Rencontre et caresses au cinéma
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2024 dans la catégorie Plus on est
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Rencontre et caresses au cinéma
Rencontres et caresses au cinéma,
Nous avions fait, Karen et moi, plusieurs rencontres dans des salles de cinéma. Mais, une rencontre nous avait particulièrement excitée. Comme d’habitude lorsque nous allions chercher une expérience en cinéma, Karen s’habillait très exhib. Mais cette fois là, nous avions décidés que Karen serait très "vieille France". Ce soir là, elle avait mit une jupe moyennement courte, légèrement au dessus des genoux, et un soutien gorge, certes assez échancré, mais sous un chemisier très légèrement transparent. Nous avions choisi l’avant dernière rangée au fond de la salle et le milieu de la rangée. Nous avions un peu flirté avant le début du film. J’avais bien remarqué qu’un homme d’une quarantaine d’années nous avait visiblement remarqués. Même en "vieille France", Karen restait tout de même très attirante et superbement sexy. Moi je jouais à l’accompagnateur dragueur amenant une femme au cinéma pour essayer de la draguer. Déjà, le petit flirt d’attente de l’obscurité avait été simple et discret. Et la séance a commencé. Le gars se retournait souvent. Il nous surveillait. Alors j’entamais quelques approches amoureuses, pendant un baiser je posais une main sur un sein. Karen, faisant semblant de refuser, a sorti ma main indiscrète. Mais j’avais poursuivi par une caresse sur une cuisse. Et là, Karen, après plusieurs essais, m’a laissé faire. J’ai donc remonté le long de sa cuisse et entrait sous sa jupe. Les actualités, quelques publicités et l’entracte a rallumé la salle. Faisant mine d’être gênée, Karen a un peu insisté pour sortir ma main de sous sa pupe. Là, le gars s’est levé et est allé aux toilettes et au retour est venu s’asseoir derrière nous alors que Karen et moi étions en plein flirt. Voilà, maintenant j’étais sûr d’avoir un complice pendant le film. Durant l’entracte, nous avons flirté et Karen laissait ma main posée sur son genoux tant que je ne remontait pas. Pour le moment, elle n’était pas sensée avoir remarqué le voyeur derrière elle. Et le film a commencé. Nous avions choisi un film réputé pour être à la limite de l’érotisme, avec quelques scènes érotiques sans être pornos. Du coin de l’œil, je surveillais le futur complice et son comportement. Je pouvais voir qu’il se penchait discrètement pour voir si mes caresses devenaient "intéressantes". Alors je profitais d’un baiser plus appuyé pour ouvrir quelques boutons de son chemisier. Maintenant décolleté jusqu’à la ceinture de sa jupe j’écartais ce décolleté pour exhiber un soutien gorge très échancré qui annonçait une très belle poitrine, avec des tétons partiellement découverts. Le gars se penchait pour voir et surveiller cette progression, je lui faisais signe de regarder très discrètement. Ainsi, je devenais son complice et il savait que je "l’aiderai" à pouvoir la zieuter sans qu’elle ne sois consentante. Pendant ce temps, je tâtais les seins par dessous, par dessus et commençais à dégager les tétons qui pointaient sans pudeur. En insistant, et sans résistance je dégageais entièrement le premier sein et Karen, s’est penchée à mon oreille pour me signaler qu’elle avait deux seins, et que ce soutif s’ouvrait facilement aussi par devant. Lorsque j’ai dégrafé le soutif, effectivement par devant, les seins, comme libérés de leur prison, ont sautés, comme heureux de retrouver leur liberté. Le gars a donné un coup de tête en avant. Visiblement il avait l’air d’apprécier le tableau. Le pouce levé je lui donnais mon consentement mais qu’il fallait qu’il soit discret. Il m’a fait un clin d’œil de consentement. J’ai entouré Karen par les épaules pour lui caresser le sein droit sachant qu’X regardait. Retirant doucement ma main, j’ai fait comprendre à mon complice qu’il pouvait prendre discrètement ma place sur le sein libéré pendant que je prenais possession du second. Mais mon plan devenait autre puisque j’étais sensé faire comprendre à Karen que je n’étais pas le second caresseur. Alors que (celui que j’appellerais)Paul avait réussi à poser une main sur le sein libéré, je caressais le cou de ma femme. C’est alors que Karen a baissé la tête et suivant le long