Restauration 2
Récit érotique écrit par Ethelrede [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-06-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Restauration 2
- Pfou… Quel pied, ma Juju… Je n’avais jamais joui aussi fort de toute ma vie ! C’est trop bon.
- Moi, non plus, Clo, c’est la première fois. Et il faut que ce soit avec une femme, ma meilleure amie, qui plus est… Je ne me reconnais pas… plus.
- N’empêche…
- Tu as aimé ?
- Ah, ça… follement. Je crois que je recommencerai…
- Avec moi ?
- Si tu veux bien, oui, ma Juju… Oui, pour toi, je le referai toujours. Dis, ça fait longtemps que tu n’avais pas fait l’amour ? Tu le fais souvent avec Norbert ?
- Je ne sais pas… Pas trop…
- Tous les jours ? Toutes les semaines ?
- Nan…
- Tous les mois ?
- Heuh… je ne crois pas…
- Juju, ne tournons pas autour du pot, tu veux que je te dise ? Ça fait douze ans que Norbert et toi, vous n’avez plus baisé.
- Non !
- Si ma chérie. Douze ans… Douze ans que, quand il avait envie de te donner du plaisir, tu restais de marbre… Il tentait de te caresser, de t’allumer un peu, puis renonçait.
- Mais non, c’est des âneries.
- Ma chérie, Norbert me l’a dit…
- Quoi ? Tu as parlé de nos histoires de cul avec mon mari ?
Justine est atterrée, partagée entre tristesse, et colère. Le doute aussi s’insinue. Chloé lui caresse toujours la main avec douceur. La question qui brûle les lèvres de Justine fuse, finalement :
- Tu couches donc avec Norbert, c’est bien ça ?
Éclat de rire, Clo embrasse amoureusement son amie en lui caressant tendrement la joue et les seins.
- Tu y tiens, hein ! Alors sors-toi ça de la tête. Ton homme, il est toujours amoureux fou de toi, il ne t’a jamais trompée et ne le fera jamais, point barre. Quant à moi, tu m’imagines tromper Henri, mon homme, mon chéri ?
- Mais il est parti… c’est illogique.
La tension est remontée, Chloé se dit qu’elle va devoir lâcher un peu plus de lest si elle veut y arriver. Elle donne quelques explications : elle voit Norbert de temps en temps au super marché. Un jour elle l’a invité à prendre un verre chez elle. Il a fini par vider son sac, elle sait tout.
- C’est quand il a été opéré de son cancer de la prostate que tout a basculé, ma chérie.
- C’est vrai, ce fut une terrible mutilation. Depuis il ne bande plus…
- En fait, il aurait sans doute pu retrouver des érections naturelles. Mais il me disait que tu souffres terriblement dans ta chair de ne plus le voir exprimer son désir spontanément, sans recourir à ses injections.
- C’est vrai… Le voir se piquer la verge, ça me fait sentir qu’il ne me désire pas…
- Erreur ! Il est chaud bouillant de désir pour toi. Mais se sentir repoussé chaque fois qu’il tente de te faire explorer d’autres modes de sexualité a bloqué en lui le retour des érections naturelles.
- Et c’était une raison pour partir ?
- Non. Veux-tu savoir pourquoi il est parti ? Vraiment ? Alors voilà : il t’aime comme un fou, son obsession, c’est de te voir heureuse. Mais là, depuis plusieurs années, il te voit t’étioler, devenir terne, grise, sans un sourire, pas un éclat de rire dans la maison… Alors, il a compris que tu ne pourrais plus jamais être heureuse auprès de lui. Alors, la mort dans l’âme, il t’a fait le tout dernier cadeau qu’il avait la possibilité de te faire, pour ton bonheur : partir.
- Il est fou…
- Oui, de toi ! Écoute, j’ai une idée.
S’ensuit un long blabla entrecoupé de baisers langoureux, puis les deux amies s’enlacent, se frottent voluptueusement pubis contre pubis, haletantes, jusqu’à jouir très doucement, presque sans bruit, tout en en s’embrassant et se serrant fort. Elles s’endorment ainsi, épuisées, heureuses.
