Rencontre du 3ème sexe Chapitre 7 - En shopping - histoire érotique

Une fois métamorphosée, je déambule avec Valérie dans les ruelles de Montpellier, nos éclats de rires et le bruit de mes talons résonnent. Valie me tient serrée par le bras pour m'assurer dans ma démarche avec des chaussures à talon. Elle me donne des conseils quant à ma gestuelle, et à l'alignement des pieds l'un devant l'autre pour chalouper des fesses. Elle me fait faire également des exercices pour poser ma voix de manière naturelle et féminine. Après une demi-heure de balade dans les rues discrètes, nous décidons d'entrer dans le grand bain en allant place de la Comédie, la place principale de la ville bondée de monde.

C'est le moment de vérité. Bras dessus, bras dessous, collées l'une à l'autre, nous rions, parlons fort, notre attitude sexy et libérée attire l'attention. Nous nous amusons à allumer les mecs, elle en blouse transparente et jupette, moi en tee-shirt et mini short. Notre succès est probant, pour éloigner ou exciter nos admirateurs nous nous embrassons comme deux amoureuses ou nous caressons les fesses. Résultats, on nous siffle ou on nous traite de sales pétasses ! Elle fait un pas de plus en me conduisant au Polygone, "LE" centre commercial de la ville ! où nous jouons les nymphettes délurées. Ma féminisation est définitivement validée.

Il est temps de déjeuner, nous retournons à La Comédie. Les terrasses se remplissent et pour continuer notre petit jeu de salopes Valérie décide de nous installer en première ligne d'un restaurant de la place. Elle est très à l'aise dans son rôle d'allumeuse, sa jupette jaune lui découvre largement les cuisses. Quant à moi, le short "au ras de la touffe" comme on dit, m'expose librement à qui veut me voir.
La mise en avant de nos jambes élancées et joliment galbées attirent le regard des passants. Derrière ses lunettes de soleil elle observe les spectateurs et ne manque pas une occasion pour décroiser les jambes et changer de position comme si de rien n'était, en short je n'ai pas besoin de jouer pour attirer les regards d'autant moins avec mon tee-shirt trop ajusté sur mes formes féminines.

Nous rions beaucoup du gringue que nous fait le serveur. Nous bavardons beaucoup, rions encore plus. Valie se soucie un peu de ma nouvelle tenue et me chuchote à l'oreille :

- Comment te sens-tu en femme, assise sur tes attributs ?
- A vrai dire quand je ne bande pas ça ne me gêne pas vraiment, par contre si ça se réveille comme maintenant, la gêne est réelle et m'oblige à écarter les cuisses de manière indécente pour une femme !
- Et à attirer le regard du mâle, petite coquine ! (elle se penche pour mieux me voir) Et je t'assure que tu es très féminine.

Ce travestissement m'amuse beaucoup et m'excite, je prends même un malin plaisir à croiser les jambes pour mieux comprimer mon sexe . Le short est si étriqué que j'ai l'impression d'être en slip. A la fin du repas, Valérie reprend les directives :

- Bon ma chérie, encore un conseil, une femme élégante vérifie toujours son rouge à lèvre à la fin du repas.

Pour la première fois je me lance dans cet exercice, j'applique le rouge en me regardant dans le boîtier et pince mes lèvres comme je l'ai vu faire maintes fois...

- Ben dis-donc ! C'est parfait ma chérie, une vraie BCBG !... OK, ce n'est pas le tout, on va faire maintenant du lèche-vitrine, occupation favorite des femmes. On va te chercher une robe pour ta soirée, tu as une idée de ce qui te plairait ?
- Oui je pense à une robe blanche et boutonnée avec un joli décolleté.
- Oui on peut s'amuser avec le décolleté ; tu as vu, tes deux prothèses s'harmonisent parfaitement à ta carnation de peau et forment un joli vallonnement, avec la brassière le rendu est parfait. Le toucher est exceptionnel (elle accompagne le geste à la parole) on a vraiment la souplesse du sein. Sous ton tee-shirt, ta poitrine est super bandante, les tétons qui pointent, sont terriblement excitants !

