Retour dans la région de ma jeunesse
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
- • 68 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.5 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.3
- • L'ensemble des récits érotiques de Mic79 ont reçu un total de 812 842 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2020 dans la catégorie Pour la première fois
Cette histoire de sexe a été affichée 6 183 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Retour dans la région de ma jeunesse
Le retour dans ma région d’origine et la rencontre avec un très vieil ami ont fait resurgir des souvenirs, parfois très triste (la perte d’un ami par accident alors que nous venions de fêter ses 20 ans,) mais aussi dieu merci des souvenirs plus coquins, c’est l’un deux que je vais essayer de transcrire.
Nous étions trois amis, très soudés, vivant dans la même rue et pratiquant le même sport, à savoir le judo. Tout d’abord Marion,18 ans, une belle plante, ceinture noire, notre modèle au club, Marc, 17 ans, très beau garçon, ayant beaucoup de succès avec les filles du lycée et moi-même, 17 ans.
Nous habitions au bord de la mer et dès que le temps le permettait, nous allions nous baigner, dans une petite crique, peu fréquentée en raison d’une marche assez longue pour y arriver. Il n’y avait aucune ambiguïté sur nos relations, simplement très amis, même si Marc, je le savais ,était très réceptif à la beauté de Marion, mais pour elle, seule à priori comptait sa progression dans le judo, car elle voulait en faire sa profession ; son rêve : entrainer une équipe féminine au plus haut niveau, ce qu’elle a finalement réaliser plus tard.
Ce jour-là, nous étions comme à notre habitude allongés sur le sable,en maillot de bain après notre piquenique et Marc a commencé à embêter Marion, ce qui était fréquent, mais cela n’allait jamais bien loin, car, bien plus forte que nous, elle avait toujours le dernier mot, nos ‘’bagarres’’ se terminant toujours par une belle prise de judo de sa part, nous mettant très vite à terre. Marion, au milieu de nous, se débattait pour se libérer de l’emprise de Marc, quand un sein a jailli de son haut de maillot. Ce n’était pas la première fois que nous pouvions les voir, car sans gêne, elle se changeait devant nous après s’être baignée. Elle avait de très beaux seins , en forme de poire, un 90b, avec une belle auréole et au centre un téton assez saillant. Par contre, là, Marc a posé sa main sur le mamelon découvert, sans qu’elle réagisse, y compris quand il a commencé à lui titiller le téton qui prenait de la grosseur ; manifestement elle acceptait qu’il lui pétrisse le sein ; le regard brillant, elle s’est tournée vers moi :« Tu sais j’ai deux seins alors profites en » J’ai mis quelques secondes avant de réaliser et finalement c’est elle, écartant son maillot, découvrant ainsi totalement sa poitrine, m’a pris la main et l’a posée sur son sein libre. Si j’avais déjà ploté la poitrine de certaines de mes copines, là elle s’offrait, à notre grande surprise. Marc, lui avait compris, et se penchant, sa bouche s’est posée sur le téton pour le sucer, ce qui rapidement a déclenché quelques gémissements. Finalement j’ai compris et en parallèle ma bouche s’est posé sur le deuxième, alors que ma main a commencé à lui caresser le ventre, plat et doux au toucher, jusqu’à la lisière de son bas de maillot.
Alors que mes doigts essayaient de franchir l’élastique de son maillot, Marc lui a investi sa bouche pour un baiser fougueux sa langue essayant de pénétrer, finalement avec succès ; manifestement elle avait décidé de se laisser faire car doucement ma main s’est infiltrée sous la culotte, pour découvrir un pubis, sans aucun poil ; si elle avait été moins occupée à sortir la queue de marc, elle aurait pu constater que moi aussi j’avais la verge comprimée dans mon boxer.
Les bras enserrant sa tête, elle avait gobé son chibre, l’enfonçant profondément en elle ; j’avais le chemin libre pour qu’un doigt lui écarte le petites lèvres ; pour la première fois, je découvrais la présence d’un petit sexe, si je savais que c’était son clito, c’était nouveau pour moi. Sous la progression de ma main, elle s’est cambrée, facilitant ainsi l’intrusion de deux puis de trois doigts dans sa chatte assez dilatée ; manifestement ce n’était pas la première pénétration. Lui retirant son maillot, je pouvais découvrir sa chatte, d’où sortait, assez proéminant, son clito, alors que mes doigts s’enfonçaient de plus en plus en elle. Novice, je n’osais pas la pénétrer plus profondément car malgré tout, mes doigts l’écartelaient largement et j’avais peur de lui faire mal ; quel idiot j’étais, car quittant le chibre qu’elle suçait, elle m’a regardé puis :« Vas-y, enfonce ta main, j’ai envie, fiste moi profondément « Je ne connaissais pas le mot, mais se cambrant, elle a avancé son bassin et presque naturellement ma main s’est enfoncée en elle, enserrant mon poignet ; surpris, ma main restait immobile quand à nouveau elle m’a encouragée :Vas-y défonce moi, branle ma chatte jusqu’au fond, fait moi jouir »Je venais de découvrir qu’elle avait envie que ma main lui procure du plaisir, à l’intérieur de son vagin, et accompagné par ses mouvements de bassin, j’ai commencé à lui ramoner, déclenchant chez elle, une jouissance accompagnée d’un puissant jet de cyprine. Tout en la branlant, j’avais sorti ma queue, bandée, le gland décalotté. Soudain j’ai entendu Marc grogner et le regardant, j’ai pu voir qu’il venait de jouir dans sa bouche, des coulures blanchâtres, s’écoulant autour du sexe encore en elle.
