Rencontre du 3ème sexe Chapitre 4 - Au féminin
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rencontre du 3ème sexe Chapitre 4 - Au féminin
Je me réveille avec Valérie dans les bras, une jeune femme au clito semblable à un pénis d'enfant, une hermaphrodite qui me provoque une violente érection. On se retrouve, on s'embrasse amoureusement et on se fait un 69 pour se libérer de nos tensions et qu'elle redevienne femme. Après une douche très coquine on passe boxer ou slip de bain et nous rejoignons ma tante sur la terrasse.
— Bonjour mes chéris ! Jade me fait un bisou du bout des lèvres et embrasse longuement notre invitée ce qui éveille en moi un sentiment de frustration, de jalousie : Valie, ma chérie pour ton petit déjeuner, je t'ai préparé une salade de pêche, un yaourt, des croissants … veux-tu thé, café ?
— Merci Jade, un café ça sera parfait
— John, comme d'habitude ? Ombrageux, je réponds d'un signe de tête avant qu'elle n'ajoute : Installez-vous, je reviens.
Durant le repas il n'y en a que pour "Valie" ce qui ne fait qu'amplifier mon mécontentement et après le petit déjeuner, les deux femmes se mettent sur la balancelle et me laisse à l'écart sur une chaise longue.
Tout de suite se sont des embrassades, des câlins, des mains dans les cheveux, des caresses anodines sur les joues, des bisous dans le cou, aux murmures répondent des rires étouffés. Ce n'est que tendresse puis les baisers sont plus appuyés, les caresses plus coquines. C'est Valérie qui ouvre la blouse de Jade et sous le tissus caresse la poitrine, c'est elle encore qui provoque ma tante en s'appuyant contre elle. Jade se laisse aller tout en tripotant avec plaisir le téton mi-homme, mi-femme. Ce sont à nouveau des murmures étouffés par des baisers. Chacune pelote à présent ouvertement le nichon de l'autre et c'est Jade qui déboutonne complètement sa blouse s'offrant sans retenue à la jeune fille, la douceur fait place à la fougue, les mains se font brutales, descendent sur les pubis.
Valérie toujours en slip, s'empare du sexe nu de ma tante tandis qu'elle se limite à la partie dénudée du pubis sans précipiter les choses. L'intensité de la relation ne cesse d'augmenter, les feulements remplacent les miaulements, les cris les gémissements. Valérie demande d'aller dans la chambre et quand Jade la prend par la main, elle me fait signe de les suivre.
Craignant d'être exclu de leurs amours, je me fais discret en m'asseyant sur le canapé face au lit et aux glaces qui couvrent le mur, ce qui me donne une vue recto-verso du couple. Sans se préoccuper de moi les deux femmes se couchent et reprennent leurs câlineries, plus intimes que sur la balancelle. Valérie butine la poitrine maternelle, suce les tétons. Jade caresse délicatement la jeune fille toujours sans oser toucher les parties cachées, bien au contraire de celle-ci qui fouille sans pudeur l'entrejambe de ma tante largement offert.
La gourmande profite de la situation pour sucer la friandise avec force gémissements et effusions avant de s'imbriquer entre les jambes de Jade. Les deux femmes en sens opposé se collent au plus prés, se tiennent par les mains, sexe contre sexe et ondulent l'une sur l'autre, très lentement d'abord comme pour se fondre puis plus rapidement. J'imagine le sexe de Valérie écrasé entre son périnée et la vulve de ma tante, puis les bassins vont d'avant en arrière. Elles râlent, leurs visages se crispent, j'entends quelques mots incompréhensibles…
Brutalement elles bougent, Valérie écarte son slip, et dégage la baguette bien raide qui s'y cachait, une bite d'une douzaine de centimètres. Les deux filles s'emboîtent de nouveau et font l'amour !... Valie est rapidement prise de spasmes continus avant de donner de petits coups de bassin de plus en plus espacés. Seuls sa respiration et ses contractions expriment sa jouissance,
Les deux s'immobilisent, rigolent quand Jade se sépare. La bistouquette toute molle baignée de sperme est redevenue de la taille d'un doigt. Tout en gardant les jambes entrecroisées ma tante s'étire jusqu'à atteindre la table de chevet et y prendre deux sex-toys : le gode-ceinture que je connais bien et un double-dong de presque de 50 centimètres.
