Rencontre impromptue avec une belle rousse

Récit érotique écrit par Smilee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Rencontre impromptue avec une belle rousse
Aujourd’hui je dois aller aux obsèques d’un salarié de l’entreprise. Il était en intérim depuis quelques mois. Je ne le connaissais pas plus que ça mais j’y vais pour représenter la société. Il s’agit d’un enterrement civil au cimetière. J’arrive au village et cherche l’église. Je la trouve et cherche le cimetière qui ne doit pas être très loin. En chemin je croise une femme qui remonte vers l’église. Je m’arrête pour lui demander mon chemin. Elle a les larmes aux yeux. Sans doute une proche. Elle est surprise car elle se dirigeait vers l’église pensant que c’était là-bas. Je vérifie sur mon téléphone et vois que c’est bien au cimetière. Elle me signale qu’il est plus loin et me demande si je peux l’y emmener car c’est bientôt l’heure. J’accepte et lui fait la place sur le siège passager. Elle entre et j’opère un demi-tour pour me diriger vers la direction qu’elle m’indique. Elle porte une robe printanière courte. Je ne peux m’empêcher de regarder ses jolies jambes. Inapproprié mais je suis en manque de sexe en ce moment. Elle est rousse, a de jolies taches de rousseur et un corps très svelte. Sa poitrine est plutôt petite et je remarque qu’elle ne porte pas de soutien-gorge sous sa robe. Mais en a-t-elle vraiment besoin ?
Arrivés au cimetière je me gare et nous nous dirigeons vers l’entrée. Elle rejoint les personnes de la famille. De mon côté je vois quelques collègues que je vais voir. La cérémonie commence. Elle est émouvante. Cette personne était vraiment appréciée de sa famille et de ses amis. A la fin de la cérémonie je m’apprête à partir quand la femme vient me voir. Elle est bouleversée et me demande si je peux la raccompagner chez elle. Elle ne se sent pas de rentrer à pied. J’accepte volontiers et nous repartons vers la voiture. Elle m’indique le chemin. Ce n’est pas très loin. Je me gare devant la maison. Elle pleure encore. J’attends qu’elle sorte de la voiture mais reste les yeux pleins de larmes dans le vide. Je vois qu’elle n’est pas bien. Je lui pose la main sur l’épaule. Elle me regarde et pose sa tête contre moi. Je suis touché par cette femme et sa tristesse. Mais maintenant il faudrait que je m’en aille… Timidement je commence :
- Allez courage. Vous allez passer ce moment difficile
- J’ai du mal depuis mercredi
- C’est normal c’est tout récent. Mais vous avez l’air d’une femme forte. Ça va aller
- Je ne me sens pas si forte que ça
- Je suis sûr que vous avez plus de ressources que ce que vous pensez
- Merci. Vous avez sans doute raison. Mais là j’ai surtout envie de ne pas être seule. Vous ne voudriez pas entrer un peu
- Heuuuuu. C’est que j’avais des choses prévues
- S’il vous plait. Prenez juste un café histoire de digérer ce moment douloureux
- OK je me gare mieux
Je gare la voiture et nous rentrons chez elle. L’intérieur est très soigné, épuré, très cocooning. Elle me propose :
- Un café ?
- Merci mais je n’en bois pas
- Moi si mais avec une touche de whiskey
- Non je préfère mon whiskey sec
- Si vous voulez j’oublie le café et je nous sers un très bon whiskey japonais. Vous allez m’en dire des nouvelles
- Pourquoi pas. Mais juste un doigt je conduis après
Elle se retourne et me regarde avec des yeux de coquine en chaleur. J’ai l’impression que le doigt c’est ailleurs qu’elle aimerait l’avoir. Elle part chercher les verres et nous sert. Je le goute et il est excellent. Je ne suis pas un grand amateur de whiskey mais celui-ci est délicieux. Alors que j’ai toujours mon verre à la main elle vient vers moi. Enjambe mes cuisses et s’assoit sur mes genoux. Elle s’approche en disant :
- J’ai envie de me sentir vivante ici et maintenant
Elle se penche sur moi et viens m’embrasser. Tendrement. Nos langues se mélangent. Ses lèvres sont douces. Elles ont gout de fraise. Je sens mon sexe qui commence à gonfler. Elle se recule, me regarde avec des yeux légèrement embués puis d’un coup son regard change. Je vois celui d’une furie en manque de sexe. Pas de tendresse mais bien de fougue. Ça y est mon sexe est bien gonflé. Je l’embrasse virilement et pose mes mains sur ses genoux. Je remonte sa robe et découvre qu’elle n’a pas de culotte. Mon sang ne fait qu’un tour. J’ai remarqué un trou sur le devant de sa robe. Je me redresse pour la faire reculer et je saisis sa robe par le trou et tire fort. Sa robe se déchire en 2 morceaux. La voici nue devant moi. Son sourire reflète sa satisfaction. Elle retire mon polo et vient me mordre les tétons. Je l’arrête car je ne suis absolument pas adepte de ce type de pratiques. Elle me dit qu’elle oui. Qu’elle aime avoir mal. Qu’elle veut que je lui fasse mal. Je reste quelque peu bloqué. Autant j’aime bien être dominateur autant la violence physique n’a jamais été plus loin que quelques fessées.
