve une substance gluante Serai-je comme Martine une femboy ? Comme Valérie ? Contrairement à elles j'ai pas de seins et j'ai une vraie bite !!! Puis j'aime faire l'amour aux femmes, j'aime pas les hommes... Oui mais... J'aime être prise comme une femme, j'aime sucer comme une femme, être traitée comme une femme, être femme. Je nage lentement, régulièrement je plonge la tête et sors les fesses de l'eau, j'aime sentir l'eau filer sur mon corps. Je suis dans mes pensées quand j'entends Valérie m'appeler pour manger. Elle m'attend avec une serviette, un subterfuge pour me retrouver et m'embrasser
— Viens, j'ai préparé un buffet avec des cakes, plein de choses, du café des jus.
Tout le monde est regroupé autour d'un table et m'accueille en criant « Enfin te voilà ! » Je vois ma tante avec Max et Moussa qui m'envoie un bisou de la main et mon oncle avec René très occupés avec Martine.
Valérie s'active entre la cuisine et le buffet, je suis un peu perdu et c'est Monique qui vient à mon secours, la femme à la chevelure auburn et aux beaux nichons. Elle a juste gardé son slip qui couvre une motte pubienne rebondie. Elle me propose une tasse de café, mord dans une madeleine et me met en bouche l'autre moitié. Même un peu rondelette, elle est vachement séduisante, on pouffe de rire en s'étouffant à moitié avec le gâteau. Elle se rend compte de l'effet qu'elle me fait et se colle à moi pour cacher mon érection :
— Oh ! Monsieur, dit-elle d'un air choqué. Ce n'est pas correcte devant une inconnue.
— Il ne tient qu'à vous que vous ne restiez pas une inconnue, lui répliquè-je en éclatant de rire
On s'embrasse à pleine bouche et on part en courant main dans la main sous l'arbre où j'étais avant.
Allongés sur une serviette, face à face, on continue à s'embrasser en se caressant, elle me prend la queue en susurrant « Je crois que c'est la meilleure manière de faire connaissance. ». En parlant un peu j'apprends qu'elle vit avec son copain depuis deux ans et qu'ils ont rencontré René il y a quelques mois, depuis elle est très amie avec Valérie. Tout en l'écoutant avec attention je la découvre, mon doigt court sur son visage, souligne ses lèvres charnues, descend sur le cou, arrive sur sa poitrine si attractive. Je commence à lui peloter les seins et découvre l'opération magique. Elle cambre fièrement le buste « Ils te plaisent ?... Fais doucement, c'est un cadeau de Moussa ».
D'un bisou sur les lèvres je lui réponds « Ils sont très beaux » ma main file sur le ventre à la découverte de ce mont de Vénus proéminent qui n'est que la racine d'une verge semblable à la mienne. Monique, hermaphrodite ! Avec sa poitrine de femme et son sexe d'homme. Nos baisers s'enflamment, nos langues bataillent, je la couche sur le dos. Je veux tout à la fois, lui bouffer les nichons et lui sucer la bite, la niquer et qu'elle m'encule.
Je la renverse sur le dos, immobilise ses poignets, la couvre de baisers du cou à la poitrine, les seins sont superbes, joliment galbés, je lèche les deux petites entailles à leur base, remonte sur les pointes, les suçote avant de les téter comme un bébé. Puis je continue à descendre en accordéon sur le creux du sternum, du nombril. J'ai sa queue qui bute sur mon menton. Je lâche les mains de la femme pour prendre le sexe de l'homme. Il est gros et dur. Ma main en fait juste le tour et d'un geste le décalotte de l'autre je saisis les couilles grosses comme une mandarine. Avec gourmandise, je suce, je branle, je masse.
