Résurrection
Récit érotique écrit par Emile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Résurrection
Le scénario de cette nouvelle est le fruit de ma réponse à une annonce dans votre site préféré. Il sorti de l’imaginaire d’une jeune correspondante soucieuse d’encanailler une maman pieuse et trop sage qui avait fait son deuil de toute sexualité. J’ai modifié les noms qu’elle avait choisis faute d’un accord formel de sa part au moment de la publication. Les scènes les plus hard sont, elles, en partie issues de l’imaginaire de votre serviteur qui a aimé pousser Mimi dans ses derniers retranchements et imaginer sa résurrection à la passion et au sexe sans tabou.
« Allez dans la paix du christ ! Nous rendons grâce à Dieu. » La messe de 11h à peine terminée le père Rémy B., curé de la paroisse de X, se précipite, comme à l’habitude, dans l’allée centrale de son église en direction de la porte principale. Il aime ce moment où il échange avec ses trop rares fidèles qui quittent tranquillement le bâtiment. Il accorde une attention toute particulière aux membres du conseil ecclésial sans lesquels il ne pourrait exercer correctement son ministère. Il échange quelques mots avec chacun. La dernière à partir est, comme toujours, l’imposante Mimi, veuve à la cinquantaine dodue, dont les multiples attentions pour ce lieu saint ont fini par buter sur l’absence de choses encore à faire. L’église est propre, fleurie et bien rangée par ses soins. Elle ne peut, ni ne souhaite occuper d’autres fonctions. Sa voix de fausset la prive de possibilité de devenir chef de chœur. Elle explique au curé qu’elle s’ennuie un peu et souhaiterait diversifier ses engagements bénévoles. Ce dernier, après un court temps de réflexion, lui suggère de visiter des personnes âgées dépourvues de lien familial, notamment à la maison de retraite toute proche. Mimi acquiesce avec d’autant plus d’enthousiasme qu’il lui propose de leur porter la communion alors que ni prêtre ni diacre n’est en capacité de le faire. Une fois les conditions définies, elle le quitte, heureuse. Le père B. la regarde s’éloigner en se dandinant, sans pouvoir se retenir de trouver agréable le roulis de ses énormes fesses. Sous la chasuble, l’homme sommeille… !
Le mardi suivant, Mimi vient se présenter à la directrice de l’EHPAD qui se charge de lui faire visiter le bâtiment. Elle est étonnée d’y trouver un secteur consacré aux malades d’Elsheimer où deux dames âgées ont jadis manifesté leur désir de communier chaque semaine. Elle s’engage à les satisfaire mais comprend qu’en aucun cas une visite plus longue de sa part ne leur apportera de réconfort et s’en inquiète auprès de son interlocutrice. Très vite celle-ci la rassure et lui promet de lui confier des personnes en pleine possession de leurs capacités et demandeuses. Dès le vendredi, tout est en ordre et, après s’être débarrassée de son rôle liturgique, elle se rend dans la chambre de M. Belaidi, qui souhaite la rencontrer. C’est un petit homme sec et noueux de plus de 80 ans à la démarche alerte qui l’accueille avec chaleur et enthousiasme. Son poil blanc est rare et son front déplumé. Mimi est un peu intimidée et désorientée par sa capacité à se livrer sans fard à son interlocutrice. Il est très isolé car un contentieux familial le prive de toute visite. D’emblée, il tutoie la prude Mimi et lui demande de l’appeler par son prénom : Walid. Notre bigote décline cette familiarité à laquelle elle n’est pas habituée. Son père vouvoyait sa mère et elle-même a mis des années à se laisser aller à utiliser un vocabulaire intime avec son défunt mari. D’emblée, les rôles sont distribués : Mimi écoute et M. Belaidi parle de lui, de son enfance, de sa famille, de tout et de rien, volubile. Ce premier contact dure plus d’une heure. Mimi déborde d’empathie muette pour ce bavard impénitent. Lorsque l’heure du diner arrive, il la raccompagne vers la porte en la tenant par la taille. Mimi en est émue car c’est la première fois depuis des années qu’un homme la touche. Elle regagne son domicile troublée et ravie.
