Retour aux sources, Ernest le paysan ! 3

- Par l'auteur HDS Passud -
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Récit libertin : Retour aux sources, Ernest le paysan ! 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Retour aux sources, Ernest le paysan ! 3
Le lendemain du trio homosexuel, avec Ernest le paysan et son copain Bertrand, je me sens rassasié de sexe.

Mais je n'ai qu'une parole ! J'ai promis de passer voir Ernest tous les jours, sauf en cas de force majeure, et ce n'est pas le cas !

Donc, me voilà de nouveau sur le chemin de la ferme, comme un pénitent vers sa pénitence.
Je ne le trouve pas dans la grange, mais je l'entends râler contre une vache, qu'il doit surement traire.

Je le rejoins dans l'étable, l'odeur est désagréable, il me dit alors:

"Oh, t'es déjà là ? Attends-moi dans ma chambre ! J'en ai plus pour longtemps !".
"Ok, Ernest ! J'y vais !".
"Oh ! Au fait ! Tu peux déjà te foutre à poil ! Je me suis excité avec les photos, c'te nuit ! Ta p'tite chatte vas y avoir droit !".
"J'me doute ! Je t'attends !".

Je suis entre un désir excité et le plaisir forcé, mais je sais qu'une fois dans l'acte, je serai uniquement dans le bonheur anal et celui de la soumission, c'est ce qui compte !

Je me sens pervers d'aimer cette relation interdite, celle d'un paysan plus que cinquantenaire et moi, qui ai, à peine 20 ans.
Je sais aussi que le Week-end arrive dans deux jours, je serai alors, trop occupé pour lui rendre visite !
Mon anus pourra se remettre un peu ! Et ça me changera les idées !

J'entre dans sa chambre, les preuves photographiques de ma perversité sont posées sur la table de chevet.
Je me déshabille entièrement, puis les regarde longuement.

C'est le cas de le dire ! Il n'y a pas photo ! On me reconnait bien ! Même si la qualité des clichés est comme sur la plupart des Polaroids, pas excellente !
Mais, je comprends aussi pourquoi, il s'est branlé sur mon image.

On m'y voit lécher, sucer sa verge, gober ses testicules, puis, la gorge pénétrée et déformée par sa bite.

Enfin, c'est mon cul en gros plan, avant, pendant et après pénétration anale.
La différence est flagrante entre un anus fermé et sec, et le même béant, violacé et humide de jus de baise, au milieu de deux fesses rougies et malmenées.

Sur les suivantes, mon visage est couvert de sperme, puis sur la seconde, toujours maculé, empalé par sa verge afin d'avaler son jus.

Enfin d'autre plans divers, pris le lendemain, dont Bertrand, puis Ernest dans mon cul, ma bouche, les doubles fellations, doubles anales, et le sperme coulant de ma "chatte".
Je m'étonne moi-même de l'écartèlement de mon pauvre anus.

Je continue de lui faire confiance sur la confidentialité de tout cela.
Il vit un peu reclus, ses rares "sorties" sont pour aller faire des courses et baiser au bois avec des inconnus.
J'aurai pu, ne jamais le rencontrer, après tout !
Et passer des vacances bien plus banales, j'ai donc de la chance !

Le fait est, que toutes ces images de moi, me font bander !
Je m'excite d'être aussi vicieux ! J'ai le sentiment de faire partie d'un cercle d'initiés très fermé !
Je suis fier de mettre ces hommes dans cet état, et ainsi leur permettre d'assouvir leur vice avec mes orifices.

Je me caresse longuement, sans chercher à aller jusqu'à l'éjaculation, en attendant Ernest.
Un bon quart d'heure plus tard, il me surprend avec la main sur ma bite:

"Elles sont belles ! Tu trouves pas ?".
"Oui, elles sont sympas ! Je compte sur toi, pour les garder pour toi !".
"Pour sur ! J'vais pas les montrer à tout le monde ! Mais elles vont bien me servir, quand tu s'ras parti ! Mais, j'vois qu't'es déjà prête ! Ma p'tite salope !".