A ce moment Valérie nous rejoint, s'allonge à notre côté en m'interrogeant d'un air moqueur « Elle est bonne ma copine ? » Les deux "femmes" se retrouvent, s'embrassent, parlent, rigolent. J'assiste à leurs cajoleries tout branlant d'une main la "banane macho" de l'une et du bout des doigts le "clito" de l'autre, un appendice à peine plus long qu'un doigt. Des idées diaboliques, malsaines traversent mon esprit et malgré tout je continue à branler l'homme tout en suçant l'enfant qui me régale de son précum légèrement sucré.
C'est une baffe que je reçois quand le jeune enfourche le corps de l'homme et sous mes yeux s'emmanche sur son pieu, une baffe qui me ramène à la réalité des deux amies qui font l'amour.
Valérie tout de suite, tel un cheval de carrousel, monte et descend sur la colonne de chair. Je suis subjugué par l'action qui se passe sous mon nez, je n'ai jamais vu de si près un accouplement, j'en suis partie prenante. Juste en tirant la langue je lui balaie la raie des fesses et en baissant le menton je lèche les roustons de l'autre. La tête sur le matelas, je plonge le museau entre les deux et j'ai la bouche à la base de la colonne de chair qui se couvre de sécrétions. Je tiens Valérie d'une main au creux de la hanche et de l'autre lui asticote la bistouquette définitivement mollassonne.
La tête plongée dans les fesses des deux filles j'entends la voix de fausset de Valérie « Viens ! Prends-moi en double » Je n'en crois pas mes oreilles et pourtant elle décolle son ventre, se couche sur sa copine. Je me redresse et vois la bite basanée à moitié enfoncée entre les fesses à la peau claire de la blonde. Je ne peux m'imaginer la prendre en double et pourtant les deux m'attendent immobiles. Je bande comme un âne, pris d'une folie de débauche, je presse ma queue contre celle de Monique dont l’urètre est gonflée à mort, je bute contre les fesses, le doigt appuyé sur le gland je force le passage qui doucement s'élargit, J'ai la pointe de ma verge en elle, je pousse, l'anneau cède, se laisse transpercer et d'un coup se contracte sur le gland qu'il vient de manger. La môme gémit « Doucement, doucement ! »... Je la laisse respirer avant de pénétrer le sphincter millimètre par millimètre puis d'être avalé, mes couilles posées sur les autres. On reste soudés les trois ensemble retrouvant notre souffle
Je suis seul à vraiment pouvoir usiner le trou. En appui sur les reins de Valérie je fais des extension quand elle se redresse telle une sphinge poussée aux épaules par Monique.
Ça y est, nous sommes coordonnés, je coulisse dans les chairs distendue de l'une contre la bite en béton de l'autre. Je ne me retiens pas quand je sens la sève monter bien au contraire, j'accélère et je lâche tout, je me redresse et sors trop vite continuant à juter sur le dos de ma chérie. Monique la prend dans ses bras, leur coït se prolonge, s’accélère ; miaulement et feulements se mélangent et tout s'arrête en une longue étreinte.
Dans le silence, nos amis nous ont rejoint et sont devenus spectateurs, Jade entre Max et René tandis que Martine est encadrée par Théo et René.
Malheureusement René met fin à notre bonheur en nous annonçant qu'il doit nous quitter pour rejoindre l'aéroport.
emo
— Oh René, tu pars ! s'écrie ma tante, quel dommage et ta femme reste seule ?
— Ouais ! Question travail. Mais t'inquiète Valie a l'habitude et je rentre demain soir.
— Et que dis-tu si elle vient avec nous ? On la ramènera demain.
— Oh pour moi pas de problème si elle est d'accord
— Et pour moi c'est banco, s'écrie Valérie... et mille mercis Jade !
— Si vous voulez, intervient mon oncle, je vous chercherai à l'aéroport et nous dînerons ensemble.
— Top là Théo, c'est super sympa !
L'après-midi s'écourte ainsi mais tout le monde semble heureux dans la perspective de se retrouver. Après les traditionnelles embrassades, Jade passe juste une robe et nous trois enfilons juste un slip. Théo prend le volant, Jade s'installe à l'arrière avec l'invitée prétextant ne pas bien se connaître, il me reste le siège passager.
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