Rencontre du 3ème sexe Chapitre 8 - Lors de mon anniversaire

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Rencontre du 3ème sexe Chapitre 8 - Lors de mon anniversaire Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-12-2024 dans la catégorie Plus on est
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Rencontre du 3ème sexe Chapitre 8 - Lors de mon anniversaire
Valérie ma grande sœur de cœur et Jade ma tante m'ont convaincu de me travestir pour fêter mes dix-neuf ans lors d'une soirée organisée chez Joyce, une amie et belle-mère de mon cousin Alain, dans sa propriété à Sète, en bordure de l'étang de Tau.

Après mes rendez-vous chez le coiffeur et l'esthéticienne pour le maquillage, je me prépare, je place mes faux seins, serre le corselet, m'habille de la robe achetée lors d'un shopping avec Valérie (voir chapitre précédent). Jade est à son habitude élégante et sexy dans sa robe longue, faite de deux pièces de crêpe de chine noir, portée à l'antique sur les épaules et attachée à la taille, laissant les jambes se découvrir en marchant et offrant un décolleté vertigineux devant-derrière.

A notre arrivée, ma tante cache mon identité à son amie en me présentant comme copine d'enfance de son neveu, sous mon nom de fille Jane "Djène" et informe de l'arrivée tardive de John.

Joyce se félicite de la venue surprise de cette amie d'enfance, elle m'embrasse amicalement et me présente à l'assemblée qui m'accueille avec enthousiasme. En fait, je connais presque tout le monde des rencontres précédentes, bien sûr il y a Valérie qui joue le jeu et René qui ne me reconnaît pas plus que les autres, Moussa (l'africain) et Monique (la trans aux beaux seins), mon cousin Alain et sa femme Martine, et Polo (le mari de Joyce). Seule découverte, "Trespatas" de la Côte d'Ivoire, (on m'explique que son surnom lui vient de son appendice hors norme) et sa femme Moune, une belle tahitienne

Le temps des présentations et la glace, s'il y avait, a fondu. Ça discute, ça se taquine, ça se bisouille, ça se frotte, ça se pelote.

Avec Moussa et Trespatas, les deux blacks, je suis tout de suite dans le bain, ils me draguent sans ambages. Leurs lèvres charnues me couvrent le cou de baisers, cherchent mes lèvres. Ils me prennent en sandwich pour danser. Certainement mon manque de réaction les encourage, l'un se presse contre mon ventre, l'autre se colle à mes fesses, je ne sais comment faire, j'écarte une main de mon sein, je crains qu'ils découvrent la réalité de ma personne. Heureusement Moune me libère de leur offensive en m'offrant une flute et nous invitant à prendre le champagne.

J'évite un danger pour en trouver un autre, face à Martine qui me connaît bien. Elle me regarde, me scrute, me scanne. Je réponds à son sourire, elle me prend par la main, se rapproche, me caresse la joue avec douceur, le rasage au coupe-choux m'a donné une peau de bébé, elle me serre contre elle, pubis contre pubis, les mains sur mes fesses. Va-t-elle découvrir le stratagème ? Non, elle valide ma féminité d'une parole « T'es très mignonne ! » et me fait un bisou du bout des lèvres mais c'est Alain, mon cousin qui me met sur le grill, il s'étonne de ne pas se souvenir de cette copine d'enfance, il se moque de la niaiserie de son petit cousin et s'enorgueillit de l'avoir dépucelé.

— Vrai ! Que je m'exclame d'étonnement. Comment t'as fait, il était tellement pudique ! Avec moi pas de touche-pipi, même pas un bisou.
— Il a beaucoup changé tu sais. Tu l'as revu durant ces vacances ?
— Non, pas encore… C'est une surprise que veut lui faire sa tante.

Oufff, Joyce vient vers nous avec un plateau de petits toasts.

— Si tu permets, j'te prends Jane un moment, vous vous retrouverez plus tard. (Elle me prend par le bras et m'éloigne des invités) Jade souhaiterais que tu fasses un petit strip-tease pour te présenter à nous tous, vieux libertins.
— ...
— Elle t'attend dans la salle de bains pour t'expliquer. Arrivée à la maison, elle me fait face, me prend par la taille, trouve le corselet, m'observe, se colle à moi ses mains sur mes fesses, cherche la vérité, semble me reconnaître, mon cœur bat la chamade, putain elle va me découvrir... Tu es vraiment ravissante ! Et elle m'embrasse sur les lèvres. Dans un grand soulagement, sans me rendre compte du risque de me révéler, j'y réponds avec la langue. Coquiiiine ! Qu'elle ajoute d'un air entendu.

