Rencontre surprenante en Argentine
Récit érotique écrit par Bitrock [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Rencontre surprenante en Argentine
Buenos Aires Avril 2006
Je vous résume ci-après l’aventure qui m’est arrivée il y a presque 5 ans en
Argentine.
J’ai un copain de longue date qui était parti à l’aventure (il avait à l’époque 26 ans
et moi 30) ; il faisait le tour du monde en +/- un an. Et après avoir arrangé nos
agendas, il était prévu que j’aille le rejoindre en Argentine pour un séjour de 3
semaines.
Je débarque donc à Buenos Aires, un soir d’avril 2006, et retrouve mon pote Bernard
qui était là depuis déjà 1 mois. Bien installé, il avait trouvé une copine et logeait
avec elle dans un immense loft qu’elle partageait avec 4 filles et 3 garçons dans le
quartier Palermo.
« T’inquiètes pas me dit-il pour le logement, t’auras aucun frais, on vit quasi en
communauté, on fait pot commun. C’est la fête presque tout le temps…. »
Mon arrivée au loft est d’ailleurs fêtée comme il se doit, je suis très bien accueilli
et j’ai vite compris qu’on partage tout : la bouffe, les verres, les cigarettes, les
joints,…. Et après quelques heures ….les filles passent de bras en bras.
Mais, assez crevé par le voyage et le décalage horaire, je ne profite pas à fond de
cette 1ère soirée et je m’écroule après quelques verres de punch et deux bons tafs
Les 3 jours suivants, nous partons à la découverte de la ville avec Tonia, la copine
de Bernard puis tous les soirs, c’est la fête au loft.
Le samedi, Bernard, Tonia et les autres décident de m’emmener en boite, dans le
quartier branché de Puerto Madero.
Après avoir déconnés dans 2 boites complètement bourrées (les boites et nous aussi),
nous nous dirigeons vers un club un peu plus calme où Tonia et ses amis avaient
rendez-vous vers 2 h du mat. Et c’est là, qu’une fois les présentations faites avec
cette nouvelle bande d’amis, je craquais complètement sur une fille superbe, que Tonia
me présente comme s’appelant Isabella : 1m 78, yeux bruns, cheveux très noirs,
longues jambes musclées dans un jeans moulant avec des bottes noires jusqu’au genoux
et un tee-shirt bariolé qui laissait deviner une paire de seins bien proportionnés.
Après quelques mots en Anglais et en Espagnol et deux cocktails, je l’invite à danser
; ce qu’elle accepte de suite. Une fois sur la piste, elle se déchaine, elle saute,
elle se déhanche, rie, chante… Enfin une série de morceaux calmes et je peux enfin la
suivre dans un slow langoureux, elle se plaque contre moi : nos corps se frottent l’un
à l’autre et je ne tarde pas à avoir un beau début d’érection, ce qu’elle remarque
directement et la fait rire de plus belle ; et elle se serre de plus belle. Peu après
cette série de slow, elle demande, tout de go : « veux-tu rentrer avec moi ou restes-
tu avec tes copains ? » Sans hésiter une seconde, j’accepte de rentrer avec elle. Il
n’est pas loin de 4 h.
Je vais donc prévenir Bernard : « Tu rentres avec Isabella ? me dit-il en riant,
d’accord, mais……………. Je ne comprends pas la suite à cause du vacarme !!!!!!
Une fois dehors, Isabella me dit « J’habite à +/- 2 kms, on y va à pied, Ok ?? » OK,
et nous voilà partis, bras dessus bras dessous. Un peu titubant, environ une demi-
heure plus tard, nous arrivons devant un immeuble à apparts dans un quartier assez
calme. On prend l’ascenseur pour le sixième et dernier étage. Dès la fermeture des
portes, Isabella se plaque à moi et m’embrasse goulument en me caressant le dos et les
fesses. Je me mets à lui peloter les fesses, mais l’ascenseur termine sa course. On
est à destination, elle ouvre la porte et nous entrons dans un vaste appart.
Dès la porte refermée, nous reprenons notre baiser de plus belle, puis elle s’écarte
et me dit « Viens, allons au salon, on va prendre un verre ou thé, café, ce que tu
veux ». Vu que je me sens encore un peu saoul « Va pour un thé ». Elle s’installe à la
cuisine pendant que j’enlève ma veste et me laisse tomber dans un divan. J’inspecte
les lieux puis je ferme les yeux….. Ai-je somnolé ? Sans doute, car je suis réveillé
par une sensation extraordinaire, Isabella, qui n’est plus vêtue que d’un peignoir en
soie noir, est occupée à me caresser à travers mon pantalon en toile….
