Rentrée des classes
Récit érotique écrit par Couple-subtil [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Rentrée des classes
A notre retour à Paris après un séjour torride au Cap jusqu’à la mi-août nous vécurent quelques semaines de repos. Un peu comme un champion après une grande compétition il nous fallait recharger nos accus. « Tu crois que je me suis fait prendre par combien de mecs ?
- Je dirais une trentaine.
- En une semaine c’est pas mal. » Chrystèle évitait d’évoquer le fait que son compagnon, Léopold, avait lui aussi gouté au plaisir de se faire prendre. Une seule fois certes mais une fois qui lui avait beaucoup plu. De son côté Léopold évitait de demander à Chrystèle si son programme libertin de l’année incluait de revoir de nouveau leur amant du Cap, Christian, un quadragénaire très viril qui les avait dominé et donné un plaisir inédit à Chrystèle.
Tout en admirant la lourde poitrine de sa compagne, 29 ans, un bon mètre 75 de sensualité, de grandes jambes, s’habiller le matin, Léopold pensait à la soirée à laquelle on les avait convié : La rentrée des salopes. Dress code : écolière. C’était le lendemain qu’ils y étaient conviés et Chrystèle avait acheté pour l’occasion une jupette très mini à carreaux écossais qui cachait à peine son sexe.
« Bienvenue chez Leopardo. » L’homme qui les reçoit ce samedi soir de la première semaine de septembre doit approcher la cinquantaine. Chauve, un peu bedonnant, il possède un donjon dans une maison posée au pied d’un immeuble du Marais. Quand ils font leur entrée dans les lieux, cinq couples sont déjà présents. Et également cinq hommes seuls. Les autres femmes sont également en petite jupette. Couettes ou queues de cheval elles font assaut d’inventivité. Une grande rousse à la peau tachetée de taches de rousseur a même un cartable sur le dos. Chrystèle se contente de sa jupette et d’un chemisier qui laisse apparaître le haut de ses seins.
Le décor est soigné. Chaque femme a sa propre table de travail en format collège. Celui qui se fait maître Leopardo leur demande de s’y asseoir sous le regard égrillard des cinq hommes seuls – trente à cinquante ans – et des cinq maris amusés. « Voyons, une question simple. Qui a gagné la bataille de Trafalgar », interroge le maître, une grande règle en bois dans les mains. Une des femmes ne sait pas répondre. La châtiment est immédiat. Une fessée sur ses genoux. C’est une petite brune aux gros seins et aux hanches épaisses qui s’y colle. Pour un premier châtiment le maître ne la fesse pas très durement mais promets : « Pour la prochaine ce sera plus dur ».
Les questions s’enchainent. Ces dames doivent également venir au tableau noir – tout est prévu – pour les épreuves. C’est enfin le tour de Chrystèle qui s’est littéralement liquéfiée sur sa chaise où ses fesses nues reposent. « Vous allez me dessiner un triangle isocèle. Vous savez ce que c’est ? » Chrystèle n’en a plus aucune idée et se lance dans le dessin d’un triangle qui n’a rien d’isocèle. « Voyons mademoiselle, ce n’est pas sérieux », l’engueule le maître pendant qu’elle pouffe comme ses camarades de classe, décidément très dissipées et bien décidées à être châtiées. « Monsieur le surveillant général. Occupez-vous de Mlle Chrystèle. »Les autres hommes n’avaient pas encore pu participer et celui qui fait office de surveillant général, un grand mec viril approche : « Mlle penchez-vous en avant ». Chrystèle se baisse sur le tableau. Ses fesses apparaissent. Le surgé la pénètre de ses doigts : « Oui c’est bien ce que je pensais. Elle n’a pas de culotte et mouille comme une chienne.
- Faites moi voir », s’approche maître Leopardo, s’introduisant à son tour : « Mais c’est vrai ce que vous dites. Cette chienne est en chaleur. Cinq coups de règles ». Il prend sa règle et inflige à Chrystèle quelques coups pas très marqués. « Revenez à votre place. A Mlle Karine de venir au tableau. » Karine est la belle rousse que Léopold a tout de suite remarqué. « Voyons Mlle Karine, récitez moi "Le lièvre et la tortue. » Elle commence, hésite, se trompe. « Décidément vous êtes toutes aussi nulles que les autres. Vous méritez de véritables châtiments. Nous allons passer à la cave. »La cave c’est une tout autre ambiance. Croix de Saint-André, pilori, multitude de fouets, godemichés, paddle, on se croirait dans un sex shop découvrent les cinq couples. Karine est la première à prendre place sur la croix. Les fesses bien présentées elle est copieusement fouettée par un des maris. Assez petit, Léopold ne l’avait pas remarqué mais avait été surpris de le voir mettre une laisse à sa soumise pour descendre dans la cave.
