Rencontre du 3ème sexe Chapitre 3 - Au masculin
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rencontre du 3ème sexe Chapitre 3 - Au masculin
Après une après-midi de luxure avec mes oncle et tante, nous rentrons accompagnés de Valérie, une jolie blonde d'une trentaine d'années, née garçon dont le copain s'est absenté pour une réunion de travail.
Les deux femmes se sont mises à l'arrière de la voiture pour faire connaissance. Il est vrai qu'elles ne se sont pas beaucoup parlé durant la journée. Je les regarde dans le miroir de courtoisie, la jeune femme en maillot s'est blottie dans les bras de ma tante qui a remis sa robe. Les deux se parlent mais si bas que je ne comprends pas leur discussion, je ne peux suivre que le mouvement de leurs lèvres, voir leurs yeux pétillants de malice, entendre leurs rires. La coquine défait deux boutons de la robe, une main file sous le tissus, s'active, découvre totalement un sein, je ne vois plus ce qui se passe mais la robe s'ouvre entièrement, les deux femmes s'embrassent à pleine bouche quand j'entends un petit cri étouffé « Arrête ! ».
On arrive à la maison, ma tante descend de la voiture entièrement nue, la robe à la main et file à la cuisine en me me demandant de veiller à l'installation de notre hôte.
Dès que nous sommes seuls dans le séjour, Valie s'accroche à mon cou et m'embrasse amoureusement. Ses tétons sur ma poitrine, le balancement de son bidon sur mon ventre me font bander. Je commence à la bousculer mais la coquine, comme satisfaite de ma frustration, me repousse et me demande d'un air espiègle de lui faire voir sa chambre !
En réponse, je l'amène à la chambre d'amis avant de la conduire dans ma chambre qu'elle trouve beaucoup mieux. En rejoignant la cuisine elle jette un coup d’œil dans celle d'en face, la chambre parentale, ouverte sur la terrasse, au lit king-size et au mur d'armoires à glace. On retrouve Jade devant les fourneaux en petit slip, en train de réchauffer une soupe au pistou.
— Alors Valérie, tu as visité la maison ? Tu sais où tu vas dormir ?
— Oui, la maison est superbe. Je partagerais bien ta chambre mais, ce soir je vais te laisser avec ton mari et pour éviter du remue-ménage, si tu veux, je vais dormir avec John . Demain, peut-être me feras-tu découvrir la tienne ?
— Je serai à côté de vous pour vous surveiller... et demain, j'aurai toute la journée pour te faire découvrir le confort de la mienne. Elle lui fait un bisou sur ses lèvres avant de crier : THÉO A TABLE !!!
On se retrouve tous les quatre autour de la table, juste habillés d'un slip, à bavarder des rencontres faites l'après-midi. On parle de plaisirs partagés, Théo asticote sa femme prise en sandwich par René et Moussa et elle lui reproche son amitié avec la plantureuse Monique. Dès le dîner terminé, je fais part de ma fatigue et mon envie de me coucher, Jade très compréhensive entraîne Théo dans leur chambre. Chaque couple se retire en laissant les portes ouvertes selon les habitudes et éteint les lumières.
Se retrouver avec Valérie, tous les deux, comme des amants me fait bizarre, éveille en moi des sentiments amoureux. Ai-je déjà été amoureux ? On s'allonge sagement l'un face à l'autre. On se regarde, je devine un léger tremblement de ses lèvres, on s'embrasse à peine, on se rapproche, nos jambes s'entrecroisent, notre baiser se prolonge, les langues se trouvent, comme elle, mon ventre s'anime sur sa cuisse, nos caresses sont moins anodines, elle en passant dans mon slip, moi en m'attardant sur sa poitrine, deux cônes de quelques centimètres aux tétons turgescents, rien à voir avec les nichons siliconés de Monique qui ont fait tant d'effet sur mon oncle, de vrais seins d'ado que je presse sans crainte en faisant se dresser les pointes.
