Rendez-vous manqué!

Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Rendez-vous manqué!
Quelques jours plus tard, je trouve Eléonore dans un déshabillé transparent, chez elle, je tiens à préciser. Sa poitrine remue lourdement sous la fin tissue et sa touffe de poils semble encore plus obscène que si elle a été nue. Elle fait quelques tours sur elle-même comme une danseuse.
-Alors ? Pas mal, non ? Me fait-elle.
Elle me fait m’asseoir dans un des fauteuils du salon.
-Installe-toi, je reviens.
Elle apporte une bouteille de champagne. En la voyant se verser une pleine coupe, je réalise qu’elle est éméchée. Elle prend place sur le canapé, en face de moi, les jambes bien écartées.
Elle glousse d’une voix bizarre.
-Tu vois bien ma chatte ? Me fait-elle, alors qu’elle installe les fesses au bord du canapé.
Ses nymphes pointent entre les lèvres du sexe. De la mouille en suinte, tachant le tissu du déshabillé. Elle vide sa coupe d’un seul trait. Elle s’en emplit aussitôt une autre.
-Si tu veux vraiment être gentil avec moi, aujourd’hui tu fais tout ce que je veux, d’accord ?
-Tout ce que tu veux.
-Tu es vraiment un aventurier, toi.
-Non, seulement un mec qui aime jouir.
- J’ai vraiment eu peur de tomber sur toi, lâche-t-elle en se masturbant le bouton.
Elle fait tourner le bout de l’index dessus. Puis elle descend à petits coups jusqu’à l’entrée de son vagin où elle enfourne son doigt. Elle se branle à une cadence effrénée. Elle retire son index pour le sucer.
-Hum… ça te plaît ? Cochon ?
-Tout ce qui est sale me plaît…
Je vois sa vulve trempée, son jus qui coule entre ses fesses. J’ai du mal à me contrôler, à ne pas lui sauter dessus. Le regard trouble, elle me dit de déshabiller, ce que je fais en un tour de main. Je lui présente une queue tendue. Elle la prend en main et, en la tirant vers le bas, me force à me mettre à genoux.
-Suce-moi d’abord ! N’oublie pas que tu as promis !
Je lèche sa vulve humide, essayant d’enfoncer ma langue le plus loin possible dans son vagin.
-Oui… Vas-y !
J’aspire le bouton entre mes lèvres. Elle replie ses jambes contre sa poitrine en les écartant le plus possible.
-Vas-y, oui ! Mange-moi bien !
Je fais descendre ma langue dans la raie de ses fesses. Elle se recroqueville le plus possible, tirant ses genoux en arrière avec ses mains. Elle m’offre son cul. J’ai la mâchoire crispée par une crampe atroce et ma langue me brûle. Mais cela m’est bien égal, je veux la faire jouir ! Je plante pour ça mes doigts dans la chair de ses fesses pour les écarter. Son anus brunâtre sailli. Il cède avec facilité quand j’introduis l’index. Elle m’encourage d’une voix de gorge.
-Oh oui, vas-y, encule-moi !
Elle crispe ses muscles, transformant son anus en ventouse qui aspire peu à peu tout mon doigt. Quand je le coulisse, elle me supplie d’utiliser plutôt autre chose.
-Tu me rends folle. Mets-la-moi dans mon cul !
Elle se positionne sur le canapé. A quatre pattes dessus, elle tire ses fesses sur les côtés avec ses doigts.
-Allez, mets-la-moi vite, je ne tiens plus.
J'appuie mon gland contre son anus. Il s’enfonce aussi facilement que mon index. Elle m’aide en poussant comme si elle allait chier.
Elle m’encourage d’une voix hystérique.
-Défonce-moi ! Fais-moi mal !
Je pousse de toutes mes forces jusqu’à ce que mon ventre bute contre ses fesses. Je l’encule, d’abord par de petits mouvements lents, puis en accélérant peu à peu mon rythme. Je me retire pour mieux replonger l’instant suivant dans son cul.
Elle lâche des mots inaudibles. Cela flagelle mon excitation. J'essaie de me retenir, mais je finis par lâcher mon foutre. Elle jouit en riant d’un rire énervé.
-C’était ça ta proposition ?
-Noooooooooooon ! Question, est-ce tu aimes les femmes mûres ?
-Plutôt, oui !
-Tu vois ma mère, son truc est de se servir de mes amants pour assouvir sa soif sexuelle, enfin s'ils lui plaisent.
-Je te… je… c’est d’accord !
-Attend… Attend…
-Je n’attends pas, je suis d’accord !
-J’en étais sûr, tranche-t-elle. Je vais alors t’arranger quelque chose avec elle. Mais je te préviens, anticipe-t-elle, il ne faudra pas te plaindre après.
-Ce n’est pas mon genre de me plaindre ! Surtout quand il y a du cul en jeu ! Quel âge a-t-elle ? J’ajoute.
-Ne compte pas sur moi pour te le dire. Enfin plus vieille que moi !
-Merci de cette information
La première chose qui me vient à l’esprit est de me demander si Eléonore parle en l’air, ou va-t-elle organisé la rencontre.
-Et c’est pour quand ?
