Retour à la nature
Récit érotique écrit par Micky [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 280 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Micky ont reçu un total de 2 609 866 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 5 545 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Retour à la nature
Albert et Véronique faisaient leurs courses dans une moyenne surface de leur lieu de vacances quand, on moment de charger leur coffre, l'homme dit à son épouse :
- Avant de rentrer au gite et retrouver ta mère, j'irais bien baiser en pleine nature.
Véronique marqua un temps de recul. En principe, elle aimait bien être préparée à ce genre d'activités et là, Albert la prenait à froid. Certes, la présence de sa mère avec leur couple pendant les vacances limitaient leurs effusions intimes, mais de là à faire des galipettes à l'air libre comme ils le faisaient au début de leur union, non, pas vraiment. Pas à la fin de la cinquantaine. Il y a un temps pour tout. Sa réaction fut sans ambiguïté :
- Qu'est-ce qui te prend ? Tu veux qu'on se fasse piquer par des moustiques ou sucer le sang par des tiques ? Et se faire surprendre par un voyeur ?
- Ne raconte pas de bêtises. Il n'y a pas âme qui vive en dehors des villages et il suffirait de placer la couverture de notre siège arrière pour ton petit confort. Dis plutôt que tu n'as pas envie de baiser.
Véronique encaissa. Albert avait touché un point sensible. Après trente ans de vie commune, leur couple ronronnait sur le plan sexuel. Elle s'accusait d'être moins attrayante avec ses cheveux blancs qu'elle refusait de teindre, ses kilos en trop, son boulot très prenant. Mais lui aussi avait ses défauts. Lors de leurs derniers rapports, elle trouvait qu'il bandait mou. Or, s'il lui avait tant plu dans sa jeunesse, contrairement à d'autres prétendants, c'est parce que sa bite était hors normes, entre autres qualités bien sûr. Elle avait toujours eu un faible pour les hommes fortement membrés et de ce point de vue, Albert était sans rival. Il la faisait jouir, vraiment. Par la bouche autant que pas le sexe. Mais c'était moins vrai avec le temps.
Alors, cette proposition de renouer avec leur sexualité débridée d'antan l'interpellait. Après tout, pourquoi pas ? Mais il ne fallait surtout pas lui laisser croire que c'était du tout cuit. Il fallait qu'il bande, une vraie bandaison bien dure, bien longue, bien épaisse, pour qu'elle prenne un vrai pied.
- Et où que tu comptes m'emmener pour relancer ta libido est un morne ?
- Ce n'est pas un problème par ici. Et ne t'inquiète pas pour ma libido. Quand je te verrai à poil sur la couverture, je te promets au moins vingt centimètres.
- Pff... C'est de la fiction pure.
Ce fut au tour d'Albert d'encaisser. Il avait bien conscience d'être moins viril qu'autrefois. Il s'inquiétait même que Véronique puisse trouver parfois son bonheur en dehors de leur lit. Ses seins lourds et toujours bien accrochés, son fessier pulpeux, son visage sans ride encadré par une épaisse chevelure poivre et sel, son tempérament généreux, son sourire avenant, avaient tout pour faire le bonheur d'un amant. D'autant que Véronique aimait le sexe, ça il le savait depuis longtemps. Le vrai sexe, cochon, lubrique, sans tabous, verbeux. Il gardait le souvenir ému d'ébats tumultueux dans les lieux les plus variés, où elle pouvait lâcher prise et donner libre cours à ses orgasmes claironnants. C'était ce qu'il voulait retrouver avec cette baise en plein air. Hélas, elle était réticente et il ne voulait surtout pas lui forcer la main. Pas son genre. Le temps était passé, voilà tout.
- Bon écoute, on peut essayer mais il faut trouver un lieu vraiment sympa pour que tu te sentes bien. Et si ce n'est pas le cas, ce n'est pas grave.
