Rencontre du 3ème sexe Chapitre 9 - Assumer sa sexualité

- Par l'auteur HDS John62 -
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Récit libertin : Rencontre du 3ème sexe Chapitre 9 - Assumer sa sexualité Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Rencontre du 3ème sexe Chapitre 9 - Assumer sa sexualité
Après le dîner de mon anniversaire, ma tante Jade m'emmène à l'écart de la fête vers un coin éclairé de chandeliers, aménagé de trois matelas king-size disposés en U à même le gazon. Debout, face à face, les bras croisés autour du cou de l'autre, on se regarde intensément... Quinze jours déjà ! Quinze jours que je suis arrivé à Montpellier, quinze jours qu'elle m'a éduqué, m'a appris à la conduire vers l'extase, que nous sommes amants. Ses yeux brillent d'amour, je crois voir une larme. Elle comme moi, avons le cœur gros, nous savons que demain nous serons séparés, que je rentrerai à la maison et que ce soir nous nous aimons une dernière fois.
Dans la semi-pénombre, nous nous embrassons tendrement. Elle m'entraîne dans quelques pas de danse. Elle défait mon peignoir, le repousse de mes épaules et en même temps j'abaisse les bretelles de sa robe qui d'un coup s'étale en corole à ses pieds. Nous évoluons nus, ses seins plaqués à ma poitrine, son ventre au mien, je bande entre ses cuisses,

— Tu as gardé tes pinces... (j'ai fixé aux tétons, la chaîne offerte par Valérie, ma "sœur de cœur"). Tu t'y habitues ?
— C'est comme anesthésié... Ta caresse réveille une gêne très excitante... Mmmm ! Oui ! comme ça avec tes doigts... de haut en bas... Hummm... c'est bon, une délicieuse douleur.
— Serais-tu un peu maso, mon chéri ?

On danse sans vraiment bouger, mes mains sur ses fesses, ses mains sur ma poitrine. Nos lèvres jointes, sa langue effleure mes lèvres, glisse entre mes dents, Je la sens frissonner sous mes caresses. Je m'assieds sur un matelas et l'entraîne On s'allonge de côté. On se dit des mots doux, je la butine de l'oreille au cou, jusqu'à la gorge, puis la renverse sur le dos en la tenant par les poignets, sous mes lèvres son mamelon se contracte... Malgré la cinquantaine et sa maternité, ses seins sont superbes, se tiennent bien, joliment galbés ils pointent vers le haut. Avec beaucoup de douceur, je les échauffe, elle bombe le torse, respire fort, je réponds à ses attentes en étant plus gourmand, presque brutal, je la mords, d'un coup je la prends au sexe. Elle est trempée.

D'un même élan, on fait un tête à queue, presque avec furie elle saisit ma queue, l'avale, me suce bruyamment... Avec un genou relevé elle me présente sa vulve ruisselante. J'écarte les pétales comme les feuilles d'un livre et trouve la fente à laquelle j'étanche ma soif.

Son bassin s'anime lentement en coït, elle gémit d'impatience. Je change de position, elle m'attend, genoux relevés. L'accouplement est immédiat, profond, les pubis se soudent pour un moment d'étreinte, un moment de délectation.

Ses muscles se contractent sur ma verge. On s'aime tendrement, intensément. Notre union est douce, sensuelle, nos corps ondulent l'un sur l'autre, sans fantaisie, d'un amour pur... Ses ongles se plantent dans mes fesses, son visage se crispe, son corps se tend, elle jouit sous moi, gémit à peine. En même temps, mon orgasme est puissant, fort et tout à la fois secret, elle me reçoit avec beaucoup de tendresse. On reste longtemps unis dans le silence de la nuit, nos respirations se calment. Je lui abandonne mes forces, me dissous en elle. Elle me sourit, les yeux plein de larmes,on partage le même plaisir, la même tristesse. On s'embrasse du bout des lèvres, elle murmure « Va mon chéri ! Profite de ta soirée et n'oublie pas, tu es l'amant qui me correspond ! » On reste encore un moment serrés l'un à l'autre avant de se relever.

— Allez mon chéri, rejoignons les autres...

On retrouve la lumière des flambeaux, l'ambiance de fête et nos amis. La plupart se trémoussent sur le piste de danse, Alain (mon cousin) et René (le compagnon de Valérie qui a un petit quelque chose en plus) sont attablés et nous voient arriver. Mon cousin me fait signe.