de ce bras qui ne pouvait être le mien, elle aperçut l’ombre de la tête de Paul. Sans brutalité ni énervement elle a repoussé, comme nous avions prévus, cette main inconnue. Paul a attendu quelques secondes avant de revenir à la charge. Ce refus, toujours calme, s’est répété 3 fois pour en arriver à une résignation. Elle a laissé Paul la caresser. A ce stade j’ai abandonné le second sein et arrivé à la résignation Paul a prit possession de la poitrine de ma femme. J’ai laissé Paul s’amuser quelques minutes avec les seins offerts pour en arriver à lui faire comprendre de venir s’asseoir aux côtés de Karen. Et je n’ai eu aucun mal à le lui faire accepter. Paul n’a eu aucunes difficultés à reprendre possessions de la poitrine de Karen. Elle a même accepté un petit baiser encourageant de sa part. De mon côté, je caressais une cuisse et Karen, qui consentante, les a écartées pour me faciliter l’accès à son trésor. Elle m’a offert ses lèvres pour me remercier du plaisir que je lui concédais, car je faisais signe à Paul de venir compléter mes caresses. Alors qu’il remontais sans refus le long des cuisses, je quittais foufoune pour aller caresser les seins encore tout vibrant de caresses de Paul. Bien sûr, je ne pouvais pas ne pas la téter comme elle aime. J’en profitait pour offrir à Paul je soin de faire pareil de son côté. Karen en totale acceptation, nous caressait tendrement les cheveux. Elle émettait de petits gémissements de plaisir. Elle partageait ses lèvres pour un baiser à Paul puis à moi dans ce mélange hautement érotiques de caresses et de flirt. L’excitation arrivant à grandes enjambées, Karen nous a octroyé de deux caresses sur nos braguettes, enveloppant nos queues de ses doigts imitant une gentille branlette. Sentant "que l’affaire était dans le sac" je chuchotais autant pour Paul que pour Karen :
« - Si tu es d’accord, il y a un hôtel à 100 m du ciné . On pourrait y finir la nuit ?
- Moi, je suis d’accord, si madame est d’accord ?
- D’accord … OUI, au point ou on en est, maintenant, et dans l’état ou vous m’avez mise. »
Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans une chambre d’hôtel, à 22 h pour faire un trio totalement improvisé.
Nous avions fait, Karen et moi, plusieurs rencontres dans des salles de cinéma. Mais, une rencontre nous avait particulièrement excitée. Comme d’habitude lorsque nous allions chercher une expérience en cinéma, Karen s’habillait très exhib. Mais cette fois là, nous avions décidés que Karen serait très "vieille France". Ce soir là, elle avait mit une jupe moyennement courte, légèrement au dessus des genoux, et un soutien gorge, certes assez échancré, mais sous un chemisier très légèrement transparent. Nous avions choisi l’avant dernière rangée au fond de la salle et le milieu de la rangée. Nous avions un peu flirté avant le début du film. J’avais bien remarqué qu’un homme d’une quarantaine d’années nous avait visiblement remarqués. Même en "vieille France", Karen restait tout de même très attirante et superbement sexy. Moi je jouais à l’accompagnateur dragueur amenant une femme au cinéma pour essayer de la draguer. Déjà, le petit flirt d’attente de l’obscurité avait été simple et discret. Et la séance a commencé. Le gars se retournait souvent. Il nous surveillait. Alors j’entamais quelques approches amoureuses, pendant un baiser je posais une main sur un sein. Karen, faisant semblant de refuser, a sorti ma main indiscrète. Mais j’avais poursuivi par une caresse sur une cuisse. Et là, Karen, après plusieurs essais, m’a laissé faire. J’ai donc remonté le long de sa cuisse et entrait sous sa jupe. Les actualités, quelques publicités et l’entracte a rallumé la salle. Faisant mine d’être gênée, Karen a un peu insisté pour sortir ma main de sous sa pupe. Là, le gars s’est levé et est allé aux toilettes et au retour est venu s’asseoir derrière nous alors que Karen et moi étions en plein flirt. Voilà, maintenant j’étais sûr d’avoir un complice pendant le film. Durant l’entracte, nous avons flirté et Karen laissait ma main posée sur son genoux tant que je ne remontait pas. Pour le moment, elle n’était pas sensée avoir remarqué le voyeur derrière elle. Et le film a commencé. Nous avions choisi un film réputé pour être à la limite de l’érotisme, avec quelques scènes érotiques sans être pornos. Du coin de