Henri et Chloé ont invité Norbert pour un barbecue piscine, ce samedi. La météo est bonne. Alors, après ses courses, il a tout rangé, a pris un maillot de bain et une serviette et s’est mis en route. Pour une fois il n’est pas maussade : cette sortie le revigore et, en plus, Chloé a invité ses enfants, il les voit si peu…
Il arrive avec des fleurs et une bouteille de champagne sortie de son réfrigérateur. Chloé qui vient le débarrasser de tout cela lui plaque un gros baiser… sur les lèvres !
- Oh ! Pardon Norbert ! Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête… désolée.
- Oh, ce n’était pas si désagréable que ça… Moi, je ne suis pas désolé !
Étrange. Cette décharge électrique ressentie au contact de ces lèvres, lui a fait sentir aussi un trouble dans son ventre, vers la bas…
Anne entre à ce moment, suivie de sa compagne. Elle referme la porte et embrasse son père ; Lucie l’enlace avec un air d’ogresse et le serre fort contre elle.
- Comment va mon beau-père adoré ?
- Aussi bien que ma belle belle-fille bien aimée ! Vous avez l’air aux anges, Anne et toi ! Je suis tellement heureux !
- Oui, tu peux. Nous annoncerons une jolie nouvelle, tout à l’heure…
Arnaud arrive ensuite, accompagné de Lucia. Embrassades. Lucie vient enlacer Lucia et lui roule carrément un baiser goulu, devant Anne et Arnaud, blasés, il est vrai.
- Moi, je suis jalouse d’Arnaud, il a une copine trop jolie, carrément explosive ! Elle est la fille de l’Etna et du Stromboli…
- Hé, tu avais qu’à ne pas me pousser dans ses bras, ma chérie…
Tout le monde rigole de bon cœur. Chloé vient saluer Arnaud et les nouvelles arrivantes et, comme elle l’a fait pour Norbert, tout le monde a droit à son gros baiser appuyé sur les lèvres… Échange de regards, légère incompréhension… Quel type de barbecue ont-ils donc prévu ?
L’apéro avance, les langues vont bon train. On discute, on blague, on dit beaucoup de bêtises, on en fait un peu aussi ! Lucie a pris Lucia dans un coin de la piscine et l’embrasse voluptueusement, ce qui met Anne un peu mal à l’aise ; Henri essaie de la faire rire un peu, sans succès. Alors Chloé l’enlace et lui dit un mot à l’oreille ; petit oui de la tête. Long baiser entre les deux femmes, Chloé caressant outrancièrement les seins d’Anne. Une harpie sort de l’eau et se plante devant les deux, poings sur les hanches, œil noir.
Anne la regarde, lui sourit tendrement. "Ah, tu es là, mon amour ! Viens m’embrasser"… Lucie se le tient pour dit ! Elle reprend son verre de Perrier citron avec la petite moue de celle qui a été prise la main dans le pot de confiture !
Au troisième apéro, petit coup de sonnette. Justine entre. Elle porte un magnifique maillot de bain deux pièces, genre minimaliste, balconnet mettant en valeur sa magnifique poitrine. Pas un bonjour, pas un mot. Elle va tout droit vers le transat sur lequel est vautré Norbert. S’agenouille sur l’herbe devant lui, lui prend les deux mains :
- Mon amour, j’ai été nulle, égoïste et jalouse envers toi, je te demande pardon, pardon, pardon. Je n’ai pas compris qu’en partant, tu cherchais encore une fois mon bonheur. Si tu le peux encore, si tu le veux, reviens, je t’en supplie…
Elle éclate en sanglot et s’effondre sur sa poitrine, hoquetant et l’inondant de ses larmes. Tout doux, Norbert l’enlace et lui distille dans le cou, de tendres paroles.
- Là, là, ma belle chérie, je t’ai entendue… Ne pleure pas, je t’aime.
