Rencontre européenne
Récit érotique écrit par Bobo [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2005 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre européenne
<p> J’avais réussi à trouver un job d’été intéressant. Serveur dans un bar pendant deux ans, en saison, sur une plage landaise, c’était trop dur ! Mais on fait des connaissances. C’est comme cela que je me suis fait embaucher pour deux mois dans une agence immobilière. Mon travail consistait à conduire les estivants sur les lieux de leur location et à servir d’intermédiaire entre eux et l’agence. Evidemment, c’était surtout pour des doléances et souvent, je n’étais pas à la fête. Mais j’ai appris bien vite que c’était aussi l’occasion de faire la connaissance de jolies petites vacancières que je pouvais retrouver le soir dans les bars, puis dans les boîtes. Souvent aussi, j’avais l’occasion de les surprendre chez elles, lorsque je venais régler un problème. Dès la première semaine, j’avais déjà compris que l’été serait chaud et je trouvais cela excellent, car mon travail de la journée ne me fatiguait pas et j’étais en pleine forme le soir.
Ce matin-là, je devais me rendre chez une famille d’allemands qui avaient un problème électrique. Lorsque j’arrivai devant la villa, le locataire m’attendait. Soulagement, il parlait très bien le français. Il m’expliqua le problème que je ne sus résoudre et j’appelai l’électricien de l’agence. En attendant, le monsieur me proposa un café que j’acceptai avec plaisir. Il me fit asseoir en terrasse et demanda à sa femme de venir nous servir. En attendant, nous discutions du beau temps, de la plage. Il était vraiment sympa, la cinquantaine, grand, bien entretenu. Sa femme arriva avec le plateau qu’elle posa sur la table. Elle était splendide, assez grande, la quarantaine, blonde avec de longs cheveux en tresse, un visage souriant, de magnifiques yeux bleus. Son peignoir ample en soie verte ne laissait pas deviner grand-chose de ses formes. Néanmoins, lorsqu’elle se pencha pour me servir, je pus apercevoir furtivement la naissance d’un sein bronzé qui me sembla appétissant. Ayant aperçu la direction de mon regard, elle me gratifia d’un petit clin d’œil coquin. L’arrivée de l’artisan rompit le charme et nous sommes passés à des choses sérieuses. Le mari et moi, nous avons surveillé le travail et lorsque la panne fut réparée, je pris congé de mes locataires. La poignée de main que me donna la femme, ainsi que son sourire me troublèrent un peu.
Le lendemain après-midi, j’étais libre et je me baladais dans la rue piétonne, en tenue de plage, à la recherche d’une connaissance avec qui je pourrais bien aller surfer. J’étais en train de réfléchir à qui pouvait bien être libre, lorsque je fus ramené sur terre par un appel qui venait de la terrasse du café devant lequel je passais.
- Monsieur ! Monsieur !
Ne sachant à qui il était adressé, je me retournai tout de même. C’était bien pour moi, la dame allemande de la veille me faisait de grands signes. Elle était seule à la table. Je m’empressai de la rejoindre et m’assis à côté d’elle.
- Bonjour !
- Bonjour, que faites-vous seule à cette heure-ci, vous devriez être à la plage ! Votre mari n’est pas là ?
- Il fait une sortie VTT avec les enfants et des amis. Je n’aime pas.
- Et la plage ?
- Il y a beaucoup de monde et je n’aime pas non plus ! Buvons un café !
Pendant qu’elle commandait, je l’observai de près. Elle portait un petit short rose qui mettait bien en valeur ses belles jambes bronzées. Et un petit caraco noir à fines bretelles qui me permettait de constater que sa poitrine était bien ronde et même qu’elle n’avait pas besoin de soutien-gorge !
Evidemment, elle a parfaitement vu que je l’observais de la tête aux pieds et encore une fois, elle me lança son clin d’œil meurtrier. Cela me donna une idée sublime.
- Si vous voulez, je vous emmène à la plage dans un endroit tranquille !
- Oh oui ! Super ! Est-ce que l’on peut bronzer nus ?
