Rencontre du 3ème sexe Chapitre 5 - En couple
Récit érotique écrit par John62 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rencontre du 3ème sexe Chapitre 5 - En couple
(John se repose sur la terrasse, après avoir assisté aux amours de sa tante Jade avec leur jeune invitée Valérie qui a ''un petit quelque chose en plus entre les jambes''. Le soleil est au zénith, les cigales chantent à être assourdissantes.)
Depuis presque deux heures je lis à l'ombre du store. Je jette de temps en temps un coup d’œil par la porte fenêtre de la chambre et enfin je vois Jade et Valérie bouger. Elles se câlinent, s'embrassent tendrement, rien à voir avec leur relation amoureuse d'avant. Rapidement de nouveau elles m'énervent et je file sous la douche pour retrouver un certain calme avant de préparer le déjeuner. Mes talents culinaires se limitent aux salades .
Une petite heure plus tard la table est mise dans le jardin, une énorme salade niçoise est servie. J'ai juste revêtu un tee-shirt si ample qu'il ressemble à une chemise de nuit, je retourne dans la chambre où je retrouve les deux femmes en train de se bécoter, collées l'une à l'autre. Arrivé sans bruit je m'amuse à les voir sursauter en clamant
- Bonjour les amoureuses !
- Ouuups... Bonjour toi ! Répondent-elles en chœur tout en se détachant l'une de l'autre.
- Bien dormi ?
- Mmmmm... Comme des aaanges mon chéri !, répond ma tante en s'étirant et me tendant la main. Son corps en extension est magnifique
Je me rapproche d'elles et comme deux gamines hystériques, elles me tirent et me prennent entre elles deux. Elles me taquinent, les mains passent sous mon tee-shirt et me déshabillent, elles m'embrassent, me caressent sans limite. Tout de suite je bande comme un âne et je tante de calmer le jeu en les invitant à déjeuner.
- Je vous ai préparé une salade niçoise et une salade de pêche, je suis chef étoilé de la salade
- C'est d'amour qu'on a faim, c'est de toi qu'on a soif.
Ma tante m'embrasse à pleine bouche alors que Valérie me suce, je ne peux m'empêcher de prendre l'une par le cou et de poser ma main sur la tête de l'autre. Les garces font tant et si bien quand moins de cinq minutes je rends les armes dans un soupir. C'est Jade qui redevient très pratique et me demande
- Quelle heure est-il mon chéri ?
- Presque trois heures !
- Oh dis-donc !!! Si tard. Si ça continue nos hommes vont nous trouver au lit. Valie vient, on va prendre une douche.
Les deux femmes qui pourraient être mère et fille, paraissent sœurs,. Elles se lèvent et filent vers la salle de bains, que c'est bandant de voir ces deux petits culs se trémousser.
- OK les filles, je vous attend dehors.
On se retrouve dans le jardin, Jade en blouse retenue par deux boutons et Valérie juste en petit slip. La salade niçoise est avalée entre rires et cris, le rosé est bu sans que personne ne s'en rende compte, à la fin du repas je sers le café à l'ombre des pins où on bavarde
- Valie je suis si contente de notre rencontre, de te connaître... T'es une fille super! Ton histoire est émouvante
- Moi aussi Jade, je suis si contente d'être avec vous deux, vous rencontrer a été comme un coup de foudre.
La jeune femme se pelotonne de la manière d'une enfant dans les bras de ma tante, la main dans l'embrasure de la blouse juste posée sur le sein, la tête levée en quette d'un baiser. Jade lui donne un bisou et la regarde amoureusement ;
- Ma chérie, samedi nous fêtons les 19 ans de John et je voudrais qu'avec René vous soyez des nôtres !
- Oh oui ! C'est super... Répond-t-elle tout excitée.Je ne connais pas nos engagements mais en tout état de cause nous serons avec vous. Je suis si heureuse, je me sens si bien avec vous. Les deux femmes s'embrassent du bout des lèvres, se regardent fixement puis la jeune femme ajoute posément :Tu sais Jade je voudrais ….
- … Oui... Dis-moi ma chérie
- C'est compliqué à dire, ça implique aussi John ! Dit-elle tout en me jetant un coup d’œil
- Oui Vali dis-nous ? Que je murmure pour la mettre en confiance
- Et bien voilà... Je me sens si proche de vous, si intime avec vous que je voudrais... Je voudrais, Jade... Je voudrais que tu me considères comme ta nièce, comme ta nièce de cœur, que tu sois ma tante ! et toi John (tout en me regardant) que tu sois mon... Ma sœur de cœur !!!