La jeune femme ravie, prend le double gode et s'enfile plus de la moitié entre les fesses avant de se repositionner entre les cuisses de Jade qui prend à son tour l'autre partie comme un phallus et se plante le truc dans les fesses avant de s'accoler à Valérie
Les mains se tirent à nouveau l'une à l'autre, les fesses se collent et la danse du ventre reprend... Les Oui ! Oui ! Oui !... Les Ah ! Ah ! Ah !... suivent le rythme des ondulations. On entend un bruissement humide de plus en plus prononcé. On imagine les fesses, se couvrir, baigner de mouille tout en glissant l'une sur l'autre. Jade perd toute retenue en criant :
— Oui, oui comme ça ! Plus fort ! Oh, ouais Viens ! Viens ! … Valie branle-moi !
Jade fait un 180° acrobatique au dessus de la jeune femme tout en restant emmanchée sur le dong. Couchée sur elle, cuisses écartées, elle s'arqueboute sur ses pieds, la tête en arrière, les bras relevés, le dos cambré elle s'offre sans retenue. Valérie la prend aux seins et au ventre tout en la forniquant. Elle lui palpe les seins, joue avec les tétons, les roule, les tire, l'autre main couvre le ventre, les doigts disparaissent entre les cuisses, s'agitent frénétiquement et produisent un chuintement de mouille battue. Rapidement Jade fait de petits sauts de carpe sous une main qui va-et vient de plus en plus vite. J'entends juste « Plus fort, plus profond » et vois Jade tirer le bras pour l'allonger, pour mieux placer le poignet qui finalement se casse en deux dans un long soupire de plaisir
La coquine se fait fister et broyer les nichons tout en se défonçant le cul sur l'olisbos. Ses coups de reins et ses gémissements guident Valérie qui la tient solidement contre elle. Je revois la main sur le ventre et les doigts s'agiter. Malgré les soubresauts, les plaintes, rien y fait et Valérie anéantit Jade en une succession d'orgasmes. Le calme revient, les mains s'apaisent. Jade repose de tout son poids sur la fragile Valérie qui se dégage de côté.
En nage, elles reprennent vie en se cajolant, en s'embrassant. Longtemps après Jade demande :
— Ma chérie, veux-tu me parler de toi, de ta transformation ?, tu es tellement femme à présent...
Valérie sourit dans les bras de Jade qui la butine et la couvre de bisous :
— Comment je suis devenue femme ?
Mes parents voulaient une fille alors il m'ont donné un prénom androgyne et m'ont coiffé, éduqué comme une fille, habillé unisexe. Je m'habituais à écouter « Oh ! Comme elle est jolie ». A l'école je préférais jouer à la marelle qu'au ballon, les garçons se moquaient de moi, je m'éloignais d'eux.
On fréquentait les plages naturistes, je remarquais que je n'étais pas comme les autres, je restais gringalet et mon robinet restait petit, en plus j'étais plus intéressé par les zizis que les abricots fendus. Ainsi dès mon adolescence un homme m'a dépucelé, je suis devenue femme. Les rencontres sans lendemain se sont multipliées jusqu'à mes 18 ans.
Lors d'une exposition de peinture j'ai rencontré Jack, un homme d'une quarantaine d'année, nous sommes sortis plusieurs fois au cinéma, au restaurant et nous sommes devenus amants. Nous nous rencontrions à l'hôtel jusqu'où un jour il m'a amené chez lui et sa femme, Josiane, nous a surpris. Elle m'a battue violemment et m'a demandée de revenir. A chaque fois elle me corrigeait et on faisait l'amour à deux puis à trois.