Juste à côté, Chrsytèle n’en mène pas large mais joue le jeu. Les bras dans le dos, les yeux baissés comme en a intimé l’ordre le maître aux cinq femmes : « Maintenant vous allez être nos esclaves. Nous sommes onze hommes et vous allez nous obéir ». Aucune n’a protesté et elles sont là toutes les quatre, plus Karine sur la croix, à regarder leurs pieds. Très propriétaire, maître Léopard vient flatter leurs seins, s’attarde sur les lourdes poitrines de la petite brune, admire le sexe toujours si bien rasé de Chrystèle, lui fait lever la tête : « Au pilori chienne.
- Oui maître. » Chrystèle a déjà vécu cette expérience et passe doucement la tête et les bras pendant que le maître ferme avec un verrou le pilori. Le spectacle de ses fesses, de son sexe prêt à être pénétré est hallucinant. « Qui la pénètre en premier ? » Les candidats ne manquent pas mais le surveillant général fait jouer son droit de préemption. Il passe devant Chrystèle : « Suce chienne ». Elle obtempère. Elle sait que de sa bouche, de sa langue, dépendra la qualité de l’intromission qu’elle attend depuis longtemps maintenant. Qui arrive. L’homme fait le tour et la prend facilement tant elle est ouverte. Dans le reste du donjon c’est l’orgie. Certaines femmes sont fouettées, d’autres pénétrées. Léopold se fait branler par la belle rousse prise en même temps par un homme tout en en suçant un troisième. Un peu timide au début son mari se décide à se faire sucer par Chrystèle. Qui sent l’homme jouir en elle, dans son préservatif bien sur. « Ah tu m’as eu salope », lâche-t-il.
A peine s’est-il éclipsé que le mari de la belle rousse prend sa place. Chrystèle se fera prendre cette nuit là, plus ou moins longtemps, par les dix hommes. Léopold prendra quant à lui trois femmes. Dont Chrystèle, libéré du pilori, qu’il positionnera plus tard en levrette sur un matelas plus confortable. Maître Leopardo ne prendra quant à lui aucune femme.
« Ca t’a plu ?
- Beaucoup. Il y avait un côté drôle qui changeait des soirées habituelles.
- On remet ça ?
- A ton avis ? »
- Je dirais une trentaine.
- En une semaine c’est pas mal. » Chrystèle évitait d’évoquer le fait que son compagnon, Léopold, avait lui aussi gouté au plaisir de se faire prendre. Une seule fois certes mais une fois qui lui avait beaucoup plu. De son côté Léopold évitait de demander à Chrystèle si son programme libertin de l’année incluait de revoir de nouveau leur amant du Cap, Christian, un quadragénaire très viril qui les avait dominé et donné un plaisir inédit à Chrystèle.
Tout en admirant la lourde poitrine de sa compagne, 29 ans, un bon mètre 75 de sensualité, de grandes jambes, s’habiller le matin, Léopold pensait à la soirée à laquelle on les avait convié : La rentrée des salopes. Dress code : écolière. C’était le lendemain qu’ils y étaient conviés et Chrystèle avait acheté pour l’occasion une jupette très mini à carreaux écossais qui cachait à peine son sexe.
« Bienvenue chez Leopardo. » L’homme qui les reçoit ce samedi soir de la première semaine de septembre doit approcher la cinquantaine. Chauve, un peu bedonnant, il possède un donjon dans une maison posée au pied d’un immeuble du Marais. Quand ils font leur entrée dans les lieux, cinq couples sont déjà présents. Et également cinq hommes seuls. Les autres femmes sont également en petite jupette. Couettes ou queues de cheval elles font assaut d’inventivité. Une grande rousse à la peau tachetée de taches de rousseur a même un cartable sur le dos. Chrystèle se contente de sa jupette et d’un chemisier qui laisse apparaître le haut de ses seins.
Le décor est soigné. Chaque femme a sa propre table de travail en format collège. Celui qui se fait maître Leopardo leur demande de s’y asseoir sous le regard égrillard des cinq hommes seuls – trente à cinquante ans – et des cinq maris amusés. « Voyons, une question simple. Qui a gagné la bataille de Trafalgar », interroge le maître, une grande règle en bois dans les mains. Une des femmes ne sait pas répondre. La châtiment est immédiat. Une fessée sur ses genoux. C’est une petite brune aux gros seins et aux hanches épaisses qui s’y colle. Pour un premier châtiment le maître ne la fesse pas très durement mais promets : « Pour la prochaine ce sera plus dur ».