Sonnés par la demande, après un long silence, le temps de retrouver le calme, sous le regard soucieux de Valérie, ma tante répond émue :
- … Pour moi, Valie que tu sois ma "nièce de cœur", je te dis OH OUI !, bien sûr ! (elle se tourne vers moi et semble réfléchir) Que John soit ton frère... A lui de dire... Mais ta "sœur de cœur", je ne comprends pas... C'est un HOOOMMMM ! (son cri est glaçant).
- …… Jade ! Je comprends parfaitement Valérie (que je réponds très calmement). Valérie me demande d'être sa sœur, d'être comme elle !... Bien sûr que je suis homme... COMME ELLE !!! (je reste un moment silencieux pour bien me faire comprendre puis reprends)
…Comme elle t'a fait l'amour ! Comme elle t'a ensemencée. (peu à peu ma voix s'enflamme) Comme elle, je me sens parfois femme ! Être aimée comme elle! Être prise comme elle ! Comme une femme ! Comme sa sœur !.... (Puis après un silence, j'ajoute calmement)
… Alors être considérée comme elle avec "ce petit quelque chose entre les jambes"... Pourquoi pas ?... D'ailleurs je vous confesse que j'en ai déjà fait le rêve... Alors Jade, si tu veux bien ?... Je me sens si proche d'elle !
- Oh pour moi, mes enfants !... Si toutes les deux vous êtes d'accord et si John, tu restes l'amant qui me correspond c'est parfait !.... Par contre dans ces conditions, John tu dois penser à te féminiser !!!
- Euh ???... c'est à dire ?
- Ben ! Prendre à l'occasion une allure de femme, t'habiller en femme !... Par exemple pour sortir avec ta sœur, (ajoute-t-elle d'un air moqueur)... Tiens, pour fêter ton anniversaire!
- Oh OUIIIIII !!! (s'exclame Valérie en battant des mains). Oh oui John, paraître femme le soir de ton anniversaire, tu tromperais tout ton monde, ça serait marrant ! Demain viens avec moi, je m'occuperai de tout... Petite sœur !!!! Demain je te métamorphoserai !
- Paraître femme le jour de ton anniversaire, tu réaliserais ton rêve. (Elle nous prend toutes les deux par les épaules et nous serre contre elle en nous embrassant) Je pense que vous allez bien vous amuser ! Valérie, je te donne carte blanche et carte bleue !
Valérie me saute au cou et m'embrasse, mais pas vraiment comme le ferait une sœur !
C'est à ce moment que mon oncle Théo arrive en voiture accompagné de René au retour de l'aéroport. Théo après avoir embrassé tout le monde s'éclipse dans la cuisine pour préparer le dîner. René tout heureux, retrouve Jade en grognant entre ses dents « Oh ! Toi, tu m'as manquée ! » et lui roule direct un patin qui la laisse en pâmoison. Quelques paroles de bienvenue et le temps de servir une bière, le bel antillais se met à l'aise, prétextant une chaleur insupportable, surtout fier d'exhiber son corps musclé à la peau cuivrée.
On se retrouve tous les quatre dans le jardin, Valérie et moi en slip sur le canapé, face à Jade qui se fait conter fleurette par le bellâtre. Les deux brûlent les étapes de la bienséance puisque tout en se suçant la tronche, il lui déboutonne la blouse et elle lui baisse la culotte. Tout va très vite, l'homme jette le coussin de la balancelle au sol et la femme se débarrasse de son habit en se couchant. Dans l'heure Jade passe de la copine au copain. Sans pudeur elle s'offre cuisses ouvertes à celui qui la désire. Il la chevauche en 69, plonge sa tête dans l'entrejambe et son gourdin dans la bouche. Il lui bouffe la moule et lui baise la bouche. Elle relève le bassin pour mieux se donner, elle presse ses mains sur le fessier pour mieux le recevoir. Jusqu'au moment où l'homme ne se contrôle plus et qu'elle le freine en le retenant par les hanches en maugréant « Doucement, doucement ! »
Mais René la veut plus disponible, il la plie comme un journal plaçant les jambes sous ses aisselles. Notre position nous permet de voir la langue rose balayer la raie des fesses, se fixer sur l'anus et d'entendre les bruits de gorge suivis de haut-le-cœurs sous les coups de boutoir. Elle tente de limiter la course du mandrin en le repoussant le ventre mais rien n'y fait, l'homme en rage continue à la pourfendre et à lui brouter la motte.