- Euh… Oui, si vous voulez, je connais un coin comme cela !
- Alors allons-y ! Moi, je m’appelle Ingrid !
- Et moi, Julien.
Elle régla les consommations et nous nous dirigeâmes vers ma voiture.
- Il faut passer à la maison, je vais prendre mes affaires.
- D’accord.
Elle semblait ravie de se promener dans le 4X4 décapoté et moi, j’étais bien content de conduire une nana aussi sexy ! Arrivés à la villa, elle me fit descendre pour ne pas que j’attende en plein soleil. En fait, elle avait à peine ouvert la porte qu’elle me colla au mur de l’entrée et me roula une pelle d’enfer, enroulant sa langue à la mienne, pour un baiser qui me parut durer une éternité. Elle se décolla aussi soudainement, sans que j’aie pu esquisser un geste. Elle partit dans la maison en chantonnant, me laissant les bras ballants et la bite en feu dans mon maillot de bain. Elle revint en maillot deux-pièces noir recouvrant le strict minimum, sa serviette, un grand chapeau de paille et son sac.
Nous voilà partis sur les chemins de forêt, au milieu des pins, à la recherche d’une plage sauvage. Je connaissais bien le pays et nous nous retrouvâmes bientôt en vue de la dune, à cinq kilomètres de la plage principale. Le seul inconvénient, c’est qu’il allait grimper la dune, mais ensuite, liberté totale !!
Une demi-heure plus tard, nos efforts furent récompensés : il n’y avait personne à cet endroit-là à moins de cent mètres ! Elle était ravie, étala sa serviette et dégrafa le haut de son maillot. Sa poitrine jaillit, magnifique. Elle me l’offrait, soupesant ses seins bien ronds, bien bronzés, avec des aréoles granuleuses et deux petits tétons sur lesquels je me serais bien jeté immédiatement. En riant, elle me jeta le petit soutien-gorge. Puis elle dénoua les deux ficelles qui retenaient son slip, elle écarta ses jambes et tira le tout, dévoilant une minuscule toison blonde qui recouvrait à peine son pénil et une paire de fesses bien rondes qui appelaient les mains. Elle faillit s’étouffer de rire en voyant ma mine défaite devant le spectacle.
- Allez, petit français, comment dit-on ? … A poil !
Je ne pouvais pas reculer, mais là, elle allait être servie ! J’enlevai mon tee-shirt, puis me retournai pour ôter mon maillot.
- Hey ! Je veux voir, moi aussi !
D’accord, je me remis face à elle et me baissai pour faire glisser mon vêtement. Lorsque je me redressai, ma bite comme mue par un ressort, vint se coller à mon ventre, raide comme une trique, jusqu’à mon nombril !
- Ya !! Quel sexe !
Là, je me sentais un peu mal à l’aise. Heureusement, elle a rompu la glace.
- Allons nous baigner, tu iras mieux après !
Nous partîmes en courant vers la mer. Effectivement, le contact de l’eau froide avait calmé mes ardeurs. Nous avons joué un long moment avec les vagues, nous nous rapprochions de plus en plus. Elle faisait semblant d’avoir peur et se collait à moi. Cela finit par d’interminables baisers. Nous avons fini par avoir un peu froid et avons décidé de revenir sur la plage nous réchauffer. Main dans la main, nous avons rejoint les serviettes où nous nous sommes allongés. Elle était sur le dos, son chapeau protégeant son visage. Appuyé sur mon coude, je contemplais son corps encore recouvert de quelques gouttelettes qui séchaient rapidement. Elle respirait doucement, je voyais ses seins bouger doucement, son ventre se creuser à chaque inspiration, puis se relâcher totalement. Ses jambes étaient légèrement écartées et au-dessous de sa fine toison dorée, je pouvais nettement voir ses grandes lèvres fermées qui formaient un renflement de couleur sombre.
- Alors, comment tu me trouves ? Je sais que tu me regardes !
- Que veux-tu que je fasse d’autre ? Tu es si belle !
