Retour de brousse 4 la salle de jeux
Récit érotique écrit par Scrup89 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2019 dans la catégorie Plus on est
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Retour de brousse 4 la salle de jeux
Retour de brousse 4 La salle de jeux
Tout le monde a en mémoire le dîner passé sous la table. Moi, en tout cas, je m’en souviendrai. Curieusement, la nuit qui a suivi, je me suis retrouvé seul dans ma case ; je m’étais pourtant bien gardé de fermer à clef, espérant avoir quelque visite. Je pensais à Honorine. Eh bien, non, elle a passé la nuit ailleurs.
Ce n’est même pas elle qui est venue m’apporter mon café le matin. Une autre petite bonne, une jolie noiraude elle aussi. Légère et court vêtue, comme on dit. En fait, pratiquement pas vêtue, ferait on mieux de dire. Un string noir, comme le corps, et un tablier de servante, blanc à dentelles, avec une partie haute sensée cacher les nénés. Mais qui ne cache rien, en fait. Et, comme souvent, une ligne de scarifications rituelles sur le visage.
- Bonjour, Monsieur Gregory, je remplace Honorine ce matin. Vous la reverrez tout à l’heure. Elle se prépare pour une partie de flipper.
- De flipper ? Quelle idée !
- Oui, c’est un drôle de jeu, vous verrez. Moi, je m’appelle Apolline.
- Joli nom.
- Merci.
- Et le deuxième prénom ?
- Yasmina. C’est d’origine musulmane.
- Pas de voile ?
- Jamais.
Inutile de me faire un dessin, j’ai compris… Ce matin, inutile de l’appeler Apolline, ce sera Yasmina-la-Cochonne. Et elle ne se fait pas prier, la petite salopeQuel joli petit cul … Magnifique ! Et les nénés ? A moitié cachés, mais de vrais petits obus. Si j’osais, je lui dirais « A poil, Yasmina, tout de suite !» Et je n’ose pas….
Il faut dire que, en t-shirt de nuit, caleçon tout fripé, et pas encore douché, je ne me sens pas séducteur. Bien au contraire.
- Je vais ranger un peu, pendant que vous passez sous la douche.
- Entendu, Yasmina, lui dis-je sans arrière-pensée trop visible.
Après quelques minutes d’eau chaude bienfaisante et de gel parfumé, toujours sous l’eau de la douche, j’aperçois dans la vapeur d’eau un string qui tombe par terre, un tablier qui s’envole. Pas le temps de réfléchir, le pare-douche s’entrouvre et « elle » vient tout contre moi…En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, ma bite est prise en main, en bouche, les deux … je craignais de ne pas bander vu ce que j’ai fait hier soir, c’est raté. Dur comme un bois d’ébène. Et Yasmina qui me branle, puis qui me prend la bite à pleine main, la glisse dans sa chatte et se masturbe littéralement sur mon mandrin et qui hurle « Vas-y, Vas-y, fais moi mal … J’adore ». Ca m’excite au plus haut point, « Continue, continue… fais moi jouir, et après tu me mettras la main dans le cul ! » J’essaie, un doigt, deux doigts, ça résiste. Non, ça y est je la possède dans chaque trou. Je ne savais même pas que c’était possible.
- « J’arrête ? Tu as mal ?
- Oui, j’ai mal. Non, n’arrête pas. Ce soir c’est moi qui passe à la broche, je crois bien, ce sera bien pire; prépare moi à fond.
- A la broche ? On va te manger ?
- Pas vraiment, mais tu verras, c’est terrible !
- …- Je jouis, je jouis, je jouis du vagin, je jouis du cul, bourre moi, tourne bien, c’est super bon !»Et tout d’un coup, stop, Yasmina s’effondre. Et ma bite ramollit, je n’ai pas juté, je ne vais quand même pas me branler ; il y aura bien d’autres animations. Dans l’immédiat je douche Yasmina – redevenue Appoline – très doucement, presque tendrement, je la rhabille si l’on peut dire, et nous nous quittons sur un baiser langoureux.
Fin de l’épisode Yasmina. Attendons la suite.
Qu’est devenue Awa-Honorine ? Ah, je l’aperçois. Petite tenue comme d’habitude, mais on lui passe un grand pagne, une sorte de poncho tout noir. Seule la tête dépasse, ça change. C’est à ce moment qu’apparaissent Jean et ses deux invités. Sur un signe je me joins à eux ; il est 10 heures du matin. Café noir, viennoiseries, jus de fruits pour tout le monde. C’est Yasmina-Appoline qui se charge du service. Sa collègue, dans son poncho, est immobile dans son coin. Elle a l’air d’avoir peur.