Et voilà qu'elle lui renvoyait la responsabilité d'un échec éventuel, comme si elle lui faisait une concession du bout des lèvres. Quel culot ! C'était bien sa Véronique. Il sourit néanmoins. Ce n'était pas un refus catégorique comme au début, c'était déjà ça.
Ce qu'il ne savait pas, c'est que son épouse commençait déjà à mouiller sa culotte. La proposition d'Albert la ravissait car la chasteté commençait vraiment à lui peser. Depuis combien de temps n'avait-elle pas été baisée, vraiment baisée ? Elle ne s'en souvenait même plus.
Elle entra dans la voiture, un peu nerveuse, un peu fébrile. Albert prit des petites routes, chercha un chemin de terre, s'engagea dans l'un, assez profondément, au milieu des champs déserts. Ils aboutirent à un petit bois.
- Arrête-toi là, c'est pas mal, on sera à l'ombre et on pourra voir si on vient.
Albert s'exécuta. Il huma l'air tandis que Véronique sortait la couverture du siège arrière et l'étendait sur un coin d'herbe. Autant elle était réticente à l'origine, autant elle était résolue maintenant. Il la regarda retirer sa robe, dégrafer son soutien-gorge, ôter ses sandales et baisser son slip avant de s'allonger sur la couverture, cuisses entrouvertes sur sa chatte poilue.
- Ben alors, qu'est-ce que tu attends ? Le dégel ? Montre-moi un peu ce que tu as à me proposer.
Albert bandait comme un cheval. Découvrir son épouse nue, offerte, impudique l'excitait prodigieusement.
- Eh ben dis donc, il y a longtemps que je ne t'ai pas vu aussi en forme. C'est apparemment dur mais j'espère que c'est durable. Viens-là que je te suce.
******
Véronique était d'humeur cochonne et il y avait longtemps qu'il ne l'avait pas vue aussi bien disposée. Surtout ne pas la décevoir. Elle engloutit son gland comme si elle n'avait pas mangé depuis trois jours.
-Oh là, doucement, tu vas me faire gicler trop tôt, gémit-il.
- Alors, viens, mais tout de suite, répondit-elle.
Quand il la pénétra, un rayon de soleil vint lui caresser les fesses et cela lui procura un tonus qu'il n'avait pas connu depuis longtemps. Elle le ressentit aussitôt et elle s'emballa. Véronique était de ces femmes que le sexe transcende. Comme si l'introduction d'une bite équivalait à un bouton qu'on presse pour qu'elle devienne femelle, pour ne pas dire bestiale. En quelques minutes, Albert retrouva la jeune femme avec laquelle il avait connu dès le début des heures torrides. Il avait avant elle beaucoup donné de la queue et elle n'avait pas fainéanté non plus sur ce plan, s'étant particulièrement reconnue dans Catherine Millet et son livre "la vie sexuelle de Catherine M". Le début de leur liaison avait été purement charnel parce qu'ils aimaient autant le cul l'un que l'autre et ils s'enchantaient de leur accord, pour ne pas dire leurs cochonneries. Ils multiplièrent les expériences, s'observèrent dans le plaisir avec d'autres partenaires, jusqu'au jour où elle tomba enceinte et où ils tombèrent d'accord pour se marier. Vies professionnelles et conjugales se mêlèrent pour aboutir peu à peu à une sorte de routine. Forcément, leur libido en prit un coup, malgré quelques sursauts qui révélaient l'attrait intact l'un pour l'autre.
Mais cette fois, dans ce pré sur la couverture, mi ombre mi soleil, ils comprirent qu'ils allaient baiser, vraiment baiser. Il se sentait long et dur et en aurait-il douté que ses mots crus le rassurèrent. Plaçant tantôt ses talons dans ses reins pour presser, tantôt sur la couverture pour lui renvoyer la balle, elle était en mouvement permanent, rayonnante, verbeuse, l'image même de la femme qui baise.
