retournement de situation.
Récit érotique écrit par BPG [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2023 dans la catégorie Plus on est
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retournement de situation.
Thomas se rendit compte de ce qu’il imposait à ses invités : le canapé était vraiment inconfortable pour y dormir. Mais bon, il avait voulu être sympa et a laissé sa femme, Clémentine, dormir dans leur chambre avec sa copine, Amandine. Elle venait de se faire plaquer par sa petite amie, et elles avaient besoin d’en papoter toute la nuit comme deux collégiennes en soirée pyjama. Cela faisait deux heures qu’il cherchait sa position et n’arrivait toujours pas à s’endormir. Il se résigna à sortir fumer une cigarette dans le jardin. La nuit était étoilée, le fond de l’air était doux pour le printemps. L’été s’annonçait très chaud.
Au bout de quelques bouffées, il entendit jacasser faiblement par la fenêtre de leur chambre. Visiblement, les filles ne dormaient toujours pas et refaisaient le monde. Par curiosité, il se mit sous la fenêtre pour voir s’il arrivait à comprendre les propos. Au lieu de propos, ce qu’il entendit le figea sur place : ce n’étaient pas des chuchotages qu’il entendait, mais des gémissements étouffés ! Il écrasé sa cigarette dans un cendrier, et se rentra dans la maison. Il monta très discrètement l’escalier et se plaqua derrière la porte de leur chambre : aucun doute à avoir, elles ne discutaient pas ! Il ouvrit subitement la porte et les surpris toutes les deux, nues, entrelacées dans le lit. Elles se séparèrent comme deux aimants du même pôle.
Clémentine cria : « ce n’est pas ce que tu crois ! »
Thomas : »De toute évidence non, car je croyais que vous deviez discuter ! Pas vous bouffer la chatte ! »
Clémentine se drapa comme elle put pour avoir bonne prestance, mais à ce niveau-là, ce n’était plus nécessaire. Amandine, se fit très discrète et ne bougea presque pas. Ne sachant pas comment réagir face à un homme fraîchement cocufié, elle laissa la parole à Clémentine.
-« ça fait deux heures que je me pète le dos sur le canapé du salon, pour que tu puisses me cocufier dans notre chambre ? J’ai loupé un épisode ou j’ai bien résumé la situation ? »
-« Mais non, on a tout de même un peu discuté ! »
-« et le ‘un peu’ est censé me rassurer ? MAIS PUTAIN TU TE RENDS COMPTE DE CE QUE TU VIENS DE FAIRE ? » Thomas céda à la colère. La savoir là, avec sa copine alors qu’elle devait lui remonter le moral. Cette trahison lui coûtera cher. Thomas faisait les cent pas dans la chambre.
T : -« Rhabillez-vous ! Et descendez me rejoindre en bas. » Amandine se manifesta enfin :
A : -« Hé ! je suis pas ta meuf alors tu n’as pas à me dire quoi faire ! »
T : -«Ha oui ? Et tu veux retourner dormir chez toi cette nuit ? Avec ton ex et sa nouvelle copine ? »
A : -« Connard ! »
T : -« Traînée ! ».
C : -« Mais vous avez fini tous les deux ? »
T : -« Elle, oui. Moi, je ne fais que commencer. »
L’ambiance fut posée. Thomas semblait particulièrement offensé par la situation. Il les regarda, assises sur le lit conjugal, nues. Amandine se tenait recroquevillée derrière un oreiller tout juste assez grand pour cacher ses courbes. Clémentine tenait le drap sous ses bras, laissant le tissu retomber sur ses seins bien gros. Un côté de ses hanches n’étaient pas recouvert par le drap. Clémentine avait l’air complètement perdue et ne savait pas quoi faire. Amandine observait, et par compassion pour son amie, n’avait rien dit jusqu’à présent. Thomas rompit le silence pesant : -« Mais pourquoi t’as été me faire ça ? Dans mon dos ? ». Amandine releva le détail et pris la parole : « En fait, c’est quoi qui te gène ? Qu’elle se soit taper une femme, ou qu’elle ne te l’ait pas dit avant ? »
T - : « Ben qu’elle ne me l’ait pas dit bien sûr ! Pourquoi me le cacher ? J’aurai été plus que d’accord de venir jouer avec vous ! »
A - : « Haaa les hommes et leur fantasme de plan à trois… C’est presque pathétique comme vous êtes tous les mêmes. Je te rappelle que je suis lesbienne, donc te toucher m’excite autant que si tu caressais la bite d’un autre mec ! »
T- : « Et alors ? Je t’ai pas demandé de t’occuper de moi ! Et j’aurai très bien pu rester dans la chambre à vous regarder ! J’aurai même accepté de jouer les petits chiens dociles, et rester agenouillé au pied du lit à me masturber en vous regardant baiser. »
C- : « Ha oui ? Ce n’est pas trop tard ! » Tenta-t-elle en vain.
