Rencontres inattendues.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Rencontres inattendues.
J'ai toujours aimé me balader dans Paris, le nez au vent sans chercher à draguer, mais toujours en matant bien sûr.
Ce jour là, je déambulais sur les Champs Elysées, j'ai toujours aimé cette balade, toujours du monde de tous genres, s'asseoir sur un banc et regarder passer les gens.
Mais là, j'ai été attiré par une galerie. Il y avait un peu de tout et je regardais les vitrines quand mon regard a capté un mec, de dos, son petit cul serré dans son jean qui matait une vitrine de vêtements.
Ce petit cul m'a attiré et j'avais envie de voir le côté face, mais je n'ai pu l'observer que de profile, un mec dans mes âges, bien bâti, son tee-shirt collait son corps, dessinant bien son dos, et le devant que je voyais de profile, on apercevait un téton qui pointait. Ca m'a excité. J'ai détaillé le mec de haut en bas, le mec ne bougeait pas quand mon regard a été attiré par le reflet dans la vitrine. Le mec me matait en souriant, des yeux coquins me fixaient, il a passé sa langue sur ses lèvres, a passé sa main sur ses fesses, s'est touché devant tout ça sans me quitter des yeux dans le reflet puis il a tourné le dos et a avancé dans la galerie. 10 mètres après il se retournait j'étais là!
Il a emprunté plusieurs allées dans la galerie, descendant au rez-de-chaussée, surveillant toujours que j'étais derrière lui, son sourire au coin des lèvres. Il m'a entraîné jusqu'à un endroit où il n'y avait plus personne, couloir qui donnait sur une porte. Il est entré sans se retourner. La porte s'est refermée en claquant. Je me suis précipité, la porte s'ouvrait, je suis entré également, il était là, le dos appuyé au mur, se caressant le sexe à travers son jean, là où se trouvait une belle bosse. Je me suis approché presqu'à le toucher, sa main m'a pris le cou, m'attirant à lui, j'ai eu le temps de voir ses yeux se fermer et sa bouche s'est collée à la mienne, sa langue venant fouiller ma bouche, je sentais son souffle sur mon visage.
Mes mains l'ont enlacé, se posant chacune sur une fesse. Elles étaient bien dures les petites fesses, il faisait bouger ses muscles dans mes mains, pendant que son corps se frottait au mien, chaudement. Il a dû sentir que je bandais, car sa main est venue se poser dessus, la malaxant, la pétrissant avec force. Je lui rendais la même chose sur ses petites fesses dures.
La chaleur était montée d'un cran. Mes mains parcouraient son corps chaud et doux, passant sous le tee-shirt. Sa main avait défait mon jean et tenait ma queue à pleine main, la caressant, touchant le gland humide avec son pouce, me triturant les couilles.
On gémissait tous les deux j'avais envie d'en voir plus de ce beau mec.
J'ai défait son ceinturon, le jean est tombé facilement à terre, il a lui même descendu son boxer sur ses cuisses. Je pouvais lui toucher les fesses, sa queue suintante. Il tendait bien son cul sous mes caresses.
Il s'est baissé devant moi, tenant ma queue d'une main il l'a avalé tel un vorace. Sentir sa langue jouer avec mon gland qui coulait et ses lèvres qui emprisonnaient bien ma tige j'avais déjà presqu'envie de jouir.
Mais il s'est tourné pour que ma main puisse s'occuper de son cul. Je lui ai claqué doucement les fesses, il a gémi et j'ai passé mes doigts dans la raie imberbe, chaude pour trouver un anus presqu'ouvert et plein de gel prêt à l'emploi!
Mais quelle salope peut se balader avec un cul fourré au gel ? j'ai pensé.
Avant que je fasse le geste de le tourner pour le prendre c'est lui qui m'a tourné le dos, la tête sur le mur il a ouvert ses fesses.
-baise moi! j'en ai envie!
J'ai rapidement attrapé une capote, me l'enfilant pour passer le gland dans la raie. J'avais à peine trouvé l'entrée qu'il s'appuyait sur ma queue qui a filé directe au fond de son cul. Il n'a émis qu'un long râle, collant sa joue sur le mur, la bouche entrouverte, les yeux fermés… s'offrant!
Je l'ai saisi aux hanches, le faisant un peu reculer, ses mains sur le mur. Je l'ai baisé comme la salope qu'il devait être. Fallait l'entendre non pas gueuler, mais râler, venant d'une main se claquer les fesses offrir son cul à mes coups de reins profonds, ça coulissait vraiment bien et son boyau tenait serré ma queue.