-T’inquiète ! Tu serais le premier prévenu !
Attendre est pire que tout, chez moi. Surtout pour une réunion de cul.
Une sorte de torpeur s’est emparée de moi quand j’ai reçu son signal par téléphone. Moi qui avait tant attendu ce moment depuis si longtemps. Une quinzaine de jours.
Je me trouve sans émotion, sans impatience au rendez-vous. Mais je me présente tout de même à l’heure pile devant Eléonore.
-Merci Alain ! Je savais que je pouvais compter sur toi. On y va !
Je monte à ses côtés dans sa Mercedes. Elle me conduit. Une trentaine de kilomètres plus loin, elle se stationne devant une grille.
-Voilà, nous sommes arrivés. Tu veux toujours ?
J’ai le cœur qui cogne dans ma poitrine.
-Plus que jamais.
-Tu n’as pas peur d’être déçu en la découvrant ?
-Toutes les femmes sont belles pour moi !
-C’est gentil ! Me lâche-t-elle. Allons-y, ajoute-t-elle.
Eléonore toque à la porte, cette dernière s’ouvre sur la fille des photos.
-Alain, je te présente Maude. Maude, Alain !
-Mais je pensais que…
-Il pensait quoi ? Fait Maude.
-T’inquiète, répond Eléonore, je t’expliquerai…
Cette dernière et sa copine s’entretiennent quelques minutes au fond du couloir. Eléonore sourit et Maude la regarde avec fièvre. Elle me montre plusieurs fois et son amie incline la tête en se passant la langue sur les lèvres. Elle dit quelque chose que je n’entends pas mais dont je comprends aisément le sens.
Puis elles reviennent vers moi et Maude me demande de prendre place sur le canapé. Je tente de capter le regard de Maude, mais elle s’attarde sur mon corps, pas à mes yeux.
- Tu verras, j’ai de l’imagination ! Autant qu'Éléonore.
Cela promet !
Je bande et ma verge menace de forcer l’élastique de mon slip. Je m’installe avec Eléonore sur le canapé, Maude est sur un fauteuil, face à nous. Ne tenant plus, Maude lance les hostilités. Gesticulant de tous ses membres à sa place. Assez pour faire remonter haut sur ses cuisses, l’ourlet de sa robe. Cela me permet de faire connaissance avec la culotte qu’elle portait. Une culotte de nylon couleur chair, qui moule sa vulve et laisse deviner le buisson moite, derrière.
Après me l’avoir exposé un bon moment à ma vue, là voilà qu’elle s’offusque. Se montre honteuse, voire gênée de sa tenue, tirant des deux mains l’ourlet vers le bas. Le parfait artifice de la salope qui veut montrer ses trésors en toute innocence de cause.
Pendant ce temps-là, Éléonore s’en va récupérer la bouteille de champagne qu’elle a mise dans le réfrigérateur. Tout de suite Maude est venue se jeter à sa place sur le divan et pose sa tête sur mon épaule. Dans l'action, sa robe glisse très haut sur ses cuisses. Mais Maude n’en a rien à faire de cela, elle colle sa bouche à mon oreille pour me murmurer un :
-Je ne sais pas si Eléonore te l'a dit, mais quand je suis en compagnie d’un beau mec, je ne peux me contenir !
Eléonore m’a omis de me dire devant les clichés que sa copine Maude avait des appétits sexuels à la fois précoces, abondants et pervers. Sitôt cela dit, la voilà qu’elle plaque ses lèvres sur les miennes, alors que sa main fonce avidement, pour s’emparer de mes attributs. Elle semble apprécier ce qu’elle touche. La coquine enserre ma verge à travers mon pantalon. Je suis, pensez-le bien, dans mon élément.
Elle me masse quelques instants avant de me la mettre à nu. Pris dans un remous d’excitation, dans un mouvement spontané, je me saisis de sa tête entre mes mains et la guide jusqu’à mon érection. Elle prend ma queue dans sa bouche, la gainant dans un mouvement descendant. La nature étant ce que je suis, j’ose, sans qu’on m’y invite, d’effleurer du bout des doigts l’étoffe qui sangle ses fesses. Le nylon est d’une douceur incroyable, recouvert par une fine pellicule d’humidité. Mon doigt glisse le long de la culotte, détaillant les coutures, pour finalement descendre lentement dans sa raie.
Une action qui m’octroie un contact direct avec la moiteur de sa peau. Mais je suis très vite arrêté par un obstacle, le tissu. Sa culotte se présente désormais comme un palais imprenable dans mon esprit. Je lui enlève ma queue de sa bouche. Maude est surprise de mon geste.
-J’ai mieux à faire ! Je lui fais.
Je lui baisse sa culotte à mi-cuisses. Le tableau qui s’offre à moi me laisse sans voix. Elle possède un cul à la fermeté et au galbe magnifique, accentué par une cambrure orgueilleuse.
-Si je suis de trop, je peux vous laisser! Laisse tomber Eléonore.
-Non…non ! Bégaye Maude. Tu ne nous gênes pas, Eléonore…
-Ce n'est pas l’impression que vous me donnez ! Ajoute-t-elle. Je ne te croyais pas aussi accro que ça.