— Ils te plaisent ? murmure-t-elle
— Oui ! Comment as-tu fait pour les avoir ainsi ? Que je grogne en la tétant
— Je prends des hormones, mais depuis quelques temps, ils n'évoluent plus, quant aux tétons, ce sont les mauvais traitements, pouffe-t-elle, comme les tiens, la pompe ou les pinces
— Des pinces !!! que je m'exclame de surprise
— Chutttt !... Et en parlant tout bas elle continue. Oui, c'est efficace, un peu douloureux à la pose, plus en les retirant. René adore que je les porte et c'est très excitant.... Tu devrais essayer, de la manière dont je te tripote, tu devrais aimer.
A ce moment là, tout s'enflamme, elle abaisse mon boxer et ses doigts glissent de la pointe vers le bas pour la décalotter alors que je lui mets la main aux fesses en écartant le slip brésilien. Elle me repousse juste le temps de retirer son slip et libérer son sexe de sa cachette, une sorte de poche dans l'entrejambe où la verge est plaquée au périnée, entre les cuisses.
— Waouh !... Quand tu bandes, ça ne te gêne pas ?
— Pas vraiment, mes coucougnettes ne prennent pas de place et ma quéquette n'est pas bien grosse, personne ne les remarque même en maillot. Une parfaite Sissy !, comme mon chéri dit.
A poil (si on peut dire quand on a une peau de bébé), plus de pudibonderie, elle allongée sur le dos, je la chevauche en 69. Elle me prend la queue à deux mains et me fait direct une gorge profonde tout en me massant les roubignoles.
J'ai sa queue sous les yeux bien raide, je suce le bourgeon et l'avale toute entière, c'est un sucre d'orge d'une dizaine de centimètres qui me taquine la glotte mais c'est son cul que je veux et je passe ses jambes sous mes aisselles. Les fesses d'une blancheur éclatante s'écartent sur un creux d'au moins cinq centimètres de diamètre au fond duquel palpite une rosace rouge sang, légèrement enflée, résultat des excès de l'après-midi (rappelons que je l'ai prise en double avec Monique "la copine aux beaux seins et bien membrée")
La position l'excite, elle gémit, son bassin s'agite, la pastille se contracte et se relâche. Mon nez dans la raie de ses fesses, je plaque ma bouche sur la cavité et arrive du bout de la langue à titiller les chairs gorgées de sang. Dans un gémissement de plaisir, l'anus se gonfle comme un bourgeon. J'entends « Oh oui, c'est bon, suce bien ! ». Je m'enfonce en elle, j'ai maintenant toute la rondelle sur mes lèvres, ma langue pointe dans ses chairs secrètes, la relation est tellement intense que j'ai l'impression d'un goût de sang mélangé à sa mouille.
Je n'en peux plus, cette salope me fout le feu au ventre. Je me relève pour lui faire l'amour mais au moment où je me place entre ses jambes, elle murmure
— Oh non !, gémit-elle. J'ai encore le ventre en compote... Mais moi je vais te prendre !, dit-t-elle très coquine. Tu vas voir comme je sais faire.
Elle renverse la situation, se retrouve sur moi, à son tour passe mes jambes sous mes bras sans faire cas de mes attributs masculins, c'est mon cul qu'elle veut !
— Ben mon cochon ! Tu ne peux plus te vanter de virginité !... Défoncée comme nous toutes ma chérie... Tu n'aimes pas les hommes me disais-tu, mais les hommes t'aime bien... Comme nous toutes !
Je suis assommé par ces mots, anéanti par cette déclaration, me comparer à elle ! A ses copines ! Putain être une enculée, un sac à foutre, je m'abandonne. Elle ne semble pas se rendre compte de l'effet produit, elle me fait une feuille de rose bien baveuse, joue avec ses doigts. C'est un doigt va et vient, qui coulisse dans un bain de salive. J'oublie ce qu'elle vient de dire, je réclame, élève mon bassin à sa rencontre, sans même me rendre compte qu'elle vient d'en glisser un second. Elle me donne une petite tape en jouant comme une gamine, en m'excitant comme une salope « T'es un gourmand toi !... C'est ça que tu veux ? » Ce sont trois doigts qui me fouillent sans précaution qui trouvent ma prostate, la titillent, l'excitent, me mettent en transe « Dis donc mon cochon ! Tu'n vas pas juter... Tiens prend ça » Quatre doigts s'enfoncent brutalement jusqu'à la jonction du pouce.