Dès la semaine suivante M. Belaidi, s’installe face à son interlocutrice, si près que leurs genoux se touchent. Il emprisonne les mains de sa visiteuse dans les siennes et reprend son babillage comme si il ne s’était jamais arrêté. Mimi est terriblement troublée par cette gestuelle intime et yeux baissés, se concentre sur les propos de son interlocuteur. Elle relance son discours de quelques onomatopées pertinentes puis se trouble lorsque les mains de Walid, qui contiennent les siennes, se posent délicatement sur ses larges cuisses. Lorsqu’elle lève les yeux, elle constate que le regard noir et perçant de son interlocuteur la fixe avec une rare intensité au niveau de la poitrine. Le rouge lui monte aux joues et sa respiration se fait plus saccadée. Elle constate, couverte de honte, que son entrecuisse est devenu humide. Elle voudrait fuir mais ne sait comment s’y prendre. Elle décide d’essayer de donner le change et fait des efforts surhumains pour se concentrer sur la conversation et chasser de son esprit le trouble qui l’habite. Pourtant, elle manque de s’évanouir lorsque M. Belaidi la raccompagne à la porte et que sa main glisse maladroitement de sa taille vers ses fesses. Au retour elle traine un long moment sur un banc du jardin public à rêver. Elle essaie de calmer sa pressante envie de se toucher le sexe. Elle appelle Dieu à son aide mais ce dernier reste aux abonnés absents et, excitée, elle sublime comme elle peut cette nuit d’insomnie où son désir violent combat sa bigoterie.
Pendant plusieurs jours, elle ne pense plus qu’à cette troublante intimité avec le vieil homme. Des rêves érotiques la réveillent en pleine nuit trempée de sueur et de cyprine. Elle se sent coupable et pense à aller à confesse pour demander conseil au curé B., mais une question lancinante la retient : « Que va penser cet homme de ces inavouables fantasmes ? Quel écho cette révélation peut-elle avoir sur un mâle privé de sexualité ? ». Prudemment, elle y renonce. En se préparant pour la visite suivante, elle se surprend à se choisir une robe plus seyante, à coiffer sa courte crinière poivre et sel et à se parfumer. Elle n’est donc pas surprise de trouver M. Belaidi propre comme un sou neuf, fraichement douché et rasé et fleurant bon l’eau de toilette. Dès son arrivée dans la chambre il l’enserre de ses deux bras et se colle à elle. Il pose sa tête sur son épaule et l’embrasse dans le cou à la limite de son vêtement. Ses mains lui caressent le dos et descendent au creux de ses reins jusqu’à lui peloter ses fesses rebondies. Elle sent son sexe dur contre son bas ventre et s’étonne de sa dimension peu commune. Ils restent ainsi, tendrement enlacés. Mimi, copieusement excitée, s’enhardit peu à peu et lui effleure tendrement le dos et les reins. Ils finissent par se donner un vrai baiser. La langue agile de Walid envahit sa bouche, lutte avec sa langue et déclenche des flots de salive dont un filet coule sur son menton. Elle tressaille quand, d’un mouvement rapide, il trousse sa robe et entre sa main sans vergogne dans sa culotte. « Mazette, tu es trempée ! » lui dit-il sur un ton canaille avant d’agiter ses doigts sur (puis dans) son sexe, tandis que son autre main pelote frénétiquement son sein gauche. Il ne faut que quelques secondes à Mimi pour exulter tout en éprouvant mille difficultés à maitriser un râle violent qu’elle sent monter du plus profond d’elle-même. Exaltée et honteuse, elle le rejette violemment au point qu’il tombe à la renverse et s’enfuit, la vêture en désordre. Sa culotte en haut des cuisses lui donne l’impression de s’exhiber, fesses à l’air.