Elle me laisse en l’état et me dit « voilà le thé est prêt et toi….presque ». Elle
nous sert et s’assied face de moi ; « Tu peux continuer, lui dis-je » « Oui, oui, mais
attends, bois le thé, nous avons tout le temps…. Tu peux prendre un bain pour te
rafraichir car je n’aime pas trop les odeurs de fumée, de sueurs et autres…. » « Ok,
je bois et tu me montres…. » Une fois, le thé au goût assez bizarre avalé, elle me
dirige vers la salle de bain où un bain chaud m’attendait !!! Je me déshabille, entre
dans l’eau et commence à me laver, quand je me sens pris d’une douce euphorie et d’une
impression de planer complètement.
Isabella, toujours en peignoir, me frotte le dos, puis se met à caresser mon sexe mou
mais qui ne tarde pas à prendre une position plus digne, elle me caresse aussi
doucement les couilles… Je suis aux anges, dans un état second, nébuleux. Je essaye de
lui ouvrir son peignoir mais elle recule et me dit « Viens que je t’essuie » Une fois
debout, elle se met à me frictionner le dos, la poitrine, et commence à descendre se
mettant à genoux. Elle essuie précautionneusement mon sexe tendu avant de le prendre
entre ses lèvres, tout en me massant les fesses puis les jambes. Je suis en
ébullition, mais dans une douce torpeur, d’ailleurs mes jambes ont du mal à me porter.
« Viens, dit-elle, allons dans la chambre »
Dans la chambre plongée dans une pénombre relaxante, un lit gigantesque nous
attendait, mais je me sens de plus en plus dans le gaz.
Isabella me fait me coucher, reprend ses caresses puis sans que je n’aie le temps de
réagir, elle m’attache les mains avec une longue écharpe à la tête du lit. « Laisse-
toi faire, dit-elle » et elle recommence une incroyable séance de caresses, elle a
les mains partout en même temps, puis elle se concentre sur mon sexe qui est
maintenant tendu à son maximum, c’en est presque douloureux. Isabella se met alors à
me lécher la queue sur toute sa longueur et à jouer avec mon gland, en même temps,
elle me caresse les couilles. Elle me fait subir ce traitement un temps qui m’a parut
une éternité, je suis au bord de l’explosion mais toujours dans un état de torpeur
inexplicable. Je veux moi aussi la caresser, mais comme je suis attaché. Isabella me
met alors un préservatif. Elle s’accroupit au dessus de moi en me tournant le dos,
s’écarte les fesses, place son petit trou juste contre mon gland et s’enfonce
doucement, tout doucement. Puis elle entame une série de va-et-vient de plus en plus
profonds et de plus en plus rapides. Je sens ses muscles se contracter puis se
relâcher : je n’ai jamais ressentis une telle sensation, c’était comme si seul mon
sexe était vivant. Elle pousse un long feulement de jouissance, se calme et reste un
long moment totalement empalée sur mon sexe toujours en érection. Elle reprend ensuite
ses mouvements de va-et vient, c’était incroyable, elle joue avec moi comme avec un
gode avant de jouir une deuxième fois de la même façon. Après un moment de
récupération, elle vient m’embrasser et me dit « Maintenant, je vais te faire jouir à
ton tour ».
Elle me reprend entre ses lèvres et commence à me sucer, à me caresser sur toute la
longueur mais aussi à insister autour de mon anus. Je la sens s’humecter les doigts
avant d’en enfoncer un, puis deux et de les faire tourner. Je devins complètement
dingue et je jouis comme jamais dans sa bouche. Je suis exténué…. Je m’endors comme
une brute !!!
Quand je rouvre les yeux, la chambre est toujours plongée dans l’obscurité, je
découvre Isabella blottie contre moi, je me lève doucement pour me rendre aux
toilettes et boire un grand verre d’eau, car je suis bizarrement assez vaseux.
Je me passe la tête sous l’eau, pour me remettre les idées en place car je me
demandais si je n’ai pas rêvé.
Je reviens dans le lit, Isabella n’a pas bougé, je l’embrasse dans le cou, lui
caresse le dos, puis me mets à lui peloter les seins, car maintenant je me sens en
forme et rien ne me paralysait comme cette nuit. Je me rends compte qu’elle a des
seins plus volumineux que je ne croyais de prime abord.