Justine relève son joli visage déformé par ses pleurs et le regarde avec incrédulité : sous son coude, là, tandis qu’elle pleurait, elle a senti une excroissance qui enflait rapidement… Avec fébrilité, elle vérifie, écarte le tissu du maillot et prend dans sa bouche cet objet de désir qu’elle a tant négligé pendant trop de temps. Elle laisse aller ses lèvres au gré de son désir tout le long du pieu de chair tout en faisant à son mari des œillades dépourvues de toute équivoque. Lorsqu’elle juge enfin que le fut du canon est suffisamment chargé, elle pointe la pièce vers le ciel, enjambe le transat et se laisse descendre dessus avec un gloussement de bonheur. Norbert n’en croit pas ses yeux : l’urologue qui l’avait opéré lui avait bien, dit : cela peut revenir à tout moment, il suffit d’être patient et d’y croire !
Justine laisse monter sa joie, son bonheur vers le ciel en un cri de jouissance qui porte Norbert aux nues : il atteint son orgasme à ce moment, son premier depuis plus de douze ans !
Quand ils regardent enfin autour d’eux, tous les couples sont en train de faire l’amour ! Justine se lève et va auprès de Chloé et Henri, très occupés. Embrasse langoureusement son amie en lui caressant la poitrine, lui murmure :
- Tu as fait du bon boulot, ma chérie, je t’adore
Passage à table une fois que tout le monde a achevé son dur labeur… Et avant d’attaquer les grillades tandis que les verres se remplissent, Lucie lève son Perrier citron :
- Alors voilà, Anne et moi avons décidé d’avoir un enfant… et… c’est en route, Justine, Norbert, vous allez être grands-parents.
Brouhaha, applaudissements, émotion… Quelques larmes coulent au passage. Toujours pratique, Chloé interroge :
- Bébé éprouvette ?
- En fait non… Heuh… on s’est demandé comment avoir un bébé qui soit à la fois de mon sang et de celui d’Anne…Heuh, Arnaud est jumeau de ma belle…n’est-ce pas ? Nous… nous avons trouvé une formule… heuh… satisfaisante et naturelle.
- Moi, non plus, Clo, c’est la première fois. Et il faut que ce soit avec une femme, ma meilleure amie, qui plus est… Je ne me reconnais pas… plus.
- N’empêche…
- Tu as aimé ?
- Ah, ça… follement. Je crois que je recommencerai…
- Avec moi ?
- Si tu veux bien, oui, ma Juju… Oui, pour toi, je le referai toujours. Dis, ça fait longtemps que tu n’avais pas fait l’amour ? Tu le fais souvent avec Norbert ?
- Je ne sais pas… Pas trop…
- Tous les jours ? Toutes les semaines ?
- Nan…
- Tous les mois ?
- Heuh… je ne crois pas…
- Juju, ne tournons pas autour du pot, tu veux que je te dise ? Ça fait douze ans que Norbert et toi, vous n’avez plus baisé.
- Non !
- Si ma chérie. Douze ans… Douze ans que, quand il avait envie de te donner du plaisir, tu restais de marbre… Il tentait de te caresser, de t’allumer un peu, puis renonçait.
- Mais non, c’est des âneries.
- Ma chérie, Norbert me l’a dit…
- Quoi ? Tu as parlé de nos histoires de cul avec mon mari ?
Justine est atterrée, partagée entre tristesse, et colère. Le doute aussi s’insinue. Chloé lui caresse toujours la main avec douceur. La question qui brûle les lèvres de Justine fuse, finalement :
- Tu couches donc avec Norbert, c’est bien ça ?
Éclat de rire, Clo embrasse amoureusement son amie en lui caressant tendrement la joue et les seins.
- Tu y tiens, hein ! Alors sors-toi ça de la tête. Ton homme, il est toujours amoureux fou de toi, il ne t’a jamais trompée et ne le fera jamais, point barre. Quant à moi, tu m’imagines tromper Henri, mon homme, mon chéri ?
- Mais il est parti… c’est illogique.