l’œil, je surveillais le futur complice et son comportement. Je pouvais voir qu’il se penchait discrètement pour voir si mes caresses devenaient "intéressantes". Alors je profitais d’un baiser plus appuyé pour ouvrir quelques boutons de son chemisier. Maintenant décolleté jusqu’à la ceinture de sa jupe j’écartais ce décolleté pour exhiber un soutien gorge très échancré qui annonçait une très belle poitrine, avec des tétons partiellement découverts. Le gars se penchait pour voir et surveiller cette progression, je lui faisais signe de regarder très discrètement. Ainsi, je devenais son complice et il savait que je "l’aiderai" à pouvoir la zieuter sans qu’elle ne sois consentante. Pendant ce temps, je tâtais les seins par dessous, par dessus et commençais à dégager les tétons qui pointaient sans pudeur. En insistant, et sans résistance je dégageais entièrement le premier sein et Karen, s’est penchée à mon oreille pour me signaler qu’elle avait deux seins, et que ce soutif s’ouvrait facilement aussi par devant. Lorsque j’ai dégrafé le soutif, effectivement par devant, les seins, comme libérés de leur prison, ont sautés, comme heureux de retrouver leur liberté. Le gars a donné un coup de tête en avant. Visiblement il avait l’air d’apprécier le tableau. Le pouce levé je lui donnais mon consentement mais qu’il fallait qu’il soit discret. Il m’a fait un clin d’œil de consentement. J’ai entouré Karen par les épaules pour lui caresser le sein droit sachant qu’X regardait. Retirant doucement ma main, j’ai fait comprendre à mon complice qu’il pouvait prendre discrètement ma place sur le sein libéré pendant que je prenais possession du second. Mais mon plan devenait autre puisque j’étais sensé faire comprendre à Karen que je n’étais pas le second caresseur. Alors que (celui que j’appellerais)Paul avait réussi à poser une main sur le sein libéré, je caressais le cou de ma femme. C’est alors que Karen a baissé la tête et suivant le long de ce bras qui ne pouvait être le mien, elle aperçut l’ombre de la tête de Paul. Sans brutalité ni énervement elle a repoussé, comme nous avions prévus, cette main inconnue. Paul a attendu quelques secondes avant de revenir à la charge. Ce refus, toujours calme, s’est répété 3 fois pour en arriver à une résignation. Elle a laissé Paul la caresser. A ce stade j’ai abandonné le second sein et arrivé à la résignation Paul a prit possession de la poitrine de ma femme. J’ai laissé Paul s’amuser quelques minutes avec les seins offerts pour en arriver à lui faire comprendre de venir s’asseoir aux côtés de Karen. Et je n’ai eu aucun mal à le lui faire accepter. Paul n’a eu aucunes difficultés à reprendre possessions de la poitrine de Karen. Elle a même accepté un petit baiser encourageant de sa part. De mon côté, je caressais une cuisse et Karen, qui consentante, les a écartées pour me faciliter l’accès à son trésor. Elle m’a offert ses lèvres pour me remercier du plaisir que je lui concédais, car je faisais signe à Paul de venir compléter mes caresses. Alors qu’il remontais sans refus le long des cuisses, je quittais foufoune pour aller caresser les seins encore tout vibrant de caresses de Paul. Bien sûr, je ne pouvais pas ne pas la téter comme elle aime. J’en profitait pour offrir à Paul je soin de faire pareil de son côté. Karen en totale acceptation, nous caressait tendrement les cheveux. Elle émettait de petits gémissements de plaisir. Elle partageait ses lèvres pour un baiser à Paul puis à moi dans ce mélange hautement érotiques de caresses et de flirt. L’excitation arrivant à grandes enjambées, Karen nous a octroyé de deux caresses sur nos braguettes, enveloppant nos queues de ses doigts imitant une gentille branlette. Sentant "que l’affaire était dans le sac" je chuchotais autant pour Paul que pour Karen :
« - Si tu es d’accord, il y a un hôtel à 100 m du ciné . On pourrait y finir la nuit ?
- Moi, je suis d’accord, si madame est d’accord ?
- D’accord … OUI, au point ou on en est, maintenant, et dans l’état ou vous m’avez mise. »
Et c’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans une chambre d’hôtel, à 22 h pour faire un trio totalement improvisé.
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j'ai déjà vu deux filles se caresser sous la jupe au cinéma. Je me suis branlé en les regardant et j'ai bien joui !!