J'ai fait durer mon plaisir et je pense le sien également avant de décharger de longues giclées dans la capote. Il avait ouvert les yeux et son regard était des plus lubriques. Il avait l'air heureux de s'être fait baisé!
Il s'est retiré de moi, sans ménagement, pour s'accroupir, m'enlever la capote, faire un nœud et la déposer par terre avant de se jeter sur ma queue et la lécher avec application pour la rendre neuve.
Il s'est relevé pour m'embrasser tendrement.
-tu aimes quoi ? j'ai demandé doucement.
-tu vas me doigter, m'embrasser et me branler c'est ce que je préfère mec!
Quand je peux faire plaisir.
Et ce fut un plaisir, autant pour moi que pour lui. Autant il n'avait pas vraiment crié quand l'avais enculé que là quand il a joui, sortant sa langue de ma bouche, il a presque hurlé en lançant de nombreuses giclées sur le mur mes deux doigts toujours dans son cul.
Il m'a regardé, souriant.
-merci mec! c'était vraiment sympa! j'ai aimé ta queue et des doigts!
Il se rhabillait déjà, et il était prêt avant moi.
-t'attends deux minutes avant de sortir mec.
Il m'a fait un bisou rapide et est sorti.
J'ai fait ce qu'il m'avait demandé, j'ai attendu deux ou trois minutes et je suis sorti pour voir que sur la porte était marqué "SECURITE", cela m'a fait sourire, baiser en étant en sécurité.
J'ai commencé à partir dans le couloir. Je n'avais pas fait 5 mètres, qu'une voix me dit
-monsieur! je crois que vous oubliez quelque chose!
J'ai été très surpris car je comprenais pas d'où pouvait venir cette voix. Je me suis retourné pour voir un mec tenant la porte et me faisant signe de m'approcher.
J'avais le cœur qui battait à 100 à l'heure, je me suis approché de ce beau mec, petit polo marqué "SECURITE" sur sa poitrine. Un mec un peu plus âgé que moi, un vrai athlète, des bras poilus et musclés et putain quel renflement entre les jambes.
Je me suis approché de lui pas fier.
-c'est bien à vous ça ? me dit il en me montrant la capote à terre.
-euh non je crois pas dis je.
-vous croyez pas! elle est bonne cette là! pourtant avec ça je vois tout! dit il en montrant une caméra dans le coin.
Putain on n'avait pas vu cette caméra. Le sang s'est retiré de mon corps, j'avais les jambes qui tremblaient et je ne bandais plus!
Je fixais le gars de la sécurité, les yeux pleins de larmes me demandant ce qui allait m'arriver.
Il sort son portable, fait quelques manipulations et me montre la vidéo enregistrée. Là je crois que je vais me trouver mal.
Il me prend par un bras et me fait repasser la porte "SECURITE" pour aller un peu plus loin, me colle au mur, me fixe de ses yeux noirs et durs.
-ici y'a pas de caméras ici, ma salope alors tu vas faire tout ce que je vais te dire, j'ai vu que t'aimais baiser des petits culs mais moi c'est ton petit cul que je veux mec!
Alors fous toi à poils et montre le matériel!
-ici ? dis je d'un ton penaud.
-tu veux que j'installe un lit ?
Sa main vient me caresser la joue, tapotant doucement, son pouce caresse mes lèvres, les force, et entre dans ma bouche.
-commence par lécher mon pouce ma belle salope… voilà c'est ça, suce le bien mais je suis sûr que tu vas préférer ma queue… allez à poils!
Pendant que je baisse pantalon et boxer lui ouvre son pantalon et sort un monstre. Cette bite non circoncise est énorme, gluante du gland encore pas tout décalotté, de couleur très brune, je suis étonné et le regarde un peu mieux et cela me saute aux yeux maintenant, c'est un beau métis le mec! et quelle queue.
Sa main appuie sur mes épaules, je suis accroupi le dos collé au mur et je vois la queue arriver. Il la décalotte devant mes yeux, faisant apparaitre un beau gland tout humide, le méat coule en abondance.
Et d'un seul coup, j'en ai envie. L'esprit salope reprend le dessus. Je sors les couilles du pantalon, deux beaux œufs bien durs que je commence à lécher avec application, les avaler un par un pour arriver à les prendre, les deux ensemble et entendre mon bel homme de la sécurité gémir. Je m'applique pour ensuite m'attaquer à cette belle tige, un coup de langue dessous jusqu'au gland pour récupérer la mouille et l'avaler en le fixant. Le voir sourire avec cet air supérieur me fait encore plus salope.