Isabella gémit et commence à se réveiller quand je glisse ma main vers son sexe
et….là, surprise, je découvre sous son nombril….. une queue….et tout ce qui va avec.
Le tout de belle taille car elle aussi a une belle « érection du matin ». Je retire ma
main vivement.
Elle se retourne de suite et me dit
- « Tu n’étais pas au courant ? Tonia et les autres ne t’ont rien dit »
- « Non, et je suis surpris après tout ce que tu m’as fait cette nuit et je ne
me suis rendu compte de rien »
- « J’ai peu un peu trop forcé sur l’euphorisant que j’ai mis dans ton thé et
avec ce que tu avais bu et fumé avant…. »
- « Ah bon, tu m’avais drogué; c’est pour ça que je ne me suis pas rendu compte
que tu avais une queue»
- « Ben oui, pendant que tu dormais dans le divan, je me suis préparée et avec
l’obscurité et en ne me frottant pas trop contre toi, tu ne pouvais rien voir ou
sentir »
- « En tout cas, je n’avais jamais baisé comme ça, aussi longtemps…. aussi
fort….. »
- « Ah ça, tu peux le dire, tu t’es écroulé vers 7 h du matin. Tu ne n’en
veux pas ? »
- « T’en vouloir après une nuit pareille !!!! Impossible »
Et pour confirmer mes dires, je l’embrasse, tout en lui caressant les seins « Je pense
même que j’ai souvent eu envie d’une telle aventure…..sans y croire… »
« Attends, dit-elle, je reviens tout de suite », en se dirigeant vers la salle de
bain. Elle revient 2 minutes plus tard et ouvrit légèrement les tentures pour laisser
entrer la lumière.
Je la découvre enfin entièrement nue, elle est magnifique, fine mais musclée, ses
seins tiennent bien droit, elle a des hanches assez larges, des fesses bien
rebondies…. Elle vient se recoucher :
« Donc, tu ne regrettes rien ? »
«Je serai même plutôt d’avis de remettre ça » et je recommence à l’embrasser en la
caressant, et elle me rend la pareille aussitôt.
Mes mains courent de ses seins à son dos, puis elles descendent à la rencontre de cet
objet de mystère pour moi, car si j’avais déjà vu des tas de queues dans des
vestiaires de foot ; je n’en avais jamais touché d’autre que la mienne.
- « Oh oui caresse-moi »
- « Je n’ai jamais fait ça »
- « Fais comme avec la tienne, doucement et tendrement »
Faisant comme elle dit, je sens très vite son sexe commencer à se dresser. Et quand je
dis se dresser, je suis ébahi. Isabella était très bien montée, tellement bien que
j’en devins jaloux…
- « Et bien, tu as une queue magnifique »
- « Tu n’as pas envie de la lécher ? D’ailleurs tourne-toi que je profite de la
tienne…. »
Nous voilà en position de 69, mais j’hésite un peu. Isabella, elle pas, elle me lèche
déjà le gland en me caressant la base et les couilles. Du coup, j’y vais, j’entrouvre
les lèvres, m’approche de son gland, donne un coup de langue, un autre, puis je lèche
doucement, et finalement le fais entrer entièrement dans ma bouche. Quelle sensation
!!!
- « Caresse-moi en même temps » dit Isabella d’un ton un peu professoral.
Car elle ne chômait pas de son côté et ma queue était complètement tendue. Jamais, je
n’avais eu affaire avec une telle suceuse et pour me montrer l’exemple, elle me gobe
complètement jusqu’au fond de sa gorge.
Pour ne pas être en reste, je commence par enfoncer la moitié de son sexe puis
j’essaye d’aller plus loin ; je prends vraiment beaucoup de plaisir à ma première
pipe. Et, en entendant Isabella gémir, je me dis que je ne me débrouillais pas si mal.
C’est alors que je la sens enfoncer un doigt dans mon anus, j’ai un mouvement
involontaire de contraction qui la fait rire.
- « Tu n’aime pas ? »
- « Huuummm, si, si, mais je n’ai pas l’habitude, mais continue, c’est bon… »
Pas besoin d’insister avec Isabella, elle n’hésite pas et enfonce cette fois deux
doigts bien humidifiés et commence à les faire tourner. J’ai du mal à me concentrer
sur sa queue que je continue à lécher. Après quelques allers-retours, elle place un
troisième doigt et là je commence vraiment à ressentir une sensation inconnue.