Ils m'ont invitée à m'installer chez eux contre de menus services, j'étais amant et dame de compagnie. Elle me gâtais et je l'accompagnais habillée en fille.Elle modifia mon physique à coup d'hormones et mon mental par les nuits d'amour. Nous formions un ménage à trois. Le sexe était au centre de notre vie, les soirées d'orgie se multipliaient. J'étais leur servante, leur soumise, ils me fouettaient régulièrement pour leur plaisir ou me punir, ils prêtaient à leurs amis. J'ai partagé leur vie pendant plusieurs années, un jour un de leurs amis m'a pris chez lui.
— Puis j'ai rencontré René, nous vivons depuis deux ans pleinement notre liberté ! Aujourd'hui, je me sens femme bisexuelle.
Sa confession est émouvante tant pour moi sur mon canapé que pour Jade qui la tient dans ses bras. On reste muet, Jade l'embrasse tendrement.
— Ton histoire est extraordinaire, Josiane a fait de toi une femme superbe, unique avec ''un petit quelque chose en plus''
— C'est vrai je me sens femme... jusqu'au bout des seins comme chante Sardou, seul mon appendice me rappelle mon état de naissance....Hum ! Dis-moi ton gode-ceinture est impressionnant, un beau black !
— Tu veux qu'on joue ensemble ?
— Ouais !... Tu dis que je suis femme alors prouve-le moi !
Valérie allongée sur le dos regarde Jade s'équiper de la ceinture, se placer entre ses jambes. Ma tante admire la jeune femme, se penche sur elle, l'embrasse du bout des lèvres, couvre ses seins de bisous, lui fait bomber fièrement le torse, titille le nombril de la langue, dépose un baiser sur la pointe du clito. Elle lui prend les chevilles, les repousse au niveau des hanches, pousse encore et oblige la fille à décoller le bassin, le basculer vers le haut en découvrant son puits d'amour, un creux d'au moins cinq centimètres de diamètre et profond que la langue doit s'extirper de la bouche pour lécher la pastille. Telle une truie, le museau fouille l'entrejambe en faisant gémir la jeune fille. Enfin Jade se relève la face pleine de salive du nez au menton avec un filet de bave à la bouche. Valérie s'offre totalement avec les genoux dans le creux des aisselles, Jade pointe le gode sur l'anus et avec beaucoup de précaution le pousse.
Le truc est presque aussi gros qu'une balle de tennis, il s'enfonce millimètre par millimètre, les chairs se dilatent, Jade laisse le temps au temps sans faiblir. Un soupir suffit à lui faire comprendre que la partie est gagné, effectivement maintenant le morceau de latex glisse centimètre par centimètre. La moitié de gode est avalé quand Jade en appui sur ses bras commence à la besogner, à chaque coup c'est un centimètre supplémentaire qui disparaît. Le ventre est presque en contact avec les fesses quand la fille demande d'arrêter.
Jade limite la course de l'engin qui se couvre de mouille quand Valérie en poussant un cri donne un coup de reins et s'enfile presque entièrement le phallus. Les deux s'accordent, Jade gagne le dernier centimètre et s'écrase sur le bassin de la fille, les couilles de caoutchouc s'impriment dans les fesses. Puis ma tante se redresse, se met à genoux et taquine la bistouquette, se mouille les doigts, excite le gland, recommence, de trois doigts elle astique la tige qui grossit, se redresse, le pénis s'allonge. Elle branle le manche tout en tripotant les roubignoles puis lâche le tout et recommence à la sodomiser. La relation amoureuse est plein de douceur, de tendresse, La jeune fille se met en mouvement, avance sur le chemin de l'orgasme, sans se toucher seulement par le frottement du gode sur la prostate. Un cri, une lamentation mettent fin à la course, le sperme s'échappe à nouveau de la petite bouche, coule dans le plis du nombril. Jade laisse la fille se récupérer et se retire d'entre les fesses entraînant avec elle un flot de glaires qui s'étale sur le lit.
Ma tante se libère de sa ceinture, puis gourmande elle lèche et avale la semence sur le ventre de Valérie avant d'essuyer au mieux les dégâts de leur union. A quatre pattes la position est trop tentante pour la jeune femme qui en une minute s'équipe de la ceinture, donne une tape sur la croupe et fait une superbe feuille de rose au beau cul offert avant de positionner la tête du gode.