T- : « Si ! Il y a eu adultère. Ce qui aurait pu être un moment exceptionnel, vous l’avez transformé en acte vulgaire, et humiliant pour moi. »
C- : « Je suis vraiment désolé mon chéri. Ce n’était pas prémédité. C’est venu comme ça. Pardonne-moi. »
Amandine observait toujours la scène. Elle laissait Clémentine se flageller, et Thomas la martyriser. Elle n’avait pas grand-chose à dire de toute façon.
T- : »Te pardonner ? Pour l’instant je vais surtout vous punir. On verra pour mon pardon plus tard. »
Clémentine vit une lueur d’espoir dans les propos de Thomas, sans prendre conscience de la notion de punition. Elle voyait là une issue autre que la rupture. Et c’est tout ce qu’il comptait pour elle. Elle ne voulait pas le perdre. Mais Amandine, qui n’avait pas les mêmes enjeux, avait bien relevé le détail :
• « Comment ça ‘nous’ punir ? Je ne suis pas ta femme ! Je ne te dois rien. »
• « En effet, et comment veux-tu que je vous fasse confiance pendant ces quelques jours où on est censé t’héberger ? Tu veux vivre ici ? Donc il y a des règles. A commencer par ne pas introduire l’adultère dans ce foyer. »
• « … »
• « … »
• « Je vois que vous avez compris. Donc pour ta part Clémentine, puisque tu t’es bien amusée pendant deux heures, à mes dépends. A moi aussi de m’amuser. Et tu seras mon esclave sexuelle pendant les deux prochaines heures ! »
• « ça me va comme punition ! » dit-elle soulagée de voir que son homme cherche à tirer profit de la situation plutôt que de faire un esclandre.
• « Quant à toi Amandine, vu tes préférences sexuelles, tu seras mon esclave sensuelle pendant ce temps-là ! »
• « Esclave sensuelle ? c’est-à-dire ? »
• « Tu vas vite voir ! Vu que tu as souillé le corps de ma femme, ta première mission sera d’aller la nettoyer, entièrement. »
• « Et de façon sensuelle j’imagine ? »
• « Sinon pourquoi ferais-je appel à tes services ? Bien sûr ! Je vais me servir un verre, allez à la douche extérieure au bord de la piscine. »
Amandine se leva, mais en maintenant l’oreiller devant son corps nu. Elle soutint le regard de Thomas qui eut du mal à ne pas la mater des pieds à la tête. Et puis il se souvint que c’était son esclave. Donc il n’avait pas de retenu à avoir.
-« Tourne-toi sur place que je puisse te voir entièrement nue. »
Amandine laissa tomber l’oreiller, et se révéla à lui. Clémentine regarda la scène avec interrogation : Où voulait-il aller ? Il savait qu’Amandine n’était vraiment pas attirée par les hommes. Et il semblait vouloir jouer avec cette limite.
Thomas se rendit compte à quel point l’amante de sa femme était belle ! Dommage qu’elle soit lesbienne, il aurait bien voulu coucher avec. Mais le jeu qui va venir sera plus intéressant que ça.
-« Je vous en prie mesdames, passez devant moi, que je profite du spectacle. »
Clémentine descendit du lit aussi, en laissant le drap mais s’apprêta à ramasser ses vêtements.
-« Tu n’en as pas besoin pour aller prendre une douche. Et j’ai envie de vous voir déambuler nues. »
Les femmes marchèrent, nues, mains dans la main, vers la piscine. Thomas fila à la cuisine se servir un whisky puis alla s’installer dans un transat pour avoir une vue imprenable sur ses deux esclaves. Amandine fit couler l’eau, puis pris le gel douche. Clémentine se sentait vraiment mal à l’aise. Elle ne savait pas trop quoi faire. Mais Amandine, sans expérience des hommes, savait visiblement ce qui excitait Thomas. Elle étala le gel douche sur le corps mouillé de son amante, et glissa ses mains sur ces courbes qu’elle a temps désirées à l’instant dans la chambre. Thomas regarda sa femme se laisser faire. Les mains expertes d’Amandine enveloppaient le corps de Clémentine. Elle se laissa faire, puis Amandine la retourna contre le mur. Clémentine posa ses mains sur le mur et écarta les jambes en se cambrant. La partie la plus souillée de son corps allait enfin être lavée. Thomas, ayant fini sa cigarette et son verre, se leva et se déshabilla. Amandine prit un soin méticuleux à nettoyer l’entrejambe de Clémentine qui laissait échapper de petits gémissements timides. Elle n’osait pas montrer à Thomas le plaisir que lui procurait son amie. Il se glissa entre le mur et sa femme, et lui proposa le gel douche. Clémentine comprit ce qu’il attendait d’elle. Elle le frotta avec toute la sensualité qu’elle pouvait à cet instant. Mais l’insistance d’Amandine à la nettoyer rendait l’opération un peu plus compliquée. Souvent Clémentine était prise d’un spasme quand Amandine s’amusait à lui mettre un ou deux doigts dans un de ces orifices, ou lui pincer le clitoris. Une fois Thomas bien rincé, Clémentine se mis accroupie devant lui et le pris en bouche. Amandine se glissa derrière elle et continua à la caresser intimement.