Je tâte cette belle tige, c'est dur, c'est doux. La peau coulisse bien et la mouille coule encore. Je prend le gland entre mes lèvres pour le téter et l'entendre encore gémir mais il force pour faire entrer sa queue plus loin. Je suis coincé le long du mur, il me prend par les cheveux, relevant ma tête pour la coller au mur et sa queue glisse sur ma langue et s'enfonce dans ma bouche. Le gland ne tarde pas à toucher la luette, me faisant tousser, cracher, inondant de salive le monstre qui poursuit son chemin. J'ai cru que j'allais mourir étouffé, je pleurais à chaude larmes, mais je ne pouvais pas bouger… obligé de subir!
Il m'a enfoncé sa queue dans la bouche jusqu'à ce que ses couilles se collent à mon menton.
Je voyais son visage ricaner à travers mes larmes.
Puis il m'a libéré, le temps que je reprenne ma respiration pour recommencer et pour finalement me baiser la bouche, oh pas fort, je dirais même gentiment mais à chaque fois sa queue entrait toute entière et, tel un métronome a fait durer son plaisir.
J'étais vaincu, anesthésié, je n'avais juste qu'à ouvrir la bouche, serrer mes lèvres sur sa queue coulissante, la sentir durcir, gonfler en moi, mon nez dans ses poils, ses couilles sur mon menton. Ses giclées sont arrivées avec force et abondance, ça coulait dans ma gorge, je me laissais faire et j'avalais tout ce qui se présentait.
Il a quand même sorti sa queue doucement de ma bouche, la laissant devant pour que j'enlève les traces.
Il m'a relevé facilement, me serrant contre lui et, contre toute attente, m'a roulé une pelle d'enfer. Sentir sa langue se mêler à la mienne, ses lèvres se frotter aux miennes sans ménagement. Un baiser de vorace mais de vrai mâle!
Sa main s'est empoignée de ma queue, l'a tâté comme s'il l'examinait. Ses mains se sont baladées sur mon corps, des mains douces et chaudes qui m'ont donné des frissons. Ses baisers n'arrêtaient plus. Quand ses mains ont enfermé mes fesses, les deux index venant forer ma raie, l'ouvrir, trouver mon anus souple et sans précaution l'index s'enfonce en moi, me faisant crier puis gémir. Son long doigt s'enfonce et me fouille le cul, sa langue me fouille toujours la bouche. Je suis coincé dans ses bras. Je le caresse maladroitement quand ma main tombe sur sa queue putain il bande encore le mec! et c'est pas du chiqué!
J'ai pas le temps de réfléchir que j'ai de fortes chances de me faire enculer dans les minutes qui suivent, qu'il me retourne, colle mes mains sur le mur, appuyant sur ma tête, ses mains descendent sur mon corps pour envelopper mes fesses, les pétrir, les caresser, les fesser pour les écarter un max. Je les tends bien, je sais que je dois m'offrir.
D'un seul coup je sens son souffle parcourir ma raie et je reconnais sa langue, passer dans la raie, déposant de la salive, léchant pour venir me titiller l'anus qui s'offre facilement, le salaud, sous les caresses.
Ah il sait bouffer un cul le mec! et j'avoue que j'ai été bien préparé. Sa langue entrait facilement dans mon cul puis deux doigts ont fini le travail. Je sentais ses doigts me vriller le boyau, me caresser. Je râlais, il gémissait.
Quand il s'est redressé, me collant directement son gland sur l'anus, ses mains me saisissant fortement les hanches.
-vas y avale ma queue mec! dit il en me tirant à lui doucement.
Putain quelle sensation de sentir son cul s'ouvrir sous la poussée de ce beau gland chaud et humide, sentir son cul l'envelopper en s'ouvrant, la douleur faite mais qui ne dure pas, me coupant le souffle un instant et le gland qui passe, laissant le sphincter l'emprisonner.
Les mains s'affermir sur mes hanches, sentir la poussée de ses reins qui avance le gland dans mon conduit, cette grosse bête chaude qui l'ouvre, s'enfonce jusqu'à ce que ses couilles frappent les miennes. Il reste un moment bien au fond de moi, je sens son souffle dans mon cou et ses vas et viens commencent. Pour un vrai mâle il est doux, prévenant et quand sa grosse queue me râcle l'intérieur je gémis en râlant comme jamais.
Sentir ce gland faire des vas et viens, est un pur bonheur… au début car il prend de la vitesse l'agent de sécurité, ça claque un peu au début, puis ça claque de plus en plus. Lui râle maintenant et moi je gueule. Sa main vient se poser sur ma bouche et ses coups de reins sont de plus en plus secs, sa grosse queue coulisse bien et j'ai toujours l'impression qu'elle va de plus en plus profond.
Tout en continuant ses coups de reins, il me fait redresser, le dos collé à son torse, sa main me serre le cou, ses coups de reins sont secs, ça claque.
