Responsable des visites

- Par l'auteur HDS Baiserjouir -
Auteur homme.
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Récit libertin : Responsable des visites Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-12-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(7.0 / 10)

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Responsable des visites
Ils m'ont donné un titre ; responsable des visites dans la région. Je dois guider des
personnes en petit groupe de Nîmes à Carcassonne, de l'antique à l'ancien. Mes groupes
se composent à ma demande de deux personnes au maximum. L’idéal est un couple, un vrai
homme et femme. Ma foi en cas de couple homo ou lesbien je prends sans problème. La
vie privée des gens ne me regarde pas. J'ai un faible pour les jeunes femmes unies par
un tendre sentiment. Mes clients payent assez cher pour être chouchoutés. Accueil le
premier matin dans un hôtel de premier choix à Montpellier centre. Je fais la
connaissance de mes clients en prenant un petit déjeuner. Je suis calme, je prend mon
temps pour les déstresser. Une promenade au centre ville en passant par l'inévitable
place de la Comédie, les inévitable Graces ( j'oublie de leur dire qu'il s'agit de
copie pour ne pas les décourager). Après les mitraillages de la façade du théâtre,
pardon de l'opéra, les batteries de appareils en ont prit un bon coup. Nous prenons le
tram à hirondelles pour aller vers la Place Albert I°. Et enfin nous prenons notre
dromadaire : une Ciroën C6.
Nous allons d'abord vers Sète. Ville portuaire magique, surtout en été. J'y connais
d'excellents oasis. En front de mer, qui outre le paysage offre des repas
gastronomiques à base de poisons, fruits de mer et autres encornets. Les prix sont
doux pour les clients ( j'ai ma commission à part, même si je paye aussi comme les
autres.(mon portefeuille gonfle de jolis billets à la fin de chaque mois, mais
chut...) Les vins blancs rosés ou rouges du pays du Languedoc font des miracles. Après
un court instant de presque sieste mes touristes sont en forme pour la suite. Il faut
bien dire qu'un plat d'encornets farcis avec les déchets des bestiole, accompagné d'un
belle sauce de rouille régale les gens. Un mort n'y résisterait pas une seconde.
Pour digérer il ne faut pas hésiter à suivre les plage de Frontignan, en laissant la
voiture garée pas loin du rivage. Tous mes clients , homme, jeunes filles ou femmes
accomplies, tous font la même chose : pieds nus sur le sable fin. Je le regarde de
loin pour ne pas me faire éclabousser par jeux communs. Mes accompagnés adorent se
conduire comme de gamins. Certains sont littéralement trempés. Il faut que j'ouvre la
malle, sorte la valise de l'impétrant, la pose pour qu'il la fouille avant de trouver
un sous vêtement adapté. Une jupe ou un pantalon n'est jamais de refus.
J'en ai vu de sexe de toutes formes, long et gros ou court est trapu pour les hommes,
des chattes rasées bombées brunie souvent et des chattes avec barbes, celle qui
gardent un part de mystère. Au grand jamais personne ne se demandait si j'étais gêné.
J'en avait vue tellement que même un phénomène n'aurait pas attiré mon attention plus
que ça. Blasé, voilà le mot, j'étais blasé pendant mon travail. Après là c'était autre
chose qui m'appartenait en propre.
Pour les dégeler complètement la direction suivant leur allait fort bien. Je connais
en endroit très à l'abri du vent, de la fraîcheur dans une crique oubliée pas loin
d'Agde. Mon invitation à être nu est acceptée avec joie.
Là j'ai vu les corps divins ou au contraire à définitivement condamner les hommes. Le
plus singulier quand un couple, elle assez petite, aux siens tombant lui avec une bite
longue, faisant un drôle de ménage avec des couilles inexistantes. Elle la fait
bander. Je regardais ce sexe se lever, le gland sortant de la cachette du prépuce. La
main prenait la queue en l'entourant calmement, la secouait de haut en bas avant de
l'avaler. Si elle se masturbait sans pudeur devant moi, elle jouissait quand elle
avalait la semence.
Le plus souvent, les couples s'aimaient devant moi. Des fois je bandais en me cachant