Elle revient m’embrasser puis se lève et déboutonne mon jean. Elle le retire ainsi que mon caleçon. Elle agrippe mon sexe toujours aussi dur et l’engloutit comme une mort de faim. Elle commence à me sucer mais de manière trop brutale pour moi. J’aime la douceur d’une langue et d’une bouche. Pas la pipe façon film porno où la demoiselle parait s’étouffer avec la queue de son partenaire. Je l’arrête car je n’apprécie pas. Elle me regarde limite en colère et me dit :
- Alors baise moi. Baise moi fort !
Je reste sceptique. Je viens d’arracher la robe d’une inconnue qui me demande de la baiser fort et de lui faire mal. D’un seul coup j’ai peur d’un plan foireux où ensuite elle m’accuse de l’avoir violentée. Je suis tiraillé entre l’envie de la défoncer sauvagement et la peur de l’après. Puis me vient une idée. Une idée hautement excitante. Je vais filmer nos ébats pour prouver si besoin qu’elle était pleinement consentante et même plus. Elle est d’accord à condition qu’elle récupère aussi la vidéo. Je valide si elle ne finit pas sur les réseaux sociaux. L’accord conclu nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses…
Je la plaque contre le mur et l’embrasse fougueusement. Puis je la retourne, colle son visage et sa poitrine contre le mur puis écarte ses cuisses. Je lui assène une grande fessée sur la fesse droite qui rougit aussitôt. A sa réaction je comprends qu’elle aime ça. Je passe mes mains sur son corps mais elle me demande si la gauche est punie et n’a pas le droit au même châtiment. Effectivement elle a l’air d’aimer ça donc je ne me fais pas prier pour claquer sa fesse gauche également. Puis je reprends mes caresses sur son dos, sa nuque, son cou. Je viens embrasse son cou et au même temps claquer de nouveau sa fesse droite. Je continue ce petit jeu alternant baisers torrides, caresses douces et fessées fortes. Je vois que ses fesses sont rouge écarlate. J’attrape le téléphone pour zoomer sur ses deux globes mêlés de jolies taches de rousseur et de traces de doigts.
J’attrape ses mains et les colle au-dessus de sa tête. De mes genoux j’écartent ses cuisses puis maintiens ses mains d’une main et de l’autre viens tâter son intimité. Elle est humide à souhait. J’attrape un préservatif et l’enfile. Je viens positionner mon sexe devant le sien et la prends d’un coup. Elle lâche un cri de surprise. Je ne m’en émeus pas et je commence à lui donner de grands coups de hanches agrémentés de quelques fessées. Elle veut être baisée, elle va l’être. Et vu comment je suis en manque cela va être très très chaud.
Je tape de plus en plus fort que ce soit de ma queue ou de mes mains. Mais à chaque fois j’ai droit à des « c’est tout ? ». Ou des « plus fort ». Elle me rend dingue. Je m’acharne à serrer ses hanches et à prendre le plus d’élan possible. Ses fesses commencent à suinter un peu de sang à force de fessées. Mes ongles entrent dans sa peau. Mais elle ne s’en plaint pas, bien au contraire. Je continue à la besogner par derrière puis j’ai envie de changer de position.