-Je n’ai pas pu résister, et d’ailleurs c’est de ta faute. Il ne fallait pas que tu me le présentes !
-Salope ! Lui lance Eléonore, tout en s’approchant de nous pour caresser les épaules de sa copine.
Pour ma part, je continue à m’occuper de son sexe, comme j’aime le faire. Alors, après quelques minutes, Eléonore continue sa caresse sur sa copine, mais là, plus bas. Je cherche souvent son regard, mais elle est concentrée, appliquée, mais lorsque qu’enfin nos regards se croisent, elle affiche un sourire qui semble vraiment sincère.
Elle dénude la poitrine de sa copine, qu’elle se met à caresser. Maude éprouve, au fil des secondes, de plus en plus de plaisir. Son souffle s’accélère. Eléonore se met à masser la poitrine de sa copine avec sa sienne. Je deviens spectateur du massage. J’admire Éléonore frottant son corps contre celui de sa copine. Deux paires de seins l’un contre l’autre.
Quatre seins dont les tétons sont érigés au plus haut. Quel merveilleux spectacle ! Je me contente de les regarder faire tout en branlant la chatte à Maude.
Ne tenant plus, je plonge ma tête entre les jambes de cette dernière, pour que mes lèvres et ma langue viennent au contact de son clitoris. Il ne me faut pas longtemps pour la faire décoller. Certainement pas dû à ma performance, mais plutôt à son état d’excitation. Je veux bien la comprendre. Moi-même je suis au bord de l’éjaculation.
L’ambiance dans le salon est ultra excitante. Voilà qu’elles se roulent un long patin. J’en profite pour me jeter sur leurs chattes. Comme toujours, je me régale, je suis dans mon élément, là. Je les suce bruyamment, alors qu’elles continuent à se bécoter. Une idée me vient. Ce qui fait qu’accroître ma dureté.
Je trouve ce que je cherchais. Maude est souple du cul. Je vise ma queue sur la cible et je pousse en avant. Après quelques glissades dues au mélange sécrétion salive, je franchis la frontière du sphincter anal. Mon gland l’élargit lentement, la nature fait le reste, aucun frottement ne me gêne dans ma progression.
-Mais qu’est-ce que tu fais, pas par là, je n’aime pas !
-Je t’avais prévenu Maude, lui envoie Eléonore, il est exceptionnel !
Elle s’ouvre, en dépit de ses protestations. Sa rébellion m’excite ainsi que le bruit des baisers qu’Éléonore pose sur sa bouche entre deux injures qu’elle nous envoie à l’un ou à l’autre. Tenace, je franchis l’anneau rétréci. J’ai un quart de queue dans elle. Dans un conduit chaud et soyeux. Je grogne d’extase. Millimètre après millimètre, je me sens m’enfoncer davantage. Puis-je commencer par aller et venir de plus en plus loin dans elle. Je grogne d’extase !
J’ai envie que cela dure le plus longtemps possible. Elle cesse les plaintes pour se contenter de gémissements aigus et prolongés. Je vais alors plus fort et un peu plus vite. Maude ne bouge pas, ne proteste plus. Je voyage à fond entre ses fesses. Le désir de jouir m’assaille. Eléonore se met sur le côté et l’embrasse en lui agrippant les cheveux. Mon plaisir arrive lentement. Je le déverse par petits coups dans le cul. Eléonore s’installe pour permettre à sa bouche de lécher sa copine. Je suis comme hypnotisé par ce tableau pervers. Je pense qu’elles ne sont pas à leur première relation, les coquines.
Je caresse la poitrine de Maude, tout en regardant la tête d’Éléonore contre son pubis. Dont je vois son menton disparaître dans la toison de sa copine. Je ne vois plus que le mouvement du crâne d’Eléonore et l’ondulation du bassin de Maude. Cette dernière respire fort. Je suis comme dans un rêve. Je lui saisis la jambe droite par en dessous et lui lève doucement pour bien lui ouvrir la fente. Son pied s’agite bientôt au-dessus d’Éléonore.
Cette dernière s’engage plus loin, libérant sur sa copine tout son appétit. La culotte en nylon de Maude étant à portée de main, je m’en saisis pour la porter à mes narines. Son musc gras et poivré s’en exhale avec force.
Pris d’une folie sale, j’enfonce le slip souillé par la transpiration de sa fente dans la bouche de Maude. Elle m’aspire le majeur enrobé du nylon imbibé de sa propre sécrétion vaginale.
Eléonore, en prise directe aux sources, se régale et grogne de plaisir. Je retourne Maude contre moi. Je caresse les fesses cambrées. Puis-je me sentir aspiré. Eléonore engloutit ma queue dans sa bouche. La suce quelques secondes. Elle alterne ses coups de lèche, ses baisers, ses suçons.
Pris d’une frénésie de jouir, comme souvent dans ces cas-là. J’empoigne ma verge et l’agite très vite, entre la bouche suceuse et le cul exhibé. Je lâche un cri et envoie mes saccades de semence juste au centre, un coup sur les fesses de l’une, un coup sur la joue de l’autre. Quand j’ai terminé, Eléonore m’embouche la queue et me la nettoie. Eléonore lance une requête.
