Rencontre et dialogue insolites.
Récit érotique écrit par XASS23 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Rencontre et dialogue insolites.
Je m’appelle Emilie Lescure. J’ai 69 ans et d’après mes anciens collègues de bureau j’étais toujours une belle femme élégante et lors de pots habituels du vendredi soir lorsque les discussions devenaient limite lubriques certains hommes trouvaient que j ‘étais sexy et excitante. C’est vrai que j’aimais et que j’aime toujours m’habiller à la mode en minijupe et que mon corsage met bien en valeur mon opulente poitrine qui se tient bien sans soutien-gorge.
Aujourd’hui samedi, j’ai décidé de visiter une exposition au musée Jacquemart-André sur le thème « Portraits de femmes »
Au détour des allées, je remarque qu’une jeune femme se trouve toujours à côté de moi et me regarde avec insistance en passant un doigt sur ses lèvres. Un peu intriguée, lorsque nous nous trouvons légèrement à l’écart, je l’interroge.
- « Bonjour mademoiselle, que me valent ces regards appuyés et ces mimiques ? nous ne nous connaissons pas. »
- « Tu m’excites et tu me plais madame. »
- « Qu’est-ce qui vous prend de me tutoyer et que sont ces paroles ? »
- « Je te répète, tu m’excites avec ta tenue sexy pour ton âge, ta minijupe fendue qui dévoile le haut de tes bas quand tu marches et ta poitrine agressive. »
Un peu choquée mais curieuse d’entendre cette très jeune femme s’adresser ainsi à une inconnue beaucoup plus âgée qu’elle, je ne me détourne pas et continue à l’écouter.
- « J’ai envie de vous caresser, de bouffer vos seins, vous me faites mouiller. Pour tout dire, j’ai envie de baiser avec vous. »
- « Eh bien ! je n’aurais jamais imaginé qu’une gamine comme vous puisse avoir un tel langage effronté face à une inconnue qui pourrait être sa mère voire sa grand’mère. »
- « C’est ça qui m’émoustille. M’offrir une mature aussi bien foutue que vous. Regardez, je me caresse en imaginant votre corps nu, j’ouvre mon corsage. Vous aimez mes seins ? »
- « Vous êtes malade ! soyez discrète, nous sommes dans un lieu publique. Je n’ai pas envie de cautionner votre attitude. »
- « Dis-moi que je t’excite aussi. Je suis sûre que tu mouilles toi aussi. Je le devine à tes jeux de jambes »
Elle n’a pas tort cette petite salope, malgré mon refus d’entrer dans le jeu, j’ai une sensation bizarre dans le bas ventre. Je serre et desserre les jambes. Je lui laisse poser une main sur ma cuisse et elle remonte délicatement sous ma jupe jusqu’à atteindre mon entre jambes.
- « Mais dis donc madame, tu n’as pas de culote ? Moi non plus »
Je ne réponds pas et ne réagis pas lorsqu’elle prend ma main et la plaque sur ses seins.
- « Caresse moi, je sens que tu en meurs d’envie. »
- « Arrêtons là ce petit jeu mademoiselle. C’est indécent. Je ne peux plus continuer ma visite dans l’exposition. Même si j’ai été surprise et troublée par votre attitude, ce serait mentir de vous dire que j’ai été ravie de vous rencontrer. Je rentre chez moi. »
- « Je préfèrerais que tu viennes chez moi, je te ferais découvrir des sensations que tu ne connais peut-être pas malgré ton âge sauf si tu es aussi salope que moi. Je saurais te faire jouir en t’explosant le cul et la chatte, mais si tu veux partir, je te donne ma carte de visite. Je suis interne à la Pitié-Salle Pêtrière. Attention si tu as envie de m’appeler, quand je suis au travail, je réponds rarement, il faut laisser un message. »
- « Vous continuez avec votre langage grossier. C’est un peu désemparé que j’ai laissé votre main sur mon entre cuisses. C’était une erreur. «
- « Peut-être mais j’ai bien senti que tu étais trempe donc excitée. Embrasse-moi donne-moi ta bouche. »
- « Arrêtons là. Je ne vous dis pas aurevoir. »
Je regarde rapidement la carte de visite et constate bien que Noémie Lemaire est interne des hôpitaux de Paris.
En rentrant chez moi, toute bouleversée par ma rencontre inattendue, je me refais le film de l’après-midi.