- Je suis bien avec toi, je suis bien ici, nue au soleil. C’est le paradis !
- J’ai envie de toi !
Elle remonta son chapeau, fusillant mes yeux de son regard bleu. Sa main se posa sur mon sexe en complète érection.
- Je vois !
- J’ai envie de toi ! Là, maintenant !
- Je sais, moi aussi, j’ai envie de quelque chose, mais je ne peux pas !
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas tromper mon mari, je l’aime !
Déçu, je me retournai. J’avais perdu mon après-midi ! Mais bientôt, je sentis sa main qui tapotait mon épaule.
- Julien ?
- Oui ?
- Je ne veux pas que tu me pénètres.
- Et le reste ?
- Le reste, tout ce que tu veux !
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me couchai sur elle, cherchant sa bouche qu’elle ne me refusa pas. Tour à tour, chacun fouillait la bouche de l’autre, langue en avant, dans un ballet baveux. Elle s’accrochait à mon cou et à ma nuque, écrasant son visage contre le sien, mais collant surtout ses seins, dont je sentais les tétons déjà dardés, sur mes pectoraux. Nous roulions l’un sur l’autre, les jambes mêlées. IL fallut se calmer et respirer un peu. Elle ne m’en laissa pas le temps, plongea la tête vers mon bas-ventre et sans autre procès, se jeta sur ma queue qu’elle tint fermement à la base, la faisant gonfler encore davantage. Elle commença par bien lécher le gland, récupérant la petite goutte qui perlait depuis déjà un moment. Elle prit la grosse prune dans sa bouche, serra les lèvres sur le frein et commença à avaler la hampe en faisant semblant de grignoter petit à petit le tube de chair. Elle ne s’arrêta que lorsque les poils de ma toison lui chatouillèrent le nez. Jamais je n’avais été avalé aussi loin ! Elle fit marche arrière tout aussi doucement, garda un moment le gland en bouche pour faire tournoyer sa langue tout autour, puis le sortit de sa cavité buccale sans desserrer les lèvres, provoquant un « ploc ! » de bouteille débouchée. Cela la fit beaucoup rire et elle vint m’embrasser.
Je la fis allonger sur le dos et me mis à caresser ses seins. Ils étaient doux, élastiques et lourds. Les petites aréoles granuleuses ont vite attiré ma langue qui s’est régalée à butiner les tétons au goût salé qui devenaient plus roses en grossissant. Elle répondait à chaque coup de langue par un soupir un peu rauque. Elle grognait et répercutait son plaisir sur ma queue qu’elle n’avait pas lâchée. Ses jambes serrées, elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre
- C’est bon !! Encore !
Je continuai mon butinage par son ventre, puis son nombril sur lequel je fis des volutes baveuses qui la mirent en transes. Là, je lâchai sa poitrine et ma main glissa vers la fourche de ses cuisses. La toison était vraiment courte. Fraîchement taillée, elle me parut un peu rêche. Néanmoins, je jouais un moment sur son mont de Vénus bien moelleux. Ses jambes s’écartèrent.
- Touche-moi, je n’en peux plus !
C’était vrai ! Mon doigt glissa le long de sa fente. Les lèvres qui étaient fermées tout à l’heure semblaient avoir doublé de volume. Je les pris entièrement dans ma main. Elle se mit sur les coudes, elle voulait voir. Ses seins étaient à nouveau à portée de ma bouche et je me remis à la téter, aspirant au maximum ses pointes. Et là, je sentis sur la paume de ma main les deux lèvres intimes s’ouvrir comme une fleur. Je ne bougeais plus, me contentant d’appuyer sur sa conque qui commençait à libérer un liquide chaud et gluant, à mesure que les pétales s’écartaient.
- Jamais on ne m’avait fait ça ! Où as-tu appris ?
- Je découvre aussi, tu es merveilleuse !
- Je veux voir !