-« Vérifie aussi que tu as bien nettoyé ma femme. Allonge-toi en dessous d’elle et lèche-la ! »
Amandine s’exécuta avec plaisir et Clémentine était toujours gênée de la présence de son amie et du plaisir qu’elle en prenait. Mais elle était tellement douée avec sa langue que le plaisir balaya rapidement la gêne. Thomas invita ses esclaves à aller se sécher. Il donna une serviette à Amandine pour qu’elle s’occupe du couple, et posa une serviette pliée en huit par terre pour que Clémentine ne se fasse pas mal aux genoux. Thomas plaça ses mains sur sa nuque et offrit son corps à Amandine et son sexe à Clémentine, qu’elle reprit rapidement en bouche. Une fois Thomas séché, Amandine passa à Clémentine. Si elle avait joué le jeu avec Thomas, elle n’avait pas besoin de faire semblant avec clémentine. Ses caresses étaient bien plus sensuelles et désirées sur le corps d’une femme que sur celui d’un homme. Thomas ne s’en offusqua pas. Il était déjà bien content qu’elle accepte de jouer le jeu. Quand Amandine glissa de nouveau ses mains entre les cuisses de son amante, Thomas demanda d’insister sur cette zone car il n’était pas sûr qu’elle soit bien sèche. Amandine enroula la serviette sur elle-même et la fit glisser sur les lèvres de Clémentine, toujours accroupie devant son mari. Elle savait exactement quelle pression appliquer sur le pubis pour déclencher des plaisirs violents. Clémentine devait parfois arrêter la fellation pour s’accrocher aux hanches de son mari tellement le plaisir était puissant.
-« Arrête. Je ne veux pas qu’elle jouisse maintenant ! Allons l’habiller. »
Tous les trois allèrent dans la chambre. Clémentine, assise sur le lit attendait que Thomas trouve les vêtements qu’il voulait qu’elle porte. Il lança une paire de bas et un porte-jarretelle à Amandine. Elle se mit à genou devant son amante, et lui enfila très délicatement les bas. Elle n’hésita pas à réajuster les bas afin de pouvoir lui caresser les jambes encore un peu. Puis Clémentine se leva, et Amandine fit monter le porte-jarretelle le long de ses jambes, mais avec les mains grandes ouvertes sur la douce peau de Clémentine. Dès qu’elle put, c’est tout son corps qu’elle fit monter sur les jambes de son amante. Si Thomas lui avait autorisé, elle se serait masturbée sur elle. D’ailleurs, celui-ci s’accroupit derrière son esclave sensuelle et lui susurra : « Tu aimes embrasser ma femme ? » Tout en lui dégageant les cheveux du visage, et le poussant légèrement vers le pubis de sa femme. Amandine compris de quel baiser il parlait ; Elle embrassa à pleine bouche la vulve de son amante qui poussa un gémissement de plaisir et de surprise. Thomas se releva et prit son esclave sexuelle par la mâchoire et la força à le regarder dans les yeux : « Visiblement, tu aimes te faire bouffer la chatte par une femme ! Mais ça restera un homme qui te la défoncera. »
-« D’accord ! »
-« Allez mes esclaves, nous allons poursuivre sur la terrasse. »
-« Mais je suis nue, et Clémentine guère moins que moi. »
-« Ha oui, j’allais oublier le principal. Tiens, mets lui ses escarpins. Et toi tu mettras ceux-là. Et rejoignez-moi dehors.»
Thomas les attendait assis sur le canapé du salon d’été. La bouteille de whisky posée devant lui, il finalisait le roulage d’un joint. Les esclaves arrivèrent en se tenant par la taille. Il les fit s’asseoir chacune de façon différente. Sa femme était à genou, par terre, entre ses jambes. Et Amandine était à genou sur le canapé à côté de lui.