Les quatre doigts s'agitent dans la masse cotonneuse de mon rectum, puis sortent avant de revenir, le pouce dans la paume. C'est une lance qui se plante dans mon cul comme la fois avec la masseuse asiatique. Comme l'autre fois les doigts tournent sur eux même et creusent progressivement. Le travail commence, Valérie est appliquée, n'est pas pressée. Elle perce, pousse, relâche, je me concentre, je participe, je me donne, les doigts sortent, reviennent, l'anus se dilate, résiste, cède, la jonction des doigts passe, d'un coup, dans un râle, la main envahit la caverne, elle y est toute entière.
Valérie apprécie sa victoire et me laisse le temps de "digérer" le morceau. La main reste allongée, les doigts touchent le fond de mon ventre. Elle bouge à peine, se referme, commence à me pistonner. Mon esprit vagabonde, son bras se transforme en tronc, son poing en gland, les mouvements s'amplifient, s'accélèrent. La main s'allonge de nouveau, tente de sortir, renonce, se referme puis une nouvelle fois s'allonge, force, se libère de moi. Elle replonge immédiatement et recommence à me bourrer, puis ressort, entre et ressort. Mon anus a acquis toute la souplesse souhaitée.
Valérie me fiste avec beaucoup d'attention. J'ai sa quéquette qui pendouille au dessus de mes lèvres, de mes deux mains j'abaisse le postérieur pour avoir le petit bout sur mes lèvres, je le lèche, le taquine en le faisant se balancer, rapidement il reprend de la consistance. Je l'ai en bouche, le suçote, il se contracte, durcit. J'appuie sur les fesses, les genoux s'écartent au point que j'ai les couilles sur le nez. J'avale toute la baguette en provoquant un haut le cœur, ça devient de la folie, sans retenue elle me baise la bouche, va et vient, sort et rentre, elle s'abandonne et me lâche tout, je reçois d'abord un jet de sperme sur la gueule avant d'avaler toute sa semence, ce sont au moins trois éjaculations qui me nourrissent. Elle se vide dans ma bouche, ses couilles s'écrasent sur mon nez. Elle se relève, sort la main de mon ventre et me dit à haute voix :
— Mets-toi en levrette !
Je pense que mon oncle et ma tante suivent oralement notre gymnastique. Offert comme demandé, elle, sur ses talons face à mon postérieur, recommence à me fouiller les entrailles, entre et sort. A ma surprise, à un moment mon anus résiste. Elle reprend un peu maladroitement le forage, elle pousse, relâche, pousse plus fort et... la main retrouve sa place ! Elle bouge, poing fermé elle me baise comme avant puis ressort et replonge à l'identique. Enfin, elle murmure :
— Ouais ! Voilà ! Un vrai punching-ball ! J'te fiste de droite et de gauche.
Je n'en reviens pas, elle me démolit le cul ! Et le comble par le frottement incessant de la prostate je bande ! Son jeu dure un moment, putain ma bite est prise de convulsion, je gémis « Arrête, arrête ! » Bien au contraire, son poing se fait plus violent, l'autre main pleine de mouille masse mon gland, avant de me branler. Je vais me vider sur les draps. Je porte une main à ma queue pour éviter trop de dégâts.
Ma jouissance est violente, mon râle probablement éveille à nouveau l'attention de Jade et Théo. La main pleine de sperme je n'ai d'autres moyens que de la lécher tout en m'en mettant partout. Elle m'a lâché le cul, elle me presse les couilles, branle le manche pour récolter les dernières gouttes.
Je m'affale sur le drap souillé, elle s'allonge à mon côté, m'embrasse à pleine bouche, y trouve le goût de ma jouissance. Je me tourne sur le côté, elle contre mon ventre, le silence est troublé des murmures de la chambre voisine. Je tiens Valérie d'une main sur sa féminité, une autre sur sa masculinité, nous nous endormons emboîtés en cuiller.