Je retrouve Jade face au lavabo à vérifier son maquillage. Elle me reçoit d'un bisou et ferme la porte à clé, elle me félicite pour ma réussite et m'annonce toute heureuse que personne ne s'est aperçu de ma supercherie. Elle me confirme son idée de strip et m'explique deux, trois trucs d'effeuilleuse, me fait répéter quelques balancements de bassin, quelques mouvements de bras, ma souplesse naturelle facilite l'apprentissage, puis un dernier conseil en sortant.

— Regarde bien les spectateurs et n'oublie pas de sourire !... Juste au moment de sortir elle me retient par la main. Attends ma chérie, fais attention à ton maquillage, elle retouche mon rouge à lèvres en ricanant. Des bisous, jeune fille ! Seulement des bisous du bout des lèvres. Allez, file, tu es la reine de la soirée.

En revenant dans le jardin, l'ambiance est surchauffée, sur une piste en parquet on s'agite, on chante, on danse, autour du buffet on boit, on batifole. René et Alain me tirent à eux, je n'arrive plus à les maîtriser quand Joyce s'écrit :

— NON ! NON ! Messieurs, un peu de retenue... Jane va nous offrir un petit spectacle !

Elle me prend par la main et me conduit avec beaucoup d'élégance jusqu'au milieu de la piste sous les exclamations et les applaudissements des danseurs qui s'éloignent en me cédant la place.

Le soir tombe sur l'étang, le ciel vire lentement du rouge orangé au violacé, l'air vibre au dessus des brûlots qui éclairent la pelouse. Les invités s'installent, les dernières notes du slow se perdent. Silence, le temps de m'intérioriser on entend les premiers accords de batterie suivis d'une voix d'outre tombe :
..." Déshabillez-moi, Déshabillez-moi, Oui mais pas tout de suiiiite, pas trop viiiite... "
Tous les yeux sont braqués sur moi. Debout au centre de la piste, je quitte mes chaussures à talon, et commence à balancer tranquillement le bassin de droite à gauche, d'avant en arrière, tout en relevant les bras comme me l'a montré Jade
..." Déshabillez-moi, mais ne soyez pas comme tous les hommes, trop pressés "
Lentement j'exagère l'ondulation de mon corps, des mains au dessus de ma tête jusqu'au bassin. Je tourne sur moi-même, je bouge avec souplesse, balance des fesses en faisant des huit. L'assistance s'enflamme, siffle, applaudit.

Face au public, je croise les mains sur mon visage puis descends en me caressant l'épaule, le sein du côté opposé, jusqu'aux hanches. Je déboutonne le bas de ma robe, découvre une cuisse et relève les pans de tissus en montrant mon ventre dénudé, puis je me caresse la poitrine, déboutonne le haut de la robe, découvre un sein sous la dentelle blanche puis l'autre... Sous les sifflets et les applaudissements, les bras écartés, j'ouvre en grand la robe. A quatre, cinq mètres des spectateurs, dans cette semi-pénombre, mes prothèses tenues dans la brassière sont confondantes. Je regarde fixement Martine qui avait des doutes sur ma féminité... Elle est ravie et m'envoie des bisous.

A nouveau, dos aux spectateurs, je laisse tomber la robe à mes talons et pratiquement nue, je m'amuse à chalouper du cul avant de reprendre mes déhanchements en forme de huit. Le public est en délire quand face à lui, je me caresse les seins et les hanches habillés de la brassière et du corselet en dentelle blanche, je passe un doigt sur mon sexe caché dans le slip brésilien en simulant une caresse vaginale très appuyée. Je défais et lance mon serre-taille à Joyce dans un grand sourire.

Tout s'accélère, de dos je dégrafe la brassière, baisse mon slip en serrant les cuisses et porte la robe à la hauteur de ma poitrine, une dernière volte face, en un éclair et en éclatant de rire j'arrache la perruque et jette la robe à Valérie quand s'évanouissent les dernières paroles de Juliette Gréco " … Et vous, déshabillez-vous ! ". John apparaît sous un tonnerre d'applaudissements.
Tout le monde est encore habillé, Jade se précipite pour m'apporter un peignoir, dans une attention toute maternelle.