Excitée par l’attitude de celle qui n’est qu’une gamine pour moi et à la pensée que je peux plaire avec une telle différence d’âge et qui plus est, sexuellement à une femme, je m’admire devant la glace de ma salle de bains et instinctivement, je me caresse les seins jusqu’à me toucher l’entrejambes et constater que ma toison est très humide. J’ai donc mouillé comme me le disait ma rencontre mais je l’avais senti.
Ma nuit fut très agitée avec des rêves récurrents d’activités saphiques. C’était si intense que je me rends compte avoir vraiment mouillé mes draps car je couche nue.
A mon petit déjeuner de ce dimanche matin, il me vient l’envie curieuse d’appeler cette Noémie et de m’amuser un peu.
- « Allo ! madame Noémie Lemaire ? J’ai trouvé vos coordonnées indiquant que vous êtes internes des hôpitaux de Paris. J’aurais besoin d’une consultation à domicile. Est-ce dans vos possibilités ? »
- « Je ne sais pas qui vous êtes madame mais je ne travaille qu’à l’hôpital, je ne suis pas libérale. »
- « C’est dommage parce que je vous connais de vue et j’aurais aimé vous rencontrer physiquement. Pour tout dire, vous m’excitez, je trouve que vous êtes une jolie jeune femme très sexy. Moi je suis beaucoup plus âgée mais je devrais vous plaire. J’aimerais être près de vous. »
- « Je ne comprends pas votre appel, ni votre langage. Excusez-moi mais je vais raccrocher. »
- « Non, ne raccrochez pas Noémie. Toute la nuit j’ai rêvé de notre rencontre d’hier au musée. Votre attitude de jeune salope provocatrice a eu raison de ma réticence. En entendant votre voix et en vous imaginant en dessous sexy je me touche avec mon vibro. Vous diriez « je me branle » comme je l’ai fait en rentrant chez moi. J’ai l’impression que vous aimez les femmes et particulièrement les matures. »
- « Oui madame, malgré votre dénégation du moment, j’étais certaine de vous avoir excitée et espérait votre appel. Comme je vous l’ai dit j’aimerais te baiser quel âge avez-vous ?
- « 69. »
- « J’adore ce chiffe pour ce qu’il évoque !! mais nous y viendrons si vous en avez envie. Si je vous excite, voulez-vous que je vous fasse mouiller au téléphone ? »
« - Oui je vais me mettre nue sur mon lit et je vous écoute. »
- « Je peux même vous faire une vidéo. »
- « OK je vous attends sur mon portable. »
- « Tu peux me tutoyer salope regarde-moi. Je te montre mes seins que je te ferai bouffer je descends sur ma chatte velue, tu me lécheras la fente jusqu’à me faire exploser dans un abondant jet de cyprine et je donnerai mon cul. »
- « Arrête Noémie ce langage me mets en transe, j’ai déjà joui deux fois, j’ai trop envie de te voir et de boire ta mouille. Quand pouvons-nous voir ? »
- « Si vous voulez, je peux aller chez vous en fin d’après-midi. Ça vous va ? donnez-moi votre adresse. »
- « 7 rue …sonne au 35 Emilie Lescure »
- « Emilie Je veux te trouver à poil juste avec tes bas et un porte jarretelles. Je t’amènerai un petit cadeau. »
- « Je me branlerai en t’attendant pour être bien mouillée devant et derrière. »
Je me surprends à utiliser le même langage qu’elle avec des alternances de tutoiement et de vouvoiement. Surprise également de souhaiter une rencontre lubrique avec une femme. C’est la première fois mais le jeu me paraît passionnant eu égard à ma folle nuit de rêves.
* * 19h, Noémie se présente à l’interphone.
- « Monte, je t’attends avec impatience. »
A l’ouverture de la porte, j’ai plaisir à revoir mon contact du musée. Elle est vêtue d’un long imperméable noir qu’elle ouvre pour me montrer son corps entièrement nu.
- « Ça te plait petite chienne ? tiens mon petit cadeau. J’ai recueilli pour toi ce bocal de mon jus et de ma pisse. Je vais le verser sur tes seins. »
- « Tu es vraiment une sacré salope Noémie »
- « Oui mais une salope qui va te faire jouir. Tu m’as dit au téléphone que tu serais bien mouillée devant et derrière tu as envie de te faire fister, voire baisée et enculée par un gode ? »
- « Oui j’ai un gode ceinture que tu vas mettre sur ta chatte velue. »
- « Tu aimes mes poils ? »
- « Oui, quand je mate des vidéos pornos avec des femmes, je bannis toutes celles qui sont rasées, je n’aime pas ces pubis glabres. Viens contre moi, embrasse-moi seins contre seins. »
S’ensuit une longue embrassade passionnée où nos langues se lient et se délient en fouillant la bouche de l’autre et en échangeant nos salives. Nos mains baladeuses parcourent nos corps. Noémie déchainée me laboure le dos avec ses ongles et moi je fouille sa chatte.