Je sors et la tire vers le canapé sans douceur. Je la jette dessus puis lui écarte grand les cuisses. Je me mets sur elle et en la regardant droit dans les yeux avec un regard rempli de détermination, je m’introduis en elle de tout mon long. Je crois que cette fois cela lui a fait un peu mal. Je ralentis un peu mais me fait presque insulter me disant qu’elle n’est pas en sucre. Je tiens ses pieds quasiment au niveau de sa tête pour la plier en deux et retape dedans. Je prends de l’élan et recommence. Je vois à son visage qu’elle prend beaucoup de plaisir avec la violence de me coups. Elle sourit grandement et me lâche des « Enfin » ou des « C’est bon ». Jamais je n’ai baisé une femme comme ça mais je dois reconnaitre que je prends un certain plaisir à la dominer de la sorte. Je sens mon sexe dur comme jamais mais aussi trempe. J’ai l’impression que je vais glisser tellement c’est humide là-dedans. Il n’en faut pas beaucoup plus pour qu’elle jouisse. Mais pas un orgasme comme j’ai l’habitude. Un orgasme démoniaque. Des cris comme si je l’égorgeais. Des soubresauts comme si elle était possédée. Je dois tenir ses hanches fermement pour me maintenir en elle. Je sens que je suis proche de venir aussi alors qu’elle est au comble de l’extase. Je relâche un peu mon étreinte car j’en ai mal aux mains. Sa peau présente les stigmates de ma prise.
Et alors que je continue à la prendre pour me faire jouir elle sursaute de nouveau ce qui me fait sortir. Je reviens à la charge mais glisse malencontreusement (ou pas) sur son anus et la déflore. Elle a tellement mouillé que je rentre sans une grande difficulté. Mais je vois à ses yeux qu’elle ne s’y attendait et vois même une pointe de malaise. Mais restant dans mon rôle dominant je la regarde bien droit dans les yeux pour assoir mon emprise et entre plus profondément en elle. Elle ne dit rien. Cela change de la furie que je viens de baiser. Je ne pense pas que ce soit une pratique régulière voire peut-être nouvelle pour elle. Cela me motive à l’enculer encore plus fort. Je sens que mon sexe est de nouveau au bord de la rupture. J’insiste encore plus fort avant de me déverser en elle. Je sens mon sperme qui sort de manière abondante. Je continue toutefois de la prendre. Puis une fois la dernière goutte versée je sors et vois mon sexe plein de liquides corporels. Je m’avance vers sa bouche et lui pose mon pénis sur ses lèvres. Timidement elle ouvre la bouche et je m’engouffre brusquement. Elle a un mouvement de retrait puis enserre la base de mon sexe de sa main et l’astique tout en jouant de sa langue et de sa bouche. Je profite de ces derniers instants de rigidité pour savourer cette fellation post coït que j’apprécie tant.
Puis une fois mon sexe en phase de descente je m’extirpe de cet antre doux, me rhabille, récupère mon téléphone et prends la direction de la porte. Je m’attends à la voir m’apostropher mais aucune réaction de sa part. Je pars donc avec ce merveilleux souvenir gravé dans ma mémoire ainsi que celle de mon téléphone. Au final je ne sais même pas comment s’appelle cette femme que je viens de baiser comme jamais auparavant. Pourtant très doux quand je suis amoureux et souvent dans des jeux de domination inversé quand je me fais prendre par une femme je me rends compte que j’aime tout autant voire plus être dans le rôle du dominant…
Arrivés au cimetière je me gare et nous nous dirigeons vers l’entrée. Elle rejoint les personnes de la famille. De mon côté je vois quelques collègues que je vais voir. La cérémonie commence. Elle est émouvante. Cette personne était vraiment appréciée de sa famille et de ses amis. A la fin de la cérémonie je m’apprête à partir quand la femme vient me voir. Elle est bouleversée et me demande si je peux la raccompagner chez elle. Elle ne se sent pas de rentrer à pied. J’accepte volontiers et nous repartons vers la voiture. Elle m’indique le chemin. Ce n’est pas très loin. Je me gare devant la maison. Elle pleure encore. J’attends qu’elle sorte de la voiture mais reste les yeux pleins de larmes dans le vide. Je vois qu’elle n’est pas bien. Je lui pose la main sur l’épaule. Elle me regarde et pose sa tête contre moi. Je suis touché par cette femme et sa tristesse. Mais maintenant il faudrait que je m’en aille… Timidement je commence :
- Allez courage. Vous allez passer ce moment difficile
- J’ai du mal depuis mercredi
- C’est normal c’est tout récent. Mais vous avez l’air d’une femme forte. Ça va aller
- Je ne me sens pas si forte que ça
- Je suis sûr que vous avez plus de ressources que ce que vous pensez
- Merci. Vous avez sans doute raison. Mais là j’ai surtout envie de ne pas être seule. Vous ne voudriez pas entrer un peu
- Heuuuuu. C’est que j’avais des choses prévues
- S’il vous plait. Prenez juste un café histoire de digérer ce moment douloureux
- OK je me gare mieux
Je gare la voiture et nous rentrons chez elle. L’intérieur est très soigné, épuré, très cocooning. Elle me propose :
- Un café ?