S’écartant de lui, elle a largement écarté les cuisses, dévoilant ainsi son sillon, dégoulinant de son plaisir récent. Apercevant ma tige bandée, elle l’a prise en main et la guidant à l’entrée de sa grotte, nous fixant intensément, elle a jouté« J’ai envie que vous me preniez tous les deux, à toi jean de commencer « Elle frottait mon gland contre sa vulve béante après s’être fait fister et d’un coup de rein, elle s’est empalée sur mon vit, avant de m’agripper le dos :« Baise moi, fait moi jouir je suis à vous, profites »Je venais de perdre mon pucelage et il ne m’a pas fallu longtemps pour que je comprenne qu’il me fallait la pénétrer profondément ; sans ménager ma force, je l’ai baisée, déclenchant des râles chez elle, mais trop excité, je n’ai pu me retenir et m’enfonçant en elle, je l’ai ensemencée de plusieurs et forts jets de sperme. À chaque jet, je la sentais vibrer. Heureusement je n’ai pas débandé immédiatement et continuant à la pourfendre, finalement elle a joui bruyamment, me griffant le dos, alors que je jutais pour le deuxième fois Ma performance n’avait sans doute pas été à la hauteur de son attente, mais j’étais heureux car pour la première fois, je venais de faire jouir une femme. Alors que je débandais doucement en elle, elle m’a attiré et m’embrasant fougueusement,« Rassure-toi, j’ai pris beaucoup de plaisir, et je suis sûr que tu vas bientôt remettre cela, mais maintenant je dois m’occuper de Marc, car je vois qu’il a repris de la vigueur. »Cette journée, nous avons pu la prendre plusieurs fois, s’offrant non seulement à nos possessions, mais aussi offrant sa chatte à nos bouches, alors que nous venions de la féconder. Tard dans la soirée, nous nous sommes séparés, heureux de notre après-midi, souhaitant qu’elle se renouvelle, mais quelques jours plus tard, elle nous a annoncé son départ, à notre grand regret.
Ma douce épouse a constaté mon émotion, mais aussi sa concrétisation dans mon pantalon, et c’est dans le même lieu que je lui ai raconté ma première expérience ; très excitée, elle aussi, elle s’est déshabillée et sur cette plage pleine de souvenir, elle s’est à son tour offerte.
Très honnêtement j’ai été beaucoup plus performent, sans doute l’expérience
Nous étions trois amis, très soudés, vivant dans la même rue et pratiquant le même sport, à savoir le judo. Tout d’abord Marion,18 ans, une belle plante, ceinture noire, notre modèle au club, Marc, 17 ans, très beau garçon, ayant beaucoup de succès avec les filles du lycée et moi-même, 17 ans.
Nous habitions au bord de la mer et dès que le temps le permettait, nous allions nous baigner, dans une petite crique, peu fréquentée en raison d’une marche assez longue pour y arriver. Il n’y avait aucune ambiguïté sur nos relations, simplement très amis, même si Marc, je le savais ,était très réceptif à la beauté de Marion, mais pour elle, seule à priori comptait sa progression dans le judo, car elle voulait en faire sa profession ; son rêve : entrainer une équipe féminine au plus haut niveau, ce qu’elle a finalement réaliser plus tard.
Ce jour-là, nous étions comme à notre habitude allongés sur le sable,en maillot de bain après notre piquenique et Marc a commencé à embêter Marion, ce qui était fréquent, mais cela n’allait jamais bien loin, car, bien plus forte que nous, elle avait toujours le dernier mot, nos ‘’bagarres’’ se terminant toujours par une belle prise de judo de sa part, nous mettant très vite à terre. Marion, au milieu de nous, se débattait pour se libérer de l’emprise de Marc, quand un sein a jailli de son haut de maillot. Ce n’était pas la première fois que nous pouvions les voir, car sans gêne, elle se changeait devant nous après s’être baignée. Elle avait de très beaux seins , en forme de poire, un 90b, avec une belle auréole et au centre un téton assez saillant. Par contre, là, Marc a posé sa main sur le mamelon découvert, sans qu’elle réagisse, y compris quand il a commencé à lui titiller le téton qui prenait de la grosseur ; manifestement elle acceptait qu’il lui pétrisse le sein ; le regard brillant, elle s’est tournée vers moi :« Tu sais j’ai deux seins alors profites en » J’ai mis quelques secondes avant de réaliser et finalement c’est elle, écartant son maillot, découvrant ainsi totalement sa poitrine, m’a pris la main et l’a posée sur son sein libre. Si j’avais déjà ploté la poitrine de certaines de mes copines, là elle s’offrait, à notre grande surprise. Marc, lui avait compris, et se penchant, sa bouche s’est posée sur le téton pour le sucer, ce qui rapidement a déclenché quelques gémissements. Finalement j’ai compris et en parallèle ma bouche s’est posé sur le deuxième, alors que ma main a commencé à lui caresser le ventre, plat et doux au toucher, jusqu’à la lisière de son bas de maillot.