— Oh coquine !!! Crie-t-elle de surprise tout en s'offrant à l'assaut.
Ma tante a le cul relevé et la tête posée dans l'oreiller entre ses bras croisés. Valérie la prend par la taille, elle pousse le gode fermement, l'anneau habitué à l'objet n'offre pas beaucoup de résistance Aussitôt avalé, Valérie commence à labourer le ventre.
L'accouplement est tout autre, la tendresse fait place à la sauvagerie. Sous les coups de bélier, la femelle peste d'une voix grave « Ouais, prends-moi, défonce-moi ! », je vois ses mamelles se balancer sur le drap. Valérie bien droite sur ses genoux la besogne un moment à grands coups de reins et de ''Han ! Han ! » avant de se coucher sur le dos, bien calée dans les entrailles et d'empoigner les nichons. Elle les lui malaxe et à nouveau ce sont des plaintes « Ouais, plus fort ! » Avec rage, elle prend les tétines, les tire, les broie, y plante ses ongles, dans un cri plaintif.
Valérie à genoux se relève, la furie s'empare d'elle. Le coït est violent, aux "Han ! Han !" répondent les "Oui ! Oui !", les corps se séparent pour mieux se rencontrer comme dans un combat jusqu'à ce que la fatigue l'emporte. Jade s'écroule sur le ventre et se libère du gode luisant de mouille. Valérie hors d'haleine roule sur le dos avec l'olisbos dressé sur son ventre, les deux se retrouvent épaule contre épaule. Jade la tête plongée dans la chevelure de Valérie semble pleurer en murmurant je n'entends que ''...C'était bon...''
Je ne suis plus là, je n'ai jamais été là, sauf qu'à mes pieds s'étale une grande tâche de sperme, je n'ai cessé de me caresser, de me lubrifier le dard de salive, de me branler durant tout le spectacle, en jouissant deux fois de suite, Je n'ai jamais vu ma tante dans une telle furie. Je quitte la chambre sans bruit et vais me reposer sur la terrasse.
— Bonjour mes chéris ! Jade me fait un bisou du bout des lèvres et embrasse longuement notre invitée ce qui éveille en moi un sentiment de frustration, de jalousie : Valie, ma chérie pour ton petit déjeuner, je t'ai préparé une salade de pêche, un yaourt, des croissants … veux-tu thé, café ?
— Merci Jade, un café ça sera parfait
— John, comme d'habitude ? Ombrageux, je réponds d'un signe de tête avant qu'elle n'ajoute : Installez-vous, je reviens.
Durant le repas il n'y en a que pour "Valie" ce qui ne fait qu'amplifier mon mécontentement et après le petit déjeuner, les deux femmes se mettent sur la balancelle et me laisse à l'écart sur une chaise longue.
Tout de suite se sont des embrassades, des câlins, des mains dans les cheveux, des caresses anodines sur les joues, des bisous dans le cou, aux murmures répondent des rires étouffés. Ce n'est que tendresse puis les baisers sont plus appuyés, les caresses plus coquines. C'est Valérie qui ouvre la blouse de Jade et sous le tissus caresse la poitrine, c'est elle encore qui provoque ma tante en s'appuyant contre elle. Jade se laisse aller tout en tripotant avec plaisir le téton mi-homme, mi-femme. Ce sont à nouveau des murmures étouffés par des baisers. Chacune pelote à présent ouvertement le nichon de l'autre et c'est Jade qui déboutonne complètement sa blouse s'offrant sans retenue à la jeune fille, la douceur fait place à la fougue, les mains se font brutales, descendent sur les pubis.
Valérie toujours en slip, s'empare du sexe nu de ma tante tandis qu'elle se limite à la partie dénudée du pubis sans précipiter les choses. L'intensité de la relation ne cesse d'augmenter, les feulements remplacent les miaulements, les cris les gémissements. Valérie demande d'aller dans la chambre et quand Jade la prend par la main, elle me fait signe de les suivre.