Lorsqu'ils se désunirent pour adopter la position en levrette, après qu'il l'eut bien limée, le regard sur l'horizon, concentré pour ne pas jouir prématurément, elle s'écarta elle-même les fesses et lui signifia son besoin d'être léchée puis sodomisée.
- Tu es sûre que tu veux que je t'encule ? crut-il bon de lui demander.
- Non seulement j'en suis sûre mais j'en ai très envie, lui répondit-elle en se retournant vers lui.
La dernière fois qu'il l'avait sodomisée remontait à loin. Il n'avait jamais plus osé, craignant de la faire souffrir. Et voilà qu'elle le réclamait. C'était bien la preuve qu'elle vivait un moment de sexe aussi intense que dans le passé.
Il s'enfonça avec précaution mais elle vint le chercher d'un coup de reins et il fut rapidement engagé, confortable, imposant. Leurs peaux claquèrent et ils sentit ses couilles battre contre sa chatte, impression qu'elle confirma fort et clair. Après plusieurs va et viens fougueux qui la firent gargouiller, il se retira pour ne pas éjaculer dans son fondement, préférant le faire dans sa chatte.
Ils se retrouvèrent assis sur la couverture, s'embrassèrent, se parlèrent pour maintenir leur excitation.
- Il y a longtemps que je ne me suis pas sentie autant baisée, souffla-t-elle en lui tenant la queue.
- Tu vois que ça valait le coup de le faire ici, répondit-il en lui caressant la fente.
- Tu as eu une excellente idée. Tu aurais dû jouir en m'enculant. J'aurais joui aussi, tes couilles sur ma chatte, quel pied.
- Non parce que je veux te voir jouir.
- Tu veux que je vienne sur toi ?
- Non. J'ai envie de te défoncer.
- Alors, défonce-moi. Fais-moi sentir ta bonne grosse bite.
Il y avait beau temps qu'elle ne lui avait pas tenu un tel langage. Il avait toujours adoré qu'elle lui parle de sa queue. Quand il la pénétra à nouveau, bras tendus, les yeux dans les siens, il l'interrogea :
- Tu la sens bien, là ?
- Oh ouiiii. Elle est booonne, elle est duuure !
- Tu aimes la bite, hein, cochonne !
- Ah ouiiii, j'adoooore, défonce-moi, vas-y, t'arrête pas surtouuut !
- Elle est assez grosse, tu es sûre ?
- Elle est groooosse, elle est boooonne !
Il tournicotait du cul, attentif à la montée de son orgasme tandis qu'elle lui empoignait les fesses comme si elle craignait qu'il se retire. Mais il prenait son élan pour s'enfoncer sèchement de toute sa longueur, provoquant un cri strident heureusement perdu dans la solitude ambiante.
- Dis-le que tu aimes ma bite, dis-le !
- Oui oui, baise, baise, baiiiiise !
Véronique prenait son pied comme aux plus beaux jours. Ses gros seins roulaient sur son torse, sa bouche se tordait dans un rictus, ses pieds le frottaient, des hanches aux cuisses, son ventre douillet se mêlait aux poils de son abdomen. L'orgueil d'Albert était au summum, de voir à quel point sa bite faisait sortir Véronique d'elle-même.
- Viens ! Viens ! cria-t-elle, roulant des hanches pour le faire gicler.
Et il gicla. Il ressentit l'éjaculation du plus profond de ses reins à l'extrémité de son gland. Cette fois, c'est sa voix qui perça l'air, couvrant même celle de son épouse. Ils avaient joui et crié ensemble. Et le silence retomba sur le pré.
Ils mirent un peu de temps à retrouver leurs esprits. En retournant à leur voiture, ils avaient les jambes molles d'avoir trop joui. Mais leur couple mûr avait pris un sacré coup de jeune.
Sauf qu'ils mirent deux jours pour récupérer...
- Avant de rentrer au gite et retrouver ta mère, j'irais bien baiser en pleine nature.