-« Toi, tu t’occuperas de mon service trois pièces pendant que ton amante s’occupera de me faire fumer et boire. »
Docilement, Clémentine se pencha vers son mari et lui embrassa les testicules, puis la verge. Thomas tendit le joint et la bouteille à Amandine : »Fais-moi une soufflette puis tu verseras une gorgée de ce doux breuvage dans ta bouche que tu me feras boire ensuite. » Amandine alluma le joint, tira deux lattes puis garda la troisième en bouche, elle se pencha vers Thomas et il tendit ses lèvres vers les siennes, à la limite de les toucher. Amandine souffla légèrement et Thomas aspira la fumée. Puis elle remplit sa bouche d’une bonne rasade de whisky et se mit au-dessus de Thomas. Il bascula la tête en arrière et ouvrit la bouche. Il sortit sa langue pour que le breuvage lui coule dessus. Amandine, délicatement, ouvrit très légèrement sa bouche, à quelques millimètres de la langue. Le breuvage dégoulina de la bouche sur la langue. Thomas se délecta de cette façon de boire. Sa femme commençait à lui lécher aussi bien la verge qui commençait à durcir que les testicules. Et même si Thomas crevait d’envie de doigter Amandine, il se retenait de tout acte trop intime à son égard. Mais ça ne l’empêchait pas d’avoir toujours une main sur ses hanches, ou sur ses cuisses. Et visiblement, elle s’accoutumait de ce contact hétérosexuel sans en tirer pour autant une excitation sexuelle. Pour la maintenir excitée, Thomas la faisait s’occuper de Clémentine. Les voir toutes les deux se caresser, s’embrasser ou se masturber lui faisait toujours autant d’effet. Pour remercier ses esclaves de leur obéissance, il leur offrir une gorgée de sa bouteille. Mais ce ne serait pas de bouche à bouche, mais il demanda à Amandine de bien resserrer ses seins pour en faire un calice. Il y versa une bonne rasade de whisky et proposa la coupe à sa femme. Elle se mit à genou devant elle, et lapa le whisky sans oublier de lui lécher les seins. Le breuvage bu, elle essuya de sa langue les dernières traces d’alcool. Puis ce fût à elle de proposer le whisky à son amante. Mais Thomas lui imposa d’utiliser son pubis et non ses seins comme calice. Mais si Amandine avait réussi à obtenir une certaine étanchéité avec ses seins, Clémentine ne put obtenir le même résultat avec son pubis ; Le breuvage s’écoula doucement entre les cuisses. Amandine se mit promptement à quatre pattes devant elle et lapa les gouttes de whisky qui s’écoulaient de ses lèvres. Les jambes levées, elle se laissa lécher par son amante devant son mari.
Quand tout le breuvage fut bu, elle écarta les jambes de Clémentine et lui lécha le pubis pour la nettoyer. Une fois fini, elle repris son cunnilingus, en débordant sur l’anus. Thomas s’était mis à lécher les seins de Clémentine, tout en se masturbant. Thomas embrassa le corps de sa femme en descendant vers le pubis. Pendant qu’Amandine lui faisant un anulingus, Thomas s’apprêta à lui faire un cunnilingus. Ils stimulèrent Clémentine jusqu’à un premier orgasme.
Thomas se rassit sur le fauteuil et alluma une cigarette. Clémentine reprit ses esprits tandis qu’Amandine commençait à être vraiment excitée par sa masturbation. Elle s’allongea sur le canapé les jambes entièrement écartées, et elle continuait de se doigter.
- »Dis moi ma chérie, ce n’est pas sympa de laisser ta copine se débrouiller toute seule. Montre-moi comment tu la masturbes ! »
- »Volontiers ! »
Clémentine s’assit à côté de son amante et caressa sa cuisse, puis son pubis. Elle frotta légèrement ses lèvres mouillées, puis appuya sur le clitoris. Amandine avait son regard perdu dans les yeux de Clémentine. Elle se déhancha pour montrer qu’elle en voulait plus. Alors Clémentine lui enfonça deux doigts jusqu’au bout, et resta à l’intérieur de son vagin ruisselant. Clémentine se pencha sur son amante offerte, et lui mordilla un téton. Offrant ainsi ses fesses, Thomas se leva et se mis à genoux derrière sa femme. Il glissa sa queue tendue entre ses fesses, puis entre ses lèvres, et la pénétra doucement mais jusqu’au bout aussi.
- »Doigte-la comme je te baise ! Je veux qu’elle ressente ce que tu ressent quand tu te fait prendre par une belle bite ! »
Thomas attrapa les hanches de sa femme et la démonta ! Amandine s’en prenait tout autant. Toutes les deux gémissaient en chœur. Il devenait trop excité, et il ne voulait pas jouir de suite. Il lui restait encore du temps d’esclavage. Il ordonna un 69, avec Clémentine au dessus. Elles se mirent en position, et Thomas se plaça devant sa femme. « Montre-moi comment tu la lèches ! » Et Clémentine lécha la chatte de son amante avec la même passion que si elle avait sucé Thomas. Il balada ses mains sur le corps de sa femme, puis se mit derrière elle. Il lui caressa les fesses à pleines mains, tout en voyant Amandine lui lécher les lèvres. Il se pencha, et embrassa l’anus offert. Clémentine se faisait de nouveau stimuler doublement. Thomas commença à préparer l’anus pour une sodomie. Clémentine semblait adoré le traitement qu’on lui faisait. Thomas enfila un préservatif et commença à appuyer son gland sur l’anus pour le dilater un peu plus. Il demanda à Amandine d’aller chercher le gode. Pendant son absence, Thomas commença à pénétrer le cul de sa femme.
