Rescapées des seventies, suite
Récit érotique écrit par Theo-kosma [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-03-2019 dans la catégorie Pour la première fois
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Rescapées des seventies, suite
Rescapées des seventies, suite
Résumé : une fille raconte son initiation sexuelle particulièrement crue.
— Du cul très maladroit je suppose.
— Oui, du banal, du plan-plan. D’ailleurs, entre le déshabillage et l’éjaculation il était rare qu’on dépasse les cinq minutes ! On a dû prendre les rênes.
— Vous aviez une vraie maturité alors. Si tu savais le nombre de filles qui se laissent troncher en position étoile de mer, jamais conscientes qu’elles pourraient agir elles aussi !
— On n’était pas exceptionnelles non plus. Ceci dit, on a pris des initiatives. Apaiser les ardeurs du garçons, le faire s’arrêter, reprendre… On s’est transformées en véritables éducatrices sexuelles. À l’adolescence on est redevenues sages, limite chastes. Pendant des années ! Moi surtout, ma sœur un peu moins.
— Besoin de vivre ce que vous auriez dû vivre à vos treize ans ?
— Oui, vivre le flirt, et pas le sexe ! À l’âge adulte on a tout réappris. On a tout remis à zéro, comme s’il ne s’était rien passé avant. J’ai eu mon premier amour, et j’ai, si j’ose dire, reperdu ma virginité.
— C’est ce que tu as raconté à ton partenaire ?
— Disons que j’ai menti par omission. Ça a failli marcher… Seulement vers la moitié de l’acte, j’ai pas pu m’empêcher de faire des mouvements du bassin et je me suis mise à tout contrôler. J’ai retardé son éjaculation, ai allongé la durée du rapport, la profondeur… Techniquement c’était super réussi, n’empêche qu’il s’est aperçu que niveau coups, j’en étais plus à mon millième qu’à mon premier. Ça a jeté un froid. En fait notre relation s’est achevée pas longtemps après, alors que lui comme moi avions ressenti beaucoup de plaisir et qu’en plus on s’aimait. Il a pas supporté ! Les garçons sont encore plus incompréhensibles que nous. D’autant qu’il n’aurait pas autant joui s’il avait été mon premier garçon, vu qu’il a profité de mon expérience.
— Tout ça pour une bête histoire d’ego ! Les mecs supportent pas la concurrence, ni le fait de perdre le contrôle. On peut les diriger, seulement il faut le faire en leur faisant croire que c’est eux qui dirigent. Ils demandent une vraie manipulation d’homme politique.
— Trop compliqué pour ma pomme. Avec ma sœur on a été élevées dans la simplicité. Je cherche des gens simples et vrais.
— Tu dois plus beaucoup coucher alors.
— Bien moins qu’avant, aucun doute. Mieux vaut être peu entourée mais bien entourée.
— J’en connais qui tiennent à être très entourées, qu’elles le soient bien ou mal. Tu aurais voulu ne pas connaître le sexe aussi jeune, finalement ?
— Le sexe a tendance à gâcher bien des relations. En fait, la plupart de mes copains d’enfance m’ont beaucoup baisée, autant pour ma sœur. Quand on a arrêté de se laisser sauter à tout-va, beaucoup se sont éloignés. Quand il n’y avait pas de sexe avec eux on s’adorait tous, on passait des heures à vadrouiller, jouer, se raconter des histoires. Le cul a comme… détruit quelque chose.
— Le monde est cruel.
— Et les garçons sont des cons !
— Ils respectent pas celle qui se donne trop facilement… alors qu’ils devraient plutôt être reconnaissants envers toi et ta sœur.
— Nous on le voyait comme un jeu, rien de plus.
— Tandis qu’eux se faisaient messes basses, défis et paris à votre sujet.
— Tu crois ?
— C’est évident. Les défis, c’est très mec. Du genre, chiche que je la fais mouiller plus que toi, que j’arrive à la baiser mieux, la faire gémir plus fort, l’attraper dans telle position que toi t’arrives pas à tenir… Ils ont dû se faire enrager les uns les autres. Avec certains une fois que tu couches tu n’es plus qu’un trou. Ou trois trous, à la rigueur. Le sexe leur fait péter les plombs.
— Si tu savais comme la gent masculine m’a déçue…— Il y a eu beaucoup de tensions entre ta sœur et toi ?
— Plus ou moins, parce qu’on a pas accordé nos violons en même temps. Il y a une période où elle continuait à coucher pendant que j’étais sage.
— Elle a dû recevoir double dose alors.
— Oui, elle a reçu à ma place les baises que j’ai refusées. Aujourd’hui, on est redevenues complices. Depuis qu’il n’y a plus de garçons entre nous !