Direction la salle de jeux. Je n’y suis pas encore entré. Mais, tout de suite, j’aperçois le flipper. En fait, il n’y a que le tableau lumineux. Pas de piste pour les boules ; juste une sorte de bâti en bois et en plastique. Au tableau, qui est allumé, on peut lire le nom du jeu. « Endurance ». Et, juste en dessous, l’indication « 1h 00mn 00 sec »- « En piste, Awa, dit Jean » .
Inutile de lui expliquer ; elle sait quel est son rôle. Elle se place face au tableau lumineux, se penche en avant de manière que seul son dos soit visible. On lui passe un baillon et on immobilise sa tête. Elle est totalement captive. U>n objet. C’est son dos et son fessier qui occupent l’emplacement habituel des pistes où circulent les boules d’acier. D’ailleurs, il y en a quelques-unes dans un petit seau, des billes d’acier..
Jean la met bien en place, se positionne comme s’il voulait la baiser en levrette, et la tient aux hanches. Exactement comme un joueur de flipper. Il lui passe une sorte de poire avec un fil électrique et fait un essai. Un interrupteur. Tant qu’on maintient la pression, le tableau reste allumé, et la musique se fait entendre. Si on relâche, tout s’arrête. Tilt !
- « Le but du jeu, prendre Awa comme on veut, dans la fente ou dans l’anus, et la secouer comme un flipper avec les mains, la bite, à volonté et sans ménagement ; on peut même la fesser elle aime ça, mais elle ne doit pas lâcher la poire. Sinon, ça tilte, et pour la punir on lui enfile une bille d’acier. Et on recommence. Il faut qu’elle tienne le temps qui est marqué en bas de l’écran. 1h00mn. Et 5 mn de plus pour chaque bille d’acier.
Nous sommes trois ; Amidou est toujours en djellaba comme hier soir, Jean en bermuda blanc, et moi, en pantalon de toile.
A toi l’honneur, Gregory ».
La Sultane et Bénédicte regardent ces préparatifs avec intérêt et effroi, car elles ont compris que ce sera peut-être leur tour plus tard, le week-end n’est pas terminé.
Je me place derrière Awa, Jean enlève d’un coup le pagne noir et déchire en deux la mini culotte qui, il est vrai, ne protégeait pas grand-chose. Et c’est parti … Je me connais, ce n’est pas moi qui vais tenir le plus longtemps . Surtout que Yasmina m’a bien excité et ne m’a pas fini. J’y vais, je prends sa chatte à fond et je « flippe » sur les fesses à tour de bras. Putain, c’est bon, une petite fessée consentante, je ne peux pas me retenir, c’était prévisible ; et j’envoie une giclée de foutre bien crémeuse au fond des entrailles. Je n’ai pas du lui faire bien mal, car elle n’a pas tilté une seule fois. Je sens que, très vite, quelqu’un est prêt à prendre ma place. Pas de doute, c’est Jean, il en profite pour me malaxer les couilles ; le cochon veut m’essorer totalement. D’un geste il fait signe à Bénédicte de me finir ; pour sûr, il ne reste rien.
Quant à la pauvre Awa, elle se prend une deuxième tige dans la fente. Bien dure, bien longue, effilée comme un poinçon, j’en sais quelque chose, et il la secoue dans tous les sens. Et les claques n’en finissent pas. Tilt !!! Elle se prend une bille d’acier. Dans le cul ? Non, dans la chatte. On a l’impression qu’il réserve l’anus pour plus tard.
A Amidou maintenant. J’avais déjà vu son engin et j’avais été impressionné. Là je vois devant moi l’outil. C’est géant ; il est vrai que les Mandingues sont balèzes. D’ailleurs Bénédicte se tourne, elle ne veut pas voir. C’est trop gros, trop long. Et la Sultane, qui connaît bien cet outil, se frotte les mains. Mieux que ça, elle va elle-même pointer l’énorme bite et le mettre en place. Elle la guide, ses doigts l’enserrent pour qu’elle aille droit au but, elle l’essuie un peu pour assécher le passage et que ça fasse un peu plus mal. Sadique ! J’aperçois Awa, son visage, ses yeux exorbités, sa bouche baillonnée. Pas un cri, pas un mouvement de tête elle est bloquée. Et deux bonnes claques de part et d’autre pour attendrir le fessier, et tout d’un coup le mandrin s’enfonce en entier. Et la pauvre est ballotée dans tous les sens, fessée des deux côtés, et ça rentre et ça sort… et elle résiste, elle ne lache pas sa pression sur l’interrupteur. L’autre est increvable. La Sultane en redemande ; elle vient tâter les couilles de son étalon, et profite d’un mouvement de recul d’Amidou pour l’écarter du sexe d’Awa et le présenter au trou du cul. Pas ça, c’est trop gros… Il va lui perforer le boyau, ma parole. C’est toujours la Sultane qui opère, elle veut du sans bavure. Elle enduit le petit trou d’une goutte de mouille récoltée dans la chatte, ajuste l’outil, bien en face. Et … c’est l’estocade.