René la veut autrement. Il fait volte face et se place entre ses cuisses. La femme nous implore du regard, nous tend la main. Je pousse Valérie à la rejoindre. Comme pour protéger sa "tante de cœur" des ardeurs de son compagnon, la jeune femme se met à quatre pattes sur elle, en l'encadrant de ses genoux et fesses en l'air. L'homme trop content de la participation de sa copine lui caresse le cul mais ne change rien à sa position, il écarte les cuisses de Jade et l'enfile d'un coup, en missionnaire..
René les veut toutes les deux. Tout en baisant l'une, il doigte le petit cul de l'autre. Ma tante accuse le coup, bousculée par l'un, elle se fait tripoter par l'autre. Les deux femmes face à face s'enlacent, se serrent, s'embrassent tendrement. René tout en forniquant la plus âgée, ne cesse de doigter la plus jeune et d'un coup passe du vagin de l'une au cul de l'autre. Athlétique en appui sur ses bras et ses orteils il sodomise Valérie, puis revient sur ses genoux pour baiser Jade. Ainsi le cochon passe de l'une à l'autre trois, quatre fois.
René en veut plus. Il se recule, tape sur la fesse de sa femme et gueule « Couche-toi sur le dos... Et toi, suce-lui le clito ! ». Jade se met en levrette entre les jambes de sa "nièce de cœur" et dégage la bistouquette endormie de sa cachette. Elle prend la pointe en bouche, tripote les coucougnettes, l'asticot grossit, s'allonge, durcit. La suite est déjà écrite, Jade la veut, Valérie l'attend, les deux s'unissent par une fellation gourmande.
L'homme retrouve le cul mature connu la veille, il lui lèche la raie, lui suce l'anus, il sait qu'elle est étroite de ce côté. Alors avec beaucoup d'attention, de patience il la prépare, la laisse venir, un doigt la fouille. Il amplifie son désir en lui caressant la chatte, en excitant le point G et ce sont maintenant trois doigts qui la façonnent. Elle est chaude comme les braises, elle miaule, remue du popotin. Alors il se positionne, la tient fermement par les hanches, pousse son engin sans brusquer l'anus, la pointe semble en place mais il résiste. Il revient lécher les fesses, couvrir le petit trou de salive puis se remet à l'ouvrage. La poussée est plus forte, Jade participe, pousse vers l'arrière à la rencontre du bourrin qui l'assaille. Ça y est d'où je suis, je vois le gland disparaître entre les fesses rondelettes, les poussées continuent, un grand soupir me fait comprendre que l'accouplement est accompli.
Un moment de répit, il la pénètre lentement, avec précaution. Les deux corps se soudent. Tout s'immobilise, les chairs s'habituent, l'anneau s'assouplit, le rectum se distend. C'est Jade qui se dit prête, qui s'éloigne de l'amant... René bouge doucement, se penche, soupèse les mamelles, l'amplitude des va-et-vient reste très limitée.
René veut tout. Il se redresse pour être plus libre ; vraisemblablement le fourreau de Jade s'est modelé au braquemart qui la besogne. Maintenant debout sur ses genoux il encule ma tante de tout son membre. Le Clap ! Clap ! Clap ! Du choc des amants s'entend, plus fort, plus rapide... le râle de Jade devient cri :
- Oui ! Oui ! Oui ! Défonce-moi, casse-moi en deux !
Jade veut tout ! Valérie lui jute dans la gorge en poussant un long hurlement quand René s'arrête brusquement, sort son mandrin du fourreau, le tient serré dans sa main, Il bouscule ma tante, redresse sa femme, place les deux côte côte, se branle un peu et gicle dans la bouche de l'une, se retient et gicle dans la bouche de l'autre, les deux bouches se rapprochent et tètent ensemble le gland. Il gicle encore, force une bouche, le sperme s'étale sur les lèvres, les deux bouches assoiffées tète le morceau, les mains pressent le membre à la quette de quelques gouttes supplémentaires. La source se tarit, les deux femmes tombent en arrière en s'embrassant, un baiser interminable, un échange de rires entre les femelles comblées et le mâle vidé.
Le mari entre en scène : « Madame est servie ! »
Seul le mari est habillé au milieu de tous, il fait le service. Les rires fusent, les blagues s'énoncent, le repas est gai, le poisson mayonnaise est délicieux, suivent salade et fromages, le tout copieusement arrosé de vin rosé avec une glace pour terminer .
On se sépare quand Valérie annonce à René qu'ils sont attendus samedi pour mon anniversaire.