Son autre main descend sur mon torse, prend ma queue, la serre fortement et se met à la branler en cadence de ses coups de reins qui sont moins violents.
J'adore sa main sur ma queue, l'autre main qui me serre le cou, j'ai chaud, je peine à respirer mais sa queue continue de me forer, ma queue devient de plus en plus raide. Je râle de plus en plus fort, sa main s'accentue sur ma queue, ses coups de reins diminuent, sa main desserre mon cou et dans un cri je gicle sur le mur en face de longues trainées de sperme qui coulent et dans mes spasmes, mon cul se resserre tel un étau sur la queue de l'agent de sécurité, on aurait dit qu'il n'attendait que ça. Deux ou trois vas et viens secs qui claquent et je sens mon cul être inondé, noyé, enseveli sous les décharges!
Tout le temps de ses décharges il n'a ni lâché ma queue, ni mon cou!
Sans se retirer de moi, il m'a donné sa langue et m'a embrassé comme le vrai mâle qu'il est!
Il est sorti délicatement de moi, ses mains n'arrêtaient pas de me caresser, on s'est collé l'un à l'autre et mes mains ont fini d'explorer son corps. C'était dur, c'était chaud, ça sentait la transpiration du mâle. Il souriait quand il m'a montré son aisselle m'approchant la tête pour que je m'énivre de son odeur. Il était devenu doux, tendre me faisait des bisous comme s'il avait été amoureux.
En fin de compte on peinait à se séparer. Il a relevé son pantalon et boxer pour ranger sa belle queue, mais je l'ai attrapé avant et je l'ai caressé en lui offrant mes lèvres et sentir sa queue grossir entre ma main, m'a fait bander également et sa main s'est saisie de la mienne. L'autre main caressait mes fesses, un doigt allait dans ma raie il m'embrassait goulument. Il s'est arrêté, m'a regardé, son beau sourire de mâle.
-tu me branles, je te branle en te doigtant et on joui une nouvelle fois ? ça te va beau mec ?
Je l'ai embrassé sans répondre, mais en pensant d'un coup que je venais de faire ça avec le beau mec qui m'avait amené dans ce traquenard.
L'idée est vite partie, quand son doigt s'est faufilé dans mon cul, que sa main me branlait sans ménagement sa langue dans ma bouche.
Je l'ai branlé également, j'ai aimé sa belle queue bien dure et quand il jute le mec! ben c'est du sérieux. Y'en avait partout!
On a rigolé de voir le bordel que l'on avait foutu.
Sa main me tenait le cou.
-d'habitude je fais lécher aux salopes que je rencontre mais toi t'es pas ordinaire, j'ai bien aimé baiser avec toi! tu peux revenir quand tu veux mec!
-dis donc j'ai une question ?
-oui vas y
-le beau mec que j'ai baisé avant toi, tu le connais ?
-Paul ? bien sûr, je lui ai tout appris et c'est une belle salope le mec! il adore la bite.
-donc c'était fait exprès qu'il m'amène dans ton couloir.
L'agent de sécurité rigole.
-et tu le baises souvent le Paul ?
-oh tous les jours! il vient pour ça.
-et toi tu baises ceux qui le baisent… ah c'est bien rôdé voyou d'agent de sécurité!
Il éclate de rire..
-faut bien s'amuser mec! mais je te l'ai dit tu reviens quand tu veux.
-et t'aimes pas baiser dans un lit ?
-bien sûr dit l'agent de sécurité, tu penses à quoi ? que je t'invite chez moi..?
-ben pourquoi pas ça devrait être pas mal mais je présume que tu te fais pas baiser ?
-pas souvent mec!
-alors si je venais avec Paul t'aurais deux culs à combler et moi j'en aurais un comme ça on serait tous comblés.
-mais t'es un sacré vicelard mec!
-bien sûr! tu t'en n'es pas encore douté?
On a rigolé en se rhabillant correctement, on est sorti dans les couloirs s'échangeant nos numéros de téléphone et dans la galerie on a retrouvé le petit Paul, la belle bête qui était encore en train de regarder dans les vitrines.
-mais il est encore là ? dis je.
-oh mais il y a des jours où il passe la journée. Il se fait baiser 5 ou 6 fois et moi je regarde à la cam et j'enregistre dit il en éclatant de rire.
-et après tu vas piéger le baiseur salaud!
-oh t'as bien aimé puisque t'en redemande. Je vais en parler à Paul et je pense qu'il sera ravi que l'on se retrouve tous les trois. Moi aussi d'ailleurs dit il avec un grand sourire.
-et moi donc! ais je dit en sortant de la galerie pour rentrer chez moi prendre une bonne douche!
