Retour sur Mario, le portugais
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Retour sur Mario, le portugais
C'est l'époque ou tout va bien entre Mario et moi.
Le chantier du conseil général est terminé, nous laissant une frustration énorme.
On a envie de baiser ensemble plus souvent, mais on ne fait que se croiser.
Mais surtout, on se sait pas comment être tranquilles.
Puis, un matin, alors que je suis un peu en avance, à 200 m de l'entreprise, je fixe encore une maison au loin, qui à l'air abandonnée.
Elle est assez éloignée, je m'enfonce dans la longue impasse qui débouche enfin sur un terrain en friche.
L'endroit est désert, je décide de scruter les lieux.
La maison est au milieu du terrain, quelques murs sont tagués, les fenêtres ont les vitres cassées.
Il me suffit de pousser la porte pour entrer, après une rapide visite, je décide d'utiliser les anciennes toilettes pour uriner avant d'aller travailler.
Je croise Mario devant les casiers affectés à notre changement de tenue.
Il prend un malin plaisir à m'exhiber sa grosse queue, en restant en slip plus longuement que d'habitude.
Dès que nous sommes seuls, il me dit:
"J'en peux plus ! Il faut que je te baise ! Ce soir, ce serait bien, t'en penses quoi ?".
"Je crois que j'ai trouvé un endroit tranquille, à coté !".
"Super ! Tu me montreras !".
Ce jour là, il bosse dans l'atelier, il me rend dingue lorsqu'il prend le risque de se toucher le paquet en me regardant avec un air vicieux.
Je devine qu'il reluque mes fesses dès qu'il peut.
La tension sexuelle est insoutenable.
L'arrivée de la fin de journée est une délivrance.
J'hallucine en voyant qu'il bande fermement, lors de notre changement de tenue.
Il sort en marchant avec moi, on fait semblant de parler ensemble, en attendant la sortie de tous les autres.
Puis, je l'emmène dans la maison, il a l'air d'un enfant qui comprend qu'il va vivre un moment heureux.
On entre dans une pièce vide, avec une table au centre.
Il se dirige vers la fenêtre et tire les volets, afin d'éviter les regards indiscrets.
Il ramasse un vieux tissu et essuie la table, puis se tient droit et libère sa grosse bite de son emprisonnement.
"Putain ! Pascal, prends-moi dans ta bouche, vite ! J'en peux plus ! Je veux jouir avec toi !".
Je dégrafe mon pantalon, que je pose sur la table, puis m'approche de lui avec les fesses dénudées, en lui disant:
"Humm ! Avec plaisir, mais on va prendre notre temps ! Je veux jouir moi aussi !".
Je fais glisser ma langue avec perversité sur son gros engin de plaisir.
Je dégage complètement son sexe afin de le lécher entièrement, des testicules, au gland.
Ses gémissements me remplissent de bonheur buccal.
"Ahhhhhhhh ! Pascal ! Tu suces tellement bien ! J'en pouvais plus d'attendre ce moment ! Tu me manques trop !".
"Mmmmmmm ! Grllllllllllp ! Mmmmmmmmm ! Toi aussi, tu m'as manqué ! Grlllllllll !".
Parfois, il prend mon visage entre ses mains, pour me baiser plus puissamment la gorge.
Au bout de plus de dix minutes, il n'en peut plus d'attendre.
"Couches toi sur la table ! Je vais t'enculer !".
Je m'étale sur le ventre, en collant mes cuisses contre le bord du plateau.
Je sens ses mains qui me serrent les fesses, puis sa langue, qui me fouille l'anus en essayant de me pénétrer.
Il crache plusieurs fois sur mon œillet et me dévore longuement.
Il se redresse enfin et colle son énorme gland entre mes deux lobes.
Il s'accroche à mes épaules en poussant mon corps contre la table avec son gros pieu.
Son engin de plaisir écartèle mon anus, et me transperce lentement.
Comme à chacun de nos rapports anaux, je retrouve cette délicieuse sensation de comblement extrême.
"Ohhhrrrrrhhhh ! Putain, Mario ! J'aime trop ta grosse queue ! Arhhhhhhhhh !".
"Et moi, j'adore ton cul ! Mon p'tit Pascal ! Je vais te montrer comme tu m'a manqué !".
Il entame des mouvements amples, la montée de mon plaisir anal est rapide et progressive.
En moins de cinq minutes, je clos ma bouche avec ma main pour contenir mes cris d'orgasme anal.
"Putain, j'adore te faire gueuler en t'enculant ! Tu prends ton pied là, pas vrai ?".
"Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Arhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii !".
"C'est trop bon, je m'éclate ! C'est génial que t'ai trouvé cet endroit, je vais pouvoir te baiser plus souvent !".
Finalement, j'ai bien fait d'ôter mon pantalon, il est surexcité et me fait couler du cul avec abondance, tant il sollicite longuement mon anus.
Mes orgasmes s'enchainent, il me comble de plaisir anal.
Comme lui, j'étais en manque de ce sexe pervers et épanouissant.
Nous sommes en Hiver, et le jour commence à tomber, cela doit faire 45 minutes que nous sommes entrés dans la maison.
Il s'excite davantage en me claquant les fesses, il me traite de salope en se remémorant nos baises avec Dimitri et les roumains.
Puis, il est pris de spasmes de déversement.
Je réussi à passer une main sous mon corps pour ressentir sa pénétration au fond de mon cul.
Je touche ses couilles et sens les sursauts dans son canal urinaire qui laissent passer ses éjections de sperme dans mon anus.
Chaque gémissement qui accompagne un déversement, me rend fou de bonheur, j'ai déjà orgasmé de mon coté et je ressens son éjaculation comme une récompense.
On reste collés ainsi très longtemps, formant un animal à quatre pattes, étrange, mais heureux.
"Hummmmmmmmmm ! Mario ! Tu m'as trop bien baisé ! C'était génial ! Putain ! Ca va pas être facile de rentrer maintenant !".
"Pfffffffffff ! T'as raison ! C'était trop bon encore ! Je peux plus me passer de toi ! J'ai trop besoin de ton cul ! Mon p'tit Pascal !".
"Tu vas l'avoir plus souvent ! Rassures toi !".
"Oui, c'est super ! Viens plus tôt, demain ! Comme ça, tu pourras me sucer avant de bosser !".
"Euh, d'accord, mais on devra être rapide !".
Je suis rentré avec du retard, avec les fesses endolories et encore pleines de son jus de plaisir.
Puis, le matin suivant, nous nous sommes retrouvés directement à la maison abandonnée.
Je lui ai prodigué tout mes talents buccaux, jusqu'à son abondante éjaculation dans ma gorge.
Nous étions pleins de bonheur sexuel, et sommes allés travailler avec un entrain inhabituel.
Il m'a dit avant de se rendre sur son poste:
"A ce soir ! A la maison ! Travailles bien !".
C'est devenu presque routinier, parfois une fellation matinale, puis, toujours le soir venu, une longue sodomie sauvage ou plus sensuelle.
Sauf quand il partait en chantier, ce qui lui créait un manque énorme de me baiser.
Au cours des mois, ma relation avec Corinne prend un tournant crucial.
On s'avoue nos tromperies, je lui apprends que Dimitri fait partie de mes amants.
Puis un soir, je lui demande:
"Mon amour, tu sais que je t'ai dit que je baise jamais avec des gens que je connais !".
"Oui ! Sauf Dimitri, apparemment !".
"Euh, en fait, c'est pas tout à fait exact ! Je baise aussi avec un collègue de boulot, il s'appelle Mario ! C'est à cause de lui que je rentre tard, le soir !".
"Ah ! Ok, aucun souci, tant qu'il te reste des forces pour moi ! C'est tout ?".
"Oui, à part une ancienne relation, il y a 4 ans, quand je bossais à l'arsenal, ils étaient deux à me baiser dans les douches ! Et un autre sur les bateaux ! Ah, il faut que tu saches que Mario s'attache à moi !".
"Encore ! Je le comprends, mais ça devient un problème ! Tu peux pas éviter ça ?".
"J'y peux rien ! Dès qu'ils me connaissent plus intimement, les hommes se mettent à m'aimer, c'est comme ça !".
Cette conversation m'a permit de ne plus chercher d'excuses pour mes retards.
Un peu avant la fin, je retrouve Alice, mon ex conquête de jeunesse.
Mes rapports avec Mario ont évolués, il s'attache à moi et devient envahissant, il est jaloux de ma relation avec Alice.
Ce qui me pousse à le quitter, à contre cœur, tant j'aime baiser avec lui.
Mais je me sers de cette relation pour cacher mes retrouvailles perverses et sensuelles avec Alice.
Quelques années plus tard, après la fermeture de l'entreprise, Mario m'a recontacté, m'apprenant la perte de sa femme, malade.
Il m'a convaincu de reprendre notre relation, chez lui, pendant quelques mois.
Cette fois, c'est lui qui a coupé tout contact, il ne supportait plus de ne pas pouvoir me garder, pour lui tout seul !