Depuis presque deux heures je lis à l'ombre du store. Je jette de temps en temps un coup d’œil par la porte fenêtre de la chambre et enfin je vois Jade et Valérie bouger. Elles se câlinent, s'embrassent tendrement, rien à voir avec leur relation amoureuse d'avant. Rapidement de nouveau elles m'énervent et je file sous la douche pour retrouver un certain calme avant de préparer le déjeuner. Mes talents culinaires se limitent aux salades .
Une petite heure plus tard la table est mise dans le jardin, une énorme salade niçoise est servie. J'ai juste revêtu un tee-shirt si ample qu'il ressemble à une chemise de nuit, je retourne dans la chambre où je retrouve les deux femmes en train de se bécoter, collées l'une à l'autre. Arrivé sans bruit je m'amuse à les voir sursauter en clamant
- Bonjour les amoureuses !
- Ouuups... Bonjour toi ! Répondent-elles en chœur tout en se détachant l'une de l'autre.
- Bien dormi ?
- Mmmmm... Comme des aaanges mon chéri !, répond ma tante en s'étirant et me tendant la main. Son corps en extension est magnifique
Je me rapproche d'elles et comme deux gamines hystériques, elles me tirent et me prennent entre elles deux. Elles me taquinent, les mains passent sous mon tee-shirt et me déshabillent, elles m'embrassent, me caressent sans limite. Tout de suite je bande comme un âne et je tante de calmer le jeu en les invitant à déjeuner.
- Je vous ai préparé une salade niçoise et une salade de pêche, je suis chef étoilé de la salade
- C'est d'amour qu'on a faim, c'est de toi qu'on a soif.
Ma tante m'embrasse à pleine bouche alors que Valérie me suce, je ne peux m'empêcher de prendre l'une par le cou et de poser ma main sur la tête de l'autre. Les garces font tant et si bien quand moins de cinq minutes je rends les armes dans un soupir. C'est Jade qui redevient très pratique et me demande
- Quelle heure est-il mon chéri ?
- Presque trois heures !
- Oh dis-donc !!! Si tard. Si ça continue nos hommes vont nous trouver au lit. Valie vient, on va prendre une douche.
Les deux femmes qui pourraient être mère et fille, paraissent sœurs,. Elles se lèvent et filent vers la salle de bains, que c'est bandant de voir ces deux petits culs se trémousser.
- OK les filles, je vous attend dehors.
On se retrouve dans le jardin, Jade en blouse retenue par deux boutons et Valérie juste en petit slip. La salade niçoise est avalée entre rires et cris, le rosé est bu sans que personne ne s'en rende compte, à la fin du repas je sers le café à l'ombre des pins où on bavarde
- Valie je suis si contente de notre rencontre, de te connaître... T'es une fille super! Ton histoire est émouvante
- Moi aussi Jade, je suis si contente d'être avec vous deux, vous rencontrer a été comme un coup de foudre.
La jeune femme se pelotonne de la manière d'une enfant dans les bras de ma tante, la main dans l'embrasure de la blouse juste posée sur le sein, la tête levée en quette d'un baiser. Jade lui donne un bisou et la regarde amoureusement ;
- Ma chérie, samedi nous fêtons les 19 ans de John et je voudrais qu'avec René vous soyez des nôtres !
- Oh oui ! C'est super... Répond-t-elle tout excitée.Je ne connais pas nos engagements mais en tout état de cause nous serons avec vous. Je suis si heureuse, je me sens si bien avec vous. Les deux femmes s'embrassent du bout des lèvres, se regardent fixement puis la jeune femme ajoute posément :Tu sais Jade je voudrais ….
- … Oui... Dis-moi ma chérie
- C'est compliqué à dire, ça implique aussi John ! Dit-elle tout en me jetant un coup d’œil
- Oui Vali dis-nous ? Que je murmure pour la mettre en confiance
- Et bien voilà... Je me sens si proche de vous, si intime avec vous que je voudrais... Je voudrais, Jade... Je voudrais que tu me considères comme ta nièce, comme ta nièce de cœur, que tu sois ma tante ! et toi John (tout en me regardant) que tu sois mon... Ma sœur de cœur !!!
Sonnés par la demande, après un long silence, le temps de retrouver le calme, sous le regard soucieux de Valérie, ma tante répond émue :
- … Pour moi, Valie que tu sois ma "nièce de cœur", je te dis OH OUI !, bien sûr ! (elle se tourne vers moi et semble réfléchir) Que John soit ton frère... A lui de dire... Mais ta "sœur de cœur", je ne comprends pas... C'est un HOOOMMMM ! (son cri est glaçant).