-Je suis aussi là, moi ?
Alors je me dévoue et place ma bouche sur sa chatte. J’ai droit à une giclée aigrelette sous des gémissements. Un goût de pisse m’envahit le palais. L’odeur précède le contact, déjà enivrante.
Ravi je gobe ses lèvres verticales avec volupté. Après les avoir sucées et lissées, je pousse plus au fond ma langue. Je trempe mes lèvres dans le suc lubrique. La vulve s’ouvre et m’enveloppe le bas du visage comme un masque de chair. Je titille du bout de la langue le vagin d’Eléonore et ses parois molles et aigres. Après avoir violé son sexe, je m’attaque à son petit trou.
Sous mes caresses, la couronne musculeuse s’assouplit et me laisse goûter son intérieur. Après plusieurs coups de langue le goût amer s’en est allé. Naturellement je glisse les doigts vers la fente béante. L’intérieur est chaud. De la même main j’enfile le pouce en bas, dans l’anus entrouvert. Il s’y faufile sans difficulté. Par un mouvement en pince, je masse la fine membrane qui sépare les deux orifices. Le bassin me démontre, par ses ondulations, qu’elle apprécie.
Je quitte ma position pour me placer entre les jambes d’Éléonore. Dont le cul de Maude me cache son visage. Je l’entends tout de même échapper une plainte lors de notre accouplement. Je vais et viens lentement dans son vagin profond. Des émanations d’effluve s’en échappent à chaque poussée. Comme lors de nos précédentes relations, le sexe d’Eléonore se sent fort pendant l’amour. La violence verbale de Maude me surprend, dès lors.
-Ça te plaît, hein, salope, de te faire ramoner la chatte !
-Oui… J’adore même… AAAaaaahhh, c’est bon !
Eléonore ponctue chaque mouvement de petits cris plaintifs. Mes coups de reins deviennent plus courts et saccadés. Je sens la liqueur couler de sa coquille le long de ma verge, sur mes couilles. Soudain, elle se tend en arc, hurle longuement, ses mouvements deviennent complètement désordonnés.
Sous le coup de fouet de cette jouissance, mon envie de foutre me submerge. Mais je choisis pour cela son cul. Je n’ai qu’à loger mon gland dans le cratère pour qu’il se creuse. Il se referme sur ma verge. L’enveloppant comme un gant. Je voyage onctueusement dedans. Je me sens délicieusement serré. Je me saisis de sa poitrine. Un sein dans chaque main, je me mets à les pétrir. Je les brutalise. Après un temps d'immobilité, je me laisse aller, à entrer et sortir de son cul.
Je m’applique à me contrôler pour aller ni trop vite ni trop fort, malgré le formidable désir que j’ai d’accélérer le mouvement.
Je me mets à la limer mécaniquement. Mais ce n’est pas de l’avis d’Éléonore. Qui fiévreusement, vient à la rencontre de mes coups de bite. Les bruits de gorge résonnent dans la pièce. Par désir, je déloge ma verge, laissant un trou béant sous mon regard. Et, avant que celui-ci ait le temps de se refermer, je m’enfonce de nouveau. Mon bas-ventre claque contre ses cuisses. Je sens bien qu’elle est en train de prendre son pied. Je me fige en elle et je me laisse aller à ma jouissance.
Je jute à longs jets puissants dans son cul distendu, accompagnant chaque giclée d’un coup de reins. Je n’en finis pas d’évacuer ma jouissance, alors qu’elle gémit sans discontinuer.
Comme tout a une fin, je me retire, doucement. Les couilles vidées. Un fil de sperme relie le bout cramoisi de mon gland à l’anus qui déborde de foutre encore brûlant. Le jus épais trace un sillon entre ses fesses rougies. Son trou du cul parcouru de spasmes expulse le trop-plein de jouissance coulant le long de ses cuisses.
Après un apéro dinatoire, je prends une seconde fois Maude par-devant, mais de face cette fois-ci. Je m’accroupis, les fesses sur les talons, les genoux très écartés et je la besogne vigoureusement après avoir placé ses jambes par-dessus mes épaules.
Eléonore prend place sur le visage de sa copine. Je vois ses lèvres entrer en action contre la moule humide qui se promène juste au-dessus.
Elle frappe des fesses contre le visage d’Éléonore et observe ma queue en se mordant les lèvres.
J’essaie de me retenir au maximum, mais à mon tour le spectacle qu’elles m’offrent est insoutenable. Je sors précipitamment du ventre brûlant et présente ma verge à la bouche d’Éléonore qui l’engloutit immédiatement. Je prends sa tête entre les mains et lui envoie quelques coups de boutoir au fond de la gorge. Je sens de longues giclées me traverser la tige. Je les lâche toutes sur le visage d’Eléonore. Et cela jusqu’à la dernière goutte.
Sur le chemin du retour, je questionne Eléonore sur son soi-disant rendez-vous avec sa mère.
-Je te sens déçu ! Me lâche-t-elle.
-Oui, un peu…
-Tu es vraiment exceptionnel, toi.
Alors que je m’apprête de quitter le siège passager de sa Mercédès, elle me lâche.