dans la voiture. Deux copains s'offraient un voyage d'agrément. Le plus âgé était
appuyé les fesses sur la malle de la voiture. L'autre, le giton venait lui prêter
l'anus. Je regardais intéressé ce qu'ils faisaient. Il était penché légèrement en
avant, se tenait les fesses, les gardait ainsi toute la durée de la sodomie. Il se
faisait mettre avec plaisir, surtout que sa queue était prisonnière de la main de
l'amant. Il était à la fois enculé et branlé. Je voyais son jet de sperme partir vers
la mer. J'étais troublé par cette vision assez rare pour moi.
Je l'étais moins quand deux filles s'amusaient à jouer au papa et la maman. C'était
deux nanas d'une trentaine d'années. Dès le départ elles montraient leur préférence.
Tant l'une que l'autre elles s'embrassaient sur la bouche. Pendant le voyage, la plus
« masculine » des deux tenait à peloter l'autre qui ne demandait pas mieux. Elle
posait sa cuisse sur celle de l'amie. La main de son amante venait vite entre les deux
jambes à la recherche du sexe. Visiblement les deux avaient l'habitude. Je voyais, en
bandant, la main sur la chatte de l'autre qui caresser exactement où je ne pouvais que
le deviner. A voir le visage de la fille je voyais bien qu'elle jouissait. Si j'avais
pu je me serais mis entre les deux pour les branler à ma façon : une main sur le con
et l'autre au cul.
Sortant de la crique ma route les menait vers Béziers où après la visite de l'ancien
cathédrale, nous filions sur Minerve et ses souvenirs cathares. Pour nous trouver dans
le lit de la rivière, sous une voûte naturelle. Cet endroit, à l'abri de tout regard
donnait des idées salaces. Un couple particulièrement dévoyé depuis le début en était
à sa énième masturbation mutuelle, surtout en pleine ville. Ils sortaient presque nus
de la voiture allait se promener vers la lumière. En plein soleil, ils offraient leurs
enlacement à l'astre. Lui la baisait tranquillement quand elle se tournait pour lui
donner ses fesses. Il devait se coucher, elle venait sur lui. Je voyais tout, surtout
quand elle se laissait aller vers le pieux pour le mettre juste dans le fond de l'anus
qui s'ouvrait facilement. Elle restait penchée en arrière les main sur les jambes de
l'amant, la bouche ouverte en criant son plaisir. Ils revenaient vers moi presque nus,
elle satisfaite de la sodomie. Dans la voiture, encore elle prenant la main de son
homme pour la poser sur la chatte. La masturbation qui suivait devait lui suffire.
La fin du voyage, à Carcassonne, après une visite des remparts, se terminait vers le
canal du midi, dans un petit bistro, près d'une écluse, réservé par mes soins. Je me
permettais de faire une petite démonstration de mon savoir faire avec les dames, même
si rarement je recevais un refus poli.
Je priais les participant à être nus pour montrer les avantages des filles. J'aimais
voir les bites bander pendant que je pénétrais les culs ou les cons de leurs
compagnes. J'ai en mémoire une fille brunes aux yeux bleu. Et dotée de fesses
merveilleuses. Son bas ventre attirait les regards tellement elle semblait baisable.
Il me semblait la voir mouiller quand un homme la regardait de trop près. Je l'avais
surprise quand, assise dans le voiture, elle passait sa main sous la jupe pour
atteindre le point sublime. Son regard devenait vitreux juste au moment de l'orgasme.
Cette fille voulait jouir à sa façon: il lui fallait deux hommes au moins pour la
satisfaire. Elle prenait la bite de son copain dans la bouche, le léchait avant de
prendre une autre queue dans le ventre. Joli tableau érotique, sauf qu'il lui en
fallait une autre. Elle tenait la dernière queue dans sa main, la branlait un peu
avant de la conduire dans l'anus où d'elle même elle la faisait entrer. Elle se
contorsionnait pour être bien enculée.
Des fois des voisins, hommes ou souvent femmes venaient d'encanailler. La partouze
finale mêlait n'importe qui avec n'importe qui. Les plus chaudes restaient quand même
les voisines avec leur copains. Combien de litres de cyprine et de sperme dépensé ces
nuits là.

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