Amandine revint avec le sextoy. Elle se remit sous Clémentine, et joua avec le bout du gode sur les lèvres dégoulinantes. Clémentine repris son cunnilingus, et Amandine s’occupa du clitoris avec sa bouche. Très rapidement, Clémentine fut submergée par les plaisirs multiples. Elle ne pouvait plus s’occuper de son amante. Thomas accéléra le rythme, et Amandine enfonça tout le sextoy dans la chatte de Clémentine. La triple stimulation eut raison de nouveau de Clémentine. Elle eu un puissant orgasme accompagné d’une éjaculation violente, qu’Amandine s’est prise en grande partie dans la bouche. Elle dû déglutir plusieurs fois pour avaler le foutre de son amante. Et vu sa façon de lécher le pubis pour le nettoyer, elle a dû aimer ça.
Thomas laissa sa femme reprendre ses esprits, et retira le préservatif. Tout en se massant la queue pour la maintenir dure, il leurs expliqua qu’il voulait jouir sur sa femme pendant qu’elles faisaient l’amour.
Amandine ne se fit pas prier, et monta sur Clémentine. Elle fit glisser ses seins sur son corps, puis l’embrassa passionnément. Clémentine, encore épuisée, caressa du bout des doigts les courbes délicates de son amante. Thomas s’installa sur le fauteuil et regardait le spectacle, un joint et un verre, tout en se masturbant. Le câlin a vite évolué en préliminaires. Les mains enfouies entre les jambes de l’autre, Thomas savaient ce qu’elles se faisaient. Amandine se mis à califourchon sur une jambe de Clémentine, et appuya son pubis sur le sien. Et elle commença à se masturber l’une sur l’autre. Thomas se mis à genou devant le visage de sa femme, et se masturba plus rapidement.
- »Ho oui Maître, je veux te boire ! »
Il n’en fallu pas plus à Thomas pour jouir. Clémentine n’en perdit pas une goutte, puis lécha le gland dégoulinant. Elle avala le sperme, puis entreprit une fellation pour finir de le vider. Amandine commença à jouir en regardant le spectacle. Elle aussi eu une éjaculation qui ruina le canapé… mais ça en valait la peine.
Les femmes souillées partirent se laver encore une fois. Avant de les rejoindre, Thomas se demandait comment il pourrait présenter son amant à sa femme. Après tout, ça pourrait être sympa aussi...
Au bout de quelques bouffées, il entendit jacasser faiblement par la fenêtre de leur chambre. Visiblement, les filles ne dormaient toujours pas et refaisaient le monde. Par curiosité, il se mit sous la fenêtre pour voir s’il arrivait à comprendre les propos. Au lieu de propos, ce qu’il entendit le figea sur place : ce n’étaient pas des chuchotages qu’il entendait, mais des gémissements étouffés ! Il écrasé sa cigarette dans un cendrier, et se rentra dans la maison. Il monta très discrètement l’escalier et se plaqua derrière la porte de leur chambre : aucun doute à avoir, elles ne discutaient pas ! Il ouvrit subitement la porte et les surpris toutes les deux, nues, entrelacées dans le lit. Elles se séparèrent comme deux aimants du même pôle.
Clémentine cria : « ce n’est pas ce que tu crois ! »
Thomas : »De toute évidence non, car je croyais que vous deviez discuter ! Pas vous bouffer la chatte ! »
Clémentine se drapa comme elle put pour avoir bonne prestance, mais à ce niveau-là, ce n’était plus nécessaire. Amandine, se fit très discrète et ne bougea presque pas. Ne sachant pas comment réagir face à un homme fraîchement cocufié, elle laissa la parole à Clémentine.
-« ça fait deux heures que je me pète le dos sur le canapé du salon, pour que tu puisses me cocufier dans notre chambre ? J’ai loupé un épisode ou j’ai bien résumé la situation ? »
-« Mais non, on a tout de même un peu discuté ! »
-« et le ‘un peu’ est censé me rassurer ? MAIS PUTAIN TU TE RENDS COMPTE DE CE QUE TU VIENS DE FAIRE ? » Thomas céda à la colère. La savoir là, avec sa copine alors qu’elle devait lui remonter le moral. Cette trahison lui coûtera cher. Thomas faisait les cent pas dans la chambre.
T : -« Rhabillez-vous ! Et descendez me rejoindre en bas. » Amandine se manifesta enfin :
A : -« Hé ! je suis pas ta meuf alors tu n’as pas à me dire quoi faire ! »
T : -«Ha oui ? Et tu veux retourner dormir chez toi cette nuit ? Avec ton ex et sa nouvelle copine ? »
A : -« Connard ! »
T : -« Traînée ! ».