- « Emilie lèche moi la fente, prends mon clito entre tes dents, mettons-nous en 69 sur le parquet, donne-moi ta chatte et envoie-moi ton jus dans la bouche »
- « Petite pute, tu me sembles déchainée mets moi un doigt et plusieurs dans le cul, j’adore jouir du cul, je le fais souvent avec mon gode. »
- « Si je suis une petite pute, tu es à ton tour une grosse salope. En te voyant au musée, je n’aurais jamais imaginé que je ferais jouir la femme prude que tu semblais être. As-tu d’autres aventures avec des femmes ou des hommes ?
- « Non, je suis très occupée dans une association caritative. Les brèves aventures que j’ai pu avoir sont du passé. A mon âge, je me satisfais moi-même avec toutes sortes d’objets que je commande sur internet. Tu as réveillé en moi le désir physique et fais connaître le désir saphique. Même si je m’excite de temps en temps en visionnant des vidéos de gouines, jamais je n’aurais imaginé caresser une autre femme. »
- « Tu me parles de ton âge mais tu vois bien que tu peux encore provoquer des désirs sexuels. J’ai vraiment envie de jouir avec toi. Continue à me lécher jusqu’à ce que j’explose. Tu aimes mes doigts dans ton cul ? »
- « C’est sublime ce que tu me fais, continue à fond, ta main plus loin et plus fort. »
Moi sur sa chatte dégoulinante de cyprine, elle dans mon trou arrière avec la main entière, un orgasme commun nous envahi, nos corps se raidissent jusqu’à l’explosion qui nous renverse côte à côte dans des cris de plaisir.
- « Eh bien madame Emilie êtes-vous satisfaite de ma présence ? »
- « Je crois que vous avez eu la réponse dans la fin de la partie madame Noémie. Avez-vous eu ce que vous cherchiez ? »
- « Je vous ferai la même réponse. C’est comme si j’avais dépucelé une inconnue. »
- « Ma chère Noémie, nous devons reprendre notre rôle de femmes bien éduquées, chacune dans nos activités. Je vous laisse partir en pensant que nous nous reverrons certainement au détour d’une exposition de peintures ou sculptures. Pourquoi pas au musée Jaquemart ?
Aujourd’hui samedi, j’ai décidé de visiter une exposition au musée Jacquemart-André sur le thème « Portraits de femmes »
Au détour des allées, je remarque qu’une jeune femme se trouve toujours à côté de moi et me regarde avec insistance en passant un doigt sur ses lèvres. Un peu intriguée, lorsque nous nous trouvons légèrement à l’écart, je l’interroge.
- « Bonjour mademoiselle, que me valent ces regards appuyés et ces mimiques ? nous ne nous connaissons pas. »
- « Tu m’excites et tu me plais madame. »
- « Qu’est-ce qui vous prend de me tutoyer et que sont ces paroles ? »
- « Je te répète, tu m’excites avec ta tenue sexy pour ton âge, ta minijupe fendue qui dévoile le haut de tes bas quand tu marches et ta poitrine agressive. »
Un peu choquée mais curieuse d’entendre cette très jeune femme s’adresser ainsi à une inconnue beaucoup plus âgée qu’elle, je ne me détourne pas et continue à l’écouter.
- « J’ai envie de vous caresser, de bouffer vos seins, vous me faites mouiller. Pour tout dire, j’ai envie de baiser avec vous. »
- « Eh bien ! je n’aurais jamais imaginé qu’une gamine comme vous puisse avoir un tel langage effronté face à une inconnue qui pourrait être sa mère voire sa grand’mère. »
- « C’est ça qui m’émoustille. M’offrir une mature aussi bien foutue que vous. Regardez, je me caresse en imaginant votre corps nu, j’ouvre mon corsage. Vous aimez mes seins ? »
- « Vous êtes malade ! soyez discrète, nous sommes dans un lieu publique. Je n’ai pas envie de cautionner votre attitude. »
- « Dis-moi que je t’excite aussi. Je suis sûre que tu mouilles toi aussi. Je le devine à tes jeux de jambes »
Elle n’a pas tort cette petite salope, malgré mon refus d’entrer dans le jeu, j’ai une sensation bizarre dans le bas ventre. Je serre et desserre les jambes. Je lui laisse poser une main sur ma cuisse et elle remonte délicatement sous ma jupe jusqu’à atteindre mon entre jambes.
