Rencontre sur le web. Histoire vraie
Récit érotique écrit par Poiluhds [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontre sur le web. Histoire vraie
Je sonne. Au même moment je revis nos échanges de la veille sur internet. Tu m’as contacté sur un site de rencontres et de tchat gay. Mon profil indiquait que je recherchais une rencontre réelle, j’avais envie de serrer un garçon dans mes bras. Tu prends contact comme le font la plupart des membres de ces communautés numériques.
- Salut, ça va ?
Je regarde ton profil en détail. Apparemment tu habites dans le sud, loin, trop loin pour une rencontre. Néanmoins tes photos sont attirantes. Beau corps, bronzé. Je décide de te répondre. Nous verrons bien.
- Salut, oui ça va. Envie de quoi ?
Je ne suis jamais très inspiré pour entamer la conversation sur ces réseaux. Je n’aime pas les demandes trop directes, comme si le sexe n’était qu’affaire de bestialité. J’aime le côté animal du sexe justement parce qu’il est combiné, agrégé à une dimension sensuelle et sensorielle beaucoup plus complexe et stimulante.
- Rencontre, tchat, comme tu veux.
Au moins tu es à l’écoute de celui avec qui tu parles.
- Pour une rencontre ça va être difficile. Je suis à Paris et toi dans le sud.
- Et bien non justement ! Je suis chez des amis près de Paris. On peut donc se voir si tu veux.
Voilà qui change tout. Je ne sais pas exactement pourquoi mais il y a dans tes photos et dans la façon dont tu t’exprimes quelque chose d’attirant et d’excitant.
- Pourquoi pas…
En fait j’ai très envie de te rencontrer mais je ne sais pas pourquoi je n’arrive pas à le dire dans ces échanges.
- Dispo quand ?
- Ce soir, demain, je suis en vacances.
- Ce soir c’est pas possible mes amis seront là mais demain matin ce serait sympa.
- Ça serait sympa. Tu es où ?
Il m’indique une commune de la proche banlieue que je situe à peu près. J’ai envie de faire sa connaissance.
- Je te donne mon numéro : O6 …. Moi c’est Adrien
- Merci. Moi c’est Olivier. On se recontacte demain matin si tu veux. Mon numéro : 06…
- Super. Merci Olivier. A demain.
- A demain Adrien.
Je suis intéressé et amusé. Tout a été si simple. Pas de fausse note, pas de mauvaise impression diffuse comme souvent dans ces contacts virtuels et éphémères.
Souvent les rendez-vous pris pour se recontacter n’aboutissent à rien. Nous verrons bien demain.
Ce matin sms :
- Bonjour Olivier, toujours OK pour toi ?
- Bonjour Adrien. Oui !
- Je te donne l’adresse : …. Envoie-moi un message quand tu es en bas.
- OK. J’y vais. Je serai là dans une demi-heure.
- A plus !
Je suis excité à l’idée de faire sa connaissance. Il a tenu parole. Je me fais une idée de son corps à travers les photos qu’il a téléchargées sur le site mais la réalité est souvent toute autre.
Je fais le trajet sans encombre. C’est un matin de juillet. Il fait très beau à Paris. Il y a de la gaité dans l’air.
J’arrive à proximité de l’adresse indiquée. Je lui envoie un message :
- Je suis bientôt en bas.
- Attends un peu ;-) Mes amis ne sont pas encore partis travailler.
Il y a quelque chose d’amusant dans la situation. Les amis sont-ils dupes de la façon dont leur invité occupe ses journées ? Que penseraient-ils d’Adrien s’ils savaient qu’il utilise leur appartement comme lieu de rencontre ? Rien de grave dans tout cela si l’on s’amuse un peu dans le respect des autres.
Quelques minutes plus tard, alors que j’attends dans le parc à proximité de l’adresse indiquée par Adrien, nouveau sms :
- C’est bon la voie est libre. Le code de l’interphone : … 4ème étage.
Je me dirige vers l’immeuble, années 30, belle façade. J’entre dans le hall et prends l’ascenseur pour le 4ème.
Mon cœur bat plus vite. Le premier regard est toujours une révélation dans ces rencontres furtives. Déception ou confirmation du désir.
Le monde est binaire dans ces circonstances.
Je sonne.
Tu ouvres la porte, tu ne portes qu’une serviette autour de la taille comme si je t’avais surpris sous la douche.