C : -« Mais vous avez fini tous les deux ? »
T : -« Elle, oui. Moi, je ne fais que commencer. »
L’ambiance fut posée. Thomas semblait particulièrement offensé par la situation. Il les regarda, assises sur le lit conjugal, nues. Amandine se tenait recroquevillée derrière un oreiller tout juste assez grand pour cacher ses courbes. Clémentine tenait le drap sous ses bras, laissant le tissu retomber sur ses seins bien gros. Un côté de ses hanches n’étaient pas recouvert par le drap. Clémentine avait l’air complètement perdue et ne savait pas quoi faire. Amandine observait, et par compassion pour son amie, n’avait rien dit jusqu’à présent. Thomas rompit le silence pesant : -« Mais pourquoi t’as été me faire ça ? Dans mon dos ? ». Amandine releva le détail et pris la parole : « En fait, c’est quoi qui te gène ? Qu’elle se soit taper une femme, ou qu’elle ne te l’ait pas dit avant ? »
T - : « Ben qu’elle ne me l’ait pas dit bien sûr ! Pourquoi me le cacher ? J’aurai été plus que d’accord de venir jouer avec vous ! »
A - : « Haaa les hommes et leur fantasme de plan à trois… C’est presque pathétique comme vous êtes tous les mêmes. Je te rappelle que je suis lesbienne, donc te toucher m’excite autant que si tu caressais la bite d’un autre mec ! »
T- : « Et alors ? Je t’ai pas demandé de t’occuper de moi ! Et j’aurai très bien pu rester dans la chambre à vous regarder ! J’aurai même accepté de jouer les petits chiens dociles, et rester agenouillé au pied du lit à me masturber en vous regardant baiser. »
C- : « Ha oui ? Ce n’est pas trop tard ! » Tenta-t-elle en vain.
T- : « Si ! Il y a eu adultère. Ce qui aurait pu être un moment exceptionnel, vous l’avez transformé en acte vulgaire, et humiliant pour moi. »
C- : « Je suis vraiment désolé mon chéri. Ce n’était pas prémédité. C’est venu comme ça. Pardonne-moi. »
Amandine observait toujours la scène. Elle laissait Clémentine se flageller, et Thomas la martyriser. Elle n’avait pas grand-chose à dire de toute façon.
T- : »Te pardonner ? Pour l’instant je vais surtout vous punir. On verra pour mon pardon plus tard. »
Clémentine vit une lueur d’espoir dans les propos de Thomas, sans prendre conscience de la notion de punition. Elle voyait là une issue autre que la rupture. Et c’est tout ce qu’il comptait pour elle. Elle ne voulait pas le perdre. Mais Amandine, qui n’avait pas les mêmes enjeux, avait bien relevé le détail :
• « Comment ça ‘nous’ punir ? Je ne suis pas ta femme ! Je ne te dois rien. »
• « En effet, et comment veux-tu que je vous fasse confiance pendant ces quelques jours où on est censé t’héberger ? Tu veux vivre ici ? Donc il y a des règles. A commencer par ne pas introduire l’adultère dans ce foyer. »
• « … »
• « … »
• « Je vois que vous avez compris. Donc pour ta part Clémentine, puisque tu t’es bien amusée pendant deux heures, à mes dépends. A moi aussi de m’amuser. Et tu seras mon esclave sexuelle pendant les deux prochaines heures ! »
• « ça me va comme punition ! » dit-elle soulagée de voir que son homme cherche à tirer profit de la situation plutôt que de faire un esclandre.
• « Quant à toi Amandine, vu tes préférences sexuelles, tu seras mon esclave sensuelle pendant ce temps-là ! »
• « Esclave sensuelle ? c’est-à-dire ? »
• « Tu vas vite voir ! Vu que tu as souillé le corps de ma femme, ta première mission sera d’aller la nettoyer, entièrement. »
• « Et de façon sensuelle j’imagine ? »
• « Sinon pourquoi ferais-je appel à tes services ? Bien sûr ! Je vais me servir un verre, allez à la douche extérieure au bord de la piscine. »
Amandine se leva, mais en maintenant l’oreiller devant son corps nu. Elle soutint le regard de Thomas qui eut du mal à ne pas la mater des pieds à la tête. Et puis il se souvint que c’était son esclave. Donc il n’avait pas de retenu à avoir.
-« Tourne-toi sur place que je puisse te voir entièrement nue. »
Amandine laissa tomber l’oreiller, et se révéla à lui. Clémentine regarda la scène avec interrogation : Où voulait-il aller ? Il savait qu’Amandine n’était vraiment pas attirée par les hommes. Et il semblait vouloir jouer avec cette limite.
Thomas se rendit compte à quel point l’amante de sa femme était belle ! Dommage qu’elle soit lesbienne, il aurait bien voulu coucher avec. Mais le jeu qui va venir sera plus intéressant que ça.
-« Je vous en prie mesdames, passez devant moi, que je profite du spectacle. »
Clémentine descendit du lit aussi, en laissant le drap mais s’apprêta à ramasser ses vêtements.