On cherche, on fouille, on farfouille, puis nous arrivons face à une boutique retirée dans une petite rue. Un modèle en vitrine attire notre regard, nous entrons, une grande femme métisse d'une quarantaine d'années nous accueille :

- Bonjour mesdames, que puis-je faire pour vous ?
- Bonjour, répond Valie très à l'aise, nous voudrions voir pour mon amie la robe blanche présentée dans la vitrine
- Oui bien sûr, une jolie petite robe de coton pour le cocktail, la coupe est près du corps, le drapé et le décolleté mettent en valeur la poitrine. Quelle taille pour mademoiselle ?... un 42 je pense
- Oui, c'est çà ! Que je réponds très sûr de moi, alors que je découvre ma taille au féminin.
- Si vous voulez passer dans la cabine d'essayage j'arrive de suite.

Toutes les deux nous entrons et le rideau de la cabine entrouvert, je quitte short et tee-shirt, mon parfum embaume l'espace. La vendeuse revient avec l'article et tout en demandant la permission, ouvre le rideau de la cabine. Elle me voit en sous-vêtements, son œil exercé découvre mon travestissement et s'en amuse :

- HUMMM ! Ce parfum est d'une telle sensualité, il vous habille à merveille ! Si vous permettez, mademoiselle puis-je vous aider ?
- Oui, s'il vous plait, intervient Valérie. Mon amie est encore un peu mal à l'aise.

Au lieu de me passer la robe, la dame se place derrière moi face au miroir, son visage inscrit au creux de mon cou, elle me sourit dans le miroir. Mon absence de réaction est un encouragement, je sens sa poitrine appuyée à mon dos, elle me frôle les épaules, me caresse les bras, me retient par la taille. Elle murmure « Regarde comme tu es belle ! » et me donne confiance. Le souffle de sa respiration, la sensualité de son toucher me font frissonner et surtout me font bander sans que cela paraisse, (le slip qui emprisonne mon sexe contre le périnée, résiste à la situation et ne laisse apparaître qu'un renflement au bas du pubis comparable à un mont de vénus proéminent). Elle le constate et s'enhardit, sa main glisse sur mon ventre, me saisit sans scrupule à l'entrejambe, je serre les cuisses, ferme les yeux, ma tête part en arrière, je m'abandonne. Elle chuchote encore d'une voix chaude et suave « J'aime tes formes, j'adore ton genre ! »

Elle se colle à mon dos, je sens la fermeté de ses seins, la vigueur de sa verge. Sa bouche me dévore le cou. Valie entre en scène sur notre côté en appuyant une main sur celle qui me tient au ventre et probablement en posant l'autre sur la fesse de la vendeuse qui nous demande :

- Avez-vous un peu de temps pour cet essayage ?
- Oui, nous ne sommes pas pressées, répond ma "sœur de cœur".
- Attendez une minute, en début d'après-midi il n'y a pas beaucoup de monde mais je préfère fermer la boutique.

Sans attendre elle file vers la porte, ferme le magasin et revient vers nous. Valie va à sa rencontre et l'embrasse à pleine bouche. Elle attaque fort, avec dextérité et l'aide de la vendeuse, elle défait la robe qui tombe à terre et dévoile une superbe femme de notre genre ! Sa poitrine, (de vrais seins siliconés semblables à ceux Monique) est offerte dans un soutien-gorge demi-bonnets en dentelle noire transparente qui laisse apparaître les tétons gros comme le bout de mon auriculaire et son pénis de belle taille est à peine caché dans un shorty assorti. Naturellement pas de poil disgracieux sur cette beauté.