— Viens John, prendre une coupe avec nous... Tu nous manquais. Avec René nous parlions de toi, il me racontait comment vous vous êtes connus à la plage et comment tu es devenu intime de sa copine, au point de vous déclarer "sœurs de cœur". Bravo à elle pour ton travestissement ! Vous nous avaient tous bluffés ». Alain m'entoure de son bras, me serre contre lui, je retrouve sa nature dominatrice, il écarte mon peignoir, joue avec mes tétons. Il s'amuse à aviver la blessure des pinces, à me voir bomber le torse, à m'entendre gémir de douleur, il me mord dans le cou, réveille mon instinct de soumission, il ajoute à voix basse en minaudant. « Tu as fait du chemin depuis la Bretagne, tu es devenue une vraie ladyboy ! ». Son attitude, ses paroles me font sentir femme.

D'un coup, il détache une pince de mes seins et me provoque un sursaut de douleur, sa bouche couvre mon mamelon de salive, aspire mon téton endolori qui s'allonge entre ses lèvres. Rapidement la brûlure s'estompe et fait place à un plaisir étrange. René vient face à moi, il m'observe, me sourit d'un air narquois et arrache quasiment l'autre pince en me faisant hurler. Il joue à me faire mal, roule le téton entre son pouce et l'indexe et d'une main m'étouffe en plaquant mon visage à son pantalon. Sous la pression de ses mains à mes épaules,je m'agenouille à ses pieds, je défais la ceinture, sans slip sa bite me jaillit à la gueule alors que mon cousin me fout sa queue dans la main. Je suce l'une et caresse l'autre, deux triques dures comme du béton.
La musique s'arrête et avant de reprendre, mon oncle Théo et Polo, le maître de cérémonie, nous rejoignent.

— On ne vous dérange pas... J'ai l'impression qu'on s'amuse bien par ici ». Les deux forment le carré, l'un m'aide à le défroquer, l'autre sort son sexe à peine bandé

Deux autres queues, beaucoup moins fermes, tout aussi épaisses se présentent à moi. Polo me caresse la joue de la pointe avant de s'imposer dans ma bouche. Je tiens l'engin de Théo tout en branlant son fils et suçant Polo, René s'est mis à mon côté, il me pelote les fesses et me trifouille le fion bien ouvert dans la position cambrée que j'ai, assis sur mes talons.
La ronde se forme et tourne, je ne vois alors que des pantalons baissés ou des braguettes ouvertes, des sexes qu'on agite. Ils se remplacent à tour de rôle, j'en ai toujours un en bouche et deux en mains. L' autre attend son tour, se maintient en forme, me taquine l'oreille, ou me frappe l'épaule... Phallus, Priape, Pénis se succèdent. J'entends des grognements graveleux « … C'est une accroc à la bite... C'est une bouffeuse de poireaux... » C'est vrai que je me sens salope, affamée de sexe, assoiffée de sperme, je m'amuse à être encore plus cochonne. Mécaniquement ma bouche suce, lèche, pompe ; mes mains enserrent, branlent, passent de tronc en tronc. Les genoux immobiles au sol la ronde tourne autour de moi.

Des mains me caressent,me tripotent, me maltraitent les tétons, me doigtent l'oignon. Le gang-bang se prolonge. Je reçois les premières giclées de sperme que j'avale mais déjà un autre sexe se présente. A nouveau la semence jaillit, elle déborde de ma bouche, coule sur ma poitrine, je ne sais qui je suce, qui je branle, qui m'arrose, c'est pure folie. Certains se terminent à la main, d'autres en redemandent... peu à peu les verges deviennent molles, baissent la tête, on m'aide à me relever, on m'applaudit Je souris aux quatre.

Souillé de partout. Jade toute maternelle, veille sur moi et vient à mon secours, elle reprend le peignoir abandonné au sol et m'emmène vers la maison.

— Mon pauvre chéri ! Qu'est-ce qu'ils t'ont mis... Viens, je vais te laver et te démaquiller.

Sous la douche, après la fureur du gans-bang je retrouve la tendresse de ma tante. Tout est bien-être, douceur, dans ses mains qui me savonnent, sous ses doigts qui me démaquillent, je me laisse dorloter. A la sortie de la salle de bains, nous bavardons un moment assis près du buffet des desserts puis nous nous dirigeons vers la piscine. Nous rencontrons Moussa, le beau sénégalais, et Jade me laisse aller seul jusqu'à l'eau.

Je retrouve Monique, l'hermaphrodite aux beaux seins en compagnie de Trespatas, l'ivoirien.