- Merci mais je n’en bois pas
- Moi si mais avec une touche de whiskey
- Non je préfère mon whiskey sec
- Si vous voulez j’oublie le café et je nous sers un très bon whiskey japonais. Vous allez m’en dire des nouvelles
- Pourquoi pas. Mais juste un doigt je conduis après
Elle se retourne et me regarde avec des yeux de coquine en chaleur. J’ai l’impression que le doigt c’est ailleurs qu’elle aimerait l’avoir. Elle part chercher les verres et nous sert. Je le goute et il est excellent. Je ne suis pas un grand amateur de whiskey mais celui-ci est délicieux. Alors que j’ai toujours mon verre à la main elle vient vers moi. Enjambe mes cuisses et s’assoit sur mes genoux. Elle s’approche en disant :
- J’ai envie de me sentir vivante ici et maintenant
Elle se penche sur moi et viens m’embrasser. Tendrement. Nos langues se mélangent. Ses lèvres sont douces. Elles ont gout de fraise. Je sens mon sexe qui commence à gonfler. Elle se recule, me regarde avec des yeux légèrement embués puis d’un coup son regard change. Je vois celui d’une furie en manque de sexe. Pas de tendresse mais bien de fougue. Ça y est mon sexe est bien gonflé. Je l’embrasse virilement et pose mes mains sur ses genoux. Je remonte sa robe et découvre qu’elle n’a pas de culotte. Mon sang ne fait qu’un tour. J’ai remarqué un trou sur le devant de sa robe. Je me redresse pour la faire reculer et je saisis sa robe par le trou et tire fort. Sa robe se déchire en 2 morceaux. La voici nue devant moi. Son sourire reflète sa satisfaction. Elle retire mon polo et vient me mordre les tétons. Je l’arrête car je ne suis absolument pas adepte de ce type de pratiques. Elle me dit qu’elle oui. Qu’elle aime avoir mal. Qu’elle veut que je lui fasse mal. Je reste quelque peu bloqué. Autant j’aime bien être dominateur autant la violence physique n’a jamais été plus loin que quelques fessées.
Elle revient m’embrasser puis se lève et déboutonne mon jean. Elle le retire ainsi que mon caleçon. Elle agrippe mon sexe toujours aussi dur et l’engloutit comme une mort de faim. Elle commence à me sucer mais de manière trop brutale pour moi. J’aime la douceur d’une langue et d’une bouche. Pas la pipe façon film porno où la demoiselle parait s’étouffer avec la queue de son partenaire. Je l’arrête car je n’apprécie pas. Elle me regarde limite en colère et me dit :
- Alors baise moi. Baise moi fort !
Je reste sceptique. Je viens d’arracher la robe d’une inconnue qui me demande de la baiser fort et de lui faire mal. D’un seul coup j’ai peur d’un plan foireux où ensuite elle m’accuse de l’avoir violentée. Je suis tiraillé entre l’envie de la défoncer sauvagement et la peur de l’après. Puis me vient une idée. Une idée hautement excitante. Je vais filmer nos ébats pour prouver si besoin qu’elle était pleinement consentante et même plus. Elle est d’accord à condition qu’elle récupère aussi la vidéo. Je valide si elle ne finit pas sur les réseaux sociaux. L’accord conclu nous allons pouvoir passer aux choses sérieuses…
Je la plaque contre le mur et l’embrasse fougueusement. Puis je la retourne, colle son visage et sa poitrine contre le mur puis écarte ses cuisses. Je lui assène une grande fessée sur la fesse droite qui rougit aussitôt. A sa réaction je comprends qu’elle aime ça. Je passe mes mains sur son corps mais elle me demande si la gauche est punie et n’a pas le droit au même châtiment. Effectivement elle a l’air d’aimer ça donc je ne me fais pas prier pour claquer sa fesse gauche également. Puis je reprends mes caresses sur son dos, sa nuque, son cou. Je viens embrasse son cou et au même temps claquer de nouveau sa fesse droite. Je continue ce petit jeu alternant baisers torrides, caresses douces et fessées fortes. Je vois que ses fesses sont rouge écarlate. J’attrape le téléphone pour zoomer sur ses deux globes mêlés de jolies taches de rousseur et de traces de doigts.