-Tu tiens toujours à rendre une visite à ma mère ?
-Pas qu’un peu !
-Alors tiens, me fait-elle en me tendant une carte de visite. C’est son adresse, elle est au courant.
-Alors ? Pas mal, non ? Me fait-elle.
Elle me fait m’asseoir dans un des fauteuils du salon.
-Installe-toi, je reviens.
Elle apporte une bouteille de champagne. En la voyant se verser une pleine coupe, je réalise qu’elle est éméchée. Elle prend place sur le canapé, en face de moi, les jambes bien écartées.
Elle glousse d’une voix bizarre.
-Tu vois bien ma chatte ? Me fait-elle, alors qu’elle installe les fesses au bord du canapé.
Ses nymphes pointent entre les lèvres du sexe. De la mouille en suinte, tachant le tissu du déshabillé. Elle vide sa coupe d’un seul trait. Elle s’en emplit aussitôt une autre.
-Si tu veux vraiment être gentil avec moi, aujourd’hui tu fais tout ce que je veux, d’accord ?
-Tout ce que tu veux.
-Tu es vraiment un aventurier, toi.
-Non, seulement un mec qui aime jouir.
- J’ai vraiment eu peur de tomber sur toi, lâche-t-elle en se masturbant le bouton.
Elle fait tourner le bout de l’index dessus. Puis elle descend à petits coups jusqu’à l’entrée de son vagin où elle enfourne son doigt. Elle se branle à une cadence effrénée. Elle retire son index pour le sucer.
-Hum… ça te plaît ? Cochon ?
-Tout ce qui est sale me plaît…
Je vois sa vulve trempée, son jus qui coule entre ses fesses. J’ai du mal à me contrôler, à ne pas lui sauter dessus. Le regard trouble, elle me dit de déshabiller, ce que je fais en un tour de main. Je lui présente une queue tendue. Elle la prend en main et, en la tirant vers le bas, me force à me mettre à genoux.
-Suce-moi d’abord ! N’oublie pas que tu as promis !
Je lèche sa vulve humide, essayant d’enfoncer ma langue le plus loin possible dans son vagin.
-Oui… Vas-y !
J’aspire le bouton entre mes lèvres. Elle replie ses jambes contre sa poitrine en les écartant le plus possible.
-Vas-y, oui ! Mange-moi bien !
Je fais descendre ma langue dans la raie de ses fesses. Elle se recroqueville le plus possible, tirant ses genoux en arrière avec ses mains. Elle m’offre son cul. J’ai la mâchoire crispée par une crampe atroce et ma langue me brûle. Mais cela m’est bien égal, je veux la faire jouir ! Je plante pour ça mes doigts dans la chair de ses fesses pour les écarter. Son anus brunâtre sailli. Il cède avec facilité quand j’introduis l’index. Elle m’encourage d’une voix de gorge.
-Oh oui, vas-y, encule-moi !
Elle crispe ses muscles, transformant son anus en ventouse qui aspire peu à peu tout mon doigt. Quand je le coulisse, elle me supplie d’utiliser plutôt autre chose.
-Tu me rends folle. Mets-la-moi dans mon cul !
Elle se positionne sur le canapé. A quatre pattes dessus, elle tire ses fesses sur les côtés avec ses doigts.
-Allez, mets-la-moi vite, je ne tiens plus.
J'appuie mon gland contre son anus. Il s’enfonce aussi facilement que mon index. Elle m’aide en poussant comme si elle allait chier.
Elle m’encourage d’une voix hystérique.
-Défonce-moi ! Fais-moi mal !
Je pousse de toutes mes forces jusqu’à ce que mon ventre bute contre ses fesses. Je l’encule, d’abord par de petits mouvements lents, puis en accélérant peu à peu mon rythme. Je me retire pour mieux replonger l’instant suivant dans son cul.
Elle lâche des mots inaudibles. Cela flagelle mon excitation. J'essaie de me retenir, mais je finis par lâcher mon foutre. Elle jouit en riant d’un rire énervé.
-C’était ça ta proposition ?
-Noooooooooooon ! Question, est-ce tu aimes les femmes mûres ?
-Plutôt, oui !
-Tu vois ma mère, son truc est de se servir de mes amants pour assouvir sa soif sexuelle, enfin s'ils lui plaisent.
-Je te… je… c’est d’accord !
-Attend… Attend…
-Je n’attends pas, je suis d’accord !
-J’en étais sûr, tranche-t-elle. Je vais alors t’arranger quelque chose avec elle. Mais je te préviens, anticipe-t-elle, il ne faudra pas te plaindre après.
-Ce n’est pas mon genre de me plaindre ! Surtout quand il y a du cul en jeu ! Quel âge a-t-elle ? J’ajoute.
-Ne compte pas sur moi pour te le dire. Enfin plus vieille que moi !
-Merci de cette information
La première chose qui me vient à l’esprit est de me demander si Eléonore parle en l’air, ou va-t-elle organisé la rencontre.
-Et c’est pour quand ?
-T’inquiète ! Tu serais le premier prévenu !
Attendre est pire que tout, chez moi. Surtout pour une réunion de cul.