Craignant d'être exclu de leurs amours, je me fais discret en m'asseyant sur le canapé face au lit et aux glaces qui couvrent le mur, ce qui me donne une vue recto-verso du couple. Sans se préoccuper de moi les deux femmes se couchent et reprennent leurs câlineries, plus intimes que sur la balancelle. Valérie butine la poitrine maternelle, suce les tétons. Jade caresse délicatement la jeune fille toujours sans oser toucher les parties cachées, bien au contraire de celle-ci qui fouille sans pudeur l'entrejambe de ma tante largement offert.
La gourmande profite de la situation pour sucer la friandise avec force gémissements et effusions avant de s'imbriquer entre les jambes de Jade. Les deux femmes en sens opposé se collent au plus prés, se tiennent par les mains, sexe contre sexe et ondulent l'une sur l'autre, très lentement d'abord comme pour se fondre puis plus rapidement. J'imagine le sexe de Valérie écrasé entre son périnée et la vulve de ma tante, puis les bassins vont d'avant en arrière. Elles râlent, leurs visages se crispent, j'entends quelques mots incompréhensibles…
Brutalement elles bougent, Valérie écarte son slip, et dégage la baguette bien raide qui s'y cachait, une bite d'une douzaine de centimètres. Les deux filles s'emboîtent de nouveau et font l'amour !... Valie est rapidement prise de spasmes continus avant de donner de petits coups de bassin de plus en plus espacés. Seuls sa respiration et ses contractions expriment sa jouissance,
Les deux s'immobilisent, rigolent quand Jade se sépare. La bistouquette toute molle baignée de sperme est redevenue de la taille d'un doigt. Tout en gardant les jambes entrecroisées ma tante s'étire jusqu'à atteindre la table de chevet et y prendre deux sex-toys : le gode-ceinture que je connais bien et un double-dong de presque de 50 centimètres.
La jeune femme ravie, prend le double gode et s'enfile plus de la moitié entre les fesses avant de se repositionner entre les cuisses de Jade qui prend à son tour l'autre partie comme un phallus et se plante le truc dans les fesses avant de s'accoler à Valérie
Les mains se tirent à nouveau l'une à l'autre, les fesses se collent et la danse du ventre reprend... Les Oui ! Oui ! Oui !... Les Ah ! Ah ! Ah !... suivent le rythme des ondulations. On entend un bruissement humide de plus en plus prononcé. On imagine les fesses, se couvrir, baigner de mouille tout en glissant l'une sur l'autre. Jade perd toute retenue en criant :
— Oui, oui comme ça ! Plus fort ! Oh, ouais Viens ! Viens ! … Valie branle-moi !
Jade fait un 180° acrobatique au dessus de la jeune femme tout en restant emmanchée sur le dong. Couchée sur elle, cuisses écartées, elle s'arqueboute sur ses pieds, la tête en arrière, les bras relevés, le dos cambré elle s'offre sans retenue. Valérie la prend aux seins et au ventre tout en la forniquant. Elle lui palpe les seins, joue avec les tétons, les roule, les tire, l'autre main couvre le ventre, les doigts disparaissent entre les cuisses, s'agitent frénétiquement et produisent un chuintement de mouille battue. Rapidement Jade fait de petits sauts de carpe sous une main qui va-et vient de plus en plus vite. J'entends juste « Plus fort, plus profond » et vois Jade tirer le bras pour l'allonger, pour mieux placer le poignet qui finalement se casse en deux dans un long soupire de plaisir
La coquine se fait fister et broyer les nichons tout en se défonçant le cul sur l'olisbos. Ses coups de reins et ses gémissements guident Valérie qui la tient solidement contre elle. Je revois la main sur le ventre et les doigts s'agiter. Malgré les soubresauts, les plaintes, rien y fait et Valérie anéantit Jade en une succession d'orgasmes. Le calme revient, les mains s'apaisent. Jade repose de tout son poids sur la fragile Valérie qui se dégage de côté.