Nos regards se croisent. Tu as des yeux clairs, gris verts, et un regard qui pétille d’intelligence. Je suis séduit et je sens ma queue raidir dans mon short.
- Bonjour Olivier.
- Bonjour Adrien.
- Entre.
Tu t’écartes pour me laisser entrer. Tu fermes la porte et à peine as-tu refermé la porte, tu enlèves ta serviette. Tu es nu devant moi, avec un petit sourire ironique sur les lèvres. Ton corps est doré par le soleil, ton torse et tes cuisses couvertes de poils bruns, ton sexe est en semi érection, dressé à 45 degré, ton gland est gonflé par le désir mais encore protégé par un long prépuce. Tu portes la marque de ton maillot de bain, ton sexe est d’une blancheur qui tranche avec la couleur de ta peau exposée au soleil. Je trouve ce détail furieusement érotique. Tu te montres à moi tel que tu n’as pas voulu t’exposer sur la plage. Ta nudité est restée secrète, cachée aux yeux des autres et j’ai l’impression que c’est un cadeau que tu m’offres.
Tu t’approches et colles tes lèvres sur les miennes.
- Laisse-toi faire…
C’est un murmure dans mon oreille. J’ai envie de m’abandonner entre tes mains. J’ai confiance en toi.
Tu enlèves mon polo, je retire mes Docksides et tu défais la boucle de la ceinture de mon short. Il tombe à mes pieds, je m’en dégage. Tu t’agenouilles devant moi et fais glisser mon caleçon. Je suis nu à mon tour devant toi. Tu ne te relèves pas et commence à donner des coups de langue presque imperceptibles sur ma queue. Je bande à fond.
Puis ta langue fouille les poils de mon pubis. Tu le masses avec ta langue dans des mouvements appuyés qui me font frissonner. C’est doux, lent, délicieusement lent. Tu continues à faire courir ta langue sur mon sexe, sur mes couilles, sur mes cuisses. Tes mains caressent mes jambes poilues, elles aussi toutes en légèreté. Tu frôles ma peau, j’ai l’impression de ressentir tes caresses avant même que ta peau touche la mienne. J’écarte un peu les jambes et de ta main gauche tu caresses mes couilles. C’est juste un doigt qui les parcourt, sans appuyer, une caresse divine qui fait que je ressens chaque millimètre de ce contact inédit avec toi.
Petit à petit ta main va plus loin, ton doigt caressant s’aventure plus avant et tu caresses maintenant mon anus. Toujours une douceur immense, ton doigt passe sur cette partie de moi sans chercher autre chose que provoquer un frisson étrange, sensation légère, presque devinée et à l’inverse plaisir immense et profond. Comme si le plaisir était inversement proportionnel à la force d’une caresse.
Tu te relèves, ton sexe est horizontal maintenant, j’adore ta queue, ce prépuce qui préserve encore ce qu’il y a de plus sensible en toi. Nous nous embrassons, je te serre très fort dans mes bras, ta queue s’écrase contre mon ventre. Nos poils se mêlent, douceur contre douceur. Je prends tes fesses dans mes mains, les écarte pour te rendre la caresse merveilleuse que tu m’as donnée.
- Je veux te faire jouir.
- Moi aussi.
- Non, moi. Laisse-moi faire….
Je suis trop excité par ce garçon sensuel pour le contredire. Il me pousse vers le canapé. Je m’allonge sur le dos. Il est debout près de moi, écarte mes jambes et vient se mettre à genoux, sur les coussins face à moi.
Il reprend ses coups de langue sur ma queue dressée à la verticale. Puis il découvre mon gland et joue avec la pointe de sa langue et l’orifice de mon sexe. C’est irrésistible. Je n’ai pas encore envie de jouir mais c’est un plaisir électrique dans tout mon corps. C’est une onde de plaisir qui rend fou et joyeux.
Je lui fais signe de changer de position pour, en 69 au-dessus de moi, pouvoir lécher ses couilles, les faire rouler doucement sur ma langue l’une après l’autre. Sous l’onde du plaisir la peau se tend et devient comme plus douce encore.
Je commence à lécher son anus. Ses fesses blanches et légèrement poilues me rendent littéralement fou. Je les écarte de mes deux mains et je glisse la pointe de ma langue sur son intimité. Son anus est rose pale, frais, parfumé, très doux. Il gémit.