- « Mais dis donc madame, tu n’as pas de culote ? Moi non plus »
Je ne réponds pas et ne réagis pas lorsqu’elle prend ma main et la plaque sur ses seins.
- « Caresse moi, je sens que tu en meurs d’envie. »
- « Arrêtons là ce petit jeu mademoiselle. C’est indécent. Je ne peux plus continuer ma visite dans l’exposition. Même si j’ai été surprise et troublée par votre attitude, ce serait mentir de vous dire que j’ai été ravie de vous rencontrer. Je rentre chez moi. »
- « Je préfèrerais que tu viennes chez moi, je te ferais découvrir des sensations que tu ne connais peut-être pas malgré ton âge sauf si tu es aussi salope que moi. Je saurais te faire jouir en t’explosant le cul et la chatte, mais si tu veux partir, je te donne ma carte de visite. Je suis interne à la Pitié-Salle Pêtrière. Attention si tu as envie de m’appeler, quand je suis au travail, je réponds rarement, il faut laisser un message. »
- « Vous continuez avec votre langage grossier. C’est un peu désemparé que j’ai laissé votre main sur mon entre cuisses. C’était une erreur. «
- « Peut-être mais j’ai bien senti que tu étais trempe donc excitée. Embrasse-moi donne-moi ta bouche. »
- « Arrêtons là. Je ne vous dis pas aurevoir. »
Je regarde rapidement la carte de visite et constate bien que Noémie Lemaire est interne des hôpitaux de Paris.
En rentrant chez moi, toute bouleversée par ma rencontre inattendue, je me refais le film de l’après-midi.
Excitée par l’attitude de celle qui n’est qu’une gamine pour moi et à la pensée que je peux plaire avec une telle différence d’âge et qui plus est, sexuellement à une femme, je m’admire devant la glace de ma salle de bains et instinctivement, je me caresse les seins jusqu’à me toucher l’entrejambes et constater que ma toison est très humide. J’ai donc mouillé comme me le disait ma rencontre mais je l’avais senti.
Ma nuit fut très agitée avec des rêves récurrents d’activités saphiques. C’était si intense que je me rends compte avoir vraiment mouillé mes draps car je couche nue.
A mon petit déjeuner de ce dimanche matin, il me vient l’envie curieuse d’appeler cette Noémie et de m’amuser un peu.
- « Allo ! madame Noémie Lemaire ? J’ai trouvé vos coordonnées indiquant que vous êtes internes des hôpitaux de Paris. J’aurais besoin d’une consultation à domicile. Est-ce dans vos possibilités ? »
- « Je ne sais pas qui vous êtes madame mais je ne travaille qu’à l’hôpital, je ne suis pas libérale. »
- « C’est dommage parce que je vous connais de vue et j’aurais aimé vous rencontrer physiquement. Pour tout dire, vous m’excitez, je trouve que vous êtes une jolie jeune femme très sexy. Moi je suis beaucoup plus âgée mais je devrais vous plaire. J’aimerais être près de vous. »
- « Je ne comprends pas votre appel, ni votre langage. Excusez-moi mais je vais raccrocher. »
- « Non, ne raccrochez pas Noémie. Toute la nuit j’ai rêvé de notre rencontre d’hier au musée. Votre attitude de jeune salope provocatrice a eu raison de ma réticence. En entendant votre voix et en vous imaginant en dessous sexy je me touche avec mon vibro. Vous diriez « je me branle » comme je l’ai fait en rentrant chez moi. J’ai l’impression que vous aimez les femmes et particulièrement les matures. »
- « Oui madame, malgré votre dénégation du moment, j’étais certaine de vous avoir excitée et espérait votre appel. Comme je vous l’ai dit j’aimerais te baiser quel âge avez-vous ?