- « J’ai envie de te faire l’amour, me dit Isa en haletant, j’ai vraiment très
envie »
- « Moi aussi, mais tu ne vas pas me faire mal ? »
- « Non je vais faire très attention, tu m’arrêteras si ça ne va pas »
Elle avait déjà préparé un préservatif, qu’elle enfile très vite, et un tube de
lubrifiant, dont elle me « tartine » copieusement en enfonçant de nouveau ses doigts.
- « Mets toi à genoux, jambes écartées, la tête sur les oreillers, ce sera plus
facile »
Je sens alors quelque chose de bien plus gros tenter de pénétrer mon anus, elle y va
doucement pour m’habituer, puis insiste plus fort et là, je sens son gland m’écarter
et entrer entièrement.
En même temps, mon gémissement devient un cri, de surprise et un peu de douleur aussi,
quand elle force le passage…..
Elle fait alors une courte pause :
- « Ca va ?, je peux continuer ? » demande-telle
- « Oh oui, ça va, ça fait un peu mal mais vas-y, continue »
Elle pousse, alors, et fait pénétrer petit à petit tout son membre dont je sens chaque
avancée m’écarter plus en profondeur, jusqu’au moment où je sens ses couilles contre
moi.
Ca y est, elle est totalement en moi !!!
Elle commence de lents mouvements de vas-et-viens. Après une bonne dizaine d’aller-
retour à ce rythme, elle accélère soudain et commence y aller plus en force. Puis,
elle se retire entièrement, rentre, se retire de nouveau…
- « Alors, tu aimes, tu en veux encore ? Je le vois bien…. Tournes-toi, je veux
voir ton visage, maintenant… »
Je m’exécute et elle écarte mes jambes et les lève, présente de nouveau son sexe
contre mon anus qui offre bien moins de résistance, elle me pénètre bien à fond en
souriant, se penche vers moi pour m’embrasser, puis se redresse pour mieux reprendre
ses longs mouvements de va-et-vient. J’en profite pour caresser ses seins dont les
tétons sont dressés. Elle prend ma queue en main et commence à me branler.
Je ressens une telle sensation que je ne tarde pas à jouir copieusement dans ses mains
et sur mon ventre.
- « Je vais bientôt jouir aussi, dit Isa, remets-toi sur le ventre, ce sera plus
puissant »
En effet, car une fois qu’Isa s’est réinstallée bien au fond de mon cul, j’essaye de
contracter les muscles de mon anus, je sens de suite qu’Isabella n’y est pas
insensible car sa queue se gonfle encore plus. Mais, elle est très endurante et elle
m’encule pendant encore un long moment. Mais soudain, elle pousse un long soupir….
- « Je jouis, je jouis….. »
Je sens les contractions de son sexe et malgré le préservatif j’ai l’impression de
sentir ses longs jets de sperme en moi.
Isabella se retire et tombe littéralement à côté de moi. Nous nous embrassons
longuement.
- « Quelle jouissance, je n’avais jamais ressenti ça », lui dis-je.
- « Ca a été extraordinaire pour moi aussi, dit-elle, vraiment »
Nous nous tenons serrés l’un contre l’autre, nous embrassant, nous caressant, jouant
l’un avec l’autre.
- « Tu n’as pas soif, demande-t-elle »
- « Je meure de soif »
- « Allons-nous rafraichir, et reprendre des forces »
- «Oh oui, j’ai faim aussi, mais quelle heure est-il ? »
- « Presque 3 heures de l’après-midi »
- « Mais, dis donc tu m’a fais l’amour plus d’une heure !!!! »
- « Et c’est quand tu veux pour remettre ça, combien de temps restes-tu en
Argentine ? »
- « Encore 15 jours, pourquoi ? »
- « Je suis en congé pour 3 semaines, si tu veux je peux être ton amie pour le
reste de ton séjour. Je peux te faire découvrir la ville, mais seulement si tu veux »
Pas besoin de me le demander deux fois, après un petit repas et une bonne douche, me
voilà parti chercher mes affaires au loft de Tonia, pendant qu’Isa fait des courses.
- « Pas de problème, me dit Tonia, je préviendrai Bernard, il est parti au
ravitaillement avec Sergio. Et alors, elle t’a plu Isabella ? Elle est spéciale, hein
! Je t’avais prévenu »
- « J’avais rien compris à cause du bruit, mais j’ai vraiment envie de continuer
l’expérience, car sexuellement, je viens de passer une nuit et une journée
exceptionnelle »
- « Je sais, dit-elle en souriant, je connais Isabella aussi…… »
Je vous résume ci-après l’aventure qui m’est arrivée il y a presque 5 ans en
Argentine.
