RER Magique
Récit érotique écrit par Calinchaud [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-05-2014 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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RER Magique
Enfin une belle journée d’hiver, et je décide d’aller me promener et faire un peu de shopping dans Paris.
Sortir un peu de ma banlieue Sud, certes verdoyante, mais aussi oublier les cours que je donne, et prendre une journée rien qu’à moi.
Moi, la cinquantaine, un peu enrobé du fait de l’âge, mais toujours avec mes yeux verts pétillants et mon sourire de charme.
Vers le milieu de l’après midi, envie de rentrer chez moi, tranquille, et ne voulant pas subir la cohue, je me dirige, serein, vers la Gare de Lyon…..
Un train arrive presque désert, heureusement, et je monte à l’étage où quelques voyageurs sont assis, aussi sereins que moi….
Je me cale dans mon siège, au milieu du compartiment, sans beaucoup de monde autour de moi, et je commence à farfouiller dans mon sac à la recherche de mon livre, pour m’accompagner pendant ce trajet long d’envers 45 minutes.
En levant les yeux, j’aperçois un jeune homme qui montait aussi à l’étage.
Un mec immense, très grand, très mince, presque maigre, 25 ans à peu près… Je ne savais pas trop…. Mais il était fascinant……. Sourire en coin, et un air… de prédateur
Je n’ai pu m’empêcher de le fixer, je me sentais envoûté par ce mec, et son regard… indescriptible avec son sourire en coin…… Je l’ai regardé de haut en bas, toisé, ses yeux, son visage, son corps, son entrejambe… Et j’ai pu constater une bosse, mais, comment dire, une bosse dans son survet assez moulant, qui semblait si proéminente qu’elle en devenait… indécente…… Mes yeux étaient scotchés sur lui, sur ce grand haricot vert, à l’allure si dégingandé et au regard si perçant……
Alors que le wagon était presque vide, il s’est assis devant moi, toujours avec son regard ironique et je ne pouvais pas détacher mon regard sur lui, lui dont le sourire devenait de plus en plus ironique….. L’air de dire…. « Content de mater ?»
Il s’est assis devant moi en écartant les jambes, presque en enserrant les miennes et toujours avec ce regard me fixant profondément….. Il a vu que j’étais gêné, mal à l’aise, ayant devant moi le summum de la virilité absolue, du mâle…..
De plus, quelques instants après, je sentais une odeur particulière dans mes narines
Celle de la testostérone, celle des phéromones… Putain, ce mec sentait le mec à plein nez et j’en avais les odeurs plein le nez, le corps, pire de 100 fioles de Popers ambulant…
Et lui, toujours avec son sourire démoniaque commençait à me scruter, et à se caresser… devant moi… D’un coup, je n’ai plus eu une bosse devant mes yeux, mais une barre de chair, qui grossissait, qui grandissait, pour atteindre une taille exceptionnelle, surtout sa largeur, dépassant tout ce que j’avais pu voir ou supporter en moi….
Putain de mec…. Il fait quoi la…. Il joue, il s’amuse à m’exciter ?
D’un coup, je le vois descendre un peu son jogging, me montrer ses poils drus autour de son sexe d’un diamètre, vraiment, hors du commun. A mon regard exorbité, j’ai pu voir quelques secondes des couilles, lourdes, pendantes, pleines de ce bon sirop d’homme que j’adore…
Une station plus tard, toujours la même fascination et personne dans le compartiment, un regard furtif de sa part autour de nous et sans rien dire, il prit ma main et la posa sur cet objet…. Exceptionnel…
Je n’ai pu m’empêcher de caresser, de vénérer ce membre si viril et ce mec, si extraordinaire……
Enfin un son de sa voix…. Voix de mâle, métallique, mâle sûr de lui….
« Je te veux »
Moi, cinquantenaire, caressant une bite hors norme d’un mec dont j’avais le double de son âge ????
« Pourquoi moi ? »
« Parce que je te veux, parce que je n’aime pas les petits minets incapables de me supporter, et parce que, dès que je suis rentré dans ce train, j’ai vu que tu étais une vraie salope accro aux vrais mecs…. Ok, ça te va comme réponse ? »
« Oui, mais j’ai le double de ton âge…. Ca ne te gène pas ? »
« Non, vraiment pas, bien au contraire….. Tu vis seul ? »
« Oui »
« Tu m’offres un café chez toi ? »
« Un café ou plus que ça ? »
« Je n’ai rien à faire ce soir, à part m’occuper de toi, cet après midi, ce soir et cette nuit…. Ça te va ? »
Que répondre… Ce mec m’avait bouleversé, j’avais trop envie de lui…. Il le savait avec son air macho qui m’avait complètement conquis…
« Je veux une vrai femelle qui encaisse, ok ? J’ai toujours envie de baiser, ok ? J’ai trop de mal avec la taille de ma queue… Tu prends ? Plusieurs fois ? »
Au moins, le problème était posé…….
Le RER arrivait à son terminus….
J’ai plongé mes yeux verts dans les siens et je lui ai pris la main…..
J’allais enfin sortir de ma routine et me donner à un homme….. Exceptionnel…
A bientôt pour la suite….