Je me déplaçai, me mis entre ses jambes que je fis replier et écarter et elle put se pencher pour apercevoir sa chatte. Effectivement, elle était maintenant entièrement ouverte, se grandes lèvres gonflées laissaient voir les petites, couleur rouge vif. Délicatement, du pouce et de l’index, je les écartai et pus enfin voir l’entrée de son vagin baignée dans une quantité incroyable de liquide translucide et odorant. Et au-dessus, une petite langue de chair palpitante sortie de son capuchon, minuscule, mais adorablement dardée. Quand elle eut bien vu, Ingrid s’allongea en soupirant, mais garda ses cuisses grandes ouvertes. C’est le moment que je choisis pour venir coller ma bouche à cette splendeur. Le bonheur ! Je commençai par aspirer le tout, faisant virevolter ma langue dans tous les coins, sans préférence, avalant une quantité incroyable de cyprine légèrement salée. Ingrid ne tenait pas en place, gigotait dans tous les sens et me suppliait.
- Arrête, c’est trop bon !!! Je vais jouir !
Je décidai de la libérer et je remontai vers son visage pour un baiser au goût de son sexe en fusion qui ne la dégoûtait pas. Elle me poussa sur le dos, se tourna, venant se mettre sur moi en soixante-neuf. Elle s’installa confortablement, la chatte sur mon visage et plongea vers ma bite.
- Je veux jouir et je veux boire ton jus !
Ma langue se mit en action en même temps que la sienne. Ce furent des minutes exceptionnelles. Pas un mot, que des grognements, de sursauts de nos corps tendus par le plaisir, des gestes pour arrêter l’autre au moment où l’envie de jouir était trop forte, le désir de faire exploser l’autre, de retarder au maximum l’instant fatal, le sexe de l’autre avant tout. Ma bouche n’a pas quitté sa chatte, léchant les lèvres enflées, aspirant un clitoris exacerbé qui lui provoquait comme des secousses électriques chaque fois que j’y touchais, entrant le plus loin possible dans son vagin brûlant une langue que j’imaginais être ma bite. Mes mains n’avaient pas quitté ses seins si doux qui pendaient délicieusement sous son corps, malaxant les masses élastiques, agaçant doucement les tétons douloureux. Elle n’avait pas quitté ma bite et mes couilles. Je ne savais plus ce qu’elle me faisait, mais elle y mettait du cœur et du savoir-faire. Elle avalait, suçait, mordillait, léchait sans arrêt, m’amenant inéluctablement vers la jouissance.
Et elle vint cette jouissance, un véritable feu d’artifice pour nos deux corps trempés de sueur sous le soleil de Juillet, là sur une plage des Landes, seuls au milieu de nulle part, avec les vagues de la mer comme musique de fond.
J’ai craqué le premier. Lassé de résister, je me suis laissé aller. Je n’ai rien dit, mais j’ai senti monter ma sève, je me suis concentré sur le chemin qu’elle parcourait, le long de la tige de chair. Elle a ressenti le gonflement progressif de la hampe et a resserré ses lèvres sous mon gland. J’ai serré ses fesses très fort et j’ai collé ma bouche à son sexe brûlant. Mon sperme a jailli à gros bouillons, je sentais qu’elle avait du mal à avaler, mais cet instant était merveilleux, je n’avais jamais joui aussi intensément. Et d’un seul coup, je la sentis se raidir, elle lâcha ma queue.
- Oui, c’est bon, continue ! Ta langue ! Oui ! Je jouis !!!!!
Sa jouissance fut terrible. Elle était comme tétanisée et sa chatte expulsa dans ma bouche collée à ses lèvres intimes un flot de liquide succulent que je me fis un plaisir d’avaler comme elle avait avalé le mien. Elle se laissa tomber sur moi, exténuée et nous récupérâmes pendant quelques minutes. Elle se releva, regarda ma bite redevenue molle et passer un dernier coup de langue sur le gland d’où s’écoulait une petite goutte translucide. Elle passa sa langue sur ses lèvres rougies en étalant bien le liquide et vint délicatement poser ses lèvres sur les miennes pour un tendre baiser.