Toute la semaine, elle est partagée entre le sentiment de trahir sa foi en commettant un péché mortel et l’envie d’aller jusqu’au bout de cette passion nouvelle qui semble si pleine d’avenir. Sa visite suivante se déroule comme dans un rêve. La porte à peine refermée Walid se hâte de la dénuder totalement à peine freiné par ses implorantes et peu crédibles suppliques : « Pitié M. Belaidi ! Ce n’est pas convenable ! Une femme de ma condition… Arrêtez voyons ! ». Mais rien n’y fait et elle expose bientôt son imposant corps d’un blanc laiteux, ses énormes seins aux larges corolles et aux tétons proéminents, son large ventre et ses cuisses dodues encadrant un tablier de sapeur à la toison brune et fournie. Walid la laisse ainsi, insolemment nue, debout, désirable et ridicule, ses bas et sa culotte effondrés sur ses chaussures. Il se dévêt rapidement sans perdre l’équilibre et après avoir fait asseoir Mimi sur le bord du lit, finit de la déshabiller. En une gestuelle toujours aussi leste pour son âge, il commence à caresser son entrecuisse tout en tétant sa volumineuse poitrine. Elle est trempée de bonheur. Aussi, il la retourne face aux draps et la prend en levrette au bord du lit. Elle s’écarte autant qu’elle le peut pour lui permettre d’engager son volumineux organe jusqu’à la garde. Walid met toute son énergie à la bousculer et leur commune excitation est à son comble. Il éructe « Quel cul d’enfer ! Ah ma salope, quel cul ! » Elle sent son sperme chaud l’inonder alors que de violents spasmes la font vibrer et se tordre. Lorsqu’il s’extrait d’elle, ils restent un long moment immobiles elle pliée en deux le cul offert et lui assis par terre, sa longue queue encore à demi érigée. Elle est encore agitée de quelques spasmes et commence, le calme revenu, à laisser la honte et la culpabilité l’envahir. La toilette est triste et la fuite peu glorieuse. Toute la semaine cependant, elle ne pense qu’aux nouveaux outrages que lui fera subir son nouvel amant et en est toute retournée. Elle en oublie même le ménage et les fleurs de l’église au grand étonnement du curé B.
A la visite suivante, l’ambiance est encore plus survoltée. Elle a à peine repoussé la porte que Walid se déchaine : « A poil ma salope ! Je t’aime pour tes miches et ton cul ma grosse pute ! ». Et, étonnamment, elle trouve ça presque normal et arrache ses vêtements aussi vite qu’elle le peut. Volontairement, elle s’est dispensée de sous-vêtements ce qui met Walid en joie. Tout le long du chemin elle s’est sentie entièrement nue et a marché les yeux au sol de peur de croiser un regard égrillard de passant. Cette fois aussi son amant la laisse debout au centre de la pièce désorientée et, au lieu de se dévêtir, se rue dans la salle de bains. Il en revient avec un rasoir mécanique et de la mousse. Puis, après l’avoir faite allonger, jambes écartées, commence à éliminer avec douceur et prudence sa copieuse toison. Puis il la fait se retourner et s’attaque à ses fesses. Lorsqu’elle a retrouvé un aspect génital juvénile, il lui rase les aisselles. Paradoxalement, Mimi est au comble de l’émotion et au bord de la jouissance. Alors qu’il se dénude, elle prend la position en levrette et la fraicheur qu’elle ressent entre ses jambes l’incite à s’écarteler encore plus que de coutume. Son amant s’introduit rapidement dans son sexe dégoulinant et en ressort après quelques va et vient. Puis il se présente à la petite porte en laissant sa queue glisser entre ses fesses. Doucement il se fait un passage. Mimi grogne d’abord de douleur puis, le goulet s’élargissant, elle se contorsionne pour le recevoir en entier. Son cul s’échauffe et le plaisir monte au fur et à mesure que l’énorme phallus l’envahit. Il la défonce avec un tel entrain que ses longues couilles lui télescopent la vulve en émettant un bruit de succion. Walid commence alors à agiter rapidement ses doigts sur son clitoris sans ralentir sa pénétration. L’excitation de Mimi est à son comble. Elle hurle : « Allez-y M. Belaidi ! Enculez-moi plus fort ! Mon cul est à vous ! Baisez moi encore… encore… ! Je suis votre pute ! »