Ce jour là, je déambulais sur les Champs Elysées, j'ai toujours aimé cette balade, toujours du monde de tous genres, s'asseoir sur un banc et regarder passer les gens.
Mais là, j'ai été attiré par une galerie. Il y avait un peu de tout et je regardais les vitrines quand mon regard a capté un mec, de dos, son petit cul serré dans son jean qui matait une vitrine de vêtements.
Ce petit cul m'a attiré et j'avais envie de voir le côté face, mais je n'ai pu l'observer que de profile, un mec dans mes âges, bien bâti, son tee-shirt collait son corps, dessinant bien son dos, et le devant que je voyais de profile, on apercevait un téton qui pointait. Ca m'a excité. J'ai détaillé le mec de haut en bas, le mec ne bougeait pas quand mon regard a été attiré par le reflet dans la vitrine. Le mec me matait en souriant, des yeux coquins me fixaient, il a passé sa langue sur ses lèvres, a passé sa main sur ses fesses, s'est touché devant tout ça sans me quitter des yeux dans le reflet puis il a tourné le dos et a avancé dans la galerie. 10 mètres après il se retournait j'étais là!
Il a emprunté plusieurs allées dans la galerie, descendant au rez-de-chaussée, surveillant toujours que j'étais derrière lui, son sourire au coin des lèvres. Il m'a entraîné jusqu'à un endroit où il n'y avait plus personne, couloir qui donnait sur une porte. Il est entré sans se retourner. La porte s'est refermée en claquant. Je me suis précipité, la porte s'ouvrait, je suis entré également, il était là, le dos appuyé au mur, se caressant le sexe à travers son jean, là où se trouvait une belle bosse. Je me suis approché presqu'à le toucher, sa main m'a pris le cou, m'attirant à lui, j'ai eu le temps de voir ses yeux se fermer et sa bouche s'est collée à la mienne, sa langue venant fouiller ma bouche, je sentais son souffle sur mon visage.
Mes mains l'ont enlacé, se posant chacune sur une fesse. Elles étaient bien dures les petites fesses, il faisait bouger ses muscles dans mes mains, pendant que son corps se frottait au mien, chaudement. Il a dû sentir que je bandais, car sa main est venue se poser dessus, la malaxant, la pétrissant avec force. Je lui rendais la même chose sur ses petites fesses dures.
La chaleur était montée d'un cran. Mes mains parcouraient son corps chaud et doux, passant sous le tee-shirt. Sa main avait défait mon jean et tenait ma queue à pleine main, la caressant, touchant le gland humide avec son pouce, me triturant les couilles.
On gémissait tous les deux j'avais envie d'en voir plus de ce beau mec.
J'ai défait son ceinturon, le jean est tombé facilement à terre, il a lui même descendu son boxer sur ses cuisses. Je pouvais lui toucher les fesses, sa queue suintante. Il tendait bien son cul sous mes caresses.
Il s'est baissé devant moi, tenant ma queue d'une main il l'a avalé tel un vorace. Sentir sa langue jouer avec mon gland qui coulait et ses lèvres qui emprisonnaient bien ma tige j'avais déjà presqu'envie de jouir.
Mais il s'est tourné pour que ma main puisse s'occuper de son cul. Je lui ai claqué doucement les fesses, il a gémi et j'ai passé mes doigts dans la raie imberbe, chaude pour trouver un anus presqu'ouvert et plein de gel prêt à l'emploi!
Mais quelle salope peut se balader avec un cul fourré au gel ? j'ai pensé.
Avant que je fasse le geste de le tourner pour le prendre c'est lui qui m'a tourné le dos, la tête sur le mur il a ouvert ses fesses.
-baise moi! j'en ai envie!
J'ai rapidement attrapé une capote, me l'enfilant pour passer le gland dans la raie. J'avais à peine trouvé l'entrée qu'il s'appuyait sur ma queue qui a filé directe au fond de son cul. Il n'a émis qu'un long râle, collant sa joue sur le mur, la bouche entrouverte, les yeux fermés… s'offrant!
Je l'ai saisi aux hanches, le faisant un peu reculer, ses mains sur le mur. Je l'ai baisé comme la salope qu'il devait être. Fallait l'entendre non pas gueuler, mais râler, venant d'une main se claquer les fesses offrir son cul à mes coups de reins profonds, ça coulissait vraiment bien et son boyau tenait serré ma queue.
J'ai fait durer mon plaisir et je pense le sien également avant de décharger de longues giclées dans la capote. Il avait ouvert les yeux et son regard était des plus lubriques. Il avait l'air heureux de s'être fait baisé!