Il se déshabille à l'entrée de la chambre, laissant ses vêtements odorants, loin de nous.

Il me positionne à quatre pattes, me saisit la bite en érection, tout en me dévorant l'anus.
Me faire lécher le cul ainsi, me fait encore plus bander dans sa main, qui me branle doucement.
Malgré tout, son odeur est là ! Qui se va se mêler à nos effluves sexuelles.

"Hummm ! Ernest ! c'est bon, encore !".

A ce jeu, il gagne à tous les coups ! A présent, mon œillet s'ouvre naturellement, et j'ai envie qu'il me remplisse avec sa grosse verge !

"Hummm ! T'es bien ouvert là ! J'vais te la mettre directement ! On va se régaler encore ! Ma p'tite salope !".
"Arghhhhhhhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiii ! Orghhhhhhhhhhhh ! C'est bon ! Putain, j'adore quand tu m'encules ! T'as une bite de rêve !".
"Comme ta chatte ! Elle va me manquer ! Quand je l'aurai plus ! Tiens ! Prends ça, en attendant !".
"Arghhhhhhhhhhhhh ! Oui, encore !".

Et voila ! Comme je l'avais prévu, malgré mes réticences, je m'éclate malgré moi ! Je suis vraiment fait pour me faire prendre !
Oubliés, tous mes scrupules ! Je ne veux plus être ailleurs ! Je me fais démonter l'anus par un vieux paysan, et j'aime ça !

Au fil des jours, il gagne en endurance, plus il me baise, et plus, il le fait longtemps !
Il ne cesse de caresser ma queue en m'enculant, ce qui m'amène à maculer ses draps et ses doigts en éjaculant.

Il poursuit sa défonce anale en me donnant ses doigts à lécher.
Ensuite, il me possède dans d'autres positions, dont certaines, délicieusement humiliantes.

Dont le moment pervers d'une possession de ma gorge, alors que je suis couché sous lui.
Je dois respirer par le nez, ce qui augmente la puissance des odeurs de sexe et de fumier.

Pour terminer, il me déchire analement, au bord et contre son matelas, jusqu'à son explosion dans mes intestins.
Je suis épuisé, sa domination est toujours aussi totale, j'ai vécu une soumission sexuelle et verbale, intense.

J'attends patiemment qu'il termine sa longue insémination anale, je me sens bien.
Mes fesses sont rougies par ses saisies manuelles puissantes et quelques gifles sur mon cul.

Il se redresse et quitte mon anus béant, qui devient alors, ruisselant de foutre gluant et chaud.
Il saisit son appareil pour immortaliser l'instant, en gros plan et en vue éloignée.

"T'es trop belle, comme ça ! Ma p'tite salope !".

Il me féminise de plus en plus, il fait partie des premiers à me faire sentir femelle ponctuellement.
J'accepte ce rôle avec un certain plaisir !

Pour ne pas être incommodé chez ma tante, je rejette tout son jus, en poussant sur mon sphincter.
Il en profite, et reprend des photos, pendant que je pollue son sol !

Enfin, il pose l'appareil et s'allonge devant moi, m'attirant le visage vers son gros gland humide.

"Tu sais ce que je veux !".

Oh, oui, je sais ! Et je ne demande pas mieux ! Je me sens redevable du plaisir vécu, je remercie sa verge avec ma langue et ma gorge.
Il me couvre de mots pervers et tendres, j'avale ses dernières gouttes de sperme, en le léchant interminablement.

"J'adore te faire ça, Ernest ! Tu m'as bien enculé encore ! Moi aussi, j'ai pas envie de partir ! C'est tellement bon avec toi ! J'aime ta queue !".
"Hummmm ! Tu veux pas rester, alors ? Je m'occuperais bien de toi, tu sais !".
"Non, j'peux pas ! C'est gentil ! Mais c'est pas une vie rêvée, pour moi, tout ça ! En plus, ma tante habite à coté !".
"Ouais, j'me doute bien ! Dommage ! Orhhhhh ! Continues ! J'crois bien que j'vais pas débander !".