Ce soir-là, alors qu’elle quitte l’établissement, elle croise quelques regards égrillards qui lui prouvent qu’elle a été entendue. Elle a honte et, en même temps, n’imagine pas pouvoir se passer de cet intense plaisir. La semaine suivante, alors qu’elle chemine vers l’EHPAD en tenue de combat (robe légère et assez courte sans culotte ni soutien-gorge) elle se sent encore plus salope que précédemment sans savoir ce qui l’attend. A son arrivée, une pensionnaire lui signale que sa visite doit se dérouler au salon de télévision. Elle s’en étonne mais s’y rend sans arrière-pensée. Lorsqu’elle en ouvre la porte, elle trouve une dizaine de pensionnaire assis en cercle sur de profonds fauteuils. Walid l’amène au milieu du cercle et lui intime l’ordre de se dévoiler. Un peu intimidée elle s’exécute lentement, sous le regard lubrique du troupeau. Elle est inquiète de ce qui va se passer et craint d’être livrée ainsi en pâture à tout l’établissement. « Elle est belle ta salope ! » dit l’un. « Génial son sexe de petite fille ! » dit l’autre. « On peut voir ses trous ? » dit le troisième. Et Walid de l’exhiber, de lui écarter les fesses puis les grandes lèvres en l’obligeant à mille contorsions. Et plus il l’exhibe plus elle se sent excitée jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus d’envie de jouir. Elle se lance alors dans un festival de caresses intimes toujours plus osées. Elle excite son clitoris, suce des doigts, les enfourne dans sa chatte puis dans son cul et, combinant tous ces mouvements, s’envoie au septième ciel sous les vivats des spectateurs. « Bravo Mimi ! Vas-y salope. Défonce-toi ma belle ! T’en as plein le cul la grosse ? Tu veux ma bite ? ». Nul doute que les sous-vêtements de ses admirateurs doivent être maintenant bien souillés. Lorsque tout le monde regagne sa chambre Walid la félicite en lui baisant la bouche. Repue, elle le pompe d’abord mollement puis retrouve de la vigueur et, servile, avale soigneusement son foutre sans en perdre une goutte. Paradoxalement, elle ne ressent plus aucune honte. Elle reste ici un long moment, assise par terre, totalement exhibée et (oh combien !) indécente. Elle est heureuse ! Désormais, elle reviendra tous les jours !
« Allez dans la paix du christ ! Nous rendons grâce à Dieu. » La messe de 11h à peine terminée le père Rémy B., curé de la paroisse de X, se précipite, comme à l’habitude, dans l’allée centrale de son église en direction de la porte principale. Il aime ce moment où il échange avec ses trop rares fidèles qui quittent tranquillement le bâtiment. Il accorde une attention toute particulière aux membres du conseil ecclésial sans lesquels il ne pourrait exercer correctement son ministère. Il échange quelques mots avec chacun. La dernière à partir est, comme toujours, l’imposante Mimi, veuve à la cinquantaine dodue, dont les multiples attentions pour ce lieu saint ont fini par buter sur l’absence de choses encore à faire. L’église est propre, fleurie et bien rangée par ses soins. Elle ne peut, ni ne souhaite occuper d’autres fonctions. Sa voix de fausset la prive de possibilité de devenir chef de chœur. Elle explique au curé qu’elle s’ennuie un peu et souhaiterait diversifier ses engagements bénévoles. Ce dernier, après un court temps de réflexion, lui suggère de visiter des personnes âgées dépourvues de lien familial, notamment à la maison de retraite toute proche. Mimi acquiesce avec d’autant plus d’enthousiasme qu’il lui propose de leur porter la communion alors que ni prêtre ni diacre n’est en capacité de le faire. Une fois les conditions définies, elle le quitte, heureuse. Le père B. la regarde s’éloigner en se dandinant, sans pouvoir se retenir de trouver agréable le roulis de ses énormes fesses. Sous la chasuble, l’homme sommeille… !
