Retour chez elles (Alice et Margot 2) - histoire érotique

Margot la première se releva. Elle retourna au banc et repris sa robe. Après l’avoir enfilée, elle me tendit juste ma cravate. Comme si ce seul morceau de tissu pouvait me vêtir. Elle se retourna et me présenta son dos relevant ses cheveux de la main.
-Tu refermes ma robe ?
-Déjà ?
-Pour te donner la chance de l’enlever à nouveau.
Elle me sourit par-dessus son épaule.
Alice s’approcha derrière moi, posa une main sur mes fesses nues tandis que l’autre passa entre Margot et moi. Elle vint effleurer mon sexe au repos.
-Déjà fatigué tout ça ? Tu rentres avec nous ?
-Je suis en voiture. Je vous raccompagne si vous voulez. Ou bien vous me dites où vous habitez.
-Alice va venir avec toi pour t’indiquer le chemin. Moi je rentre avec notre voiture.

Alice à mon bras droit, Margot à mon gauche, nous allâmes jusqu’au parking. On était garé par hasard près l’un de l’autre. De loin, nous pûmes voir le couple qui nous avait surpris s’engueuler. Lorsqu’à leur tour ils nous virent, elle vint vers nous. Lui cria derrière elle. Mais elle se retourna pas vers lui.
-Ah mais c’est Alex.
-Tu ne m’avais pas reconnue, Margot ?
-Je dois dire qu’on avait d’autres choses en tête. Et puis vos visages étaient cachés par l’ombre des feuilles. Tandis que nous on devait être en pleine lumière sous la lune.
-Ah ça oui. On voyait bien la scène… très jolie d’ailleurs.
La réflexion d’Alex nous fit tous les trois sourire. C’était une grande blonde. Son visage très fin avait quelque chose de très attirant. Il débordait de féminité. Ses cheveux, long sur le haut de son crâne, étaient, sur l’un des côtés de son visage, rasés court assez haut haut dessus de son oreille. Le profond décolleté de ses vêtements laissait deviner une poitrine menue sur laquelle elle ne portait rien d’autre que sa veste. Elle avait -Vous me redéposez ? Je me casse de ce mariage. Et monsieur a qu’à rester seul… ou même accompagné s’il veut. Je m’en fous, je serai pas la pour l’accueillir.
-Oulà ça chauffe entre vous… Mais bien sûr qu’on te ramène. Monte.
Alex monta dans la Mini de Margot et les deux filles s’en allèrent. Son copain partait de son côté. Mais Alice l’interpella.
-Ca te dérange pas si je vais vite lui causer ? Attends-moi une seconde.
-Pas de problème vas-y, je suis là.
Alice courut dans sa direction et discuta 5 minutes avec lui avant de revenir à la voiture.
-C’est un chouette gars. Alex est peut-être un peu trop… forte et imprévisible pour lui. Mais ils s’en remettront. On a l’habitude avec eux.

Alice s’alluma une cigarette et ouvrit la fenêtre de la voiture. Je démarrai et nous partîmes du mariage.
-Et donc, Margot et toi, vous êtes en couple ou c’est juste comme ça ou quoi en fait ?
-Garçon curieux ? On se connait depuis très longtemps, depuis le début de notre adolescence. On a appris d’abord à embrasser en s’entrainant l’une sur l’autre. Et puis on a été un peu plus loin… Et on a continué à apprendre plein de choses ensemble. Très vite on s’est dit que la drague, la séduction, le sexe étaient trop gais que pour s’enfermer dans des canevas. Est-ce que t’es hétéro, homo, bi, trans ou je sais pas quoi, c’est que tes concepts. Et pendant que tu te prends la tête, tu ne profites pas. Donc on vit ensemble, on baise ensemble, c’est mon amie mais on n’est pas un couple de lesbiennes. Au contraire, on aime les mecs comme les filles et chacune cueille ce qu’elle a envie de cueillir.
Tout en parlant, elle était venue prendre ma main sur le changement de vitesse et l’avait posée entre ses cuisses. Elle n’avait visiblement pas remis sa petite culotte. Elle me regardait avec un grand sourire.

Elle m’embrassa dans le coup.
Mes doigts allaient et venaient le long de ses grandes lèvres. Elle s’enfonça un peu dans le fauteuil de la voiture pour mieux écarter ses cuisses. Je descendis ma main à la rencontre de son bijou anal et recommençai mon petit jeu de tout à l’heure. Ca avait l’air de lui plaire puisqu’elle serra les jambes autours de ma main en réflexe.
-Et toi ? Prêt à te donner aux premières venues, n’importe où sans réfléchir ? Tu ne t’encombres pas non plus beaucoup de scrupules et de questionnements, apparemment ?
-J’avais loupé le coche une fois avec vous. Je m’en suis voulu des années. J’avais 17 ans, on était jeune. Alors pas question de laisser passer ma chance une seconde fois…Elle gémit mais retira ma main d’où elle était. Elle se tourna d’un quart de tour sur son siège et se retrouva face à moi. Elle ouvrit ma braguette et sorti sans prévenir mon sexe qui était redevenu bien dur alors que je doigtais sa chatte.
-Tu as déjà jouis en conduisant ?
Sans attendre de réponse elle se pencha sur mon gland et l’avala.
Elle retira sa bouche et vint mordiller le bout de ma queue. Sa langue passa et repassa sur le haut de mon sexe avant qu’elle ne descendit le long de ma verge.
-Mmmmm ! Tu as encore mon goût en bouche…Elle attrapa presqu’aussitôt mes couilles et commença à les malaxer. Bientôt, l’une d’elle disparu dans sa bouche.
Je commençais à avoir du mal à me concentrer sur ma conduite. Ses lèvres embrassèrent mes bourses. Sa main, elle tentait d’aller le plus loin possible entre mes fesses. Le bout de son doigt parvint à effleurer mon petit trou. Mais impossible vu notre position à chacun d’explorer plus cette petite zone. Elle remonta se tête et enfourna à nouveau ma bite. Elle me baisait avec sa bouche.

-Il parait que je suce divinement bien ?
-Je confirme.
Elle me suçait de plus en plus vite alors que de sa main, elle branlait ma queue quand elle sortait de sa bouche. Je sentis vite que j’allais gicler. La route commençait à devenir trouble. Je devais me concentrer. Mais sur quoi ? Sur la route ou sur sa bouche ?
La tête plaquée contre l’appuie-tête, je dus donner un grand coup de volant pour changer de bande à la dernière seconde et dépasser un camion qui roulait bien plus lentement que je ne le pensais. Heureusement c’était le milieu de la nuit et il n’y avait personne sur la route.
-Hola, il se passe quoi là haut ?
-Tu me fais perdre le contrôle.
-J’aime prendre le contrôle…Elle me branlait maintenant de manière frénétique. Si bien que je ne pus me retenir plus longtemps. Je jouis à grands jets dans sa bouche. Mon sperme sortait par le côté de ses lèvres refermées sur mon gland et dégoulinait entre ses doigts. Il coulait sur mon ventre, mon caleçon et les pans de mon pantalon. Alice elle, caressait maintenant délicatement ma bite qui était occupée à se remettre au repos. Elle se releva et arborait un visage satisfait. Elle avait l’air content d’elle.
-Sors ici et prend à droite.
Comme si de rien n’était.