Il s'est retiré de moi, sans ménagement, pour s'accroupir, m'enlever la capote, faire un nœud et la déposer par terre avant de se jeter sur ma queue et la lécher avec application pour la rendre neuve.
Il s'est relevé pour m'embrasser tendrement.
-tu aimes quoi ? j'ai demandé doucement.
-tu vas me doigter, m'embrasser et me branler c'est ce que je préfère mec!
Quand je peux faire plaisir.
Et ce fut un plaisir, autant pour moi que pour lui. Autant il n'avait pas vraiment crié quand l'avais enculé que là quand il a joui, sortant sa langue de ma bouche, il a presque hurlé en lançant de nombreuses giclées sur le mur mes deux doigts toujours dans son cul.
Il m'a regardé, souriant.
-merci mec! c'était vraiment sympa! j'ai aimé ta queue et des doigts!
Il se rhabillait déjà, et il était prêt avant moi.
-t'attends deux minutes avant de sortir mec.
Il m'a fait un bisou rapide et est sorti.
J'ai fait ce qu'il m'avait demandé, j'ai attendu deux ou trois minutes et je suis sorti pour voir que sur la porte était marqué "SECURITE", cela m'a fait sourire, baiser en étant en sécurité.
J'ai commencé à partir dans le couloir. Je n'avais pas fait 5 mètres, qu'une voix me dit
-monsieur! je crois que vous oubliez quelque chose!
J'ai été très surpris car je comprenais pas d'où pouvait venir cette voix. Je me suis retourné pour voir un mec tenant la porte et me faisant signe de m'approcher.
J'avais le cœur qui battait à 100 à l'heure, je me suis approché de ce beau mec, petit polo marqué "SECURITE" sur sa poitrine. Un mec un peu plus âgé que moi, un vrai athlète, des bras poilus et musclés et putain quel renflement entre les jambes.
Je me suis approché de lui pas fier.
-c'est bien à vous ça ? me dit il en me montrant la capote à terre.
-euh non je crois pas dis je.
-vous croyez pas! elle est bonne cette là! pourtant avec ça je vois tout! dit il en montrant une caméra dans le coin.
Putain on n'avait pas vu cette caméra. Le sang s'est retiré de mon corps, j'avais les jambes qui tremblaient et je ne bandais plus!
Je fixais le gars de la sécurité, les yeux pleins de larmes me demandant ce qui allait m'arriver.
Il sort son portable, fait quelques manipulations et me montre la vidéo enregistrée. Là je crois que je vais me trouver mal.
Il me prend par un bras et me fait repasser la porte "SECURITE" pour aller un peu plus loin, me colle au mur, me fixe de ses yeux noirs et durs.
-ici y'a pas de caméras ici, ma salope alors tu vas faire tout ce que je vais te dire, j'ai vu que t'aimais baiser des petits culs mais moi c'est ton petit cul que je veux mec!
Alors fous toi à poils et montre le matériel!
-ici ? dis je d'un ton penaud.
-tu veux que j'installe un lit ?
Sa main vient me caresser la joue, tapotant doucement, son pouce caresse mes lèvres, les force, et entre dans ma bouche.
-commence par lécher mon pouce ma belle salope… voilà c'est ça, suce le bien mais je suis sûr que tu vas préférer ma queue… allez à poils!
Pendant que je baisse pantalon et boxer lui ouvre son pantalon et sort un monstre. Cette bite non circoncise est énorme, gluante du gland encore pas tout décalotté, de couleur très brune, je suis étonné et le regarde un peu mieux et cela me saute aux yeux maintenant, c'est un beau métis le mec! et quelle queue.
Sa main appuie sur mes épaules, je suis accroupi le dos collé au mur et je vois la queue arriver. Il la décalotte devant mes yeux, faisant apparaitre un beau gland tout humide, le méat coule en abondance.
Et d'un seul coup, j'en ai envie. L'esprit salope reprend le dessus. Je sors les couilles du pantalon, deux beaux œufs bien durs que je commence à lécher avec application, les avaler un par un pour arriver à les prendre, les deux ensemble et entendre mon bel homme de la sécurité gémir. Je m'applique pour ensuite m'attaquer à cette belle tige, un coup de langue dessous jusqu'au gland pour récupérer la mouille et l'avaler en le fixant. Le voir sourire avec cet air supérieur me fait encore plus salope.