Le mardi suivant, Mimi vient se présenter à la directrice de l’EHPAD qui se charge de lui faire visiter le bâtiment. Elle est étonnée d’y trouver un secteur consacré aux malades d’Elsheimer où deux dames âgées ont jadis manifesté leur désir de communier chaque semaine. Elle s’engage à les satisfaire mais comprend qu’en aucun cas une visite plus longue de sa part ne leur apportera de réconfort et s’en inquiète auprès de son interlocutrice. Très vite celle-ci la rassure et lui promet de lui confier des personnes en pleine possession de leurs capacités et demandeuses. Dès le vendredi, tout est en ordre et, après s’être débarrassée de son rôle liturgique, elle se rend dans la chambre de M. Belaidi, qui souhaite la rencontrer. C’est un petit homme sec et noueux de plus de 80 ans à la démarche alerte qui l’accueille avec chaleur et enthousiasme. Son poil blanc est rare et son front déplumé. Mimi est un peu intimidée et désorientée par sa capacité à se livrer sans fard à son interlocutrice. Il est très isolé car un contentieux familial le prive de toute visite. D’emblée, il tutoie la prude Mimi et lui demande de l’appeler par son prénom : Walid. Notre bigote décline cette familiarité à laquelle elle n’est pas habituée. Son père vouvoyait sa mère et elle-même a mis des années à se laisser aller à utiliser un vocabulaire intime avec son défunt mari. D’emblée, les rôles sont distribués : Mimi écoute et M. Belaidi parle de lui, de son enfance, de sa famille, de tout et de rien, volubile. Ce premier contact dure plus d’une heure. Mimi déborde d’empathie muette pour ce bavard impénitent. Lorsque l’heure du diner arrive, il la raccompagne vers la porte en la tenant par la taille. Mimi en est émue car c’est la première fois depuis des années qu’un homme la touche. Elle regagne son domicile troublée et ravie.
Dès la semaine suivante M. Belaidi, s’installe face à son interlocutrice, si près que leurs genoux se touchent. Il emprisonne les mains de sa visiteuse dans les siennes et reprend son babillage comme si il ne s’était jamais arrêté. Mimi est terriblement troublée par cette gestuelle intime et yeux baissés, se concentre sur les propos de son interlocuteur. Elle relance son discours de quelques onomatopées pertinentes puis se trouble lorsque les mains de Walid, qui contiennent les siennes, se posent délicatement sur ses larges cuisses. Lorsqu’elle lève les yeux, elle constate que le regard noir et perçant de son interlocuteur la fixe avec une rare intensité au niveau de la poitrine. Le rouge lui monte aux joues et sa respiration se fait plus saccadée. Elle constate, couverte de honte, que son entrecuisse est devenu humide. Elle voudrait fuir mais ne sait comment s’y prendre. Elle décide d’essayer de donner le change et fait des efforts surhumains pour se concentrer sur la conversation et chasser de son esprit le trouble qui l’habite. Pourtant, elle manque de s’évanouir lorsque M. Belaidi la raccompagne à la porte et que sa main glisse maladroitement de sa taille vers ses fesses. Au retour elle traine un long moment sur un banc du jardin public à rêver. Elle essaie de calmer sa pressante envie de se toucher le sexe. Elle appelle Dieu à son aide mais ce dernier reste aux abonnés absents et, excitée, elle sublime comme elle peut cette nuit d’insomnie où son désir violent combat sa bigoterie.