Le reste de l’après-midi fut calme. Elle ne voulut pas recommencer. Nous avons beaucoup parlé. Au moment de rentrer, j’ai eu droit à une séance de baisers torrides et je suis sûr d’avoir vu une larme couler de ses beaux yeux bleus. Je la ramenai au centre de la station, par discrétion.
Le lendemain matin, devant l’agence, se trouvait la voiture du couple d’allemands. Ils venaient rendre la clé, leur séjour était terminé.
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Ce matin-là, je devais me rendre chez une famille d’allemands qui avaient un problème électrique. Lorsque j’arrivai devant la villa, le locataire m’attendait. Soulagement, il parlait très bien le français. Il m’expliqua le problème que je ne sus résoudre et j’appelai l’électricien de l’agence. En attendant, le monsieur me proposa un café que j’acceptai avec plaisir. Il me fit asseoir en terrasse et demanda à sa femme de venir nous servir. En attendant, nous discutions du beau temps, de la plage. Il était vraiment sympa, la cinquantaine, grand, bien entretenu. Sa femme arriva avec le plateau qu’elle posa sur la table. Elle était splendide, assez grande, la quarantaine, blonde avec de longs cheveux en tresse, un visage souriant, de magnifiques yeux bleus. Son peignoir ample en soie verte ne laissait pas deviner grand-chose de ses formes. Néanmoins, lorsqu’elle se pencha pour me servir, je pus apercevoir furtivement la naissance d’un sein bronzé qui me sembla appétissant. Ayant aperçu la direction de mon regard, elle me gratifia d’un petit clin d’œil coquin. L’arrivée de l’artisan rompit le charme et nous sommes passés à des choses sérieuses. Le mari et moi, nous avons surveillé le travail et lorsque la panne fut réparée, je pris congé de mes locataires. La poignée de main que me donna la femme, ainsi que son sourire me troublèrent un peu.
Le lendemain après-midi, j’étais libre et je me baladais dans la rue piétonne, en tenue de plage, à la recherche d’une connaissance avec qui je pourrais bien aller surfer. J’étais en train de réfléchir à qui pouvait bien être libre, lorsque je fus ramené sur terre par un appel qui venait de la terrasse du café devant lequel je passais.
- Monsieur ! Monsieur !
Ne sachant à qui il était adressé, je me retournai tout de même. C’était bien pour moi, la dame allemande de la veille me faisait de grands signes. Elle était seule à la table. Je m’empressai de la rejoindre et m’assis à côté d’elle.
- Bonjour !
- Bonjour, que faites-vous seule à cette heure-ci, vous devriez être à la plage ! Votre mari n’est pas là ?
- Il fait une sortie VTT avec les enfants et des amis. Je n’aime pas.
- Et la plage ?
- Il y a beaucoup de monde et je n’aime pas non plus ! Buvons un café !
Pendant qu’elle commandait, je l’observai de près. Elle portait un petit short rose qui mettait bien en valeur ses belles jambes bronzées. Et un petit caraco noir à fines bretelles qui me permettait de constater que sa poitrine était bien ronde et même qu’elle n’avait pas besoin de soutien-gorge !
Evidemment, elle a parfaitement vu que je l’observais de la tête aux pieds et encore une fois, elle me lança son clin d’œil meurtrier. Cela me donna une idée sublime.
- Si vous voulez, je vous emmène à la plage dans un endroit tranquille !
- Oh oui ! Super ! Est-ce que l’on peut bronzer nus ?
- Euh… Oui, si vous voulez, je connais un coin comme cela !
- Alors allons-y ! Moi, je m’appelle Ingrid !
- Et moi, Julien.
Elle régla les consommations et nous nous dirigeâmes vers ma voiture.
- Il faut passer à la maison, je vais prendre mes affaires.
- D’accord.