J’ai un copain de longue date qui était parti à l’aventure (il avait à l’époque 26 ans
et moi 30) ; il faisait le tour du monde en +/- un an. Et après avoir arrangé nos
agendas, il était prévu que j’aille le rejoindre en Argentine pour un séjour de 3
semaines.
Je débarque donc à Buenos Aires, un soir d’avril 2006, et retrouve mon pote Bernard
qui était là depuis déjà 1 mois. Bien installé, il avait trouvé une copine et logeait
avec elle dans un immense loft qu’elle partageait avec 4 filles et 3 garçons dans le
quartier Palermo.
« T’inquiètes pas me dit-il pour le logement, t’auras aucun frais, on vit quasi en
communauté, on fait pot commun. C’est la fête presque tout le temps…. »
Mon arrivée au loft est d’ailleurs fêtée comme il se doit, je suis très bien accueilli
et j’ai vite compris qu’on partage tout : la bouffe, les verres, les cigarettes, les
joints,…. Et après quelques heures ….les filles passent de bras en bras.
Mais, assez crevé par le voyage et le décalage horaire, je ne profite pas à fond de
cette 1ère soirée et je m’écroule après quelques verres de punch et deux bons tafs
Les 3 jours suivants, nous partons à la découverte de la ville avec Tonia, la copine
de Bernard puis tous les soirs, c’est la fête au loft.
Le samedi, Bernard, Tonia et les autres décident de m’emmener en boite, dans le
quartier branché de Puerto Madero.
Après avoir déconnés dans 2 boites complètement bourrées (les boites et nous aussi),
nous nous dirigeons vers un club un peu plus calme où Tonia et ses amis avaient
rendez-vous vers 2 h du mat. Et c’est là, qu’une fois les présentations faites avec
cette nouvelle bande d’amis, je craquais complètement sur une fille superbe, que Tonia
me présente comme s’appelant Isabella : 1m 78, yeux bruns, cheveux très noirs,
longues jambes musclées dans un jeans moulant avec des bottes noires jusqu’au genoux
et un tee-shirt bariolé qui laissait deviner une paire de seins bien proportionnés.
Après quelques mots en Anglais et en Espagnol et deux cocktails, je l’invite à danser
; ce qu’elle accepte de suite. Une fois sur la piste, elle se déchaine, elle saute,
elle se déhanche, rie, chante… Enfin une série de morceaux calmes et je peux enfin la
suivre dans un slow langoureux, elle se plaque contre moi : nos corps se frottent l’un
à l’autre et je ne tarde pas à avoir un beau début d’érection, ce qu’elle remarque
directement et la fait rire de plus belle ; et elle se serre de plus belle. Peu après
cette série de slow, elle demande, tout de go : « veux-tu rentrer avec moi ou restes-
tu avec tes copains ? » Sans hésiter une seconde, j’accepte de rentrer avec elle. Il
n’est pas loin de 4 h.
Je vais donc prévenir Bernard : « Tu rentres avec Isabella ? me dit-il en riant,
d’accord, mais……………. Je ne comprends pas la suite à cause du vacarme !!!!!!
Une fois dehors, Isabella me dit « J’habite à +/- 2 kms, on y va à pied, Ok ?? » OK,
et nous voilà partis, bras dessus bras dessous. Un peu titubant, environ une demi-
heure plus tard, nous arrivons devant un immeuble à apparts dans un quartier assez
calme. On prend l’ascenseur pour le sixième et dernier étage. Dès la fermeture des
portes, Isabella se plaque à moi et m’embrasse goulument en me caressant le dos et les
fesses. Je me mets à lui peloter les fesses, mais l’ascenseur termine sa course. On
est à destination, elle ouvre la porte et nous entrons dans un vaste appart.
Dès la porte refermée, nous reprenons notre baiser de plus belle, puis elle s’écarte
et me dit « Viens, allons au salon, on va prendre un verre ou thé, café, ce que tu
veux ». Vu que je me sens encore un peu saoul « Va pour un thé ». Elle s’installe à la
cuisine pendant que j’enlève ma veste et me laisse tomber dans un divan. J’inspecte
les lieux puis je ferme les yeux….. Ai-je somnolé ? Sans doute, car je suis réveillé
par une sensation extraordinaire, Isabella, qui n’est plus vêtue que d’un peignoir en
soie noir, est occupée à me caresser à travers mon pantalon en toile….