La bite entre d’un coup, elle doit avoir le boyau drôlement long la petite. En tout cas ça a l’air de lui faire mal, elle ne bouge plus, inerte comme un jouet cassé. C’est l’autre qui reprend la main ; il n’arrête pas. On se demande comment elle supporte. Et, d’un coup, elle ne supporte plus. Elle relâche sa pression, le flipper s’éteint ; elle se reprend, mais au bout de deux secondes elle relâche tout. Tilt !!! Amidou se retire, putain quel engin on dirait un membre de zèbre, il enfile une bille d’acier dans le cul. Le flipper ne se rallume pas, il y a eu deux tilts il faut deux boules. Pas grave, une deuxième bille dans l’anus. Notre Awa est maintenant plombée : deux billes dans le cul, une dans la chatte qui est bien au fond et refuse de sortir, et un phallus énorme qui va pilonner tout ça. Heureusement, l’heure de supplice est terminée. Il ne reste plus que les 3x5 mn de pénalité.
Serre les dents ma petite, serre les fesses. Ouf !
Temps écoulé. Awa s’écroule.
Quant à Amidou, il bombe le torse dans son coin, un verre de whisky à la main; et il bande encore. C’est la Sultane qui s’en charge. Increvables, je vous dis.
Compatissante, Yasmina se précipite, aide sa copine à se vider tellement elle a pris de sperme dans ses deux orifices, et l’emmène jusqu’à la piscine.
- « J’ai tenu ?
- Oui, dur dur, mais tu as tenu.
- Je vais te dire un secret, le Mandingue il m’a fait mal, très mal même dans le cul, mais c’est drôlement bon.
- Bon à savoir, ce soir il y a un petit train au programme. Mais je ne sais pas quel poste j’aurai.
- On verra bien ».
Fin de l’épisode Flipper.
Tout le monde a en mémoire le dîner passé sous la table. Moi, en tout cas, je m’en souviendrai. Curieusement, la nuit qui a suivi, je me suis retrouvé seul dans ma case ; je m’étais pourtant bien gardé de fermer à clef, espérant avoir quelque visite. Je pensais à Honorine. Eh bien, non, elle a passé la nuit ailleurs.
Ce n’est même pas elle qui est venue m’apporter mon café le matin. Une autre petite bonne, une jolie noiraude elle aussi. Légère et court vêtue, comme on dit. En fait, pratiquement pas vêtue, ferait on mieux de dire. Un string noir, comme le corps, et un tablier de servante, blanc à dentelles, avec une partie haute sensée cacher les nénés. Mais qui ne cache rien, en fait. Et, comme souvent, une ligne de scarifications rituelles sur le visage.
- Bonjour, Monsieur Gregory, je remplace Honorine ce matin. Vous la reverrez tout à l’heure. Elle se prépare pour une partie de flipper.
- De flipper ? Quelle idée !
- Oui, c’est un drôle de jeu, vous verrez. Moi, je m’appelle Apolline.
- Joli nom.
- Merci.
- Et le deuxième prénom ?
- Yasmina. C’est d’origine musulmane.
- Pas de voile ?
- Jamais.
Inutile de me faire un dessin, j’ai compris… Ce matin, inutile de l’appeler Apolline, ce sera Yasmina-la-Cochonne. Et elle ne se fait pas prier, la petite salopeQuel joli petit cul … Magnifique ! Et les nénés ? A moitié cachés, mais de vrais petits obus. Si j’osais, je lui dirais « A poil, Yasmina, tout de suite !» Et je n’ose pas….
Il faut dire que, en t-shirt de nuit, caleçon tout fripé, et pas encore douché, je ne me sens pas séducteur. Bien au contraire.
- Je vais ranger un peu, pendant que vous passez sous la douche.
- Entendu, Yasmina, lui dis-je sans arrière-pensée trop visible.