- …… Jade ! Je comprends parfaitement Valérie (que je réponds très calmement). Valérie me demande d'être sa sœur, d'être comme elle !... Bien sûr que je suis homme... COMME ELLE !!! (je reste un moment silencieux pour bien me faire comprendre puis reprends)
…Comme elle t'a fait l'amour ! Comme elle t'a ensemencée. (peu à peu ma voix s'enflamme) Comme elle, je me sens parfois femme ! Être aimée comme elle! Être prise comme elle ! Comme une femme ! Comme sa sœur !.... (Puis après un silence, j'ajoute calmement)
… Alors être considérée comme elle avec "ce petit quelque chose entre les jambes"... Pourquoi pas ?... D'ailleurs je vous confesse que j'en ai déjà fait le rêve... Alors Jade, si tu veux bien ?... Je me sens si proche d'elle !
- Oh pour moi, mes enfants !... Si toutes les deux vous êtes d'accord et si John, tu restes l'amant qui me correspond c'est parfait !.... Par contre dans ces conditions, John tu dois penser à te féminiser !!!
- Euh ???... c'est à dire ?
- Ben ! Prendre à l'occasion une allure de femme, t'habiller en femme !... Par exemple pour sortir avec ta sœur, (ajoute-t-elle d'un air moqueur)... Tiens, pour fêter ton anniversaire!
- Oh OUIIIIII !!! (s'exclame Valérie en battant des mains). Oh oui John, paraître femme le soir de ton anniversaire, tu tromperais tout ton monde, ça serait marrant ! Demain viens avec moi, je m'occuperai de tout... Petite sœur !!!! Demain je te métamorphoserai !
- Paraître femme le jour de ton anniversaire, tu réaliserais ton rêve. (Elle nous prend toutes les deux par les épaules et nous serre contre elle en nous embrassant) Je pense que vous allez bien vous amuser ! Valérie, je te donne carte blanche et carte bleue !
Valérie me saute au cou et m'embrasse, mais pas vraiment comme le ferait une sœur !
C'est à ce moment que mon oncle Théo arrive en voiture accompagné de René au retour de l'aéroport. Théo après avoir embrassé tout le monde s'éclipse dans la cuisine pour préparer le dîner. René tout heureux, retrouve Jade en grognant entre ses dents « Oh ! Toi, tu m'as manquée ! » et lui roule direct un patin qui la laisse en pâmoison. Quelques paroles de bienvenue et le temps de servir une bière, le bel antillais se met à l'aise, prétextant une chaleur insupportable, surtout fier d'exhiber son corps musclé à la peau cuivrée.
On se retrouve tous les quatre dans le jardin, Valérie et moi en slip sur le canapé, face à Jade qui se fait conter fleurette par le bellâtre. Les deux brûlent les étapes de la bienséance puisque tout en se suçant la tronche, il lui déboutonne la blouse et elle lui baisse la culotte. Tout va très vite, l'homme jette le coussin de la balancelle au sol et la femme se débarrasse de son habit en se couchant. Dans l'heure Jade passe de la copine au copain. Sans pudeur elle s'offre cuisses ouvertes à celui qui la désire. Il la chevauche en 69, plonge sa tête dans l'entrejambe et son gourdin dans la bouche. Il lui bouffe la moule et lui baise la bouche. Elle relève le bassin pour mieux se donner, elle presse ses mains sur le fessier pour mieux le recevoir. Jusqu'au moment où l'homme ne se contrôle plus et qu'elle le freine en le retenant par les hanches en maugréant « Doucement, doucement ! »
Mais René la veut plus disponible, il la plie comme un journal plaçant les jambes sous ses aisselles. Notre position nous permet de voir la langue rose balayer la raie des fesses, se fixer sur l'anus et d'entendre les bruits de gorge suivis de haut-le-cœurs sous les coups de boutoir. Elle tente de limiter la course du mandrin en le repoussant le ventre mais rien n'y fait, l'homme en rage continue à la pourfendre et à lui brouter la motte.
René la veut autrement. Il fait volte face et se place entre ses cuisses. La femme nous implore du regard, nous tend la main. Je pousse Valérie à la rejoindre. Comme pour protéger sa "tante de cœur" des ardeurs de son compagnon, la jeune femme se met à quatre pattes sur elle, en l'encadrant de ses genoux et fesses en l'air. L'homme trop content de la participation de sa copine lui caresse le cul mais ne change rien à sa position, il écarte les cuisses de Jade et l'enfile d'un coup, en missionnaire..