- « 69. »
- « J’adore ce chiffe pour ce qu’il évoque !! mais nous y viendrons si vous en avez envie. Si je vous excite, voulez-vous que je vous fasse mouiller au téléphone ? »
« - Oui je vais me mettre nue sur mon lit et je vous écoute. »
- « Je peux même vous faire une vidéo. »
- « OK je vous attends sur mon portable. »
- « Tu peux me tutoyer salope regarde-moi. Je te montre mes seins que je te ferai bouffer je descends sur ma chatte velue, tu me lécheras la fente jusqu’à me faire exploser dans un abondant jet de cyprine et je donnerai mon cul. »
- « Arrête Noémie ce langage me mets en transe, j’ai déjà joui deux fois, j’ai trop envie de te voir et de boire ta mouille. Quand pouvons-nous voir ? »
- « Si vous voulez, je peux aller chez vous en fin d’après-midi. Ça vous va ? donnez-moi votre adresse. »
- « 7 rue …sonne au 35 Emilie Lescure »
- « Emilie Je veux te trouver à poil juste avec tes bas et un porte jarretelles. Je t’amènerai un petit cadeau. »
- « Je me branlerai en t’attendant pour être bien mouillée devant et derrière. »
Je me surprends à utiliser le même langage qu’elle avec des alternances de tutoiement et de vouvoiement. Surprise également de souhaiter une rencontre lubrique avec une femme. C’est la première fois mais le jeu me paraît passionnant eu égard à ma folle nuit de rêves.
* * 19h, Noémie se présente à l’interphone.
- « Monte, je t’attends avec impatience. »
A l’ouverture de la porte, j’ai plaisir à revoir mon contact du musée. Elle est vêtue d’un long imperméable noir qu’elle ouvre pour me montrer son corps entièrement nu.
- « Ça te plait petite chienne ? tiens mon petit cadeau. J’ai recueilli pour toi ce bocal de mon jus et de ma pisse. Je vais le verser sur tes seins. »
- « Tu es vraiment une sacré salope Noémie »
- « Oui mais une salope qui va te faire jouir. Tu m’as dit au téléphone que tu serais bien mouillée devant et derrière tu as envie de te faire fister, voire baisée et enculée par un gode ? »
- « Oui j’ai un gode ceinture que tu vas mettre sur ta chatte velue. »
- « Tu aimes mes poils ? »
- « Oui, quand je mate des vidéos pornos avec des femmes, je bannis toutes celles qui sont rasées, je n’aime pas ces pubis glabres. Viens contre moi, embrasse-moi seins contre seins. »
S’ensuit une longue embrassade passionnée où nos langues se lient et se délient en fouillant la bouche de l’autre et en échangeant nos salives. Nos mains baladeuses parcourent nos corps. Noémie déchainée me laboure le dos avec ses ongles et moi je fouille sa chatte.
- « Emilie lèche moi la fente, prends mon clito entre tes dents, mettons-nous en 69 sur le parquet, donne-moi ta chatte et envoie-moi ton jus dans la bouche »
- « Petite pute, tu me sembles déchainée mets moi un doigt et plusieurs dans le cul, j’adore jouir du cul, je le fais souvent avec mon gode. »
- « Si je suis une petite pute, tu es à ton tour une grosse salope. En te voyant au musée, je n’aurais jamais imaginé que je ferais jouir la femme prude que tu semblais être. As-tu d’autres aventures avec des femmes ou des hommes ?
- « Non, je suis très occupée dans une association caritative. Les brèves aventures que j’ai pu avoir sont du passé. A mon âge, je me satisfais moi-même avec toutes sortes d’objets que je commande sur internet. Tu as réveillé en moi le désir physique et fais connaître le désir saphique. Même si je m’excite de temps en temps en visionnant des vidéos de gouines, jamais je n’aurais imaginé caresser une autre femme. »
- « Tu me parles de ton âge mais tu vois bien que tu peux encore provoquer des désirs sexuels. J’ai vraiment envie de jouir avec toi. Continue à me lécher jusqu’à ce que j’explose. Tu aimes mes doigts dans ton cul ? »
- « C’est sublime ce que tu me fais, continue à fond, ta main plus loin et plus fort. »
Moi sur sa chatte dégoulinante de cyprine, elle dans mon trou arrière avec la main entière, un orgasme commun nous envahi, nos corps se raidissent jusqu’à l’explosion qui nous renverse côte à côte dans des cris de plaisir.
- « Eh bien madame Emilie êtes-vous satisfaite de ma présence ? »
- « Je crois que vous avez eu la réponse dans la fin de la partie madame Noémie. Avez-vous eu ce que vous cherchiez ? »
- « Je vous ferai la même réponse. C’est comme si j’avais dépucelé une inconnue. »
- « Ma chère Noémie, nous devons reprendre notre rôle de femmes bien éduquées, chacune dans nos activités. Je vous laisse partir en pensant que nous nous reverrons certainement au détour d’une exposition de peintures ou sculptures. Pourquoi pas au musée Jaquemart ?
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