-« Tu n’en as pas besoin pour aller prendre une douche. Et j’ai envie de vous voir déambuler nues. »
Les femmes marchèrent, nues, mains dans la main, vers la piscine. Thomas fila à la cuisine se servir un whisky puis alla s’installer dans un transat pour avoir une vue imprenable sur ses deux esclaves. Amandine fit couler l’eau, puis pris le gel douche. Clémentine se sentait vraiment mal à l’aise. Elle ne savait pas trop quoi faire. Mais Amandine, sans expérience des hommes, savait visiblement ce qui excitait Thomas. Elle étala le gel douche sur le corps mouillé de son amante, et glissa ses mains sur ces courbes qu’elle a temps désirées à l’instant dans la chambre. Thomas regarda sa femme se laisser faire. Les mains expertes d’Amandine enveloppaient le corps de Clémentine. Elle se laissa faire, puis Amandine la retourna contre le mur. Clémentine posa ses mains sur le mur et écarta les jambes en se cambrant. La partie la plus souillée de son corps allait enfin être lavée. Thomas, ayant fini sa cigarette et son verre, se leva et se déshabilla. Amandine prit un soin méticuleux à nettoyer l’entrejambe de Clémentine qui laissait échapper de petits gémissements timides. Elle n’osait pas montrer à Thomas le plaisir que lui procurait son amie. Il se glissa entre le mur et sa femme, et lui proposa le gel douche. Clémentine comprit ce qu’il attendait d’elle. Elle le frotta avec toute la sensualité qu’elle pouvait à cet instant. Mais l’insistance d’Amandine à la nettoyer rendait l’opération un peu plus compliquée. Souvent Clémentine était prise d’un spasme quand Amandine s’amusait à lui mettre un ou deux doigts dans un de ces orifices, ou lui pincer le clitoris. Une fois Thomas bien rincé, Clémentine se mis accroupie devant lui et le pris en bouche. Amandine se glissa derrière elle et continua à la caresser intimement.
-« Vérifie aussi que tu as bien nettoyé ma femme. Allonge-toi en dessous d’elle et lèche-la ! »
Amandine s’exécuta avec plaisir et Clémentine était toujours gênée de la présence de son amie et du plaisir qu’elle en prenait. Mais elle était tellement douée avec sa langue que le plaisir balaya rapidement la gêne. Thomas invita ses esclaves à aller se sécher. Il donna une serviette à Amandine pour qu’elle s’occupe du couple, et posa une serviette pliée en huit par terre pour que Clémentine ne se fasse pas mal aux genoux. Thomas plaça ses mains sur sa nuque et offrit son corps à Amandine et son sexe à Clémentine, qu’elle reprit rapidement en bouche. Une fois Thomas séché, Amandine passa à Clémentine. Si elle avait joué le jeu avec Thomas, elle n’avait pas besoin de faire semblant avec clémentine. Ses caresses étaient bien plus sensuelles et désirées sur le corps d’une femme que sur celui d’un homme. Thomas ne s’en offusqua pas. Il était déjà bien content qu’elle accepte de jouer le jeu. Quand Amandine glissa de nouveau ses mains entre les cuisses de son amante, Thomas demanda d’insister sur cette zone car il n’était pas sûr qu’elle soit bien sèche. Amandine enroula la serviette sur elle-même et la fit glisser sur les lèvres de Clémentine, toujours accroupie devant son mari. Elle savait exactement quelle pression appliquer sur le pubis pour déclencher des plaisirs violents. Clémentine devait parfois arrêter la fellation pour s’accrocher aux hanches de son mari tellement le plaisir était puissant.
-« Arrête. Je ne veux pas qu’elle jouisse maintenant ! Allons l’habiller. »
Tous les trois allèrent dans la chambre. Clémentine, assise sur le lit attendait que Thomas trouve les vêtements qu’il voulait qu’elle porte. Il lança une paire de bas et un porte-jarretelle à Amandine. Elle se mit à genou devant son amante, et lui enfila très délicatement les bas. Elle n’hésita pas à réajuster les bas afin de pouvoir lui caresser les jambes encore un peu. Puis Clémentine se leva, et Amandine fit monter le porte-jarretelle le long de ses jambes, mais avec les mains grandes ouvertes sur la douce peau de Clémentine. Dès qu’elle put, c’est tout son corps qu’elle fit monter sur les jambes de son amante. Si Thomas lui avait autorisé, elle se serait masturbée sur elle. D’ailleurs, celui-ci s’accroupit derrière son esclave sensuelle et lui susurra : « Tu aimes embrasser ma femme ? » Tout en lui dégageant les cheveux du visage, et le poussant légèrement vers le pubis de sa femme. Amandine compris de quel baiser il parlait ; Elle embrassa à pleine bouche la vulve de son amante qui poussa un gémissement de plaisir et de surprise. Thomas se releva et prit son esclave sexuelle par la mâchoire et la força à le regarder dans les yeux : « Visiblement, tu aimes te faire bouffer la chatte par une femme ! Mais ça restera un homme qui te la défoncera. »
-« D’accord ! »
-« Allez mes esclaves, nous allons poursuivre sur la terrasse. »
-« Mais je suis nue, et Clémentine guère moins que moi. »
-« Ha oui, j’allais oublier le principal. Tiens, mets lui ses escarpins. Et toi tu mettras ceux-là. Et rejoignez-moi dehors.»