En nage, elles reprennent vie en se cajolant, en s'embrassant. Longtemps après Jade demande :
— Ma chérie, veux-tu me parler de toi, de ta transformation ?, tu es tellement femme à présent...
Valérie sourit dans les bras de Jade qui la butine et la couvre de bisous :
— Comment je suis devenue femme ?
Mes parents voulaient une fille alors il m'ont donné un prénom androgyne et m'ont coiffé, éduqué comme une fille, habillé unisexe. Je m'habituais à écouter « Oh ! Comme elle est jolie ». A l'école je préférais jouer à la marelle qu'au ballon, les garçons se moquaient de moi, je m'éloignais d'eux.
On fréquentait les plages naturistes, je remarquais que je n'étais pas comme les autres, je restais gringalet et mon robinet restait petit, en plus j'étais plus intéressé par les zizis que les abricots fendus. Ainsi dès mon adolescence un homme m'a dépucelé, je suis devenue femme. Les rencontres sans lendemain se sont multipliées jusqu'à mes 18 ans.
Lors d'une exposition de peinture j'ai rencontré Jack, un homme d'une quarantaine d'année, nous sommes sortis plusieurs fois au cinéma, au restaurant et nous sommes devenus amants. Nous nous rencontrions à l'hôtel jusqu'où un jour il m'a amené chez lui et sa femme, Josiane, nous a surpris. Elle m'a battue violemment et m'a demandée de revenir. A chaque fois elle me corrigeait et on faisait l'amour à deux puis à trois.
Ils m'ont invitée à m'installer chez eux contre de menus services, j'étais amant et dame de compagnie. Elle me gâtais et je l'accompagnais habillée en fille.Elle modifia mon physique à coup d'hormones et mon mental par les nuits d'amour. Nous formions un ménage à trois. Le sexe était au centre de notre vie, les soirées d'orgie se multipliaient. J'étais leur servante, leur soumise, ils me fouettaient régulièrement pour leur plaisir ou me punir, ils prêtaient à leurs amis. J'ai partagé leur vie pendant plusieurs années, un jour un de leurs amis m'a pris chez lui.
— Puis j'ai rencontré René, nous vivons depuis deux ans pleinement notre liberté ! Aujourd'hui, je me sens femme bisexuelle.
Sa confession est émouvante tant pour moi sur mon canapé que pour Jade qui la tient dans ses bras. On reste muet, Jade l'embrasse tendrement.
— Ton histoire est extraordinaire, Josiane a fait de toi une femme superbe, unique avec ''un petit quelque chose en plus''
— C'est vrai je me sens femme... jusqu'au bout des seins comme chante Sardou, seul mon appendice me rappelle mon état de naissance....Hum ! Dis-moi ton gode-ceinture est impressionnant, un beau black !
— Tu veux qu'on joue ensemble ?
— Ouais !... Tu dis que je suis femme alors prouve-le moi !
Valérie allongée sur le dos regarde Jade s'équiper de la ceinture, se placer entre ses jambes. Ma tante admire la jeune femme, se penche sur elle, l'embrasse du bout des lèvres, couvre ses seins de bisous, lui fait bomber fièrement le torse, titille le nombril de la langue, dépose un baiser sur la pointe du clito. Elle lui prend les chevilles, les repousse au niveau des hanches, pousse encore et oblige la fille à décoller le bassin, le basculer vers le haut en découvrant son puits d'amour, un creux d'au moins cinq centimètres de diamètre et profond que la langue doit s'extirper de la bouche pour lécher la pastille. Telle une truie, le museau fouille l'entrejambe en faisant gémir la jeune fille. Enfin Jade se relève la face pleine de salive du nez au menton avec un filet de bave à la bouche. Valérie s'offre totalement avec les genoux dans le creux des aisselles, Jade pointe le gode sur l'anus et avec beaucoup de précaution le pousse.