Pendant plusieurs jours, elle ne pense plus qu’à cette troublante intimité avec le vieil homme. Des rêves érotiques la réveillent en pleine nuit trempée de sueur et de cyprine. Elle se sent coupable et pense à aller à confesse pour demander conseil au curé B., mais une question lancinante la retient : « Que va penser cet homme de ces inavouables fantasmes ? Quel écho cette révélation peut-elle avoir sur un mâle privé de sexualité ? ». Prudemment, elle y renonce. En se préparant pour la visite suivante, elle se surprend à se choisir une robe plus seyante, à coiffer sa courte crinière poivre et sel et à se parfumer. Elle n’est donc pas surprise de trouver M. Belaidi propre comme un sou neuf, fraichement douché et rasé et fleurant bon l’eau de toilette. Dès son arrivée dans la chambre il l’enserre de ses deux bras et se colle à elle. Il pose sa tête sur son épaule et l’embrasse dans le cou à la limite de son vêtement. Ses mains lui caressent le dos et descendent au creux de ses reins jusqu’à lui peloter ses fesses rebondies. Elle sent son sexe dur contre son bas ventre et s’étonne de sa dimension peu commune. Ils restent ainsi, tendrement enlacés. Mimi, copieusement excitée, s’enhardit peu à peu et lui effleure tendrement le dos et les reins. Ils finissent par se donner un vrai baiser. La langue agile de Walid envahit sa bouche, lutte avec sa langue et déclenche des flots de salive dont un filet coule sur son menton. Elle tressaille quand, d’un mouvement rapide, il trousse sa robe et entre sa main sans vergogne dans sa culotte. « Mazette, tu es trempée ! » lui dit-il sur un ton canaille avant d’agiter ses doigts sur (puis dans) son sexe, tandis que son autre main pelote frénétiquement son sein gauche. Il ne faut que quelques secondes à Mimi pour exulter tout en éprouvant mille difficultés à maitriser un râle violent qu’elle sent monter du plus profond d’elle-même. Exaltée et honteuse, elle le rejette violemment au point qu’il tombe à la renverse et s’enfuit, la vêture en désordre. Sa culotte en haut des cuisses lui donne l’impression de s’exhiber, fesses à l’air.
Toute la semaine, elle est partagée entre le sentiment de trahir sa foi en commettant un péché mortel et l’envie d’aller jusqu’au bout de cette passion nouvelle qui semble si pleine d’avenir. Sa visite suivante se déroule comme dans un rêve. La porte à peine refermée Walid se hâte de la dénuder totalement à peine freiné par ses implorantes et peu crédibles suppliques : « Pitié M. Belaidi ! Ce n’est pas convenable ! Une femme de ma condition… Arrêtez voyons ! ». Mais rien n’y fait et elle expose bientôt son imposant corps d’un blanc laiteux, ses énormes seins aux larges corolles et aux tétons proéminents, son large ventre et ses cuisses dodues encadrant un tablier de sapeur à la toison brune et fournie. Walid la laisse ainsi, insolemment nue, debout, désirable et ridicule, ses bas et sa culotte effondrés sur ses chaussures. Il se dévêt rapidement sans perdre l’équilibre et après avoir fait asseoir Mimi sur le bord du lit, finit de la déshabiller. En une gestuelle toujours aussi leste pour son âge, il commence à caresser son entrecuisse tout en tétant sa volumineuse poitrine. Elle est trempée de bonheur. Aussi, il la retourne face aux draps et la prend en levrette au bord du lit. Elle s’écarte autant qu’elle le peut pour lui permettre d’engager son volumineux organe jusqu’à la garde. Walid met toute son énergie à la bousculer et leur commune excitation est à son comble. Il éructe « Quel cul d’enfer ! Ah ma salope, quel cul ! » Elle sent son sperme chaud l’inonder alors que de violents spasmes la font vibrer et se tordre. Lorsqu’il s’extrait d’elle, ils restent un long moment immobiles elle pliée en deux le cul offert et lui assis par terre, sa longue queue encore à demi érigée. Elle est encore agitée de quelques spasmes et commence, le calme revenu, à laisser la honte et la culpabilité l’envahir. La toilette est triste et la fuite peu glorieuse. Toute la semaine cependant, elle ne pense qu’aux nouveaux outrages que lui fera subir son nouvel amant et en est toute retournée. Elle en oublie même le ménage et les fleurs de l’église au grand étonnement du curé B.