Véronique marqua un temps de recul. En principe, elle aimait bien être préparée à ce genre d'activités et là, Albert la prenait à froid. Certes, la présence de sa mère avec leur couple pendant les vacances limitaient leurs effusions intimes, mais de là à faire des galipettes à l'air libre comme ils le faisaient au début de leur union, non, pas vraiment. Pas à la fin de la cinquantaine. Il y a un temps pour tout. Sa réaction fut sans ambiguïté :
- Qu'est-ce qui te prend ? Tu veux qu'on se fasse piquer par des moustiques ou sucer le sang par des tiques ? Et se faire surprendre par un voyeur ?
- Ne raconte pas de bêtises. Il n'y a pas âme qui vive en dehors des villages et il suffirait de placer la couverture de notre siège arrière pour ton petit confort. Dis plutôt que tu n'as pas envie de baiser.
Véronique encaissa. Albert avait touché un point sensible. Après trente ans de vie commune, leur couple ronronnait sur le plan sexuel. Elle s'accusait d'être moins attrayante avec ses cheveux blancs qu'elle refusait de teindre, ses kilos en trop, son boulot très prenant. Mais lui aussi avait ses défauts. Lors de leurs derniers rapports, elle trouvait qu'il bandait mou. Or, s'il lui avait tant plu dans sa jeunesse, contrairement à d'autres prétendants, c'est parce que sa bite était hors normes, entre autres qualités bien sûr. Elle avait toujours eu un faible pour les hommes fortement membrés et de ce point de vue, Albert était sans rival. Il la faisait jouir, vraiment. Par la bouche autant que pas le sexe. Mais c'était moins vrai avec le temps.
Alors, cette proposition de renouer avec leur sexualité débridée d'antan l'interpellait. Après tout, pourquoi pas ? Mais il ne fallait surtout pas lui laisser croire que c'était du tout cuit. Il fallait qu'il bande, une vraie bandaison bien dure, bien longue, bien épaisse, pour qu'elle prenne un vrai pied.
- Et où que tu comptes m'emmener pour relancer ta libido est un morne ?
- Ce n'est pas un problème par ici. Et ne t'inquiète pas pour ma libido. Quand je te verrai à poil sur la couverture, je te promets au moins vingt centimètres.
- Pff... C'est de la fiction pure.
Ce fut au tour d'Albert d'encaisser. Il avait bien conscience d'être moins viril qu'autrefois. Il s'inquiétait même que Véronique puisse trouver parfois son bonheur en dehors de leur lit. Ses seins lourds et toujours bien accrochés, son fessier pulpeux, son visage sans ride encadré par une épaisse chevelure poivre et sel, son tempérament généreux, son sourire avenant, avaient tout pour faire le bonheur d'un amant. D'autant que Véronique aimait le sexe, ça il le savait depuis longtemps. Le vrai sexe, cochon, lubrique, sans tabous, verbeux. Il gardait le souvenir ému d'ébats tumultueux dans les lieux les plus variés, où elle pouvait lâcher prise et donner libre cours à ses orgasmes claironnants. C'était ce qu'il voulait retrouver avec cette baise en plein air. Hélas, elle était réticente et il ne voulait surtout pas lui forcer la main. Pas son genre. Le temps était passé, voilà tout.
- Bon écoute, on peut essayer mais il faut trouver un lieu vraiment sympa pour que tu te sentes bien. Et si ce n'est pas le cas, ce n'est pas grave.
Et voilà qu'elle lui renvoyait la responsabilité d'un échec éventuel, comme si elle lui faisait une concession du bout des lèvres. Quel culot ! C'était bien sa Véronique. Il sourit néanmoins. Ce n'était pas un refus catégorique comme au début, c'était déjà ça.
Ce qu'il ne savait pas, c'est que son épouse commençait déjà à mouiller sa culotte. La proposition d'Albert la ravissait car la chasteté commençait vraiment à lui peser. Depuis combien de temps n'avait-elle pas été baisée, vraiment baisée ? Elle ne s'en souvenait même plus.