Plouff ! Je les rejoins et en deux brasses je suis avec Monique, sa queue ballotte au grès de l'eau et ses seins sont deux flotteurs. Je m'agrippe à ses épaules, m'écrase contre sa poitrine, elle m'enserre de ses bras et de ses jambes, colle son sexe à mon ventre, en chuchotant «  Jane ! Tu m'as épatée avec ton travestissement, Tu étais superbe ! » On se frotte l'une à l'autre, un courant de sympathie passe tout de suite. On s'embrasse en pouffant de rire avant de faire quelques brasses pour retrouver Trespatas qui nous appelle depuis le bord du bassin.

— Allez mes mignonnes, venez me sucer !

C'est Jane qu'il veut avec Monique, peu lui importe l'abandon de ma coiffure, de mon maquillage, il veut les deux femelles que nous sommes. Nous arrivons et nous mettons entre ses jambes plongées dans l'eau. Au milieu d'une toison crépue, la queue d'ébène repose sur deux gros fruits, du bout des doigts il dégage le gland, couleur chocolat, en nous fixant du regard. On se tient par la taille, nos yeux pleins de malice. Alors que je prends les fruits, elle s'occupe du tronc, le membre grossit, se redresse rapidement.

Je joue avec les "deux boules de geisha"alors que Monique lèche la "petite poire chocolatée" avant de me la passer. Je la taquine du bout de la langue, m'habitue à la grosseur du fruit et la bouche pleine je lui plante les dents à la base... Il maugrée entre ses dents « Salope ! Ne mords pas ! » et nous tirent hors de l'eau :

— Venez qu'on s'amuse tous les trois.

En chemin nous voyons sur la piste de danse, Jade et Moussa... Ils ne dansent pas vraiment, Jade accrochée au cou du black, lui jambes fléchies, ils font l'amour debout au milieu de la piste. Plus loin, côté câlin les trois matelas sont occupés. Les corps s'enchevêtrent, on n'entend que soupirs, ahanements et gémissements. Mon cousin pilonne Valérie. Polo et Théo prennent Moune, la tahitienne, Martine et Joyce baisent avec René (le mec de Valie).

Monique s'allonge à côté de Valie et me tire sur elle en murmurant « Suce-moi ! ». Elle bande dur et tient sa queue pour me la donner, elle est sacrément montée, peut-être mieux que moi. A genoux entre ses cuisses j'engloutis presque la moitié du morceau. Trespatas assis au bord du matelas, nous regarde tout en me caressant le popotin et murmurant « Quelle vorace, ne lui bouffe pas le morceau ! » d'un coup il s'applique à me faire une feuille de rose. Surpris, je creuse les reins et lui tends les fesses.

L'homme me pénètre d'un doigt mouillé. va et vient, me lèche encore, ce sont deux doigts qui taquinent la prostate. Il s'amuse à me voir tortiller du croupion tout en suçant la copine :

— Toi t'aimes la bite ! me dit-il. Gourmande des deux côtés à la fois !. Ce sont trois doigts qui maintenant m'excitent la chatte. Je vais jouir comme une gonzesse, putain qu'il arrête !
— Prends- moi !, que je supplie à mi-voix
— Attends ! Tu vas voir ma salope.

Alors il me saisit par les hanches. Je sens sa verge sur mes fesses, il pousse, je l'accompagne, je m'offre le mieux possible mais rien n'y fait, il est trop gros !. Il me crache dessus et maintenant ce sont quatre doigts qui me taraudent sans se soucier de mes plaintes. La bite se repositionne, mes chairs se distendent, je sens la pointe bien en place, il me tire à lui, et d'un coup mon cul avale le morceau.

Dans un "Han" il apprécie sa victoire et me laisse faire... Après un moment, je m'empale lentement jusqu'à ce qu'il remplisse ma caverne. Pas suffisamment pour lui, d'un coup puissant, son glaive transperce les derniers centimètres sous un "Aïïïe" de surprise. Ça y est, son pubis est contre mes fesses. Il sait qu'avec ses 25 centimètres, il vient de me dépuceler une seconde fois.
Il ondule lentement du bassin en défonçant le rectum, je mouille comme pas possible Il amplifie ses mouvements puis accélère quand il voit mon anus déborder d'écume dans un chuintement indécent. L'homme impose sa loi à la femelle que je suis devenue .

Pendant tout ce temps Monique attendait patiemment que je reprenne ma gâterie. Je lui suce le gland, lui titille le méat, joue de la flûte sur l'urètre, lui tripote les couilles. Nous sommes tous les trois en harmonie. Je l'avale jusqu'à en avoir des haut-le-cœur. Mais elle veut autre chose, elle bascule son bassin et passe ses jambes sur mes épaules. J'ai sous mes lèvres au creux de ses fesses sa rondelle sombre aux tonalités du bleu au rouge. Je bande de nouveau comme un cerf. Je lèche, titille le petit trou, étire les chairs, le couvre de salive ... Son bassin s'anime, elle grogne d'une voix rauque « Jane ! Baise-moi ! »

Entre les deux je suis une poupée de chiffon, Trespatas me redresse, elle rampe sous moi, positionne ma verge à sa fleur bleue et d'un coup de reins l'homme me pousse dans les fesses de la fille.