Les deux femmes se sont mises à l'arrière de la voiture pour faire connaissance. Il est vrai qu'elles ne se sont pas beaucoup parlé durant la journée. Je les regarde dans le miroir de courtoisie, la jeune femme en maillot s'est blottie dans les bras de ma tante qui a remis sa robe. Les deux se parlent mais si bas que je ne comprends pas leur discussion, je ne peux suivre que le mouvement de leurs lèvres, voir leurs yeux pétillants de malice, entendre leurs rires. La coquine défait deux boutons de la robe, une main file sous le tissus, s'active, découvre totalement un sein, je ne vois plus ce qui se passe mais la robe s'ouvre entièrement, les deux femmes s'embrassent à pleine bouche quand j'entends un petit cri étouffé « Arrête ! ».
On arrive à la maison, ma tante descend de la voiture entièrement nue, la robe à la main et file à la cuisine en me me demandant de veiller à l'installation de notre hôte.
Dès que nous sommes seuls dans le séjour, Valie s'accroche à mon cou et m'embrasse amoureusement. Ses tétons sur ma poitrine, le balancement de son bidon sur mon ventre me font bander. Je commence à la bousculer mais la coquine, comme satisfaite de ma frustration, me repousse et me demande d'un air espiègle de lui faire voir sa chambre !
En réponse, je l'amène à la chambre d'amis avant de la conduire dans ma chambre qu'elle trouve beaucoup mieux. En rejoignant la cuisine elle jette un coup d’œil dans celle d'en face, la chambre parentale, ouverte sur la terrasse, au lit king-size et au mur d'armoires à glace. On retrouve Jade devant les fourneaux en petit slip, en train de réchauffer une soupe au pistou.
— Alors Valérie, tu as visité la maison ? Tu sais où tu vas dormir ?
— Oui, la maison est superbe. Je partagerais bien ta chambre mais, ce soir je vais te laisser avec ton mari et pour éviter du remue-ménage, si tu veux, je vais dormir avec John . Demain, peut-être me feras-tu découvrir la tienne ?
— Je serai à côté de vous pour vous surveiller... et demain, j'aurai toute la journée pour te faire découvrir le confort de la mienne. Elle lui fait un bisou sur ses lèvres avant de crier : THÉO A TABLE !!!
On se retrouve tous les quatre autour de la table, juste habillés d'un slip, à bavarder des rencontres faites l'après-midi. On parle de plaisirs partagés, Théo asticote sa femme prise en sandwich par René et Moussa et elle lui reproche son amitié avec la plantureuse Monique. Dès le dîner terminé, je fais part de ma fatigue et mon envie de me coucher, Jade très compréhensive entraîne Théo dans leur chambre. Chaque couple se retire en laissant les portes ouvertes selon les habitudes et éteint les lumières.
Se retrouver avec Valérie, tous les deux, comme des amants me fait bizarre, éveille en moi des sentiments amoureux. Ai-je déjà été amoureux ? On s'allonge sagement l'un face à l'autre. On se regarde, je devine un léger tremblement de ses lèvres, on s'embrasse à peine, on se rapproche, nos jambes s'entrecroisent, notre baiser se prolonge, les langues se trouvent, comme elle, mon ventre s'anime sur sa cuisse, nos caresses sont moins anodines, elle en passant dans mon slip, moi en m'attardant sur sa poitrine, deux cônes de quelques centimètres aux tétons turgescents, rien à voir avec les nichons siliconés de Monique qui ont fait tant d'effet sur mon oncle, de vrais seins d'ado que je presse sans crainte en faisant se dresser les pointes.
— Ils te plaisent ? murmure-t-elle
— Oui ! Comment as-tu fait pour les avoir ainsi ? Que je grogne en la tétant
— Je prends des hormones, mais depuis quelques temps, ils n'évoluent plus, quant aux tétons, ce sont les mauvais traitements, pouffe-t-elle, comme les tiens, la pompe ou les pinces
— Des pinces !!! que je m'exclame de surprise
— Chutttt !... Et en parlant tout bas elle continue. Oui, c'est efficace, un peu douloureux à la pose, plus en les retirant. René adore que je les porte et c'est très excitant.... Tu devrais essayer, de la manière dont je te tripote, tu devrais aimer.