Le truc est presque aussi gros qu'une balle de tennis, il s'enfonce millimètre par millimètre, les chairs se dilatent, Jade laisse le temps au temps sans faiblir. Un soupir suffit à lui faire comprendre que la partie est gagné, effectivement maintenant le morceau de latex glisse centimètre par centimètre. La moitié de gode est avalé quand Jade en appui sur ses bras commence à la besogner, à chaque coup c'est un centimètre supplémentaire qui disparaît. Le ventre est presque en contact avec les fesses quand la fille demande d'arrêter.
Jade limite la course de l'engin qui se couvre de mouille quand Valérie en poussant un cri donne un coup de reins et s'enfile presque entièrement le phallus. Les deux s'accordent, Jade gagne le dernier centimètre et s'écrase sur le bassin de la fille, les couilles de caoutchouc s'impriment dans les fesses. Puis ma tante se redresse, se met à genoux et taquine la bistouquette, se mouille les doigts, excite le gland, recommence, de trois doigts elle astique la tige qui grossit, se redresse, le pénis s'allonge. Elle branle le manche tout en tripotant les roubignoles puis lâche le tout et recommence à la sodomiser. La relation amoureuse est plein de douceur, de tendresse, La jeune fille se met en mouvement, avance sur le chemin de l'orgasme, sans se toucher seulement par le frottement du gode sur la prostate. Un cri, une lamentation mettent fin à la course, le sperme s'échappe à nouveau de la petite bouche, coule dans le plis du nombril. Jade laisse la fille se récupérer et se retire d'entre les fesses entraînant avec elle un flot de glaires qui s'étale sur le lit.
Ma tante se libère de sa ceinture, puis gourmande elle lèche et avale la semence sur le ventre de Valérie avant d'essuyer au mieux les dégâts de leur union. A quatre pattes la position est trop tentante pour la jeune femme qui en une minute s'équipe de la ceinture, donne une tape sur la croupe et fait une superbe feuille de rose au beau cul offert avant de positionner la tête du gode.
— Oh coquine !!! Crie-t-elle de surprise tout en s'offrant à l'assaut.
Ma tante a le cul relevé et la tête posée dans l'oreiller entre ses bras croisés. Valérie la prend par la taille, elle pousse le gode fermement, l'anneau habitué à l'objet n'offre pas beaucoup de résistance Aussitôt avalé, Valérie commence à labourer le ventre.
L'accouplement est tout autre, la tendresse fait place à la sauvagerie. Sous les coups de bélier, la femelle peste d'une voix grave « Ouais, prends-moi, défonce-moi ! », je vois ses mamelles se balancer sur le drap. Valérie bien droite sur ses genoux la besogne un moment à grands coups de reins et de ''Han ! Han ! » avant de se coucher sur le dos, bien calée dans les entrailles et d'empoigner les nichons. Elle les lui malaxe et à nouveau ce sont des plaintes « Ouais, plus fort ! » Avec rage, elle prend les tétines, les tire, les broie, y plante ses ongles, dans un cri plaintif.
Valérie à genoux se relève, la furie s'empare d'elle. Le coït est violent, aux "Han ! Han !" répondent les "Oui ! Oui !", les corps se séparent pour mieux se rencontrer comme dans un combat jusqu'à ce que la fatigue l'emporte. Jade s'écroule sur le ventre et se libère du gode luisant de mouille. Valérie hors d'haleine roule sur le dos avec l'olisbos dressé sur son ventre, les deux se retrouvent épaule contre épaule. Jade la tête plongée dans la chevelure de Valérie semble pleurer en murmurant je n'entends que ''...C'était bon...''
Je ne suis plus là, je n'ai jamais été là, sauf qu'à mes pieds s'étale une grande tâche de sperme, je n'ai cessé de me caresser, de me lubrifier le dard de salive, de me branler durant tout le spectacle, en jouissant deux fois de suite, Je n'ai jamais vu ma tante dans une telle furie. Je quitte la chambre sans bruit et vais me reposer sur la terrasse.
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Les avis des lecteurs
Oui oui @olga
D'autant plus sa tante, son éducatrice
D'autant plus sa tante, son éducatrice
John ne pouvait résister à ce spectacle torride, on le comprend!