Pendant ce temps, tête bêche au-dessus de moi, tu avales ma queue tout entière. Mon gland cogne au plus profond de ta bouche. Tu es passé de l’extrême douceur de tes premières caresses à un traitement qui enferme ma queue dans l’étau de ta bouche. Je me sens aspiré, soudé à toi, comme si ta bouche avait été faite à la forme de mon sexe depuis toujours. Quand ma langue s’aventure entre tes fesses, la tienne fait de même sur mon anus. Nous sommes imbriqués, symétriques, dévorés par le même désir du corps de l’autre. Et quand nos langues, au même moment, lèchent nos anus respectifs, c’est un peu plus que de désir qu’il s’agit. C’est une osmose des corps et des consciences.
Tu te relèves et vient murmurer à mon oreille :
- Maintenant, ne bouge plus. Laisse-toi faire totalement…
Il reprend sa position au-dessus de moi. Sa queue et ses couilles pendent divinement au-dessus de mon visage. J’ai envie de le sucer furieusement, de le pénétrer d’un doigt d’abord timide qui peut-être s’enhardirait… Mais il m’a demandé de ne plus bouger.
Sa bouche reprend possession de ma queue. Il s’appuie sur ses deux bras tendus et j’admire sa musculature parfaite. Il fait des pompes au-dessus de mon sexe et je suis fou de désir pour ce garçon pas comme les autres.
Est-ce la situation, la beauté de ce corps, la magie de sa langue et de ces acrobaties, je sens le flot de mon sperme monter dans ma queue. C’est une force irrésistible, une tension inhabituelle. Je vais jouir comme jamais, une éjaculation qui vient d’un plus profond de moi que je ne connaissais pas.
- Attention, je vais jouir
Je le préviens pour qu’il s’écarte au moment de l’explosion-implosion de mon désir. Le point de non-retour est franchi :
- Ououuuuuui !!
Je murmure ce oui d’acceptation de la vague qui va m’emporter pour lui donner le dernier signal et, contrairement à ce que j’attendais, au moment où je jouis, il s’effondre sur moi, ma queue est restée dans sa bouche et s’enfonce au plus profond de lui. Je jouis des flots de sperme dans cette bouche brulante qui me soude à lui dans une étreinte qui nous lie à jamais.
Cette fois-ci le plaisir de l’éjaculation dans la bouche de ce garçon qui me trouble a dépassé la force des mots. C’est un souvenir, une rupture dans mon histoire que rien ne peut décrire.
Voici donc ce qu’il entendait en me demandant de me laisser faire. Nous restons ainsi allongés, effondrés l’un contre l’autre. Mon sexe reprend sa taille normale dans sa bouche, il le lèche encore une fois, doucement. Ce n’est plus le pieu qui nous soudait l’un à l’autre mais il lui porte la même attention.
Il pivote pour venir s’allonger sur moi. Il pose sa tête sur ma poitrine. Je lui caresse les cheveux.
Je murmure dans son oreille :
- Merci Adrien.
- Merci Olivier.
Il n’y a pas besoin d’en dire davantage. Nous nous sommes rencontrés sur des sommets de plaisir que peu d’hommes connaissent avec la même intensité.
- Tu veux prendre une douche ?
Je réponds oui et il m’indique la salle de bain. Il m’apporte une serviette, toujours nu, il bande. Je pourrais lui proposer de le faire jouir à son tour mais je comprends, sans qu’il me le dise, que ce n’est pas cela dont il a envie. Il voulait me donner du plaisir, m’amener au bord d’une jouissance absolue et ne pas reculer devant l’ultime osmose qui ferait couler mon sperme au fond de lui.
Comme tu es émouvant Adrien. Il flotte entre nous cette forme de timidité paisible et presque amoureuse qui s’installe quand deux hommes viennent de se donner un plaisir inattendu. Tout serait possible et pourtant nous allons nous séparer sans en savoir davantage l’un de l’autre. Il sait que je sais. Il sait que je sais son talent rare pour arracher les dernières vibrations du plaisir à un corps d’homme, il sait que je sais qu’il y a en lui une richesse et une générosité uniques.
Je me rhabille sans cesser de le regarder. Il me sourit. Je vais l’embrasser, longuement, silencieusement. Surtout pas de mot. Il bande divinement. Ma main caresse sa joue, glisse dans son cou, descend sur son téton gauche, caresse son ventre doucement velu et enfin sa queue dressée. Caresse d’adieu.