Elle me laisse en l’état et me dit « voilà le thé est prêt et toi….presque ». Elle
nous sert et s’assied face de moi ; « Tu peux continuer, lui dis-je » « Oui, oui, mais
attends, bois le thé, nous avons tout le temps…. Tu peux prendre un bain pour te
rafraichir car je n’aime pas trop les odeurs de fumée, de sueurs et autres…. » « Ok,
je bois et tu me montres…. » Une fois, le thé au goût assez bizarre avalé, elle me
dirige vers la salle de bain où un bain chaud m’attendait !!! Je me déshabille, entre
dans l’eau et commence à me laver, quand je me sens pris d’une douce euphorie et d’une
impression de planer complètement.
Isabella, toujours en peignoir, me frotte le dos, puis se met à caresser mon sexe mou
mais qui ne tarde pas à prendre une position plus digne, elle me caresse aussi
doucement les couilles… Je suis aux anges, dans un état second, nébuleux. Je essaye de
lui ouvrir son peignoir mais elle recule et me dit « Viens que je t’essuie » Une fois
debout, elle se met à me frictionner le dos, la poitrine, et commence à descendre se
mettant à genoux. Elle essuie précautionneusement mon sexe tendu avant de le prendre
entre ses lèvres, tout en me massant les fesses puis les jambes. Je suis en
ébullition, mais dans une douce torpeur, d’ailleurs mes jambes ont du mal à me porter.
« Viens, dit-elle, allons dans la chambre »
Dans la chambre plongée dans une pénombre relaxante, un lit gigantesque nous
attendait, mais je me sens de plus en plus dans le gaz.
Isabella me fait me coucher, reprend ses caresses puis sans que je n’aie le temps de
réagir, elle m’attache les mains avec une longue écharpe à la tête du lit. « Laisse-
toi faire, dit-elle » et elle recommence une incroyable séance de caresses, elle a
les mains partout en même temps, puis elle se concentre sur mon sexe qui est
maintenant tendu à son maximum, c’en est presque douloureux. Isabella se met alors à
me lécher la queue sur toute sa longueur et à jouer avec mon gland, en même temps,
elle me caresse les couilles. Elle me fait subir ce traitement un temps qui m’a parut
une éternité, je suis au bord de l’explosion mais toujours dans un état de torpeur
inexplicable. Je veux moi aussi la caresser, mais comme je suis attaché. Isabella me
met alors un préservatif. Elle s’accroupit au dessus de moi en me tournant le dos,
s’écarte les fesses, place son petit trou juste contre mon gland et s’enfonce
doucement, tout doucement. Puis elle entame une série de va-et-vient de plus en plus
profonds et de plus en plus rapides. Je sens ses muscles se contracter puis se
relâcher : je n’ai jamais ressentis une telle sensation, c’était comme si seul mon
sexe était vivant. Elle pousse un long feulement de jouissance, se calme et reste un
long moment totalement empalée sur mon sexe toujours en érection. Elle reprend ensuite
ses mouvements de va-et vient, c’était incroyable, elle joue avec moi comme avec un
gode avant de jouir une deuxième fois de la même façon. Après un moment de
récupération, elle vient m’embrasser et me dit « Maintenant, je vais te faire jouir à
ton tour ».
Elle me reprend entre ses lèvres et commence à me sucer, à me caresser sur toute la
longueur mais aussi à insister autour de mon anus. Je la sens s’humecter les doigts
avant d’en enfoncer un, puis deux et de les faire tourner. Je devins complètement
dingue et je jouis comme jamais dans sa bouche. Je suis exténué…. Je m’endors comme
une brute !!!
Quand je rouvre les yeux, la chambre est toujours plongée dans l’obscurité, je
découvre Isabella blottie contre moi, je me lève doucement pour me rendre aux
toilettes et boire un grand verre d’eau, car je suis bizarrement assez vaseux.
Je me passe la tête sous l’eau, pour me remettre les idées en place car je me
demandais si je n’ai pas rêvé.
Je reviens dans le lit, Isabella n’a pas bougé, je l’embrasse dans le cou, lui
caresse le dos, puis me mets à lui peloter les seins, car maintenant je me sens en
forme et rien ne me paralysait comme cette nuit. Je me rends compte qu’elle a des
seins plus volumineux que je ne croyais de prime abord.