Elle semblait ravie de se promener dans le 4X4 décapoté et moi, j’étais bien content de conduire une nana aussi sexy ! Arrivés à la villa, elle me fit descendre pour ne pas que j’attende en plein soleil. En fait, elle avait à peine ouvert la porte qu’elle me colla au mur de l’entrée et me roula une pelle d’enfer, enroulant sa langue à la mienne, pour un baiser qui me parut durer une éternité. Elle se décolla aussi soudainement, sans que j’aie pu esquisser un geste. Elle partit dans la maison en chantonnant, me laissant les bras ballants et la bite en feu dans mon maillot de bain. Elle revint en maillot deux-pièces noir recouvrant le strict minimum, sa serviette, un grand chapeau de paille et son sac.
Nous voilà partis sur les chemins de forêt, au milieu des pins, à la recherche d’une plage sauvage. Je connaissais bien le pays et nous nous retrouvâmes bientôt en vue de la dune, à cinq kilomètres de la plage principale. Le seul inconvénient, c’est qu’il allait grimper la dune, mais ensuite, liberté totale !!
Une demi-heure plus tard, nos efforts furent récompensés : il n’y avait personne à cet endroit-là à moins de cent mètres ! Elle était ravie, étala sa serviette et dégrafa le haut de son maillot. Sa poitrine jaillit, magnifique. Elle me l’offrait, soupesant ses seins bien ronds, bien bronzés, avec des aréoles granuleuses et deux petits tétons sur lesquels je me serais bien jeté immédiatement. En riant, elle me jeta le petit soutien-gorge. Puis elle dénoua les deux ficelles qui retenaient son slip, elle écarta ses jambes et tira le tout, dévoilant une minuscule toison blonde qui recouvrait à peine son pénil et une paire de fesses bien rondes qui appelaient les mains. Elle faillit s’étouffer de rire en voyant ma mine défaite devant le spectacle.
- Allez, petit français, comment dit-on ? … A poil !
Je ne pouvais pas reculer, mais là, elle allait être servie ! J’enlevai mon tee-shirt, puis me retournai pour ôter mon maillot.
- Hey ! Je veux voir, moi aussi !
D’accord, je me remis face à elle et me baissai pour faire glisser mon vêtement. Lorsque je me redressai, ma bite comme mue par un ressort, vint se coller à mon ventre, raide comme une trique, jusqu’à mon nombril !
- Ya !! Quel sexe !
Là, je me sentais un peu mal à l’aise. Heureusement, elle a rompu la glace.
- Allons nous baigner, tu iras mieux après !
Nous partîmes en courant vers la mer. Effectivement, le contact de l’eau froide avait calmé mes ardeurs. Nous avons joué un long moment avec les vagues, nous nous rapprochions de plus en plus. Elle faisait semblant d’avoir peur et se collait à moi. Cela finit par d’interminables baisers. Nous avons fini par avoir un peu froid et avons décidé de revenir sur la plage nous réchauffer. Main dans la main, nous avons rejoint les serviettes où nous nous sommes allongés. Elle était sur le dos, son chapeau protégeant son visage. Appuyé sur mon coude, je contemplais son corps encore recouvert de quelques gouttelettes qui séchaient rapidement. Elle respirait doucement, je voyais ses seins bouger doucement, son ventre se creuser à chaque inspiration, puis se relâcher totalement. Ses jambes étaient légèrement écartées et au-dessous de sa fine toison dorée, je pouvais nettement voir ses grandes lèvres fermées qui formaient un renflement de couleur sombre.
- Alors, comment tu me trouves ? Je sais que tu me regardes !
- Que veux-tu que je fasse d’autre ? Tu es si belle !
- Je suis bien avec toi, je suis bien ici, nue au soleil. C’est le paradis !
- J’ai envie de toi !
Elle remonta son chapeau, fusillant mes yeux de son regard bleu. Sa main se posa sur mon sexe en complète érection.
- Je vois !
- J’ai envie de toi ! Là, maintenant !
- Je sais, moi aussi, j’ai envie de quelque chose, mais je ne peux pas !
- Pourquoi ?
- Je ne veux pas tromper mon mari, je l’aime !