A la visite suivante, l’ambiance est encore plus survoltée. Elle a à peine repoussé la porte que Walid se déchaine : « A poil ma salope ! Je t’aime pour tes miches et ton cul ma grosse pute ! ». Et, étonnamment, elle trouve ça presque normal et arrache ses vêtements aussi vite qu’elle le peut. Volontairement, elle s’est dispensée de sous-vêtements ce qui met Walid en joie. Tout le long du chemin elle s’est sentie entièrement nue et a marché les yeux au sol de peur de croiser un regard égrillard de passant. Cette fois aussi son amant la laisse debout au centre de la pièce désorientée et, au lieu de se dévêtir, se rue dans la salle de bains. Il en revient avec un rasoir mécanique et de la mousse. Puis, après l’avoir faite allonger, jambes écartées, commence à éliminer avec douceur et prudence sa copieuse toison. Puis il la fait se retourner et s’attaque à ses fesses. Lorsqu’elle a retrouvé un aspect génital juvénile, il lui rase les aisselles. Paradoxalement, Mimi est au comble de l’émotion et au bord de la jouissance. Alors qu’il se dénude, elle prend la position en levrette et la fraicheur qu’elle ressent entre ses jambes l’incite à s’écarteler encore plus que de coutume. Son amant s’introduit rapidement dans son sexe dégoulinant et en ressort après quelques va et vient. Puis il se présente à la petite porte en laissant sa queue glisser entre ses fesses. Doucement il se fait un passage. Mimi grogne d’abord de douleur puis, le goulet s’élargissant, elle se contorsionne pour le recevoir en entier. Son cul s’échauffe et le plaisir monte au fur et à mesure que l’énorme phallus l’envahit. Il la défonce avec un tel entrain que ses longues couilles lui télescopent la vulve en émettant un bruit de succion. Walid commence alors à agiter rapidement ses doigts sur son clitoris sans ralentir sa pénétration. L’excitation de Mimi est à son comble. Elle hurle : « Allez-y M. Belaidi ! Enculez-moi plus fort ! Mon cul est à vous ! Baisez moi encore… encore… ! Je suis votre pute ! »
Ce soir-là, alors qu’elle quitte l’établissement, elle croise quelques regards égrillards qui lui prouvent qu’elle a été entendue. Elle a honte et, en même temps, n’imagine pas pouvoir se passer de cet intense plaisir. La semaine suivante, alors qu’elle chemine vers l’EHPAD en tenue de combat (robe légère et assez courte sans culotte ni soutien-gorge) elle se sent encore plus salope que précédemment sans savoir ce qui l’attend. A son arrivée, une pensionnaire lui signale que sa visite doit se dérouler au salon de télévision. Elle s’en étonne mais s’y rend sans arrière-pensée. Lorsqu’elle en ouvre la porte, elle trouve une dizaine de pensionnaire assis en cercle sur de profonds fauteuils. Walid l’amène au milieu du cercle et lui intime l’ordre de se dévoiler. Un peu intimidée elle s’exécute lentement, sous le regard lubrique du troupeau. Elle est inquiète de ce qui va se passer et craint d’être livrée ainsi en pâture à tout l’établissement. « Elle est belle ta salope ! » dit l’un. « Génial son sexe de petite fille ! » dit l’autre. « On peut voir ses trous ? » dit le troisième. Et Walid de l’exhiber, de lui écarter les fesses puis les grandes lèvres en l’obligeant à mille contorsions. Et plus il l’exhibe plus elle se sent excitée jusqu’à ce qu’elle n’en puisse plus d’envie de jouir. Elle se lance alors dans un festival de caresses intimes toujours plus osées. Elle excite son clitoris, suce des doigts, les enfourne dans sa chatte puis dans son cul et, combinant tous ces mouvements, s’envoie au septième ciel sous les vivats des spectateurs. « Bravo Mimi ! Vas-y salope. Défonce-toi ma belle ! T’en as plein le cul la grosse ? Tu veux ma bite ? ». Nul doute que les sous-vêtements de ses admirateurs doivent être maintenant bien souillés. Lorsque tout le monde regagne sa chambre Walid la félicite en lui baisant la bouche. Repue, elle le pompe d’abord mollement puis retrouve de la vigueur et, servile, avale soigneusement son foutre sans en perdre une goutte. Paradoxalement, elle ne ressent plus aucune honte. Elle reste ici un long moment, assise par terre, totalement exhibée et (oh combien !) indécente. Elle est heureuse ! Désormais, elle reviendra tous les jours !
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