Isabella gémit et commence à se réveiller quand je glisse ma main vers son sexe
et….là, surprise, je découvre sous son nombril….. une queue….et tout ce qui va avec.
Le tout de belle taille car elle aussi a une belle « érection du matin ». Je retire ma
main vivement.
Elle se retourne de suite et me dit
- « Tu n’étais pas au courant ? Tonia et les autres ne t’ont rien dit »
- « Non, et je suis surpris après tout ce que tu m’as fait cette nuit et je ne
me suis rendu compte de rien »
- « J’ai peu un peu trop forcé sur l’euphorisant que j’ai mis dans ton thé et
avec ce que tu avais bu et fumé avant…. »
- « Ah bon, tu m’avais drogué; c’est pour ça que je ne me suis pas rendu compte
que tu avais une queue»
- « Ben oui, pendant que tu dormais dans le divan, je me suis préparée et avec
l’obscurité et en ne me frottant pas trop contre toi, tu ne pouvais rien voir ou
sentir »
- « En tout cas, je n’avais jamais baisé comme ça, aussi longtemps…. aussi
fort….. »
- « Ah ça, tu peux le dire, tu t’es écroulé vers 7 h du matin. Tu ne n’en
veux pas ? »
- « T’en vouloir après une nuit pareille !!!! Impossible »
Et pour confirmer mes dires, je l’embrasse, tout en lui caressant les seins « Je pense
même que j’ai souvent eu envie d’une telle aventure…..sans y croire… »
« Attends, dit-elle, je reviens tout de suite », en se dirigeant vers la salle de
bain. Elle revient 2 minutes plus tard et ouvrit légèrement les tentures pour laisser
entrer la lumière.
Je la découvre enfin entièrement nue, elle est magnifique, fine mais musclée, ses
seins tiennent bien droit, elle a des hanches assez larges, des fesses bien
rebondies…. Elle vient se recoucher :
« Donc, tu ne regrettes rien ? »
«Je serai même plutôt d’avis de remettre ça » et je recommence à l’embrasser en la
caressant, et elle me rend la pareille aussitôt.
Mes mains courent de ses seins à son dos, puis elles descendent à la rencontre de cet
objet de mystère pour moi, car si j’avais déjà vu des tas de queues dans des
vestiaires de foot ; je n’en avais jamais touché d’autre que la mienne.
- « Oh oui caresse-moi »
- « Je n’ai jamais fait ça »
- « Fais comme avec la tienne, doucement et tendrement »
Faisant comme elle dit, je sens très vite son sexe commencer à se dresser. Et quand je
dis se dresser, je suis ébahi. Isabella était très bien montée, tellement bien que
j’en devins jaloux…
- « Et bien, tu as une queue magnifique »
- « Tu n’as pas envie de la lécher ? D’ailleurs tourne-toi que je profite de la
tienne…. »
Nous voilà en position de 69, mais j’hésite un peu. Isabella, elle pas, elle me lèche
déjà le gland en me caressant la base et les couilles. Du coup, j’y vais, j’entrouvre
les lèvres, m’approche de son gland, donne un coup de langue, un autre, puis je lèche
doucement, et finalement le fais entrer entièrement dans ma bouche. Quelle sensation
!!!
- « Caresse-moi en même temps » dit Isabella d’un ton un peu professoral.
Car elle ne chômait pas de son côté et ma queue était complètement tendue. Jamais, je
n’avais eu affaire avec une telle suceuse et pour me montrer l’exemple, elle me gobe
complètement jusqu’au fond de sa gorge.
Pour ne pas être en reste, je commence par enfoncer la moitié de son sexe puis
j’essaye d’aller plus loin ; je prends vraiment beaucoup de plaisir à ma première
pipe. Et, en entendant Isabella gémir, je me dis que je ne me débrouillais pas si mal.
C’est alors que je la sens enfoncer un doigt dans mon anus, j’ai un mouvement
involontaire de contraction qui la fait rire.
- « Tu n’aime pas ? »
- « Huuummm, si, si, mais je n’ai pas l’habitude, mais continue, c’est bon… »
Pas besoin d’insister avec Isabella, elle n’hésite pas et enfonce cette fois deux
doigts bien humidifiés et commence à les faire tourner. J’ai du mal à me concentrer
sur sa queue que je continue à lécher. Après quelques allers-retours, elle place un
troisième doigt et là je commence vraiment à ressentir une sensation inconnue.