Je sens que tout ton corps est tendu, ton regard devient plus vague, tu frissonnes, toi aussi tu es en train de jouir de ce qui vient de se passer. Ultime baiser. La porte claque derrière moi.
- Salut, ça va ?
Je regarde ton profil en détail. Apparemment tu habites dans le sud, loin, trop loin pour une rencontre. Néanmoins tes photos sont attirantes. Beau corps, bronzé. Je décide de te répondre. Nous verrons bien.
- Salut, oui ça va. Envie de quoi ?
Je ne suis jamais très inspiré pour entamer la conversation sur ces réseaux. Je n’aime pas les demandes trop directes, comme si le sexe n’était qu’affaire de bestialité. J’aime le côté animal du sexe justement parce qu’il est combiné, agrégé à une dimension sensuelle et sensorielle beaucoup plus complexe et stimulante.
- Rencontre, tchat, comme tu veux.
Au moins tu es à l’écoute de celui avec qui tu parles.
- Pour une rencontre ça va être difficile. Je suis à Paris et toi dans le sud.
- Et bien non justement ! Je suis chez des amis près de Paris. On peut donc se voir si tu veux.
Voilà qui change tout. Je ne sais pas exactement pourquoi mais il y a dans tes photos et dans la façon dont tu t’exprimes quelque chose d’attirant et d’excitant.
- Pourquoi pas…
En fait j’ai très envie de te rencontrer mais je ne sais pas pourquoi je n’arrive pas à le dire dans ces échanges.
- Dispo quand ?
- Ce soir, demain, je suis en vacances.
- Ce soir c’est pas possible mes amis seront là mais demain matin ce serait sympa.
- Ça serait sympa. Tu es où ?
Il m’indique une commune de la proche banlieue que je situe à peu près. J’ai envie de faire sa connaissance.
- Je te donne mon numéro : O6 …. Moi c’est Adrien
- Merci. Moi c’est Olivier. On se recontacte demain matin si tu veux. Mon numéro : 06…
- Super. Merci Olivier. A demain.
- A demain Adrien.
Je suis intéressé et amusé. Tout a été si simple. Pas de fausse note, pas de mauvaise impression diffuse comme souvent dans ces contacts virtuels et éphémères.
Souvent les rendez-vous pris pour se recontacter n’aboutissent à rien. Nous verrons bien demain.
Ce matin sms :
- Bonjour Olivier, toujours OK pour toi ?
- Bonjour Adrien. Oui !
- Je te donne l’adresse : …. Envoie-moi un message quand tu es en bas.
- OK. J’y vais. Je serai là dans une demi-heure.
- A plus !
Je suis excité à l’idée de faire sa connaissance. Il a tenu parole. Je me fais une idée de son corps à travers les photos qu’il a téléchargées sur le site mais la réalité est souvent toute autre.
Je fais le trajet sans encombre. C’est un matin de juillet. Il fait très beau à Paris. Il y a de la gaité dans l’air.
J’arrive à proximité de l’adresse indiquée. Je lui envoie un message :
- Je suis bientôt en bas.
- Attends un peu ;-) Mes amis ne sont pas encore partis travailler.
Il y a quelque chose d’amusant dans la situation. Les amis sont-ils dupes de la façon dont leur invité occupe ses journées ? Que penseraient-ils d’Adrien s’ils savaient qu’il utilise leur appartement comme lieu de rencontre ? Rien de grave dans tout cela si l’on s’amuse un peu dans le respect des autres.
Quelques minutes plus tard, alors que j’attends dans le parc à proximité de l’adresse indiquée par Adrien, nouveau sms :
- C’est bon la voie est libre. Le code de l’interphone : … 4ème étage.
Je me dirige vers l’immeuble, années 30, belle façade. J’entre dans le hall et prends l’ascenseur pour le 4ème.
Mon cœur bat plus vite. Le premier regard est toujours une révélation dans ces rencontres furtives. Déception ou confirmation du désir.
Le monde est binaire dans ces circonstances.
Je sonne.
Tu ouvres la porte, tu ne portes qu’une serviette autour de la taille comme si je t’avais surpris sous la douche.
Nos regards se croisent. Tu as des yeux clairs, gris verts, et un regard qui pétille d’intelligence. Je suis séduit et je sens ma queue raidir dans mon short.
- Bonjour Olivier.
- Bonjour Adrien.
- Entre.