Alors que mes doigts essayaient de franchir l’élastique de son maillot, Marc lui a investi sa bouche pour un baiser fougueux sa langue essayant de pénétrer, finalement avec succès ; manifestement elle avait décidé de se laisser faire car doucement ma main s’est infiltrée sous la culotte, pour découvrir un pubis, sans aucun poil ; si elle avait été moins occupée à sortir la queue de marc, elle aurait pu constater que moi aussi j’avais la verge comprimée dans mon boxer.
Les bras enserrant sa tête, elle avait gobé son chibre, l’enfonçant profondément en elle ; j’avais le chemin libre pour qu’un doigt lui écarte le petites lèvres ; pour la première fois, je découvrais la présence d’un petit sexe, si je savais que c’était son clito, c’était nouveau pour moi. Sous la progression de ma main, elle s’est cambrée, facilitant ainsi l’intrusion de deux puis de trois doigts dans sa chatte assez dilatée ; manifestement ce n’était pas la première pénétration. Lui retirant son maillot, je pouvais découvrir sa chatte, d’où sortait, assez proéminant, son clito, alors que mes doigts s’enfonçaient de plus en plus en elle. Novice, je n’osais pas la pénétrer plus profondément car malgré tout, mes doigts l’écartelaient largement et j’avais peur de lui faire mal ; quel idiot j’étais, car quittant le chibre qu’elle suçait, elle m’a regardé puis :« Vas-y, enfonce ta main, j’ai envie, fiste moi profondément « Je ne connaissais pas le mot, mais se cambrant, elle a avancé son bassin et presque naturellement ma main s’est enfoncée en elle, enserrant mon poignet ; surpris, ma main restait immobile quand à nouveau elle m’a encouragée :Vas-y défonce moi, branle ma chatte jusqu’au fond, fait moi jouir »Je venais de découvrir qu’elle avait envie que ma main lui procure du plaisir, à l’intérieur de son vagin, et accompagné par ses mouvements de bassin, j’ai commencé à lui ramoner, déclenchant chez elle, une jouissance accompagnée d’un puissant jet de cyprine. Tout en la branlant, j’avais sorti ma queue, bandée, le gland décalotté. Soudain j’ai entendu Marc grogner et le regardant, j’ai pu voir qu’il venait de jouir dans sa bouche, des coulures blanchâtres, s’écoulant autour du sexe encore en elle.
S’écartant de lui, elle a largement écarté les cuisses, dévoilant ainsi son sillon, dégoulinant de son plaisir récent. Apercevant ma tige bandée, elle l’a prise en main et la guidant à l’entrée de sa grotte, nous fixant intensément, elle a jouté« J’ai envie que vous me preniez tous les deux, à toi jean de commencer « Elle frottait mon gland contre sa vulve béante après s’être fait fister et d’un coup de rein, elle s’est empalée sur mon vit, avant de m’agripper le dos :« Baise moi, fait moi jouir je suis à vous, profites »Je venais de perdre mon pucelage et il ne m’a pas fallu longtemps pour que je comprenne qu’il me fallait la pénétrer profondément ; sans ménager ma force, je l’ai baisée, déclenchant des râles chez elle, mais trop excité, je n’ai pu me retenir et m’enfonçant en elle, je l’ai ensemencée de plusieurs et forts jets de sperme. À chaque jet, je la sentais vibrer. Heureusement je n’ai pas débandé immédiatement et continuant à la pourfendre, finalement elle a joui bruyamment, me griffant le dos, alors que je jutais pour le deuxième fois Ma performance n’avait sans doute pas été à la hauteur de son attente, mais j’étais heureux car pour la première fois, je venais de faire jouir une femme. Alors que je débandais doucement en elle, elle m’a attiré et m’embrasant fougueusement,« Rassure-toi, j’ai pris beaucoup de plaisir, et je suis sûr que tu vas bientôt remettre cela, mais maintenant je dois m’occuper de Marc, car je vois qu’il a repris de la vigueur. »Cette journée, nous avons pu la prendre plusieurs fois, s’offrant non seulement à nos possessions, mais aussi offrant sa chatte à nos bouches, alors que nous venions de la féconder. Tard dans la soirée, nous nous sommes séparés, heureux de notre après-midi, souhaitant qu’elle se renouvelle, mais quelques jours plus tard, elle nous a annoncé son départ, à notre grand regret.
Ma douce épouse a constaté mon émotion, mais aussi sa concrétisation dans mon pantalon, et c’est dans le même lieu que je lui ai raconté ma première expérience ; très excitée, elle aussi, elle s’est déshabillée et sur cette plage pleine de souvenir, elle s’est à son tour offerte.
Très honnêtement j’ai été beaucoup plus performent, sans doute l’expérience
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Mic79
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...