Le chantier du conseil général est terminé, nous laissant une frustration énorme.
On a envie de baiser ensemble plus souvent, mais on ne fait que se croiser.
Mais surtout, on se sait pas comment être tranquilles.
Puis, un matin, alors que je suis un peu en avance, à 200 m de l'entreprise, je fixe encore une maison au loin, qui à l'air abandonnée.
Elle est assez éloignée, je m'enfonce dans la longue impasse qui débouche enfin sur un terrain en friche.
L'endroit est désert, je décide de scruter les lieux.
La maison est au milieu du terrain, quelques murs sont tagués, les fenêtres ont les vitres cassées.
Il me suffit de pousser la porte pour entrer, après une rapide visite, je décide d'utiliser les anciennes toilettes pour uriner avant d'aller travailler.
Je croise Mario devant les casiers affectés à notre changement de tenue.
Il prend un malin plaisir à m'exhiber sa grosse queue, en restant en slip plus longuement que d'habitude.
Dès que nous sommes seuls, il me dit:
"J'en peux plus ! Il faut que je te baise ! Ce soir, ce serait bien, t'en penses quoi ?".
"Je crois que j'ai trouvé un endroit tranquille, à coté !".
"Super ! Tu me montreras !".
Ce jour là, il bosse dans l'atelier, il me rend dingue lorsqu'il prend le risque de se toucher le paquet en me regardant avec un air vicieux.
Je devine qu'il reluque mes fesses dès qu'il peut.
La tension sexuelle est insoutenable.
L'arrivée de la fin de journée est une délivrance.
J'hallucine en voyant qu'il bande fermement, lors de notre changement de tenue.
Il sort en marchant avec moi, on fait semblant de parler ensemble, en attendant la sortie de tous les autres.
Puis, je l'emmène dans la maison, il a l'air d'un enfant qui comprend qu'il va vivre un moment heureux.
On entre dans une pièce vide, avec une table au centre.
Il se dirige vers la fenêtre et tire les volets, afin d'éviter les regards indiscrets.
Il ramasse un vieux tissu et essuie la table, puis se tient droit et libère sa grosse bite de son emprisonnement.
"Putain ! Pascal, prends-moi dans ta bouche, vite ! J'en peux plus ! Je veux jouir avec toi !".
Je dégrafe mon pantalon, que je pose sur la table, puis m'approche de lui avec les fesses dénudées, en lui disant:
"Humm ! Avec plaisir, mais on va prendre notre temps ! Je veux jouir moi aussi !".
Je fais glisser ma langue avec perversité sur son gros engin de plaisir.
Je dégage complètement son sexe afin de le lécher entièrement, des testicules, au gland.
Ses gémissements me remplissent de bonheur buccal.
"Ahhhhhhhh ! Pascal ! Tu suces tellement bien ! J'en pouvais plus d'attendre ce moment ! Tu me manques trop !".
"Mmmmmmm ! Grllllllllllp ! Mmmmmmmmm ! Toi aussi, tu m'as manqué ! Grlllllllll !".
Parfois, il prend mon visage entre ses mains, pour me baiser plus puissamment la gorge.
Au bout de plus de dix minutes, il n'en peut plus d'attendre.
"Couches toi sur la table ! Je vais t'enculer !".
Je m'étale sur le ventre, en collant mes cuisses contre le bord du plateau.
Je sens ses mains qui me serrent les fesses, puis sa langue, qui me fouille l'anus en essayant de me pénétrer.
Il crache plusieurs fois sur mon œillet et me dévore longuement.
Il se redresse enfin et colle son énorme gland entre mes deux lobes.
Il s'accroche à mes épaules en poussant mon corps contre la table avec son gros pieu.
Son engin de plaisir écartèle mon anus, et me transperce lentement.
Comme à chacun de nos rapports anaux, je retrouve cette délicieuse sensation de comblement extrême.
"Ohhhrrrrrhhhh ! Putain, Mario ! J'aime trop ta grosse queue ! Arhhhhhhhhh !".
"Et moi, j'adore ton cul ! Mon p'tit Pascal ! Je vais te montrer comme tu m'a manqué !".
Il entame des mouvements amples, la montée de mon plaisir anal est rapide et progressive.
En moins de cinq minutes, je clos ma bouche avec ma main pour contenir mes cris d'orgasme anal.
"Putain, j'adore te faire gueuler en t'enculant ! Tu prends ton pied là, pas vrai ?".
"Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Mmmmmmmmmmmm ! Arhhhhhhhhhhhh ! Ouiiiiiiiiiiii !".