Tu t’écartes pour me laisser entrer. Tu fermes la porte et à peine as-tu refermé la porte, tu enlèves ta serviette. Tu es nu devant moi, avec un petit sourire ironique sur les lèvres. Ton corps est doré par le soleil, ton torse et tes cuisses couvertes de poils bruns, ton sexe est en semi érection, dressé à 45 degré, ton gland est gonflé par le désir mais encore protégé par un long prépuce. Tu portes la marque de ton maillot de bain, ton sexe est d’une blancheur qui tranche avec la couleur de ta peau exposée au soleil. Je trouve ce détail furieusement érotique. Tu te montres à moi tel que tu n’as pas voulu t’exposer sur la plage. Ta nudité est restée secrète, cachée aux yeux des autres et j’ai l’impression que c’est un cadeau que tu m’offres.
Tu t’approches et colles tes lèvres sur les miennes.
- Laisse-toi faire…
C’est un murmure dans mon oreille. J’ai envie de m’abandonner entre tes mains. J’ai confiance en toi.
Tu enlèves mon polo, je retire mes Docksides et tu défais la boucle de la ceinture de mon short. Il tombe à mes pieds, je m’en dégage. Tu t’agenouilles devant moi et fais glisser mon caleçon. Je suis nu à mon tour devant toi. Tu ne te relèves pas et commence à donner des coups de langue presque imperceptibles sur ma queue. Je bande à fond.
Puis ta langue fouille les poils de mon pubis. Tu le masses avec ta langue dans des mouvements appuyés qui me font frissonner. C’est doux, lent, délicieusement lent. Tu continues à faire courir ta langue sur mon sexe, sur mes couilles, sur mes cuisses. Tes mains caressent mes jambes poilues, elles aussi toutes en légèreté. Tu frôles ma peau, j’ai l’impression de ressentir tes caresses avant même que ta peau touche la mienne. J’écarte un peu les jambes et de ta main gauche tu caresses mes couilles. C’est juste un doigt qui les parcourt, sans appuyer, une caresse divine qui fait que je ressens chaque millimètre de ce contact inédit avec toi.
Petit à petit ta main va plus loin, ton doigt caressant s’aventure plus avant et tu caresses maintenant mon anus. Toujours une douceur immense, ton doigt passe sur cette partie de moi sans chercher autre chose que provoquer un frisson étrange, sensation légère, presque devinée et à l’inverse plaisir immense et profond. Comme si le plaisir était inversement proportionnel à la force d’une caresse.
Tu te relèves, ton sexe est horizontal maintenant, j’adore ta queue, ce prépuce qui préserve encore ce qu’il y a de plus sensible en toi. Nous nous embrassons, je te serre très fort dans mes bras, ta queue s’écrase contre mon ventre. Nos poils se mêlent, douceur contre douceur. Je prends tes fesses dans mes mains, les écarte pour te rendre la caresse merveilleuse que tu m’as donnée.
- Je veux te faire jouir.
- Moi aussi.
- Non, moi. Laisse-moi faire….
Je suis trop excité par ce garçon sensuel pour le contredire. Il me pousse vers le canapé. Je m’allonge sur le dos. Il est debout près de moi, écarte mes jambes et vient se mettre à genoux, sur les coussins face à moi.
Il reprend ses coups de langue sur ma queue dressée à la verticale. Puis il découvre mon gland et joue avec la pointe de sa langue et l’orifice de mon sexe. C’est irrésistible. Je n’ai pas encore envie de jouir mais c’est un plaisir électrique dans tout mon corps. C’est une onde de plaisir qui rend fou et joyeux.
Je lui fais signe de changer de position pour, en 69 au-dessus de moi, pouvoir lécher ses couilles, les faire rouler doucement sur ma langue l’une après l’autre. Sous l’onde du plaisir la peau se tend et devient comme plus douce encore.
Je commence à lécher son anus. Ses fesses blanches et légèrement poilues me rendent littéralement fou. Je les écarte de mes deux mains et je glisse la pointe de ma langue sur son intimité. Son anus est rose pale, frais, parfumé, très doux. Il gémit.
Pendant ce temps, tête bêche au-dessus de moi, tu avales ma queue tout entière. Mon gland cogne au plus profond de ta bouche. Tu es passé de l’extrême douceur de tes premières caresses à un traitement qui enferme ma queue dans l’étau de ta bouche. Je me sens aspiré, soudé à toi, comme si ta bouche avait été faite à la forme de mon sexe depuis toujours. Quand ma langue s’aventure entre tes fesses, la tienne fait de même sur mon anus. Nous sommes imbriqués, symétriques, dévorés par le même désir du corps de l’autre. Et quand nos langues, au même moment, lèchent nos anus respectifs, c’est un peu plus que de désir qu’il s’agit. C’est une osmose des corps et des consciences.