Il fait nuit, les flambeaux, la musique, la clameur créent une ambiance déjantée. Les bouchons de champagne sautent, je trinque avec chaque invité, heureux et fier du tour que je leur ai joué. On rigole, on parle fort, on me félicite, certains regrettent le départ de Jane, d'autres se réjouissent de l'arrivée de John. La fête bat son plein.

Deux tables joliment décorées et éclairées de bougies sont dressées devant un barbecue où le maître de maison officie. Il nous appelle pour dîner et à sa demande le placement se fera au choix des dames sachant qu'il y aura changement de partenaires au milieu du repas.

Monique et Valérie les deux femmes avec "un quelque chose en plus" viennent me chercher et Joyce nous rejoint accompagnée de Trespatas et Théo .
Notre hôtesse sous prétexte de la proximité du barbecue, se débarrasse de sa blouse et exhibe sa lourde poitrine aux tétines de nourrice, soutenue par un sein-nu. Elle prend ses deux voisins par les épaules en braillant « Messieurs, la mise en bouche est servie ». Les coquins plongent sur les mamelles bronzées.

En réponse à l'exhibitionnisme de Joyce, mes voisines défont leurs robes et montrent leurs seins, deux nénés d'adolescente pour Valie et de vrais nichons pour Monique qui avec son pénis allie la plénitude féminine à la virilité masculine... Je butine de droite et de gauche tandis que leurs mains défont mon peignoir et s'accaparent de mon service trois pièces que je mets à leur disposition, cuisses largement ouvertes.
A la demande des autres, Valérie explique avec détail ma métamorphose sans oublier d'évoquer les rencontres faites à l'occasion. Tout ça fait que l'ambiance monte, les rires et les gloussements s'entendent d'une table à l'autre. Les caresses deviennent indécentes et de mon côté c'est une partie à six mains et trois pénis qui se joue.

A peine les huîtres de l'étang de Tau sont gobées que Joyce suivie de Valérie passent sous la table. Les gémissements, les grimaces de plaisir de nos vis à vis ne laissent aucun doute sur ce qui se passe sous la nappe. Valie agenouillée entre nous deux s'empare de nos tours jumelles, elle fond d'abord sur mon engin, me suce avant de me branler tout en changeant d'instrument, Elle embouche l'un et manipule l'autre avant de revenir à moi. Avec Monique on s'embrasse à pleine bouche, on se pelote sans vergogne, elle me murmure en pouffant de rire « Changement de partenaire ». En effet sous la table les deux coquines ont changé de côté et c'est Joyce qui nous suce et nous branle maintenant...

C'est chaud bouillant… Quand Polo devant le barbecue hurle :
— Changement de partenaires !... Qui la veut bien saignante ?

C'est Moune la jolie tahitienne qui vient me chercher et Martine la femme de mon cousin nous rejoint, les deux quittent leurs derniers vêtements, Jade vient avec nous encadrée de René (le copain de Valérie) et Moussa (le mari de Monique). Mes voisines déjà échauffées, oublient les préliminaires avec une jambe sur chacune de mes cuisses m'obligeant à faire le grand écart. Deux mains vérifient l'état du bonhomme… qui soit dit en passant, est en super forme, juste humide des fellations de Valérie et Joyce. Elles m'astiquent la trique, me tiraille les tétons, on s'embrasse, on batifole, si ça continue je vais jouir.

Heureusement les plats arrivent. Les viandes de poulet, d'agneau, de bœuf, les saucisses... sont savoureuses et les gratins dauphinois, les ratatouilles sont excellentes. Mais le bruit des fourchettes ne dure pas.

Jade est la première à disparaître sous la table en me faisant signe et je file la rejoindre au niveau du gazon. Mes deux voisines se mettent ensemble en passant le genou de l'une sur l'autre pour m'offrir d'un côté un abricot fendu et de l'autre une fleur tropicale.