Elle entra dans la voiture, un peu nerveuse, un peu fébrile. Albert prit des petites routes, chercha un chemin de terre, s'engagea dans l'un, assez profondément, au milieu des champs déserts. Ils aboutirent à un petit bois.
- Arrête-toi là, c'est pas mal, on sera à l'ombre et on pourra voir si on vient.
Albert s'exécuta. Il huma l'air tandis que Véronique sortait la couverture du siège arrière et l'étendait sur un coin d'herbe. Autant elle était réticente à l'origine, autant elle était résolue maintenant. Il la regarda retirer sa robe, dégrafer son soutien-gorge, ôter ses sandales et baisser son slip avant de s'allonger sur la couverture, cuisses entrouvertes sur sa chatte poilue.
- Ben alors, qu'est-ce que tu attends ? Le dégel ? Montre-moi un peu ce que tu as à me proposer.
Albert bandait comme un cheval. Découvrir son épouse nue, offerte, impudique l'excitait prodigieusement.
- Eh ben dis donc, il y a longtemps que je ne t'ai pas vu aussi en forme. C'est apparemment dur mais j'espère que c'est durable. Viens-là que je te suce.
******
Véronique était d'humeur cochonne et il y avait longtemps qu'il ne l'avait pas vue aussi bien disposée. Surtout ne pas la décevoir. Elle engloutit son gland comme si elle n'avait pas mangé depuis trois jours.
-Oh là, doucement, tu vas me faire gicler trop tôt, gémit-il.
- Alors, viens, mais tout de suite, répondit-elle.
Quand il la pénétra, un rayon de soleil vint lui caresser les fesses et cela lui procura un tonus qu'il n'avait pas connu depuis longtemps. Elle le ressentit aussitôt et elle s'emballa. Véronique était de ces femmes que le sexe transcende. Comme si l'introduction d'une bite équivalait à un bouton qu'on presse pour qu'elle devienne femelle, pour ne pas dire bestiale. En quelques minutes, Albert retrouva la jeune femme avec laquelle il avait connu dès le début des heures torrides. Il avait avant elle beaucoup donné de la queue et elle n'avait pas fainéanté non plus sur ce plan, s'étant particulièrement reconnue dans Catherine Millet et son livre "la vie sexuelle de Catherine M". Le début de leur liaison avait été purement charnel parce qu'ils aimaient autant le cul l'un que l'autre et ils s'enchantaient de leur accord, pour ne pas dire leurs cochonneries. Ils multiplièrent les expériences, s'observèrent dans le plaisir avec d'autres partenaires, jusqu'au jour où elle tomba enceinte et où ils tombèrent d'accord pour se marier. Vies professionnelles et conjugales se mêlèrent pour aboutir peu à peu à une sorte de routine. Forcément, leur libido en prit un coup, malgré quelques sursauts qui révélaient l'attrait intact l'un pour l'autre.
Mais cette fois, dans ce pré sur la couverture, mi ombre mi soleil, ils comprirent qu'ils allaient baiser, vraiment baiser. Il se sentait long et dur et en aurait-il douté que ses mots crus le rassurèrent. Plaçant tantôt ses talons dans ses reins pour presser, tantôt sur la couverture pour lui renvoyer la balle, elle était en mouvement permanent, rayonnante, verbeuse, l'image même de la femme qui baise.
Lorsqu'ils se désunirent pour adopter la position en levrette, après qu'il l'eut bien limée, le regard sur l'horizon, concentré pour ne pas jouir prématurément, elle s'écarta elle-même les fesses et lui signifia son besoin d'être léchée puis sodomisée.
- Tu es sûre que tu veux que je t'encule ? crut-il bon de lui demander.
- Non seulement j'en suis sûre mais j'en ai très envie, lui répondit-elle en se retournant vers lui.
La dernière fois qu'il l'avait sodomisée remontait à loin. Il n'avait jamais plus osé, craignant de la faire souffrir. Et voilà qu'elle le réclamait. C'était bien la preuve qu'elle vivait un moment de sexe aussi intense que dans le passé.