Sortir un peu de ma banlieue Sud, certes verdoyante, mais aussi oublier les cours que je donne, et prendre une journée rien qu’à moi.
Moi, la cinquantaine, un peu enrobé du fait de l’âge, mais toujours avec mes yeux verts pétillants et mon sourire de charme.
Vers le milieu de l’après midi, envie de rentrer chez moi, tranquille, et ne voulant pas subir la cohue, je me dirige, serein, vers la Gare de Lyon…..
Un train arrive presque désert, heureusement, et je monte à l’étage où quelques voyageurs sont assis, aussi sereins que moi….
Je me cale dans mon siège, au milieu du compartiment, sans beaucoup de monde autour de moi, et je commence à farfouiller dans mon sac à la recherche de mon livre, pour m’accompagner pendant ce trajet long d’envers 45 minutes.
En levant les yeux, j’aperçois un jeune homme qui montait aussi à l’étage.
Un mec immense, très grand, très mince, presque maigre, 25 ans à peu près… Je ne savais pas trop…. Mais il était fascinant……. Sourire en coin, et un air… de prédateur
Je n’ai pu m’empêcher de le fixer, je me sentais envoûté par ce mec, et son regard… indescriptible avec son sourire en coin…… Je l’ai regardé de haut en bas, toisé, ses yeux, son visage, son corps, son entrejambe… Et j’ai pu constater une bosse, mais, comment dire, une bosse dans son survet assez moulant, qui semblait si proéminente qu’elle en devenait… indécente…… Mes yeux étaient scotchés sur lui, sur ce grand haricot vert, à l’allure si dégingandé et au regard si perçant……
Alors que le wagon était presque vide, il s’est assis devant moi, toujours avec son regard ironique et je ne pouvais pas détacher mon regard sur lui, lui dont le sourire devenait de plus en plus ironique….. L’air de dire…. « Content de mater ?»
Il s’est assis devant moi en écartant les jambes, presque en enserrant les miennes et toujours avec ce regard me fixant profondément….. Il a vu que j’étais gêné, mal à l’aise, ayant devant moi le summum de la virilité absolue, du mâle…..
De plus, quelques instants après, je sentais une odeur particulière dans mes narines
Celle de la testostérone, celle des phéromones… Putain, ce mec sentait le mec à plein nez et j’en avais les odeurs plein le nez, le corps, pire de 100 fioles de Popers ambulant…
Et lui, toujours avec son sourire démoniaque commençait à me scruter, et à se caresser… devant moi… D’un coup, je n’ai plus eu une bosse devant mes yeux, mais une barre de chair, qui grossissait, qui grandissait, pour atteindre une taille exceptionnelle, surtout sa largeur, dépassant tout ce que j’avais pu voir ou supporter en moi….
Putain de mec…. Il fait quoi la…. Il joue, il s’amuse à m’exciter ?
D’un coup, je le vois descendre un peu son jogging, me montrer ses poils drus autour de son sexe d’un diamètre, vraiment, hors du commun. A mon regard exorbité, j’ai pu voir quelques secondes des couilles, lourdes, pendantes, pleines de ce bon sirop d’homme que j’adore…
Une station plus tard, toujours la même fascination et personne dans le compartiment, un regard furtif de sa part autour de nous et sans rien dire, il prit ma main et la posa sur cet objet…. Exceptionnel…
Je n’ai pu m’empêcher de caresser, de vénérer ce membre si viril et ce mec, si extraordinaire……
Enfin un son de sa voix…. Voix de mâle, métallique, mâle sûr de lui….
« Je te veux »
Moi, cinquantenaire, caressant une bite hors norme d’un mec dont j’avais le double de son âge ????
« Pourquoi moi ? »
« Parce que je te veux, parce que je n’aime pas les petits minets incapables de me supporter, et parce que, dès que je suis rentré dans ce train, j’ai vu que tu étais une vraie salope accro aux vrais mecs…. Ok, ça te va comme réponse ? »
« Oui, mais j’ai le double de ton âge…. Ca ne te gène pas ? »
« Non, vraiment pas, bien au contraire….. Tu vis seul ? »
« Oui »
« Tu m’offres un café chez toi ? »
« Un café ou plus que ça ? »
« Je n’ai rien à faire ce soir, à part m’occuper de toi, cet après midi, ce soir et cette nuit…. Ça te va ? »
Que répondre… Ce mec m’avait bouleversé, j’avais trop envie de lui…. Il le savait avec son air macho qui m’avait complètement conquis…
« Je veux une vrai femelle qui encaisse, ok ? J’ai toujours envie de baiser, ok ? J’ai trop de mal avec la taille de ma queue… Tu prends ? Plusieurs fois ? »
Au moins, le problème était posé…….
Le RER arrivait à son terminus….
J’ai plongé mes yeux verts dans les siens et je lui ai pris la main…..
J’allais enfin sortir de ma routine et me donner à un homme….. Exceptionnel…
A bientôt pour la suite….
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
vite ,la suite ,c'est super !
oui ah bientôt car il manque l essentiel le hot
il y en a qui ont de la chance
raconte nous vite la suite