Un nouvel épisode de « Dialogues Interdits » chaque samedi à partir de 7 H.
Résumé : une fille raconte son initiation sexuelle particulièrement crue.
— Du cul très maladroit je suppose.
— Oui, du banal, du plan-plan. D’ailleurs, entre le déshabillage et l’éjaculation il était rare qu’on dépasse les cinq minutes ! On a dû prendre les rênes.
— Vous aviez une vraie maturité alors. Si tu savais le nombre de filles qui se laissent troncher en position étoile de mer, jamais conscientes qu’elles pourraient agir elles aussi !
— On n’était pas exceptionnelles non plus. Ceci dit, on a pris des initiatives. Apaiser les ardeurs du garçons, le faire s’arrêter, reprendre… On s’est transformées en véritables éducatrices sexuelles. À l’adolescence on est redevenues sages, limite chastes. Pendant des années ! Moi surtout, ma sœur un peu moins.
— Besoin de vivre ce que vous auriez dû vivre à vos treize ans ?
— Oui, vivre le flirt, et pas le sexe ! À l’âge adulte on a tout réappris. On a tout remis à zéro, comme s’il ne s’était rien passé avant. J’ai eu mon premier amour, et j’ai, si j’ose dire, reperdu ma virginité.
— C’est ce que tu as raconté à ton partenaire ?
— Disons que j’ai menti par omission. Ça a failli marcher… Seulement vers la moitié de l’acte, j’ai pas pu m’empêcher de faire des mouvements du bassin et je me suis mise à tout contrôler. J’ai retardé son éjaculation, ai allongé la durée du rapport, la profondeur… Techniquement c’était super réussi, n’empêche qu’il s’est aperçu que niveau coups, j’en étais plus à mon millième qu’à mon premier. Ça a jeté un froid. En fait notre relation s’est achevée pas longtemps après, alors que lui comme moi avions ressenti beaucoup de plaisir et qu’en plus on s’aimait. Il a pas supporté ! Les garçons sont encore plus incompréhensibles que nous. D’autant qu’il n’aurait pas autant joui s’il avait été mon premier garçon, vu qu’il a profité de mon expérience.
— Tout ça pour une bête histoire d’ego ! Les mecs supportent pas la concurrence, ni le fait de perdre le contrôle. On peut les diriger, seulement il faut le faire en leur faisant croire que c’est eux qui dirigent. Ils demandent une vraie manipulation d’homme politique.
— Trop compliqué pour ma pomme. Avec ma sœur on a été élevées dans la simplicité. Je cherche des gens simples et vrais.
— Tu dois plus beaucoup coucher alors.
— Bien moins qu’avant, aucun doute. Mieux vaut être peu entourée mais bien entourée.
— J’en connais qui tiennent à être très entourées, qu’elles le soient bien ou mal. Tu aurais voulu ne pas connaître le sexe aussi jeune, finalement ?
— Le sexe a tendance à gâcher bien des relations. En fait, la plupart de mes copains d’enfance m’ont beaucoup baisée, autant pour ma sœur. Quand on a arrêté de se laisser sauter à tout-va, beaucoup se sont éloignés. Quand il n’y avait pas de sexe avec eux on s’adorait tous, on passait des heures à vadrouiller, jouer, se raconter des histoires. Le cul a comme… détruit quelque chose.
— Le monde est cruel.
— Et les garçons sont des cons !
— Ils respectent pas celle qui se donne trop facilement… alors qu’ils devraient plutôt être reconnaissants envers toi et ta sœur.
— Nous on le voyait comme un jeu, rien de plus.
— Tandis qu’eux se faisaient messes basses, défis et paris à votre sujet.
— Tu crois ?
— C’est évident. Les défis, c’est très mec. Du genre, chiche que je la fais mouiller plus que toi, que j’arrive à la baiser mieux, la faire gémir plus fort, l’attraper dans telle position que toi t’arrives pas à tenir… Ils ont dû se faire enrager les uns les autres. Avec certains une fois que tu couches tu n’es plus qu’un trou. Ou trois trous, à la rigueur. Le sexe leur fait péter les plombs.
— Si tu savais comme la gent masculine m’a déçue…— Il y a eu beaucoup de tensions entre ta sœur et toi ?
— Plus ou moins, parce qu’on a pas accordé nos violons en même temps. Il y a une période où elle continuait à coucher pendant que j’étais sage.
— Elle a dû recevoir double dose alors.
— Oui, elle a reçu à ma place les baises que j’ai refusées. Aujourd’hui, on est redevenues complices. Depuis qu’il n’y a plus de garçons entre nous !
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