A ce moment là, tout s'enflamme, elle abaisse mon boxer et ses doigts glissent de la pointe vers le bas pour la décalotter alors que je lui mets la main aux fesses en écartant le slip brésilien. Elle me repousse juste le temps de retirer son slip et libérer son sexe de sa cachette, une sorte de poche dans l'entrejambe où la verge est plaquée au périnée, entre les cuisses.
— Waouh !... Quand tu bandes, ça ne te gêne pas ?
— Pas vraiment, mes coucougnettes ne prennent pas de place et ma quéquette n'est pas bien grosse, personne ne les remarque même en maillot. Une parfaite Sissy !, comme mon chéri dit.
A poil (si on peut dire quand on a une peau de bébé), plus de pudibonderie, elle allongée sur le dos, je la chevauche en 69. Elle me prend la queue à deux mains et me fait direct une gorge profonde tout en me massant les roubignoles.
J'ai sa queue sous les yeux bien raide, je suce le bourgeon et l'avale toute entière, c'est un sucre d'orge d'une dizaine de centimètres qui me taquine la glotte mais c'est son cul que je veux et je passe ses jambes sous mes aisselles. Les fesses d'une blancheur éclatante s'écartent sur un creux d'au moins cinq centimètres de diamètre au fond duquel palpite une rosace rouge sang, légèrement enflée, résultat des excès de l'après-midi (rappelons que je l'ai prise en double avec Monique "la copine aux beaux seins et bien membrée")
La position l'excite, elle gémit, son bassin s'agite, la pastille se contracte et se relâche. Mon nez dans la raie de ses fesses, je plaque ma bouche sur la cavité et arrive du bout de la langue à titiller les chairs gorgées de sang. Dans un gémissement de plaisir, l'anus se gonfle comme un bourgeon. J'entends « Oh oui, c'est bon, suce bien ! ». Je m'enfonce en elle, j'ai maintenant toute la rondelle sur mes lèvres, ma langue pointe dans ses chairs secrètes, la relation est tellement intense que j'ai l'impression d'un goût de sang mélangé à sa mouille.
Je n'en peux plus, cette salope me fout le feu au ventre. Je me relève pour lui faire l'amour mais au moment où je me place entre ses jambes, elle murmure
— Oh non !, gémit-elle. J'ai encore le ventre en compote... Mais moi je vais te prendre !, dit-t-elle très coquine. Tu vas voir comme je sais faire.
Elle renverse la situation, se retrouve sur moi, à son tour passe mes jambes sous mes bras sans faire cas de mes attributs masculins, c'est mon cul qu'elle veut !
— Ben mon cochon ! Tu ne peux plus te vanter de virginité !... Défoncée comme nous toutes ma chérie... Tu n'aimes pas les hommes me disais-tu, mais les hommes t'aime bien... Comme nous toutes !
Je suis assommé par ces mots, anéanti par cette déclaration, me comparer à elle ! A ses copines ! Putain être une enculée, un sac à foutre, je m'abandonne. Elle ne semble pas se rendre compte de l'effet produit, elle me fait une feuille de rose bien baveuse, joue avec ses doigts. C'est un doigt va et vient, qui coulisse dans un bain de salive. J'oublie ce qu'elle vient de dire, je réclame, élève mon bassin à sa rencontre, sans même me rendre compte qu'elle vient d'en glisser un second. Elle me donne une petite tape en jouant comme une gamine, en m'excitant comme une salope « T'es un gourmand toi !... C'est ça que tu veux ? » Ce sont trois doigts qui me fouillent sans précaution qui trouvent ma prostate, la titillent, l'excitent, me mettent en transe « Dis donc mon cochon ! Tu'n vas pas juter... Tiens prend ça » Quatre doigts s'enfoncent brutalement jusqu'à la jonction du pouce.