La tension est remontée, Chloé se dit qu’elle va devoir lâcher un peu plus de lest si elle veut y arriver. Elle donne quelques explications : elle voit Norbert de temps en temps au super marché. Un jour elle l’a invité à prendre un verre chez elle. Il a fini par vider son sac, elle sait tout.
- C’est quand il a été opéré de son cancer de la prostate que tout a basculé, ma chérie.
- C’est vrai, ce fut une terrible mutilation. Depuis il ne bande plus…
- En fait, il aurait sans doute pu retrouver des érections naturelles. Mais il me disait que tu souffres terriblement dans ta chair de ne plus le voir exprimer son désir spontanément, sans recourir à ses injections.
- C’est vrai… Le voir se piquer la verge, ça me fait sentir qu’il ne me désire pas…
- Erreur ! Il est chaud bouillant de désir pour toi. Mais se sentir repoussé chaque fois qu’il tente de te faire explorer d’autres modes de sexualité a bloqué en lui le retour des érections naturelles.
- Et c’était une raison pour partir ?
- Non. Veux-tu savoir pourquoi il est parti ? Vraiment ? Alors voilà : il t’aime comme un fou, son obsession, c’est de te voir heureuse. Mais là, depuis plusieurs années, il te voit t’étioler, devenir terne, grise, sans un sourire, pas un éclat de rire dans la maison… Alors, il a compris que tu ne pourrais plus jamais être heureuse auprès de lui. Alors, la mort dans l’âme, il t’a fait le tout dernier cadeau qu’il avait la possibilité de te faire, pour ton bonheur : partir.
- Il est fou…
- Oui, de toi ! Écoute, j’ai une idée.
S’ensuit un long blabla entrecoupé de baisers langoureux, puis les deux amies s’enlacent, se frottent voluptueusement pubis contre pubis, haletantes, jusqu’à jouir très doucement, presque sans bruit, tout en en s’embrassant et se serrant fort. Elles s’endorment ainsi, épuisées, heureuses.
Henri et Chloé ont invité Norbert pour un barbecue piscine, ce samedi. La météo est bonne. Alors, après ses courses, il a tout rangé, a pris un maillot de bain et une serviette et s’est mis en route. Pour une fois il n’est pas maussade : cette sortie le revigore et, en plus, Chloé a invité ses enfants, il les voit si peu…
Il arrive avec des fleurs et une bouteille de champagne sortie de son réfrigérateur. Chloé qui vient le débarrasser de tout cela lui plaque un gros baiser… sur les lèvres !
- Oh ! Pardon Norbert ! Je ne sais pas ce qui m’est passé par la tête… désolée.
- Oh, ce n’était pas si désagréable que ça… Moi, je ne suis pas désolé !
Étrange. Cette décharge électrique ressentie au contact de ces lèvres, lui a fait sentir aussi un trouble dans son ventre, vers la bas…
Anne entre à ce moment, suivie de sa compagne. Elle referme la porte et embrasse son père ; Lucie l’enlace avec un air d’ogresse et le serre fort contre elle.
- Comment va mon beau-père adoré ?
- Aussi bien que ma belle belle-fille bien aimée ! Vous avez l’air aux anges, Anne et toi ! Je suis tellement heureux !
- Oui, tu peux. Nous annoncerons une jolie nouvelle, tout à l’heure…
Arnaud arrive ensuite, accompagné de Lucia. Embrassades. Lucie vient enlacer Lucia et lui roule carrément un baiser goulu, devant Anne et Arnaud, blasés, il est vrai.
- Moi, je suis jalouse d’Arnaud, il a une copine trop jolie, carrément explosive ! Elle est la fille de l’Etna et du Stromboli…
- Hé, tu avais qu’à ne pas me pousser dans ses bras, ma chérie…
Tout le monde rigole de bon cœur. Chloé vient saluer Arnaud et les nouvelles arrivantes et, comme elle l’a fait pour Norbert, tout le monde a droit à son gros baiser appuyé sur les lèvres… Échange de regards, légère incompréhension… Quel type de barbecue ont-ils donc prévu ?