Déçu, je me retournai. J’avais perdu mon après-midi ! Mais bientôt, je sentis sa main qui tapotait mon épaule.
- Julien ?
- Oui ?
- Je ne veux pas que tu me pénètres.
- Et le reste ?
- Le reste, tout ce que tu veux !
En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, je me couchai sur elle, cherchant sa bouche qu’elle ne me refusa pas. Tour à tour, chacun fouillait la bouche de l’autre, langue en avant, dans un ballet baveux. Elle s’accrochait à mon cou et à ma nuque, écrasant son visage contre le sien, mais collant surtout ses seins, dont je sentais les tétons déjà dardés, sur mes pectoraux. Nous roulions l’un sur l’autre, les jambes mêlées. IL fallut se calmer et respirer un peu. Elle ne m’en laissa pas le temps, plongea la tête vers mon bas-ventre et sans autre procès, se jeta sur ma queue qu’elle tint fermement à la base, la faisant gonfler encore davantage. Elle commença par bien lécher le gland, récupérant la petite goutte qui perlait depuis déjà un moment. Elle prit la grosse prune dans sa bouche, serra les lèvres sur le frein et commença à avaler la hampe en faisant semblant de grignoter petit à petit le tube de chair. Elle ne s’arrêta que lorsque les poils de ma toison lui chatouillèrent le nez. Jamais je n’avais été avalé aussi loin ! Elle fit marche arrière tout aussi doucement, garda un moment le gland en bouche pour faire tournoyer sa langue tout autour, puis le sortit de sa cavité buccale sans desserrer les lèvres, provoquant un « ploc ! » de bouteille débouchée. Cela la fit beaucoup rire et elle vint m’embrasser.
Je la fis allonger sur le dos et me mis à caresser ses seins. Ils étaient doux, élastiques et lourds. Les petites aréoles granuleuses ont vite attiré ma langue qui s’est régalée à butiner les tétons au goût salé qui devenaient plus roses en grossissant. Elle répondait à chaque coup de langue par un soupir un peu rauque. Elle grognait et répercutait son plaisir sur ma queue qu’elle n’avait pas lâchée. Ses jambes serrées, elle frottait ses cuisses l’une contre l’autre
- C’est bon !! Encore !
Je continuai mon butinage par son ventre, puis son nombril sur lequel je fis des volutes baveuses qui la mirent en transes. Là, je lâchai sa poitrine et ma main glissa vers la fourche de ses cuisses. La toison était vraiment courte. Fraîchement taillée, elle me parut un peu rêche. Néanmoins, je jouais un moment sur son mont de Vénus bien moelleux. Ses jambes s’écartèrent.
- Touche-moi, je n’en peux plus !
C’était vrai ! Mon doigt glissa le long de sa fente. Les lèvres qui étaient fermées tout à l’heure semblaient avoir doublé de volume. Je les pris entièrement dans ma main. Elle se mit sur les coudes, elle voulait voir. Ses seins étaient à nouveau à portée de ma bouche et je me remis à la téter, aspirant au maximum ses pointes. Et là, je sentis sur la paume de ma main les deux lèvres intimes s’ouvrir comme une fleur. Je ne bougeais plus, me contentant d’appuyer sur sa conque qui commençait à libérer un liquide chaud et gluant, à mesure que les pétales s’écartaient.
- Jamais on ne m’avait fait ça ! Où as-tu appris ?
- Je découvre aussi, tu es merveilleuse !
- Je veux voir !
Je me déplaçai, me mis entre ses jambes que je fis replier et écarter et elle put se pencher pour apercevoir sa chatte. Effectivement, elle était maintenant entièrement ouverte, se grandes lèvres gonflées laissaient voir les petites, couleur rouge vif. Délicatement, du pouce et de l’index, je les écartai et pus enfin voir l’entrée de son vagin baignée dans une quantité incroyable de liquide translucide et odorant. Et au-dessus, une petite langue de chair palpitante sortie de son capuchon, minuscule, mais adorablement dardée. Quand elle eut bien vu, Ingrid s’allongea en soupirant, mais garda ses cuisses grandes ouvertes. C’est le moment que je choisis pour venir coller ma bouche à cette splendeur. Le bonheur ! Je commençai par aspirer le tout, faisant virevolter ma langue dans tous les coins, sans préférence, avalant une quantité incroyable de cyprine légèrement salée. Ingrid ne tenait pas en place, gigotait dans tous les sens et me suppliait.