Les quatre doigts s'agitent dans la masse cotonneuse de mon rectum, puis sortent avant de revenir, le pouce dans la paume. C'est une lance qui se plante dans mon cul comme la fois avec la masseuse asiatique. Comme l'autre fois les doigts tournent sur eux même et creusent progressivement. Le travail commence, Valérie est appliquée, n'est pas pressée. Elle perce, pousse, relâche, je me concentre, je participe, je me donne, les doigts sortent, reviennent, l'anus se dilate, résiste, cède, la jonction des doigts passe, d'un coup, dans un râle, la main envahit la caverne, elle y est toute entière.
Valérie apprécie sa victoire et me laisse le temps de "digérer" le morceau. La main reste allongée, les doigts touchent le fond de mon ventre. Elle bouge à peine, se referme, commence à me pistonner. Mon esprit vagabonde, son bras se transforme en tronc, son poing en gland, les mouvements s'amplifient, s'accélèrent. La main s'allonge de nouveau, tente de sortir, renonce, se referme puis une nouvelle fois s'allonge, force, se libère de moi. Elle replonge immédiatement et recommence à me bourrer, puis ressort, entre et ressort. Mon anus a acquis toute la souplesse souhaitée.
Valérie me fiste avec beaucoup d'attention. J'ai sa quéquette qui pendouille au dessus de mes lèvres, de mes deux mains j'abaisse le postérieur pour avoir le petit bout sur mes lèvres, je le lèche, le taquine en le faisant se balancer, rapidement il reprend de la consistance. Je l'ai en bouche, le suçote, il se contracte, durcit. J'appuie sur les fesses, les genoux s'écartent au point que j'ai les couilles sur le nez. J'avale toute la baguette en provoquant un haut le cœur, ça devient de la folie, sans retenue elle me baise la bouche, va et vient, sort et rentre, elle s'abandonne et me lâche tout, je reçois d'abord un jet de sperme sur la gueule avant d'avaler toute sa semence, ce sont au moins trois éjaculations qui me nourrissent. Elle se vide dans ma bouche, ses couilles s'écrasent sur mon nez. Elle se relève, sort la main de mon ventre et me dit à haute voix :
— Mets-toi en levrette !
Je pense que mon oncle et ma tante suivent oralement notre gymnastique. Offert comme demandé, elle, sur ses talons face à mon postérieur, recommence à me fouiller les entrailles, entre et sort. A ma surprise, à un moment mon anus résiste. Elle reprend un peu maladroitement le forage, elle pousse, relâche, pousse plus fort et... la main retrouve sa place ! Elle bouge, poing fermé elle me baise comme avant puis ressort et replonge à l'identique. Enfin, elle murmure :
— Ouais ! Voilà ! Un vrai punching-ball ! J'te fiste de droite et de gauche.
Je n'en reviens pas, elle me démolit le cul ! Et le comble par le frottement incessant de la prostate je bande ! Son jeu dure un moment, putain ma bite est prise de convulsion, je gémis « Arrête, arrête ! » Bien au contraire, son poing se fait plus violent, l'autre main pleine de mouille masse mon gland, avant de me branler. Je vais me vider sur les draps. Je porte une main à ma queue pour éviter trop de dégâts.
Ma jouissance est violente, mon râle probablement éveille à nouveau l'attention de Jade et Théo. La main pleine de sperme je n'ai d'autres moyens que de la lécher tout en m'en mettant partout. Elle m'a lâché le cul, elle me presse les couilles, branle le manche pour récolter les dernières gouttes.
Je m'affale sur le drap souillé, elle s'allonge à mon côté, m'embrasse à pleine bouche, y trouve le goût de ma jouissance. Je me tourne sur le côté, elle contre mon ventre, le silence est troublé des murmures de la chambre voisine. Je tiens Valérie d'une main sur sa féminité, une autre sur sa masculinité, nous nous endormons emboîtés en cuiller.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Bien vu @olga
Effectivement John chemine sur une ligne de crête où va-t-elle le conduire ? La quitter nécessite volonté, la suivre, le conduire à l'inévitable.
Effectivement John chemine sur une ligne de crête où va-t-elle le conduire ? La quitter nécessite volonté, la suivre, le conduire à l'inévitable.
Un texte très chaud! John poursuit son parcours, pour son plaisir et celui des lecteurs