Les questions s’enchainent. Ces dames doivent également venir au tableau noir – tout est prévu – pour les épreuves. C’est enfin le tour de Chrystèle qui s’est littéralement liquéfiée sur sa chaise où ses fesses nues reposent. « Vous allez me dessiner un triangle isocèle. Vous savez ce que c’est ? » Chrystèle n’en a plus aucune idée et se lance dans le dessin d’un triangle qui n’a rien d’isocèle. « Voyons mademoiselle, ce n’est pas sérieux », l’engueule le maître pendant qu’elle pouffe comme ses camarades de classe, décidément très dissipées et bien décidées à être châtiées. « Monsieur le surveillant général. Occupez-vous de Mlle Chrystèle. »Les autres hommes n’avaient pas encore pu participer et celui qui fait office de surveillant général, un grand mec viril approche : « Mlle penchez-vous en avant ». Chrystèle se baisse sur le tableau. Ses fesses apparaissent. Le surgé la pénètre de ses doigts : « Oui c’est bien ce que je pensais. Elle n’a pas de culotte et mouille comme une chienne.
- Faites moi voir », s’approche maître Leopardo, s’introduisant à son tour : « Mais c’est vrai ce que vous dites. Cette chienne est en chaleur. Cinq coups de règles ». Il prend sa règle et inflige à Chrystèle quelques coups pas très marqués. « Revenez à votre place. A Mlle Karine de venir au tableau. » Karine est la belle rousse que Léopold a tout de suite remarqué. « Voyons Mlle Karine, récitez moi "Le lièvre et la tortue. » Elle commence, hésite, se trompe. « Décidément vous êtes toutes aussi nulles que les autres. Vous méritez de véritables châtiments. Nous allons passer à la cave. »La cave c’est une tout autre ambiance. Croix de Saint-André, pilori, multitude de fouets, godemichés, paddle, on se croirait dans un sex shop découvrent les cinq couples. Karine est la première à prendre place sur la croix. Les fesses bien présentées elle est copieusement fouettée par un des maris. Assez petit, Léopold ne l’avait pas remarqué mais avait été surpris de le voir mettre une laisse à sa soumise pour descendre dans la cave.
Juste à côté, Chrsytèle n’en mène pas large mais joue le jeu. Les bras dans le dos, les yeux baissés comme en a intimé l’ordre le maître aux cinq femmes : « Maintenant vous allez être nos esclaves. Nous sommes onze hommes et vous allez nous obéir ». Aucune n’a protesté et elles sont là toutes les quatre, plus Karine sur la croix, à regarder leurs pieds. Très propriétaire, maître Léopard vient flatter leurs seins, s’attarde sur les lourdes poitrines de la petite brune, admire le sexe toujours si bien rasé de Chrystèle, lui fait lever la tête : « Au pilori chienne.
- Oui maître. » Chrystèle a déjà vécu cette expérience et passe doucement la tête et les bras pendant que le maître ferme avec un verrou le pilori. Le spectacle de ses fesses, de son sexe prêt à être pénétré est hallucinant. « Qui la pénètre en premier ? » Les candidats ne manquent pas mais le surveillant général fait jouer son droit de préemption. Il passe devant Chrystèle : « Suce chienne ». Elle obtempère. Elle sait que de sa bouche, de sa langue, dépendra la qualité de l’intromission qu’elle attend depuis longtemps maintenant. Qui arrive. L’homme fait le tour et la prend facilement tant elle est ouverte. Dans le reste du donjon c’est l’orgie. Certaines femmes sont fouettées, d’autres pénétrées. Léopold se fait branler par la belle rousse prise en même temps par un homme tout en en suçant un troisième. Un peu timide au début son mari se décide à se faire sucer par Chrystèle. Qui sent l’homme jouir en elle, dans son préservatif bien sur. « Ah tu m’as eu salope », lâche-t-il.
A peine s’est-il éclipsé que le mari de la belle rousse prend sa place. Chrystèle se fera prendre cette nuit là, plus ou moins longtemps, par les dix hommes. Léopold prendra quant à lui trois femmes. Dont Chrystèle, libéré du pilori, qu’il positionnera plus tard en levrette sur un matelas plus confortable. Maître Leopardo ne prendra quant à lui aucune femme.
« Ca t’a plu ?
- Beaucoup. Il y avait un côté drôle qui changeait des soirées habituelles.
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