Une sorte de torpeur s’est emparée de moi quand j’ai reçu son signal par téléphone. Moi qui avait tant attendu ce moment depuis si longtemps. Une quinzaine de jours.
Je me trouve sans émotion, sans impatience au rendez-vous. Mais je me présente tout de même à l’heure pile devant Eléonore.
-Merci Alain ! Je savais que je pouvais compter sur toi. On y va !
Je monte à ses côtés dans sa Mercedes. Elle me conduit. Une trentaine de kilomètres plus loin, elle se stationne devant une grille.
-Voilà, nous sommes arrivés. Tu veux toujours ?
J’ai le cœur qui cogne dans ma poitrine.
-Plus que jamais.
-Tu n’as pas peur d’être déçu en la découvrant ?
-Toutes les femmes sont belles pour moi !
-C’est gentil ! Me lâche-t-elle. Allons-y, ajoute-t-elle.
Eléonore toque à la porte, cette dernière s’ouvre sur la fille des photos.
-Alain, je te présente Maude. Maude, Alain !
-Mais je pensais que…
-Il pensait quoi ? Fait Maude.
-T’inquiète, répond Eléonore, je t’expliquerai…
Cette dernière et sa copine s’entretiennent quelques minutes au fond du couloir. Eléonore sourit et Maude la regarde avec fièvre. Elle me montre plusieurs fois et son amie incline la tête en se passant la langue sur les lèvres. Elle dit quelque chose que je n’entends pas mais dont je comprends aisément le sens.
Puis elles reviennent vers moi et Maude me demande de prendre place sur le canapé. Je tente de capter le regard de Maude, mais elle s’attarde sur mon corps, pas à mes yeux.
- Tu verras, j’ai de l’imagination ! Autant qu'Éléonore.
Cela promet !
Je bande et ma verge menace de forcer l’élastique de mon slip. Je m’installe avec Eléonore sur le canapé, Maude est sur un fauteuil, face à nous. Ne tenant plus, Maude lance les hostilités. Gesticulant de tous ses membres à sa place. Assez pour faire remonter haut sur ses cuisses, l’ourlet de sa robe. Cela me permet de faire connaissance avec la culotte qu’elle portait. Une culotte de nylon couleur chair, qui moule sa vulve et laisse deviner le buisson moite, derrière.
Après me l’avoir exposé un bon moment à ma vue, là voilà qu’elle s’offusque. Se montre honteuse, voire gênée de sa tenue, tirant des deux mains l’ourlet vers le bas. Le parfait artifice de la salope qui veut montrer ses trésors en toute innocence de cause.
Pendant ce temps-là, Éléonore s’en va récupérer la bouteille de champagne qu’elle a mise dans le réfrigérateur. Tout de suite Maude est venue se jeter à sa place sur le divan et pose sa tête sur mon épaule. Dans l'action, sa robe glisse très haut sur ses cuisses. Mais Maude n’en a rien à faire de cela, elle colle sa bouche à mon oreille pour me murmurer un :
-Je ne sais pas si Eléonore te l'a dit, mais quand je suis en compagnie d’un beau mec, je ne peux me contenir !
Eléonore m’a omis de me dire devant les clichés que sa copine Maude avait des appétits sexuels à la fois précoces, abondants et pervers. Sitôt cela dit, la voilà qu’elle plaque ses lèvres sur les miennes, alors que sa main fonce avidement, pour s’emparer de mes attributs. Elle semble apprécier ce qu’elle touche. La coquine enserre ma verge à travers mon pantalon. Je suis, pensez-le bien, dans mon élément.
Elle me masse quelques instants avant de me la mettre à nu. Pris dans un remous d’excitation, dans un mouvement spontané, je me saisis de sa tête entre mes mains et la guide jusqu’à mon érection. Elle prend ma queue dans sa bouche, la gainant dans un mouvement descendant. La nature étant ce que je suis, j’ose, sans qu’on m’y invite, d’effleurer du bout des doigts l’étoffe qui sangle ses fesses. Le nylon est d’une douceur incroyable, recouvert par une fine pellicule d’humidité. Mon doigt glisse le long de la culotte, détaillant les coutures, pour finalement descendre lentement dans sa raie.
Une action qui m’octroie un contact direct avec la moiteur de sa peau. Mais je suis très vite arrêté par un obstacle, le tissu. Sa culotte se présente désormais comme un palais imprenable dans mon esprit. Je lui enlève ma queue de sa bouche. Maude est surprise de mon geste.
-J’ai mieux à faire ! Je lui fais.
Je lui baisse sa culotte à mi-cuisses. Le tableau qui s’offre à moi me laisse sans voix. Elle possède un cul à la fermeté et au galbe magnifique, accentué par une cambrure orgueilleuse.
-Si je suis de trop, je peux vous laisser! Laisse tomber Eléonore.
-Non…non ! Bégaye Maude. Tu ne nous gênes pas, Eléonore…
-Ce n'est pas l’impression que vous me donnez ! Ajoute-t-elle. Je ne te croyais pas aussi accro que ça.
-Je n’ai pas pu résister, et d’ailleurs c’est de ta faute. Il ne fallait pas que tu me le présentes !