Je baise cette femme aux seins en forme de pomme et en même temps j'ai ce sexe qui jaillit de mon ventre. J'encule cette femme et en même temps on me défonce en me prenant par les seins. Tout se mélange elle est femme et homme, je suis homme et femme.

Trespatas anime notre trio. La secousse de nos corps, les râle de l'une et les gémissements de l'autre, les grognements du troisième attirent l'attention de nos voisins. Monique me couche sur elle et l'homme se met sur pieds pour me pourfendre à la verticale comme une grenouille, je ne suis qu'un réceptacle, un sac à foutre dans lequel il se vide en rugissant. Enfin il se relève et me libère.

Je redeviens l'amant de cette femme, aux lèvres pulpeuses, à la chevelure soyeuse. Je lui fais l'amour tendrement. Elle m'enserre de ses bras et ses jambes, notre coït est intense, devient brutal. Elle bouge, me repousse, siffle entre ses dents « Viens que je te prenne ! ».

Notre jeu de jambes fait que je passe à l'extérieur des siennes, on se sépare et elle me pénètre sans difficulté, mon cul étant littéralement éclaté. Je deviens Andromaque à califourchon sur Hector, observée par mes voisins. En appui sur sa poitrine, le sperme coule de mes fesses et ruisselle sur elle. Je lui caresse les seins, je joue aux chevaux de bois sur son ventre, la tête levée aux étoiles, irrésistiblement je pars en arrière en appui sur ses genoux, mon compas largement ouvert, je suis femme en quête de plaisir anal, je suis homme quand Monique me prend le sexe. Elle me branle beaucoup plus vite que je ne lui fais l'amour, je sens mes couilles battre son ventre. Ça y est ! Je jute, elle étire le prépuce un maximum, je jouis deux, trois fois en l'air puis je me vide sur sa main. Je ne cesse de forniquer, je la sens bien, ses mains se crispent sur mes jambes, ses ongles s'enfoncent dans mes chairs, elle est prise de spasmes, je sens sa bite se contracter. Je reviens sur elle, son ventre est poisseux de sperme, ses seins sont fermes, on éclate de rire en s'embrassant.

Autour de nous ce ne sont que copulations, sauf Valérie qui me regarde. Elle semble fatiguée, son rimmel coule, je pense aux paroles de ''Paris s'éveille''. Elle me tend la main

— Chouchou, allons nous asseoir, Moussa et ton oncle m'ont cassée... Un peu à l'écart elle se pelotonne dans mes bras, grogne de reproche. Dis-donc, p'tite sœur, t'aime les gros nichons !
— Euh... C'est très féminin.
— Et moi je ne suis pas féminine, avec mes p'tits nénés ? Tu sais dans notre genre, tu as les filles naturelles et t'as les bimbos. C'est vrai que Monique avec son gros zizi et ses lolos attire les regards
— C'est un être étrange et lui faire l'amour est aussi étrange. Je n'ai jamais ressenti cette excitation sexuelle. Avoir une femme sous les yeux et un homme dans le cul. Pour faire simple si c'est possible, Monique c'est un mec qui est devenu femme. Toi tu es femme avec ce clito si particulier.

Je me plie sur elle pour la sucer quand elle me repousse
— Non sœurette, je suis fatiguée, restons sagement toutes les deux à nous aimer... Je suis triste ! Jade m'a rappelé que tu partais demain, qu'on ne va plus se voir.
— On s'écrira, on se téléphonera...
— Se caresser, s'aimer par téléphone... Tu crois ?.
— Mais je reviendrai, et toi... Tu viendras me voir !. Dès mon retour, je ferai le nécessaire pour quitter mes parents, pour être chez moi.
— Oh oui !!!. Dès que tu seras chez toi, je viendrai te voir et on fera l'amour. Et n'oublie pas, si tu es l'amant de ta tante, tu es ma petite sœur et j'ai droit de regard, devoir de surveillance.

Les avis des lecteurs

Oui,oui
John/Jane est un tendre !

Histoire Erotique
Eh oui la tendresse entre Valérie et Jane est aussi très agréable à lire
Nico



Texte coquin : Rencontre du 3ème sexe Chapitre 9 - Assumer sa sexualité
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