Je tâte cette belle tige, c'est dur, c'est doux. La peau coulisse bien et la mouille coule encore. Je prend le gland entre mes lèvres pour le téter et l'entendre encore gémir mais il force pour faire entrer sa queue plus loin. Je suis coincé le long du mur, il me prend par les cheveux, relevant ma tête pour la coller au mur et sa queue glisse sur ma langue et s'enfonce dans ma bouche. Le gland ne tarde pas à toucher la luette, me faisant tousser, cracher, inondant de salive le monstre qui poursuit son chemin. J'ai cru que j'allais mourir étouffé, je pleurais à chaude larmes, mais je ne pouvais pas bouger… obligé de subir!
Il m'a enfoncé sa queue dans la bouche jusqu'à ce que ses couilles se collent à mon menton.
Je voyais son visage ricaner à travers mes larmes.
Puis il m'a libéré, le temps que je reprenne ma respiration pour recommencer et pour finalement me baiser la bouche, oh pas fort, je dirais même gentiment mais à chaque fois sa queue entrait toute entière et, tel un métronome a fait durer son plaisir.
J'étais vaincu, anesthésié, je n'avais juste qu'à ouvrir la bouche, serrer mes lèvres sur sa queue coulissante, la sentir durcir, gonfler en moi, mon nez dans ses poils, ses couilles sur mon menton. Ses giclées sont arrivées avec force et abondance, ça coulait dans ma gorge, je me laissais faire et j'avalais tout ce qui se présentait.
Il a quand même sorti sa queue doucement de ma bouche, la laissant devant pour que j'enlève les traces.
Il m'a relevé facilement, me serrant contre lui et, contre toute attente, m'a roulé une pelle d'enfer. Sentir sa langue se mêler à la mienne, ses lèvres se frotter aux miennes sans ménagement. Un baiser de vorace mais de vrai mâle!
Sa main s'est empoignée de ma queue, l'a tâté comme s'il l'examinait. Ses mains se sont baladées sur mon corps, des mains douces et chaudes qui m'ont donné des frissons. Ses baisers n'arrêtaient plus. Quand ses mains ont enfermé mes fesses, les deux index venant forer ma raie, l'ouvrir, trouver mon anus souple et sans précaution l'index s'enfonce en moi, me faisant crier puis gémir. Son long doigt s'enfonce et me fouille le cul, sa langue me fouille toujours la bouche. Je suis coincé dans ses bras. Je le caresse maladroitement quand ma main tombe sur sa queue putain il bande encore le mec! et c'est pas du chiqué!
J'ai pas le temps de réfléchir que j'ai de fortes chances de me faire enculer dans les minutes qui suivent, qu'il me retourne, colle mes mains sur le mur, appuyant sur ma tête, ses mains descendent sur mon corps pour envelopper mes fesses, les pétrir, les caresser, les fesser pour les écarter un max. Je les tends bien, je sais que je dois m'offrir.
D'un seul coup je sens son souffle parcourir ma raie et je reconnais sa langue, passer dans la raie, déposant de la salive, léchant pour venir me titiller l'anus qui s'offre facilement, le salaud, sous les caresses.
Ah il sait bouffer un cul le mec! et j'avoue que j'ai été bien préparé. Sa langue entrait facilement dans mon cul puis deux doigts ont fini le travail. Je sentais ses doigts me vriller le boyau, me caresser. Je râlais, il gémissait.
Quand il s'est redressé, me collant directement son gland sur l'anus, ses mains me saisissant fortement les hanches.
-vas y avale ma queue mec! dit il en me tirant à lui doucement.
Putain quelle sensation de sentir son cul s'ouvrir sous la poussée de ce beau gland chaud et humide, sentir son cul l'envelopper en s'ouvrant, la douleur faite mais qui ne dure pas, me coupant le souffle un instant et le gland qui passe, laissant le sphincter l'emprisonner.
Les mains s'affermir sur mes hanches, sentir la poussée de ses reins qui avance le gland dans mon conduit, cette grosse bête chaude qui l'ouvre, s'enfonce jusqu'à ce que ses couilles frappent les miennes. Il reste un moment bien au fond de moi, je sens son souffle dans mon cou et ses vas et viens commencent. Pour un vrai mâle il est doux, prévenant et quand sa grosse queue me râcle l'intérieur je gémis en râlant comme jamais.
Sentir ce gland faire des vas et viens, est un pur bonheur… au début car il prend de la vitesse l'agent de sécurité, ça claque un peu au début, puis ça claque de plus en plus. Lui râle maintenant et moi je gueule. Sa main vient se poser sur ma bouche et ses coups de reins sont de plus en plus secs, sa grosse queue coulisse bien et j'ai toujours l'impression qu'elle va de plus en plus profond.
Tout en continuant ses coups de reins, il me fait redresser, le dos collé à son torse, sa main me serre le cou, ses coups de reins sont secs, ça claque.
Son autre main descend sur mon torse, prend ma queue, la serre fortement et se met à la branler en cadence de ses coups de reins qui sont moins violents.