-Salope ! Lui lance Eléonore, tout en s’approchant de nous pour caresser les épaules de sa copine.
Pour ma part, je continue à m’occuper de son sexe, comme j’aime le faire. Alors, après quelques minutes, Eléonore continue sa caresse sur sa copine, mais là, plus bas. Je cherche souvent son regard, mais elle est concentrée, appliquée, mais lorsque qu’enfin nos regards se croisent, elle affiche un sourire qui semble vraiment sincère.
Elle dénude la poitrine de sa copine, qu’elle se met à caresser. Maude éprouve, au fil des secondes, de plus en plus de plaisir. Son souffle s’accélère. Eléonore se met à masser la poitrine de sa copine avec sa sienne. Je deviens spectateur du massage. J’admire Éléonore frottant son corps contre celui de sa copine. Deux paires de seins l’un contre l’autre.
Quatre seins dont les tétons sont érigés au plus haut. Quel merveilleux spectacle ! Je me contente de les regarder faire tout en branlant la chatte à Maude.
Ne tenant plus, je plonge ma tête entre les jambes de cette dernière, pour que mes lèvres et ma langue viennent au contact de son clitoris. Il ne me faut pas longtemps pour la faire décoller. Certainement pas dû à ma performance, mais plutôt à son état d’excitation. Je veux bien la comprendre. Moi-même je suis au bord de l’éjaculation.
L’ambiance dans le salon est ultra excitante. Voilà qu’elles se roulent un long patin. J’en profite pour me jeter sur leurs chattes. Comme toujours, je me régale, je suis dans mon élément, là. Je les suce bruyamment, alors qu’elles continuent à se bécoter. Une idée me vient. Ce qui fait qu’accroître ma dureté.
Je trouve ce que je cherchais. Maude est souple du cul. Je vise ma queue sur la cible et je pousse en avant. Après quelques glissades dues au mélange sécrétion salive, je franchis la frontière du sphincter anal. Mon gland l’élargit lentement, la nature fait le reste, aucun frottement ne me gêne dans ma progression.
-Mais qu’est-ce que tu fais, pas par là, je n’aime pas !
-Je t’avais prévenu Maude, lui envoie Eléonore, il est exceptionnel !
Elle s’ouvre, en dépit de ses protestations. Sa rébellion m’excite ainsi que le bruit des baisers qu’Éléonore pose sur sa bouche entre deux injures qu’elle nous envoie à l’un ou à l’autre. Tenace, je franchis l’anneau rétréci. J’ai un quart de queue dans elle. Dans un conduit chaud et soyeux. Je grogne d’extase. Millimètre après millimètre, je me sens m’enfoncer davantage. Puis-je commencer par aller et venir de plus en plus loin dans elle. Je grogne d’extase !
J’ai envie que cela dure le plus longtemps possible. Elle cesse les plaintes pour se contenter de gémissements aigus et prolongés. Je vais alors plus fort et un peu plus vite. Maude ne bouge pas, ne proteste plus. Je voyage à fond entre ses fesses. Le désir de jouir m’assaille. Eléonore se met sur le côté et l’embrasse en lui agrippant les cheveux. Mon plaisir arrive lentement. Je le déverse par petits coups dans le cul. Eléonore s’installe pour permettre à sa bouche de lécher sa copine. Je suis comme hypnotisé par ce tableau pervers. Je pense qu’elles ne sont pas à leur première relation, les coquines.
Je caresse la poitrine de Maude, tout en regardant la tête d’Éléonore contre son pubis. Dont je vois son menton disparaître dans la toison de sa copine. Je ne vois plus que le mouvement du crâne d’Eléonore et l’ondulation du bassin de Maude. Cette dernière respire fort. Je suis comme dans un rêve. Je lui saisis la jambe droite par en dessous et lui lève doucement pour bien lui ouvrir la fente. Son pied s’agite bientôt au-dessus d’Éléonore.
Cette dernière s’engage plus loin, libérant sur sa copine tout son appétit. La culotte en nylon de Maude étant à portée de main, je m’en saisis pour la porter à mes narines. Son musc gras et poivré s’en exhale avec force.
Pris d’une folie sale, j’enfonce le slip souillé par la transpiration de sa fente dans la bouche de Maude. Elle m’aspire le majeur enrobé du nylon imbibé de sa propre sécrétion vaginale.
Eléonore, en prise directe aux sources, se régale et grogne de plaisir. Je retourne Maude contre moi. Je caresse les fesses cambrées. Puis-je me sentir aspiré. Eléonore engloutit ma queue dans sa bouche. La suce quelques secondes. Elle alterne ses coups de lèche, ses baisers, ses suçons.
Pris d’une frénésie de jouir, comme souvent dans ces cas-là. J’empoigne ma verge et l’agite très vite, entre la bouche suceuse et le cul exhibé. Je lâche un cri et envoie mes saccades de semence juste au centre, un coup sur les fesses de l’une, un coup sur la joue de l’autre. Quand j’ai terminé, Eléonore m’embouche la queue et me la nettoie. Eléonore lance une requête.
-Je suis aussi là, moi ?
Alors je me dévoue et place ma bouche sur sa chatte. J’ai droit à une giclée aigrelette sous des gémissements. Un goût de pisse m’envahit le palais. L’odeur précède le contact, déjà enivrante.