- Moi c'est Josy
- Moi Valérie et elle Jane (Djène)

Les présentations sont faites, les deux me rejoignent au fond de la boutique. Leurs baisers se prolongent, la vendeuse à demi-nue se fait maltraiter les tétons, alors que en un coup de main elle dénoue le chemisier jaune de Valérie et l'en débarrasse et de l'autre découvre sous la jupe la vraie nature de ma sœur :

- Coquine, tu caches vraiment bien ton jeu ! J'avais un doute.
- Oui c'est un joli petit service trois pièces, dit-elle en quittant sa jupette et son slip brésilien de couleur assortie

Alors qu'elle prend en main le phallus sorti de la culotte, Josy lui dégrafe le soutif et me débarrasse de mon slip. A entendre son sifflement elle semble impressionnée par sa découverte qu'elle commence à masser. Elle m'ordonne d'une voix rauque et d'un doigt vers le sol «  Couche-toi ! »

En une fraction de seconde, je suis allongée sur la moquette, elle quitte son shorty, me chevauche et s'empale sur mon tronc, ma sœur m'enjambe et debout face à la vendeuse lui présente son clito. Elle la prend par les fesses et lui avale le morceau avec les noisettes. Une sacrée suceuse la Josy comme je la vois baver! Une sacrée baiseuse la Josy comme elle danse sur mon ventre.

D'un grognement « Attends ! » Valérie se détache de la bouche gourmande montrant une superbe érection et s'agenouille derrière Josy qui a déjà compris son intention. Leur ballet est parfaitement orchestré, l'une ralentit sa fornication, se couche sur moi, relève ses fesses, l'autre appuie sa trique à ma queue, pousse et glisse sans difficulté dans le fourreau habitué aux doubles pénétrations. Au souffle lent et profond de Valérie correspond, la retenue de la respiration de Josy, suivis du ''Oufff'' de soulagement de l'une et du "Ouiiii" de satisfaction de l'autre.

Valérie s'accroche à ses hanches et la sodomise brutalement. Josy se laisse faire en creusant les reins pour bien s'offrir à la fougue de la jeune femme et se redressant dans la position du cobra pour m'offrir fièrement ses nichons, je les palpe prudemment dans leurs coupes de dentelles et triture sans ménagement les tétons. Son visage exprime la souffrance mais son cri « Continue ! » supplie d'aller plus loin, d'aller plus fort.
Alors je les tire et les tords encore. La chair s'allonge en forme d'obus, elle se penche sur moi en grognant entre ses dents « Salope ! Suce-moi ! ». Le globe bronzé s'écrase sur ma bouche, la tétine rugueuse se glisse entre mes lèvres. Je la maintiens par les côtes et je la tète à grands bruits.

Tous les trois copulons encore un moment dans un concert de gémissements. Valie est la première à décharger, je sens son jus chaud jaillir et remplir le rectum, presque de suite la bistouquette se retire du fondement.

Alors Josy intervertit les rôles. Elle se relève en se plaçant entre mes cuisses. Elle me fixe du regard avec un sourire carnassier et s'astique lentement le sexe qui reprend toute sa vigueur, sa queue est impressionnante, sombre, épaisse, les veines saillantes, le gland en pointe violacé. Elle lève mes jambes, me découvre, alors sans hésiter elle me crache sur les fesses, me doigte vigoureusement, me fait gémir.

Je me tends vers elle, sans attendre elle pointe son gland et d'un coup puissant me transperce avec un grognement guttural. Je la reçois, juste d'un bref "Han", le visage crispé, les yeux fermés et la bouche grande ouverte comme par manque d'air. Deux petits coups de boutoir tout au fond de moi pour bien se loger, un moment tranquille, un soupir d'aise avant qu'elle ne commence à me besogner. Mes jambes se balancent de chaque côté de ses hanches en rythme avec ses coups de reins

Mon sexe luisant de jouissance se dresse entre nos ventres. Je me branle tout de suite énergiquement comme pour me libérer, devenir femme disponible

Baisée et branlée je ne retiens rien, ma main accélère puis se bloque en arrière à en déchirer le prépuce, trois jets puissants me couvrent le ventre jusqu'au creux du sternum, je me vide, je reprends ma branlette pour me libérer des dernières gouttes de jute. Pendant ce temps Josy me pistonne lentement, régulièrement. S'amuse à me voir faire.