J'adore sa main sur ma queue, l'autre main qui me serre le cou, j'ai chaud, je peine à respirer mais sa queue continue de me forer, ma queue devient de plus en plus raide. Je râle de plus en plus fort, sa main s'accentue sur ma queue, ses coups de reins diminuent, sa main desserre mon cou et dans un cri je gicle sur le mur en face de longues trainées de sperme qui coulent et dans mes spasmes, mon cul se resserre tel un étau sur la queue de l'agent de sécurité, on aurait dit qu'il n'attendait que ça. Deux ou trois vas et viens secs qui claquent et je sens mon cul être inondé, noyé, enseveli sous les décharges!
Tout le temps de ses décharges il n'a ni lâché ma queue, ni mon cou!
Sans se retirer de moi, il m'a donné sa langue et m'a embrassé comme le vrai mâle qu'il est!
Il est sorti délicatement de moi, ses mains n'arrêtaient pas de me caresser, on s'est collé l'un à l'autre et mes mains ont fini d'explorer son corps. C'était dur, c'était chaud, ça sentait la transpiration du mâle. Il souriait quand il m'a montré son aisselle m'approchant la tête pour que je m'énivre de son odeur. Il était devenu doux, tendre me faisait des bisous comme s'il avait été amoureux.
En fin de compte on peinait à se séparer. Il a relevé son pantalon et boxer pour ranger sa belle queue, mais je l'ai attrapé avant et je l'ai caressé en lui offrant mes lèvres et sentir sa queue grossir entre ma main, m'a fait bander également et sa main s'est saisie de la mienne. L'autre main caressait mes fesses, un doigt allait dans ma raie il m'embrassait goulument. Il s'est arrêté, m'a regardé, son beau sourire de mâle.
-tu me branles, je te branle en te doigtant et on joui une nouvelle fois ? ça te va beau mec ?
Je l'ai embrassé sans répondre, mais en pensant d'un coup que je venais de faire ça avec le beau mec qui m'avait amené dans ce traquenard.
L'idée est vite partie, quand son doigt s'est faufilé dans mon cul, que sa main me branlait sans ménagement sa langue dans ma bouche.
Je l'ai branlé également, j'ai aimé sa belle queue bien dure et quand il jute le mec! ben c'est du sérieux. Y'en avait partout!
On a rigolé de voir le bordel que l'on avait foutu.
Sa main me tenait le cou.
-d'habitude je fais lécher aux salopes que je rencontre mais toi t'es pas ordinaire, j'ai bien aimé baiser avec toi! tu peux revenir quand tu veux mec!
-dis donc j'ai une question ?
-oui vas y
-le beau mec que j'ai baisé avant toi, tu le connais ?
-Paul ? bien sûr, je lui ai tout appris et c'est une belle salope le mec! il adore la bite.
-donc c'était fait exprès qu'il m'amène dans ton couloir.
L'agent de sécurité rigole.
-et tu le baises souvent le Paul ?
-oh tous les jours! il vient pour ça.
-et toi tu baises ceux qui le baisent… ah c'est bien rôdé voyou d'agent de sécurité!
Il éclate de rire..
-faut bien s'amuser mec! mais je te l'ai dit tu reviens quand tu veux.
-et t'aimes pas baiser dans un lit ?
-bien sûr dit l'agent de sécurité, tu penses à quoi ? que je t'invite chez moi..?
-ben pourquoi pas ça devrait être pas mal mais je présume que tu te fais pas baiser ?
-pas souvent mec!
-alors si je venais avec Paul t'aurais deux culs à combler et moi j'en aurais un comme ça on serait tous comblés.
-mais t'es un sacré vicelard mec!
-bien sûr! tu t'en n'es pas encore douté?
On a rigolé en se rhabillant correctement, on est sorti dans les couloirs s'échangeant nos numéros de téléphone et dans la galerie on a retrouvé le petit Paul, la belle bête qui était encore en train de regarder dans les vitrines.
-mais il est encore là ? dis je.
-oh mais il y a des jours où il passe la journée. Il se fait baiser 5 ou 6 fois et moi je regarde à la cam et j'enregistre dit il en éclatant de rire.
-et après tu vas piéger le baiseur salaud!
-oh t'as bien aimé puisque t'en redemande. Je vais en parler à Paul et je pense qu'il sera ravi que l'on se retrouve tous les trois. Moi aussi d'ailleurs dit il avec un grand sourire.
-et moi donc! ais je dit en sortant de la galerie pour rentrer chez moi prendre une bonne douche!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ah ah exactement cher lecteur, merci
Bien rodé, qui est pris qui croyais prendre