Ma tête plonge dans la vallée aux fragrances délicates fermée par le fruit doré qui me délivre son nectar légèrement sucré.
De l'autre côté, mes doigts caressent une chair soyeuse, glissent entre les lèvres froissées, s'enfoncent dans la fente détrempée, la titillent en vibrato.
Telle une abeille, je change de vallée, j'y trouve une odeur plus sauvage, je butine la fleur couverte d'une écume aigrelette. Je lèche l'excédent de liqueur, glisse entre les deux pétales et cherche en son cœur la mouille pour polliniser le bouton au sommet de la tige. En même temps, de deux doigts je fouille l'autre vulve.
Les mains m'encouragent à être plus glouton, plus énergique, les cuisses se referment et m'immobilisent au creux de leurs ventres. Enfin elles me libèrent et me laissent revenir à table. Je leur fais partager les élixirs qui couvrent mes doigts et mes lèvres. Mais le maître de maison nous interrompt à nouveau dans nos plaisirs.

— Les amis, il n'y a pas d'anniversaire sans gâteaux et sans cadeaux. Pendant qu'on va dresser la table des desserts je vous propose... (tous les invités crient ensemble en voyant Théo arriver les bras chargés) LES CADEAUX !... LES CADEAUX !...

Jade est la première à m'embrasser en me tendant son paquet et murmurant « Même loin de moi, tous les jours tu me toucheras », c'est un vide poche en bronze avec l'empreinte de son sexe créée à partir d'un moulage. Puis Alain me tend une boîte en carton entoilé de prés d'un kilo c'est un plug en acier sûrement en souvenir de celui en latex offert lors mon dépucelage et accompagné d'un billet « Maintenant tu joues dans la cour des grands ». René et Trespatas m'offrent ensemble un gode monstrueux formé de quatre œufs superposés entre trois et sept centimètres avec un flacon lubrifiant spécial forte dilatation. Enfin Valérie s'accroche à mon cou en murmurant : « Tiens p'tite sœur...Pour tes tétons ! », je ressens alors deux brûlures violentes, mon cri d'effroi est étouffé par ses lèvres... Chutt, sois sage, la douleur va passée. Elle s'écarte de moi et je découvre deux pinces crocodile reliées par une lourde chaîne fixées à ma poitrine.

Les cadeaux se ponctuent de remerciements, de rigolades et de blagues en tous genres. Tout de suite la maîtresse de maison me prend par la taille et me pousse vers le buffet :

— John, viens mon chéri !, et tous les autres hurlent : LES GÂTEAUX !... LES GÂTEAUX !..

Sur la table encadrés de 19 bougies il y a deux gâteaux originaux. L'un en pâte à chou, représente un pénis décoré d'un glaçage chocolat qui reprend le détail des veines, du prépuce et du gland. L'autre, une génoise en forme de navette reprenant l'empreinte du sexe que ma tante en crème aux fraises. Le réalisme des deux sexes semble extraordinaire.


— Dis- moi Jade, que je demande d'un air moqueur, en prenant ma tante par la taille, c'est fait d'après nature ?
— Ah ouais Jade, gueule Moussa, fais-nous voir !... Et tous reprennent ensemble : ON VEUT VOIR !... JADE A POIL !... JADE A POIL !

Ma tante ne se démonte pas. Elle s'allonge sur la pelouse , écarte les pans de sa robe et se montre nue... Et là, tous les autres à genoux, l'inspectent, la caressent, la tripotent de partout... Le jeu dure un peu, de telle sorte que Joyce est obligé d'annoncer :

— Le dessert est servi !

Je souffle mes bougies et retrouve Jade pour le dessert. Les gâteaux sont dégustés au son de « Happy Birthday » de Stevie Wonder dont les paroles sont reprises en chœur puis s'enchaîne « Ti amo » ce qui me permet d'ouvrir le bal avec ma tante. Quand je suis juste en peignoir de bains avec la chaînette attachée à mes tétons, elle est encore en robe. On danse, on s'embrasse comme des amants, tous les couples nous rejoignent. C'est alors qu'elle me prend par la main et me tire vers un coin tranquille en murmurant « Ce soir, je veux être la première à m'offrir, la première à te recevoir ! »

Les avis des lecteurs

Tu as raison cher lecteur mais jusqu'où le conduira-t-il/elle ?

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Texte coquin : Rencontre du 3ème sexe Chapitre 8 - Lors de mon anniversaire
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