Après quelques minutes d’eau chaude bienfaisante et de gel parfumé, toujours sous l’eau de la douche, j’aperçois dans la vapeur d’eau un string qui tombe par terre, un tablier qui s’envole. Pas le temps de réfléchir, le pare-douche s’entrouvre et « elle » vient tout contre moi…En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, ma bite est prise en main, en bouche, les deux … je craignais de ne pas bander vu ce que j’ai fait hier soir, c’est raté. Dur comme un bois d’ébène. Et Yasmina qui me branle, puis qui me prend la bite à pleine main, la glisse dans sa chatte et se masturbe littéralement sur mon mandrin et qui hurle « Vas-y, Vas-y, fais moi mal … J’adore ». Ca m’excite au plus haut point, « Continue, continue… fais moi jouir, et après tu me mettras la main dans le cul ! » J’essaie, un doigt, deux doigts, ça résiste. Non, ça y est je la possède dans chaque trou. Je ne savais même pas que c’était possible.
- « J’arrête ? Tu as mal ?
- Oui, j’ai mal. Non, n’arrête pas. Ce soir c’est moi qui passe à la broche, je crois bien, ce sera bien pire; prépare moi à fond.
- A la broche ? On va te manger ?
- Pas vraiment, mais tu verras, c’est terrible !
- …- Je jouis, je jouis, je jouis du vagin, je jouis du cul, bourre moi, tourne bien, c’est super bon !»Et tout d’un coup, stop, Yasmina s’effondre. Et ma bite ramollit, je n’ai pas juté, je ne vais quand même pas me branler ; il y aura bien d’autres animations. Dans l’immédiat je douche Yasmina – redevenue Appoline – très doucement, presque tendrement, je la rhabille si l’on peut dire, et nous nous quittons sur un baiser langoureux.
Fin de l’épisode Yasmina. Attendons la suite.
Qu’est devenue Awa-Honorine ? Ah, je l’aperçois. Petite tenue comme d’habitude, mais on lui passe un grand pagne, une sorte de poncho tout noir. Seule la tête dépasse, ça change. C’est à ce moment qu’apparaissent Jean et ses deux invités. Sur un signe je me joins à eux ; il est 10 heures du matin. Café noir, viennoiseries, jus de fruits pour tout le monde. C’est Yasmina-Appoline qui se charge du service. Sa collègue, dans son poncho, est immobile dans son coin. Elle a l’air d’avoir peur.
Direction la salle de jeux. Je n’y suis pas encore entré. Mais, tout de suite, j’aperçois le flipper. En fait, il n’y a que le tableau lumineux. Pas de piste pour les boules ; juste une sorte de bâti en bois et en plastique. Au tableau, qui est allumé, on peut lire le nom du jeu. « Endurance ». Et, juste en dessous, l’indication « 1h 00mn 00 sec »- « En piste, Awa, dit Jean » .
Inutile de lui expliquer ; elle sait quel est son rôle. Elle se place face au tableau lumineux, se penche en avant de manière que seul son dos soit visible. On lui passe un baillon et on immobilise sa tête. Elle est totalement captive. U>n objet. C’est son dos et son fessier qui occupent l’emplacement habituel des pistes où circulent les boules d’acier. D’ailleurs, il y en a quelques-unes dans un petit seau, des billes d’acier..
Jean la met bien en place, se positionne comme s’il voulait la baiser en levrette, et la tient aux hanches. Exactement comme un joueur de flipper. Il lui passe une sorte de poire avec un fil électrique et fait un essai. Un interrupteur. Tant qu’on maintient la pression, le tableau reste allumé, et la musique se fait entendre. Si on relâche, tout s’arrête. Tilt !
- « Le but du jeu, prendre Awa comme on veut, dans la fente ou dans l’anus, et la secouer comme un flipper avec les mains, la bite, à volonté et sans ménagement ; on peut même la fesser elle aime ça, mais elle ne doit pas lâcher la poire. Sinon, ça tilte, et pour la punir on lui enfile une bille d’acier. Et on recommence. Il faut qu’elle tienne le temps qui est marqué en bas de l’écran. 1h00mn. Et 5 mn de plus pour chaque bille d’acier.
Nous sommes trois ; Amidou est toujours en djellaba comme hier soir, Jean en bermuda blanc, et moi, en pantalon de toile.
A toi l’honneur, Gregory ».
La Sultane et Bénédicte regardent ces préparatifs avec intérêt et effroi, car elles ont compris que ce sera peut-être leur tour plus tard, le week-end n’est pas terminé.