René les veut toutes les deux. Tout en baisant l'une, il doigte le petit cul de l'autre. Ma tante accuse le coup, bousculée par l'un, elle se fait tripoter par l'autre. Les deux femmes face à face s'enlacent, se serrent, s'embrassent tendrement. René tout en forniquant la plus âgée, ne cesse de doigter la plus jeune et d'un coup passe du vagin de l'une au cul de l'autre. Athlétique en appui sur ses bras et ses orteils il sodomise Valérie, puis revient sur ses genoux pour baiser Jade. Ainsi le cochon passe de l'une à l'autre trois, quatre fois.
René en veut plus. Il se recule, tape sur la fesse de sa femme et gueule « Couche-toi sur le dos... Et toi, suce-lui le clito ! ». Jade se met en levrette entre les jambes de sa "nièce de cœur" et dégage la bistouquette endormie de sa cachette. Elle prend la pointe en bouche, tripote les coucougnettes, l'asticot grossit, s'allonge, durcit. La suite est déjà écrite, Jade la veut, Valérie l'attend, les deux s'unissent par une fellation gourmande.
L'homme retrouve le cul mature connu la veille, il lui lèche la raie, lui suce l'anus, il sait qu'elle est étroite de ce côté. Alors avec beaucoup d'attention, de patience il la prépare, la laisse venir, un doigt la fouille. Il amplifie son désir en lui caressant la chatte, en excitant le point G et ce sont maintenant trois doigts qui la façonnent. Elle est chaude comme les braises, elle miaule, remue du popotin. Alors il se positionne, la tient fermement par les hanches, pousse son engin sans brusquer l'anus, la pointe semble en place mais il résiste. Il revient lécher les fesses, couvrir le petit trou de salive puis se remet à l'ouvrage. La poussée est plus forte, Jade participe, pousse vers l'arrière à la rencontre du bourrin qui l'assaille. Ça y est d'où je suis, je vois le gland disparaître entre les fesses rondelettes, les poussées continuent, un grand soupir me fait comprendre que l'accouplement est accompli.
Un moment de répit, il la pénètre lentement, avec précaution. Les deux corps se soudent. Tout s'immobilise, les chairs s'habituent, l'anneau s'assouplit, le rectum se distend. C'est Jade qui se dit prête, qui s'éloigne de l'amant... René bouge doucement, se penche, soupèse les mamelles, l'amplitude des va-et-vient reste très limitée.
René veut tout. Il se redresse pour être plus libre ; vraisemblablement le fourreau de Jade s'est modelé au braquemart qui la besogne. Maintenant debout sur ses genoux il encule ma tante de tout son membre. Le Clap ! Clap ! Clap ! Du choc des amants s'entend, plus fort, plus rapide... le râle de Jade devient cri :
- Oui ! Oui ! Oui ! Défonce-moi, casse-moi en deux !
Jade veut tout ! Valérie lui jute dans la gorge en poussant un long hurlement quand René s'arrête brusquement, sort son mandrin du fourreau, le tient serré dans sa main, Il bouscule ma tante, redresse sa femme, place les deux côte côte, se branle un peu et gicle dans la bouche de l'une, se retient et gicle dans la bouche de l'autre, les deux bouches se rapprochent et tètent ensemble le gland. Il gicle encore, force une bouche, le sperme s'étale sur les lèvres, les deux bouches assoiffées tète le morceau, les mains pressent le membre à la quette de quelques gouttes supplémentaires. La source se tarit, les deux femmes tombent en arrière en s'embrassant, un baiser interminable, un échange de rires entre les femelles comblées et le mâle vidé.
Le mari entre en scène : « Madame est servie ! »
Seul le mari est habillé au milieu de tous, il fait le service. Les rires fusent, les blagues s'énoncent, le repas est gai, le poisson mayonnaise est délicieux, suivent salade et fromages, le tout copieusement arrosé de vin rosé avec une glace pour terminer .
On se sépare quand Valérie annonce à René qu'ils sont attendus samedi pour mon anniversaire.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci Nico
Avant l'anniversaire il faut que le frère devienne soeur....
À très bientôt
Avant l'anniversaire il faut que le frère devienne soeur....
À très bientôt
Excellent
Très envie de découvrir la journée d anniversaire de la sœur de cœur
Nico
Très envie de découvrir la journée d anniversaire de la sœur de cœur
Nico