L’apéro avance, les langues vont bon train. On discute, on blague, on dit beaucoup de bêtises, on en fait un peu aussi ! Lucie a pris Lucia dans un coin de la piscine et l’embrasse voluptueusement, ce qui met Anne un peu mal à l’aise ; Henri essaie de la faire rire un peu, sans succès. Alors Chloé l’enlace et lui dit un mot à l’oreille ; petit oui de la tête. Long baiser entre les deux femmes, Chloé caressant outrancièrement les seins d’Anne. Une harpie sort de l’eau et se plante devant les deux, poings sur les hanches, œil noir.
Anne la regarde, lui sourit tendrement. "Ah, tu es là, mon amour ! Viens m’embrasser"… Lucie se le tient pour dit ! Elle reprend son verre de Perrier citron avec la petite moue de celle qui a été prise la main dans le pot de confiture !
Au troisième apéro, petit coup de sonnette. Justine entre. Elle porte un magnifique maillot de bain deux pièces, genre minimaliste, balconnet mettant en valeur sa magnifique poitrine. Pas un bonjour, pas un mot. Elle va tout droit vers le transat sur lequel est vautré Norbert. S’agenouille sur l’herbe devant lui, lui prend les deux mains :
- Mon amour, j’ai été nulle, égoïste et jalouse envers toi, je te demande pardon, pardon, pardon. Je n’ai pas compris qu’en partant, tu cherchais encore une fois mon bonheur. Si tu le peux encore, si tu le veux, reviens, je t’en supplie…
Elle éclate en sanglot et s’effondre sur sa poitrine, hoquetant et l’inondant de ses larmes. Tout doux, Norbert l’enlace et lui distille dans le cou, de tendres paroles.
- Là, là, ma belle chérie, je t’ai entendue… Ne pleure pas, je t’aime.
Justine relève son joli visage déformé par ses pleurs et le regarde avec incrédulité : sous son coude, là, tandis qu’elle pleurait, elle a senti une excroissance qui enflait rapidement… Avec fébrilité, elle vérifie, écarte le tissu du maillot et prend dans sa bouche cet objet de désir qu’elle a tant négligé pendant trop de temps. Elle laisse aller ses lèvres au gré de son désir tout le long du pieu de chair tout en faisant à son mari des œillades dépourvues de toute équivoque. Lorsqu’elle juge enfin que le fut du canon est suffisamment chargé, elle pointe la pièce vers le ciel, enjambe le transat et se laisse descendre dessus avec un gloussement de bonheur. Norbert n’en croit pas ses yeux : l’urologue qui l’avait opéré lui avait bien, dit : cela peut revenir à tout moment, il suffit d’être patient et d’y croire !
Justine laisse monter sa joie, son bonheur vers le ciel en un cri de jouissance qui porte Norbert aux nues : il atteint son orgasme à ce moment, son premier depuis plus de douze ans !
Quand ils regardent enfin autour d’eux, tous les couples sont en train de faire l’amour ! Justine se lève et va auprès de Chloé et Henri, très occupés. Embrasse langoureusement son amie en lui caressant la poitrine, lui murmure :
- Tu as fait du bon boulot, ma chérie, je t’adore
Passage à table une fois que tout le monde a achevé son dur labeur… Et avant d’attaquer les grillades tandis que les verres se remplissent, Lucie lève son Perrier citron :
- Alors voilà, Anne et moi avons décidé d’avoir un enfant… et… c’est en route, Justine, Norbert, vous allez être grands-parents.
Brouhaha, applaudissements, émotion… Quelques larmes coulent au passage. Toujours pratique, Chloé interroge :
- Bébé éprouvette ?
- En fait non… Heuh… on s’est demandé comment avoir un bébé qui soit à la fois de mon sang et de celui d’Anne…Heuh, Arnaud est jumeau de ma belle…n’est-ce pas ? Nous… nous avons trouvé une formule… heuh… satisfaisante et naturelle.
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