Je me place derrière Awa, Jean enlève d’un coup le pagne noir et déchire en deux la mini culotte qui, il est vrai, ne protégeait pas grand-chose. Et c’est parti … Je me connais, ce n’est pas moi qui vais tenir le plus longtemps . Surtout que Yasmina m’a bien excité et ne m’a pas fini. J’y vais, je prends sa chatte à fond et je « flippe » sur les fesses à tour de bras. Putain, c’est bon, une petite fessée consentante, je ne peux pas me retenir, c’était prévisible ; et j’envoie une giclée de foutre bien crémeuse au fond des entrailles. Je n’ai pas du lui faire bien mal, car elle n’a pas tilté une seule fois. Je sens que, très vite, quelqu’un est prêt à prendre ma place. Pas de doute, c’est Jean, il en profite pour me malaxer les couilles ; le cochon veut m’essorer totalement. D’un geste il fait signe à Bénédicte de me finir ; pour sûr, il ne reste rien.
Quant à la pauvre Awa, elle se prend une deuxième tige dans la fente. Bien dure, bien longue, effilée comme un poinçon, j’en sais quelque chose, et il la secoue dans tous les sens. Et les claques n’en finissent pas. Tilt !!! Elle se prend une bille d’acier. Dans le cul ? Non, dans la chatte. On a l’impression qu’il réserve l’anus pour plus tard.
A Amidou maintenant. J’avais déjà vu son engin et j’avais été impressionné. Là je vois devant moi l’outil. C’est géant ; il est vrai que les Mandingues sont balèzes. D’ailleurs Bénédicte se tourne, elle ne veut pas voir. C’est trop gros, trop long. Et la Sultane, qui connaît bien cet outil, se frotte les mains. Mieux que ça, elle va elle-même pointer l’énorme bite et le mettre en place. Elle la guide, ses doigts l’enserrent pour qu’elle aille droit au but, elle l’essuie un peu pour assécher le passage et que ça fasse un peu plus mal. Sadique ! J’aperçois Awa, son visage, ses yeux exorbités, sa bouche baillonnée. Pas un cri, pas un mouvement de tête elle est bloquée. Et deux bonnes claques de part et d’autre pour attendrir le fessier, et tout d’un coup le mandrin s’enfonce en entier. Et la pauvre est ballotée dans tous les sens, fessée des deux côtés, et ça rentre et ça sort… et elle résiste, elle ne lache pas sa pression sur l’interrupteur. L’autre est increvable. La Sultane en redemande ; elle vient tâter les couilles de son étalon, et profite d’un mouvement de recul d’Amidou pour l’écarter du sexe d’Awa et le présenter au trou du cul. Pas ça, c’est trop gros… Il va lui perforer le boyau, ma parole. C’est toujours la Sultane qui opère, elle veut du sans bavure. Elle enduit le petit trou d’une goutte de mouille récoltée dans la chatte, ajuste l’outil, bien en face. Et … c’est l’estocade.
La bite entre d’un coup, elle doit avoir le boyau drôlement long la petite. En tout cas ça a l’air de lui faire mal, elle ne bouge plus, inerte comme un jouet cassé. C’est l’autre qui reprend la main ; il n’arrête pas. On se demande comment elle supporte. Et, d’un coup, elle ne supporte plus. Elle relâche sa pression, le flipper s’éteint ; elle se reprend, mais au bout de deux secondes elle relâche tout. Tilt !!! Amidou se retire, putain quel engin on dirait un membre de zèbre, il enfile une bille d’acier dans le cul. Le flipper ne se rallume pas, il y a eu deux tilts il faut deux boules. Pas grave, une deuxième bille dans l’anus. Notre Awa est maintenant plombée : deux billes dans le cul, une dans la chatte qui est bien au fond et refuse de sortir, et un phallus énorme qui va pilonner tout ça. Heureusement, l’heure de supplice est terminée. Il ne reste plus que les 3x5 mn de pénalité.
Serre les dents ma petite, serre les fesses. Ouf !
Temps écoulé. Awa s’écroule.
Quant à Amidou, il bombe le torse dans son coin, un verre de whisky à la main; et il bande encore. C’est la Sultane qui s’en charge. Increvables, je vous dis.
Compatissante, Yasmina se précipite, aide sa copine à se vider tellement elle a pris de sperme dans ses deux orifices, et l’emmène jusqu’à la piscine.
- « J’ai tenu ?
- Oui, dur dur, mais tu as tenu.
- Je vais te dire un secret, le Mandingue il m’a fait mal, très mal même dans le cul, mais c’est drôlement bon.
- Bon à savoir, ce soir il y a un petit train au programme. Mais je ne sais pas quel poste j’aurai.
- On verra bien ».
Fin de l’épisode Flipper.
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