"C'est trop bon, je m'éclate ! C'est génial que t'ai trouvé cet endroit, je vais pouvoir te baiser plus souvent !".
Finalement, j'ai bien fait d'ôter mon pantalon, il est surexcité et me fait couler du cul avec abondance, tant il sollicite longuement mon anus.
Mes orgasmes s'enchainent, il me comble de plaisir anal.
Comme lui, j'étais en manque de ce sexe pervers et épanouissant.
Nous sommes en Hiver, et le jour commence à tomber, cela doit faire 45 minutes que nous sommes entrés dans la maison.
Il s'excite davantage en me claquant les fesses, il me traite de salope en se remémorant nos baises avec Dimitri et les roumains.
Puis, il est pris de spasmes de déversement.
Je réussi à passer une main sous mon corps pour ressentir sa pénétration au fond de mon cul.
Je touche ses couilles et sens les sursauts dans son canal urinaire qui laissent passer ses éjections de sperme dans mon anus.
Chaque gémissement qui accompagne un déversement, me rend fou de bonheur, j'ai déjà orgasmé de mon coté et je ressens son éjaculation comme une récompense.
On reste collés ainsi très longtemps, formant un animal à quatre pattes, étrange, mais heureux.
"Hummmmmmmmmm ! Mario ! Tu m'as trop bien baisé ! C'était génial ! Putain ! Ca va pas être facile de rentrer maintenant !".
"Pfffffffffff ! T'as raison ! C'était trop bon encore ! Je peux plus me passer de toi ! J'ai trop besoin de ton cul ! Mon p'tit Pascal !".
"Tu vas l'avoir plus souvent ! Rassures toi !".
"Oui, c'est super ! Viens plus tôt, demain ! Comme ça, tu pourras me sucer avant de bosser !".
"Euh, d'accord, mais on devra être rapide !".
Je suis rentré avec du retard, avec les fesses endolories et encore pleines de son jus de plaisir.
Puis, le matin suivant, nous nous sommes retrouvés directement à la maison abandonnée.
Je lui ai prodigué tout mes talents buccaux, jusqu'à son abondante éjaculation dans ma gorge.
Nous étions pleins de bonheur sexuel, et sommes allés travailler avec un entrain inhabituel.
Il m'a dit avant de se rendre sur son poste:
"A ce soir ! A la maison ! Travailles bien !".
C'est devenu presque routinier, parfois une fellation matinale, puis, toujours le soir venu, une longue sodomie sauvage ou plus sensuelle.
Sauf quand il partait en chantier, ce qui lui créait un manque énorme de me baiser.
Au cours des mois, ma relation avec Corinne prend un tournant crucial.
On s'avoue nos tromperies, je lui apprends que Dimitri fait partie de mes amants.
Puis un soir, je lui demande:
"Mon amour, tu sais que je t'ai dit que je baise jamais avec des gens que je connais !".
"Oui ! Sauf Dimitri, apparemment !".
"Euh, en fait, c'est pas tout à fait exact ! Je baise aussi avec un collègue de boulot, il s'appelle Mario ! C'est à cause de lui que je rentre tard, le soir !".
"Ah ! Ok, aucun souci, tant qu'il te reste des forces pour moi ! C'est tout ?".
"Oui, à part une ancienne relation, il y a 4 ans, quand je bossais à l'arsenal, ils étaient deux à me baiser dans les douches ! Et un autre sur les bateaux ! Ah, il faut que tu saches que Mario s'attache à moi !".
"Encore ! Je le comprends, mais ça devient un problème ! Tu peux pas éviter ça ?".
"J'y peux rien ! Dès qu'ils me connaissent plus intimement, les hommes se mettent à m'aimer, c'est comme ça !".
Cette conversation m'a permit de ne plus chercher d'excuses pour mes retards.
Un peu avant la fin, je retrouve Alice, mon ex conquête de jeunesse.
Mes rapports avec Mario ont évolués, il s'attache à moi et devient envahissant, il est jaloux de ma relation avec Alice.
Ce qui me pousse à le quitter, à contre cœur, tant j'aime baiser avec lui.
Mais je me sers de cette relation pour cacher mes retrouvailles perverses et sensuelles avec Alice.
Quelques années plus tard, après la fermeture de l'entreprise, Mario m'a recontacté, m'apprenant la perte de sa femme, malade.
Il m'a convaincu de reprendre notre relation, chez lui, pendant quelques mois.
Cette fois, c'est lui qui a coupé tout contact, il ne supportait plus de ne pas pouvoir me garder, pour lui tout seul !
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