C'est vrai, que j'y mets peut être trop de cœur à l'ouvrage ! Sa verge n'a pas rétrécit, tout au long de cette très longue fellation ! Et voilà qu'elle a même, redurcit à l'extrême, depuis un moment ! Pour mon plus grand bonheur !

"Orhhhhhhhh ! C'est bon ! J'sens que ça r'monte ! Là ! Arghhhhhhhhh ! Continues !".

Il m'enfonce sur sa grosse bite avec ses deux mains, puis se secoue le bas ventre en criant.
Ma gorge se comble d'un délicieux gout de foutre chaud et légèrement salé.
Je gémis mon plaisir de recevoir le sien.

J'avale lentement, en faisant attention à ne pas contrarier l'explosion de sa semence.
Le moment est divin et intense, ses râles révèlent la puissance de sa jouissance dans ma bouche.
Je me sens fier de le faire jouir une seconde fois.

Lentement, ses doigts se mettent à caresser mes cheveux, je sais qu'il est bien, à présent.

"Oh, vin dieu ! C'que c'était bon ! Ben là ! C'est sûr, tu m'as bien vidé les couilles ! De dieu ! J'ai plus de force !".

Il me fait sourire ! Avec sa façon de parler, mais j'ai adoré ce moment, moi aussi !

On reprend de l'énergie en se câlinant et reparlant de notre relation, puis de lui.
Il m'apprend qu'il a vécu de courtes histoires avec des hommes du bois (lieu de rencontre), il me reparle de sa relation avec le jeune du village.
Celui qu'on a surpris en flagrant délit de fellation, à ses pieds. Il me révèle que ce jeune est revenu se faire enculer à chaque visite dans sa famille, à l'insu de sa femme ! Et cela pendant plus de trois ans !

"J'ai gardé le secret pour continuer de le baiser ! Mais, Il venait pas assez souvent ! A mon gout ! Ca me soulageait un peu ! C'est déjà ça ! Même si je préfère ta p'tite chatte !".
"Merci ! c'est gentil !".
"C'est normal ! J'me défoules bien avec toi ! T'es plus salope que lui ! C'était ben bon, encore !".

Le temps s'écoule vite, je dois rentrer chez ma tante.

"Bon ! J'peux partir alors ! T'as eu ton compte ? Parce que moi aussi, j'ai eu ma dose !".
"Ouais, tu peux y aller ! Tu r'viens d'main pour que j'te remette la même chose !".
"Putain ! Tu penses qu'à ça ! C'est pas possible !".
"Pas tant que ça ! C'est parce que tu m'plais beaucoup, surtout ! J'adore t'enculer, c'est comme ça !".
"Bon, ben alors, je dois assumer encore ! Putain !".
"C'est ça ! C'est ta faute ! C'est toi la putain !".

Je me prend le retour normal de ma façon de m'exprimer, typique du Sud de la France !
Je rentre, après une rapide toilette intime, et avec cette habituelle gêne anale, qui empêche mon petit trou de retrouver sa fermeture naturelle pendant un long moment.

Le lendemain, il m'a remis ça ! Mais pour changer, il m'a défoncé dans la cuisine, en se remémorant notre trio avec Bertrand.
Après m'avoir demandé (pendant qu'il m'enculait !), si je voulais bien recommencer notre trio, Il m'a informé qu'il l'inviterai Bertrand à venir, dès qu'il pourrait se libérer.

J'ai pu assouvir de nouveaux, leurs phantasmes pervers.
Cela se fera, une douzaine de jours plus tard, une fois, nos plannings bien calés !

C'est comme ça, que j'ai enfin appris, que Bertrand était marié et tenait un garage à 40 km de là !
Ca expliquai son odeur métallique et graisseuse !
Paradoxalement, c'était la troisième fois qu'il profitait de moi, mais ça, je le raconterai dans la suite !

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