- Arrête, c’est trop bon !!! Je vais jouir !
Je décidai de la libérer et je remontai vers son visage pour un baiser au goût de son sexe en fusion qui ne la dégoûtait pas. Elle me poussa sur le dos, se tourna, venant se mettre sur moi en soixante-neuf. Elle s’installa confortablement, la chatte sur mon visage et plongea vers ma bite.
- Je veux jouir et je veux boire ton jus !
Ma langue se mit en action en même temps que la sienne. Ce furent des minutes exceptionnelles. Pas un mot, que des grognements, de sursauts de nos corps tendus par le plaisir, des gestes pour arrêter l’autre au moment où l’envie de jouir était trop forte, le désir de faire exploser l’autre, de retarder au maximum l’instant fatal, le sexe de l’autre avant tout. Ma bouche n’a pas quitté sa chatte, léchant les lèvres enflées, aspirant un clitoris exacerbé qui lui provoquait comme des secousses électriques chaque fois que j’y touchais, entrant le plus loin possible dans son vagin brûlant une langue que j’imaginais être ma bite. Mes mains n’avaient pas quitté ses seins si doux qui pendaient délicieusement sous son corps, malaxant les masses élastiques, agaçant doucement les tétons douloureux. Elle n’avait pas quitté ma bite et mes couilles. Je ne savais plus ce qu’elle me faisait, mais elle y mettait du cœur et du savoir-faire. Elle avalait, suçait, mordillait, léchait sans arrêt, m’amenant inéluctablement vers la jouissance.
Et elle vint cette jouissance, un véritable feu d’artifice pour nos deux corps trempés de sueur sous le soleil de Juillet, là sur une plage des Landes, seuls au milieu de nulle part, avec les vagues de la mer comme musique de fond.
J’ai craqué le premier. Lassé de résister, je me suis laissé aller. Je n’ai rien dit, mais j’ai senti monter ma sève, je me suis concentré sur le chemin qu’elle parcourait, le long de la tige de chair. Elle a ressenti le gonflement progressif de la hampe et a resserré ses lèvres sous mon gland. J’ai serré ses fesses très fort et j’ai collé ma bouche à son sexe brûlant. Mon sperme a jailli à gros bouillons, je sentais qu’elle avait du mal à avaler, mais cet instant était merveilleux, je n’avais jamais joui aussi intensément. Et d’un seul coup, je la sentis se raidir, elle lâcha ma queue.
- Oui, c’est bon, continue ! Ta langue ! Oui ! Je jouis !!!!!
Sa jouissance fut terrible. Elle était comme tétanisée et sa chatte expulsa dans ma bouche collée à ses lèvres intimes un flot de liquide succulent que je me fis un plaisir d’avaler comme elle avait avalé le mien. Elle se laissa tomber sur moi, exténuée et nous récupérâmes pendant quelques minutes. Elle se releva, regarda ma bite redevenue molle et passer un dernier coup de langue sur le gland d’où s’écoulait une petite goutte translucide. Elle passa sa langue sur ses lèvres rougies en étalant bien le liquide et vint délicatement poser ses lèvres sur les miennes pour un tendre baiser.
Le reste de l’après-midi fut calme. Elle ne voulut pas recommencer. Nous avons beaucoup parlé. Au moment de rentrer, j’ai eu droit à une séance de baisers torrides et je suis sûr d’avoir vu une larme couler de ses beaux yeux bleus. Je la ramenai au centre de la station, par discrétion.
Le lendemain matin, devant l’agence, se trouvait la voiture du couple d’allemands. Ils venaient rendre la clé, leur séjour était terminé.
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