Tu te relèves et vient murmurer à mon oreille :
- Maintenant, ne bouge plus. Laisse-toi faire totalement…
Il reprend sa position au-dessus de moi. Sa queue et ses couilles pendent divinement au-dessus de mon visage. J’ai envie de le sucer furieusement, de le pénétrer d’un doigt d’abord timide qui peut-être s’enhardirait… Mais il m’a demandé de ne plus bouger.
Sa bouche reprend possession de ma queue. Il s’appuie sur ses deux bras tendus et j’admire sa musculature parfaite. Il fait des pompes au-dessus de mon sexe et je suis fou de désir pour ce garçon pas comme les autres.
Est-ce la situation, la beauté de ce corps, la magie de sa langue et de ces acrobaties, je sens le flot de mon sperme monter dans ma queue. C’est une force irrésistible, une tension inhabituelle. Je vais jouir comme jamais, une éjaculation qui vient d’un plus profond de moi que je ne connaissais pas.
- Attention, je vais jouir
Je le préviens pour qu’il s’écarte au moment de l’explosion-implosion de mon désir. Le point de non-retour est franchi :
- Ououuuuuui !!
Je murmure ce oui d’acceptation de la vague qui va m’emporter pour lui donner le dernier signal et, contrairement à ce que j’attendais, au moment où je jouis, il s’effondre sur moi, ma queue est restée dans sa bouche et s’enfonce au plus profond de lui. Je jouis des flots de sperme dans cette bouche brulante qui me soude à lui dans une étreinte qui nous lie à jamais.
Cette fois-ci le plaisir de l’éjaculation dans la bouche de ce garçon qui me trouble a dépassé la force des mots. C’est un souvenir, une rupture dans mon histoire que rien ne peut décrire.
Voici donc ce qu’il entendait en me demandant de me laisser faire. Nous restons ainsi allongés, effondrés l’un contre l’autre. Mon sexe reprend sa taille normale dans sa bouche, il le lèche encore une fois, doucement. Ce n’est plus le pieu qui nous soudait l’un à l’autre mais il lui porte la même attention.
Il pivote pour venir s’allonger sur moi. Il pose sa tête sur ma poitrine. Je lui caresse les cheveux.
Je murmure dans son oreille :
- Merci Adrien.
- Merci Olivier.
Il n’y a pas besoin d’en dire davantage. Nous nous sommes rencontrés sur des sommets de plaisir que peu d’hommes connaissent avec la même intensité.
- Tu veux prendre une douche ?
Je réponds oui et il m’indique la salle de bain. Il m’apporte une serviette, toujours nu, il bande. Je pourrais lui proposer de le faire jouir à son tour mais je comprends, sans qu’il me le dise, que ce n’est pas cela dont il a envie. Il voulait me donner du plaisir, m’amener au bord d’une jouissance absolue et ne pas reculer devant l’ultime osmose qui ferait couler mon sperme au fond de lui.
Comme tu es émouvant Adrien. Il flotte entre nous cette forme de timidité paisible et presque amoureuse qui s’installe quand deux hommes viennent de se donner un plaisir inattendu. Tout serait possible et pourtant nous allons nous séparer sans en savoir davantage l’un de l’autre. Il sait que je sais. Il sait que je sais son talent rare pour arracher les dernières vibrations du plaisir à un corps d’homme, il sait que je sais qu’il y a en lui une richesse et une générosité uniques.
Je me rhabille sans cesser de le regarder. Il me sourit. Je vais l’embrasser, longuement, silencieusement. Surtout pas de mot. Il bande divinement. Ma main caresse sa joue, glisse dans son cou, descend sur son téton gauche, caresse son ventre doucement velu et enfin sa queue dressée. Caresse d’adieu.
Je sens que tout ton corps est tendu, ton regard devient plus vague, tu frissonnes, toi aussi tu es en train de jouir de ce qui vient de se passer. Ultime baiser. La porte claque derrière moi.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
il ya t il une suite de cette belle histoire :p
vite on veut découvrir le reste :)))
vite on veut découvrir le reste :)))
OUI TRES BELLE HISTOIRE ET LA SUITE?
superbe histoire !