Il s'enfonça avec précaution mais elle vint le chercher d'un coup de reins et il fut rapidement engagé, confortable, imposant. Leurs peaux claquèrent et ils sentit ses couilles battre contre sa chatte, impression qu'elle confirma fort et clair. Après plusieurs va et viens fougueux qui la firent gargouiller, il se retira pour ne pas éjaculer dans son fondement, préférant le faire dans sa chatte.
Ils se retrouvèrent assis sur la couverture, s'embrassèrent, se parlèrent pour maintenir leur excitation.
- Il y a longtemps que je ne me suis pas sentie autant baisée, souffla-t-elle en lui tenant la queue.
- Tu vois que ça valait le coup de le faire ici, répondit-il en lui caressant la fente.
- Tu as eu une excellente idée. Tu aurais dû jouir en m'enculant. J'aurais joui aussi, tes couilles sur ma chatte, quel pied.
- Non parce que je veux te voir jouir.
- Tu veux que je vienne sur toi ?
- Non. J'ai envie de te défoncer.
- Alors, défonce-moi. Fais-moi sentir ta bonne grosse bite.
Il y avait beau temps qu'elle ne lui avait pas tenu un tel langage. Il avait toujours adoré qu'elle lui parle de sa queue. Quand il la pénétra à nouveau, bras tendus, les yeux dans les siens, il l'interrogea :
- Tu la sens bien, là ?
- Oh ouiiii. Elle est booonne, elle est duuure !
- Tu aimes la bite, hein, cochonne !
- Ah ouiiii, j'adoooore, défonce-moi, vas-y, t'arrête pas surtouuut !
- Elle est assez grosse, tu es sûre ?
- Elle est groooosse, elle est boooonne !
Il tournicotait du cul, attentif à la montée de son orgasme tandis qu'elle lui empoignait les fesses comme si elle craignait qu'il se retire. Mais il prenait son élan pour s'enfoncer sèchement de toute sa longueur, provoquant un cri strident heureusement perdu dans la solitude ambiante.
- Dis-le que tu aimes ma bite, dis-le !
- Oui oui, baise, baise, baiiiiise !
Véronique prenait son pied comme aux plus beaux jours. Ses gros seins roulaient sur son torse, sa bouche se tordait dans un rictus, ses pieds le frottaient, des hanches aux cuisses, son ventre douillet se mêlait aux poils de son abdomen. L'orgueil d'Albert était au summum, de voir à quel point sa bite faisait sortir Véronique d'elle-même.
- Viens ! Viens ! cria-t-elle, roulant des hanches pour le faire gicler.
Et il gicla. Il ressentit l'éjaculation du plus profond de ses reins à l'extrémité de son gland. Cette fois, c'est sa voix qui perça l'air, couvrant même celle de son épouse. Ils avaient joui et crié ensemble. Et le silence retomba sur le pré.
Ils mirent un peu de temps à retrouver leurs esprits. En retournant à leur voiture, ils avaient les jambes molles d'avoir trop joui. Mais leur couple mûr avait pris un sacré coup de jeune.
Sauf qu'ils mirent deux jours pour récupérer...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Micky
3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Emoustillant. Je parierais qu'une gamine adorerait se faire ramoner par un mec si bien monté. Oui c'est une suggestion adorable Micky ...
c'est ma 3ème tentative pour poster un commentaire, j'espère que ce sera la bonne....
Merci à Micky pour ce texte à la fois léger et excitant. Je salue ce retour à la nature et souligne qu'un couple a toujours, s'il le veut, la possibilité de régénérer sa passion
Merci à Micky pour ce texte à la fois léger et excitant. Je salue ce retour à la nature et souligne qu'un couple a toujours, s'il le veut, la possibilité de régénérer sa passion
Lecture trés agréable, trés réaliste. Un bon moment.