- « J’ai envie de te faire l’amour, me dit Isa en haletant, j’ai vraiment très
envie »
- « Moi aussi, mais tu ne vas pas me faire mal ? »
- « Non je vais faire très attention, tu m’arrêteras si ça ne va pas »
Elle avait déjà préparé un préservatif, qu’elle enfile très vite, et un tube de
lubrifiant, dont elle me « tartine » copieusement en enfonçant de nouveau ses doigts.
- « Mets toi à genoux, jambes écartées, la tête sur les oreillers, ce sera plus
facile »
Je sens alors quelque chose de bien plus gros tenter de pénétrer mon anus, elle y va
doucement pour m’habituer, puis insiste plus fort et là, je sens son gland m’écarter
et entrer entièrement.
En même temps, mon gémissement devient un cri, de surprise et un peu de douleur aussi,
quand elle force le passage…..
Elle fait alors une courte pause :
- « Ca va ?, je peux continuer ? » demande-telle
- « Oh oui, ça va, ça fait un peu mal mais vas-y, continue »
Elle pousse, alors, et fait pénétrer petit à petit tout son membre dont je sens chaque
avancée m’écarter plus en profondeur, jusqu’au moment où je sens ses couilles contre
moi.
Ca y est, elle est totalement en moi !!!
Elle commence de lents mouvements de vas-et-viens. Après une bonne dizaine d’aller-
retour à ce rythme, elle accélère soudain et commence y aller plus en force. Puis,
elle se retire entièrement, rentre, se retire de nouveau…
- « Alors, tu aimes, tu en veux encore ? Je le vois bien…. Tournes-toi, je veux
voir ton visage, maintenant… »
Je m’exécute et elle écarte mes jambes et les lève, présente de nouveau son sexe
contre mon anus qui offre bien moins de résistance, elle me pénètre bien à fond en
souriant, se penche vers moi pour m’embrasser, puis se redresse pour mieux reprendre
ses longs mouvements de va-et-vient. J’en profite pour caresser ses seins dont les
tétons sont dressés. Elle prend ma queue en main et commence à me branler.
Je ressens une telle sensation que je ne tarde pas à jouir copieusement dans ses mains
et sur mon ventre.
- « Je vais bientôt jouir aussi, dit Isa, remets-toi sur le ventre, ce sera plus
puissant »
En effet, car une fois qu’Isa s’est réinstallée bien au fond de mon cul, j’essaye de
contracter les muscles de mon anus, je sens de suite qu’Isabella n’y est pas
insensible car sa queue se gonfle encore plus. Mais, elle est très endurante et elle
m’encule pendant encore un long moment. Mais soudain, elle pousse un long soupir….
- « Je jouis, je jouis….. »
Je sens les contractions de son sexe et malgré le préservatif j’ai l’impression de
sentir ses longs jets de sperme en moi.
Isabella se retire et tombe littéralement à côté de moi. Nous nous embrassons
longuement.
- « Quelle jouissance, je n’avais jamais ressenti ça », lui dis-je.
- « Ca a été extraordinaire pour moi aussi, dit-elle, vraiment »
Nous nous tenons serrés l’un contre l’autre, nous embrassant, nous caressant, jouant
l’un avec l’autre.
- « Tu n’as pas soif, demande-t-elle »
- « Je meure de soif »
- « Allons-nous rafraichir, et reprendre des forces »
- «Oh oui, j’ai faim aussi, mais quelle heure est-il ? »
- « Presque 3 heures de l’après-midi »
- « Mais, dis donc tu m’a fais l’amour plus d’une heure !!!! »
- « Et c’est quand tu veux pour remettre ça, combien de temps restes-tu en
Argentine ? »
- « Encore 15 jours, pourquoi ? »
- « Je suis en congé pour 3 semaines, si tu veux je peux être ton amie pour le
reste de ton séjour. Je peux te faire découvrir la ville, mais seulement si tu veux »
Pas besoin de me le demander deux fois, après un petit repas et une bonne douche, me
voilà parti chercher mes affaires au loft de Tonia, pendant qu’Isa fait des courses.
- « Pas de problème, me dit Tonia, je préviendrai Bernard, il est parti au
ravitaillement avec Sergio. Et alors, elle t’a plu Isabella ? Elle est spéciale, hein
! Je t’avais prévenu »
- « J’avais rien compris à cause du bruit, mais j’ai vraiment envie de continuer
l’expérience, car sexuellement, je viens de passer une nuit et une journée
exceptionnelle »
- « Je sais, dit-elle en souriant, je connais Isabella aussi…… »
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