J’attrape ses mains et les colle au-dessus de sa tête. De mes genoux j’écartent ses cuisses puis maintiens ses mains d’une main et de l’autre viens tâter son intimité. Elle est humide à souhait. J’attrape un préservatif et l’enfile. Je viens positionner mon sexe devant le sien et la prends d’un coup. Elle lâche un cri de surprise. Je ne m’en émeus pas et je commence à lui donner de grands coups de hanches agrémentés de quelques fessées. Elle veut être baisée, elle va l’être. Et vu comment je suis en manque cela va être très très chaud.
Je tape de plus en plus fort que ce soit de ma queue ou de mes mains. Mais à chaque fois j’ai droit à des « c’est tout ? ». Ou des « plus fort ». Elle me rend dingue. Je m’acharne à serrer ses hanches et à prendre le plus d’élan possible. Ses fesses commencent à suinter un peu de sang à force de fessées. Mes ongles entrent dans sa peau. Mais elle ne s’en plaint pas, bien au contraire. Je continue à la besogner par derrière puis j’ai envie de changer de position.
Je sors et la tire vers le canapé sans douceur. Je la jette dessus puis lui écarte grand les cuisses. Je me mets sur elle et en la regardant droit dans les yeux avec un regard rempli de détermination, je m’introduis en elle de tout mon long. Je crois que cette fois cela lui a fait un peu mal. Je ralentis un peu mais me fait presque insulter me disant qu’elle n’est pas en sucre. Je tiens ses pieds quasiment au niveau de sa tête pour la plier en deux et retape dedans. Je prends de l’élan et recommence. Je vois à son visage qu’elle prend beaucoup de plaisir avec la violence de me coups. Elle sourit grandement et me lâche des « Enfin » ou des « C’est bon ». Jamais je n’ai baisé une femme comme ça mais je dois reconnaitre que je prends un certain plaisir à la dominer de la sorte. Je sens mon sexe dur comme jamais mais aussi trempe. J’ai l’impression que je vais glisser tellement c’est humide là-dedans. Il n’en faut pas beaucoup plus pour qu’elle jouisse. Mais pas un orgasme comme j’ai l’habitude. Un orgasme démoniaque. Des cris comme si je l’égorgeais. Des soubresauts comme si elle était possédée. Je dois tenir ses hanches fermement pour me maintenir en elle. Je sens que je suis proche de venir aussi alors qu’elle est au comble de l’extase. Je relâche un peu mon étreinte car j’en ai mal aux mains. Sa peau présente les stigmates de ma prise.
Et alors que je continue à la prendre pour me faire jouir elle sursaute de nouveau ce qui me fait sortir. Je reviens à la charge mais glisse malencontreusement (ou pas) sur son anus et la déflore. Elle a tellement mouillé que je rentre sans une grande difficulté. Mais je vois à ses yeux qu’elle ne s’y attendait et vois même une pointe de malaise. Mais restant dans mon rôle dominant je la regarde bien droit dans les yeux pour assoir mon emprise et entre plus profondément en elle. Elle ne dit rien. Cela change de la furie que je viens de baiser. Je ne pense pas que ce soit une pratique régulière voire peut-être nouvelle pour elle. Cela me motive à l’enculer encore plus fort. Je sens que mon sexe est de nouveau au bord de la rupture. J’insiste encore plus fort avant de me déverser en elle. Je sens mon sperme qui sort de manière abondante. Je continue toutefois de la prendre. Puis une fois la dernière goutte versée je sors et vois mon sexe plein de liquides corporels. Je m’avance vers sa bouche et lui pose mon pénis sur ses lèvres. Timidement elle ouvre la bouche et je m’engouffre brusquement. Elle a un mouvement de retrait puis enserre la base de mon sexe de sa main et l’astique tout en jouant de sa langue et de sa bouche. Je profite de ces derniers instants de rigidité pour savourer cette fellation post coït que j’apprécie tant.
Puis une fois mon sexe en phase de descente je m’extirpe de cet antre doux, me rhabille, récupère mon téléphone et prends la direction de la porte. Je m’attends à la voir m’apostropher mais aucune réaction de sa part. Je pars donc avec ce merveilleux souvenir gravé dans ma mémoire ainsi que celle de mon téléphone. Au final je ne sais même pas comment s’appelle cette femme que je viens de baiser comme jamais auparavant. Pourtant très doux quand je suis amoureux et souvent dans des jeux de domination inversé quand je me fais prendre par une femme je me rends compte que j’aime tout autant voire plus être dans le rôle du dominant…
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle histoire entre une jolie femme qui veut être baisee comme une soumise SM et qui l’obtient en partie le tout bien raconté avec de bonnes descriptions j’ai aimé. Daniel