Devenue femelle, mon rectum devient vagin, mon ventre se contracte en mesure avec celle/celui qui me possède, son pistonnage est puissant, il s'accélère, j'aime sa brutalité. En même temps je n'ai d'yeux que pour ces seins de pierre qui se dressent au dessus de moi, j'aime leur rondeur en pomme, leurs pointes sombres, rugueuses.
Le Clap ! Clap ! de nos corps, le Han ! Han ! de sa respiration, le chuintement de ma chatte rythment notre accouplement. Je suis une femelle comblée. Il se couche sur moi, mes genoux partent vers mes épaules, il m'écrase doucement. Tout s'emballe, je sens la verge se contracter, tressauter puis plus rien, elle m'arrose, elle se vide, le mâle m'embrasse dans le cou, je sens sa langue, ses dents, une légère morsure.

Josy se relève, me sourit, m'offre ses seins, comme au début de notre accouplement. Je suis friand de ses mamelons, elle me les donne à sucer l'un après l'autre. Dans mon ventre sa chair perd sa virilité, se confond avec la mienne. Elle se redresse, vient à califourchon sur ma bouche, la queue luisante de mouille. Je la gobe, suce le gland couvert de sperme. Le membre a encore belle allure. Je masse l'urètre et reçois quelques gouttes du nectar que je déguste. Pendant que je fais une petite gâterie à Josy, la coquine suce le bourgeon de Valérie.

Mais le temps passe et la vendeuse reprend son rôle :

- Mes chéries il va falloir que j'ouvre la boutique. Vous êtes vachement sympas les filles... Jane t'es couverte de sperme, file aux toilettes, je n'ai qu'un lavabo à t'offrir.

Je m'éclipse, je fais au mieux pour me laver les fesses et le ventre. Je constate que mon serre-taille est tout tâché. J'en rigole en pensant que je n'ai pas tardé à le baptiser. Je me rhabille, mon sexe retrouve sa cachette étroite et mon short me redonne tout mon sex-appeal. Mon maquillage n'a pas trop souffert, juste un petit coup de rouge à lèvre et je suis comme à mon entrée dans le magasin il y a deux heures. Je reviens vers la cabine d'essayage, deux autres clientes sont dans le magasin. Je retrouve Josy très professionnelle, un sourire aux lèvres :

- Ça va mieux mademoiselle ? Voulez-vous essayer la robe ?

Elle me passe la robe, je vais pour la mettre sur mes habits quand la vendeuse intervient :

- Puis-je vous aider mademoiselle ?
- Oui, s'il vous plaît !

Elle entre en refermant le rideau :

- Ça me paraît bien, mais je préférais la voir sans tee-shirt !

Je me découvre dans le miroir juste en slip et soutien-gorge, je me trouve belle. Josy m'aide à passer la robe et murmure en me faisant un bisou :

- Tu es magnifique Jane, reviens vite, j'ai plein d'amies qui seront heureuses de te rencontrer …

Sans perdre de temps je me présente à Valérie qui me trouve ravissante :

- Elle est faite pour toi, tu peux même laisser un bouton ouvert en bas, tes jambes sont magnifiques et le décolleté te va très bien, ta poitrine est superbe.

L'affaire est conclue, ma sœur emporte la robe pour la payer, je remets mon short et tee-shirt. Nous quittons le magasin très naturellement, la vendeuse nous donne le carton avec la robe :

- Au revoir mesdames et merci, je vous laisse la carte de notre boutique.
- Merci madame et à bientôt !

Josy nous ouvre la porte, en sortant elle me caresse le bras tout en faisant une moue de bisou et me murmure :

- Reviens vite ma chérie, j'adoooore ton parfum et ta sensualité !

 Nous quittons la vendeuse, contentes de notre achat et du moment passé !!! Encore une promenade avant de prendre le bus pour revenir chez ma tante et mon oncle. Dès mon arrivée chez eux la réussite est totale, ni l'un ni l'autre ne me reconnaisse de prime abord. Je suis Jane et j'en suis fière.