Ravi je gobe ses lèvres verticales avec volupté. Après les avoir sucées et lissées, je pousse plus au fond ma langue. Je trempe mes lèvres dans le suc lubrique. La vulve s’ouvre et m’enveloppe le bas du visage comme un masque de chair. Je titille du bout de la langue le vagin d’Eléonore et ses parois molles et aigres. Après avoir violé son sexe, je m’attaque à son petit trou.
Sous mes caresses, la couronne musculeuse s’assouplit et me laisse goûter son intérieur. Après plusieurs coups de langue le goût amer s’en est allé. Naturellement je glisse les doigts vers la fente béante. L’intérieur est chaud. De la même main j’enfile le pouce en bas, dans l’anus entrouvert. Il s’y faufile sans difficulté. Par un mouvement en pince, je masse la fine membrane qui sépare les deux orifices. Le bassin me démontre, par ses ondulations, qu’elle apprécie.
Je quitte ma position pour me placer entre les jambes d’Éléonore. Dont le cul de Maude me cache son visage. Je l’entends tout de même échapper une plainte lors de notre accouplement. Je vais et viens lentement dans son vagin profond. Des émanations d’effluve s’en échappent à chaque poussée. Comme lors de nos précédentes relations, le sexe d’Eléonore se sent fort pendant l’amour. La violence verbale de Maude me surprend, dès lors.
-Ça te plaît, hein, salope, de te faire ramoner la chatte !
-Oui… J’adore même… AAAaaaahhh, c’est bon !
Eléonore ponctue chaque mouvement de petits cris plaintifs. Mes coups de reins deviennent plus courts et saccadés. Je sens la liqueur couler de sa coquille le long de ma verge, sur mes couilles. Soudain, elle se tend en arc, hurle longuement, ses mouvements deviennent complètement désordonnés.
Sous le coup de fouet de cette jouissance, mon envie de foutre me submerge. Mais je choisis pour cela son cul. Je n’ai qu’à loger mon gland dans le cratère pour qu’il se creuse. Il se referme sur ma verge. L’enveloppant comme un gant. Je voyage onctueusement dedans. Je me sens délicieusement serré. Je me saisis de sa poitrine. Un sein dans chaque main, je me mets à les pétrir. Je les brutalise. Après un temps d'immobilité, je me laisse aller, à entrer et sortir de son cul.
Je m’applique à me contrôler pour aller ni trop vite ni trop fort, malgré le formidable désir que j’ai d’accélérer le mouvement.
Je me mets à la limer mécaniquement. Mais ce n’est pas de l’avis d’Éléonore. Qui fiévreusement, vient à la rencontre de mes coups de bite. Les bruits de gorge résonnent dans la pièce. Par désir, je déloge ma verge, laissant un trou béant sous mon regard. Et, avant que celui-ci ait le temps de se refermer, je m’enfonce de nouveau. Mon bas-ventre claque contre ses cuisses. Je sens bien qu’elle est en train de prendre son pied. Je me fige en elle et je me laisse aller à ma jouissance.
Je jute à longs jets puissants dans son cul distendu, accompagnant chaque giclée d’un coup de reins. Je n’en finis pas d’évacuer ma jouissance, alors qu’elle gémit sans discontinuer.
Comme tout a une fin, je me retire, doucement. Les couilles vidées. Un fil de sperme relie le bout cramoisi de mon gland à l’anus qui déborde de foutre encore brûlant. Le jus épais trace un sillon entre ses fesses rougies. Son trou du cul parcouru de spasmes expulse le trop-plein de jouissance coulant le long de ses cuisses.
Après un apéro dinatoire, je prends une seconde fois Maude par-devant, mais de face cette fois-ci. Je m’accroupis, les fesses sur les talons, les genoux très écartés et je la besogne vigoureusement après avoir placé ses jambes par-dessus mes épaules.
Eléonore prend place sur le visage de sa copine. Je vois ses lèvres entrer en action contre la moule humide qui se promène juste au-dessus.
Elle frappe des fesses contre le visage d’Éléonore et observe ma queue en se mordant les lèvres.
J’essaie de me retenir au maximum, mais à mon tour le spectacle qu’elles m’offrent est insoutenable. Je sors précipitamment du ventre brûlant et présente ma verge à la bouche d’Éléonore qui l’engloutit immédiatement. Je prends sa tête entre les mains et lui envoie quelques coups de boutoir au fond de la gorge. Je sens de longues giclées me traverser la tige. Je les lâche toutes sur le visage d’Eléonore. Et cela jusqu’à la dernière goutte.
Sur le chemin du retour, je questionne Eléonore sur son soi-disant rendez-vous avec sa mère.
-Je te sens déçu ! Me lâche-t-elle.
-Oui, un peu…
-Tu es vraiment exceptionnel, toi.
Alors que je m’apprête de quitter le siège passager de sa Mercédès, elle me lâche.
-Tu tiens toujours à rendre une visite à ma mère ?
-Pas qu’un peu !
-Alors tiens, me fait-elle en me tendant une carte de visite. C’est son adresse, elle est au courant.
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