Thomas les attendait assis sur le canapé du salon d’été. La bouteille de whisky posée devant lui, il finalisait le roulage d’un joint. Les esclaves arrivèrent en se tenant par la taille. Il les fit s’asseoir chacune de façon différente. Sa femme était à genou, par terre, entre ses jambes. Et Amandine était à genou sur le canapé à côté de lui.
-« Toi, tu t’occuperas de mon service trois pièces pendant que ton amante s’occupera de me faire fumer et boire. »
Docilement, Clémentine se pencha vers son mari et lui embrassa les testicules, puis la verge. Thomas tendit le joint et la bouteille à Amandine : »Fais-moi une soufflette puis tu verseras une gorgée de ce doux breuvage dans ta bouche que tu me feras boire ensuite. » Amandine alluma le joint, tira deux lattes puis garda la troisième en bouche, elle se pencha vers Thomas et il tendit ses lèvres vers les siennes, à la limite de les toucher. Amandine souffla légèrement et Thomas aspira la fumée. Puis elle remplit sa bouche d’une bonne rasade de whisky et se mit au-dessus de Thomas. Il bascula la tête en arrière et ouvrit la bouche. Il sortit sa langue pour que le breuvage lui coule dessus. Amandine, délicatement, ouvrit très légèrement sa bouche, à quelques millimètres de la langue. Le breuvage dégoulina de la bouche sur la langue. Thomas se délecta de cette façon de boire. Sa femme commençait à lui lécher aussi bien la verge qui commençait à durcir que les testicules. Et même si Thomas crevait d’envie de doigter Amandine, il se retenait de tout acte trop intime à son égard. Mais ça ne l’empêchait pas d’avoir toujours une main sur ses hanches, ou sur ses cuisses. Et visiblement, elle s’accoutumait de ce contact hétérosexuel sans en tirer pour autant une excitation sexuelle. Pour la maintenir excitée, Thomas la faisait s’occuper de Clémentine. Les voir toutes les deux se caresser, s’embrasser ou se masturber lui faisait toujours autant d’effet. Pour remercier ses esclaves de leur obéissance, il leur offrir une gorgée de sa bouteille. Mais ce ne serait pas de bouche à bouche, mais il demanda à Amandine de bien resserrer ses seins pour en faire un calice. Il y versa une bonne rasade de whisky et proposa la coupe à sa femme. Elle se mit à genou devant elle, et lapa le whisky sans oublier de lui lécher les seins. Le breuvage bu, elle essuya de sa langue les dernières traces d’alcool. Puis ce fût à elle de proposer le whisky à son amante. Mais Thomas lui imposa d’utiliser son pubis et non ses seins comme calice. Mais si Amandine avait réussi à obtenir une certaine étanchéité avec ses seins, Clémentine ne put obtenir le même résultat avec son pubis ; Le breuvage s’écoula doucement entre les cuisses. Amandine se mit promptement à quatre pattes devant elle et lapa les gouttes de whisky qui s’écoulaient de ses lèvres. Les jambes levées, elle se laissa lécher par son amante devant son mari.
Quand tout le breuvage fut bu, elle écarta les jambes de Clémentine et lui lécha le pubis pour la nettoyer. Une fois fini, elle repris son cunnilingus, en débordant sur l’anus. Thomas s’était mis à lécher les seins de Clémentine, tout en se masturbant. Thomas embrassa le corps de sa femme en descendant vers le pubis. Pendant qu’Amandine lui faisant un anulingus, Thomas s’apprêta à lui faire un cunnilingus. Ils stimulèrent Clémentine jusqu’à un premier orgasme.
Thomas se rassit sur le fauteuil et alluma une cigarette. Clémentine reprit ses esprits tandis qu’Amandine commençait à être vraiment excitée par sa masturbation. Elle s’allongea sur le canapé les jambes entièrement écartées, et elle continuait de se doigter.
- »Dis moi ma chérie, ce n’est pas sympa de laisser ta copine se débrouiller toute seule. Montre-moi comment tu la masturbes ! »
- »Volontiers ! »
Clémentine s’assit à côté de son amante et caressa sa cuisse, puis son pubis. Elle frotta légèrement ses lèvres mouillées, puis appuya sur le clitoris. Amandine avait son regard perdu dans les yeux de Clémentine. Elle se déhancha pour montrer qu’elle en voulait plus. Alors Clémentine lui enfonça deux doigts jusqu’au bout, et resta à l’intérieur de son vagin ruisselant. Clémentine se pencha sur son amante offerte, et lui mordilla un téton. Offrant ainsi ses fesses, Thomas se leva et se mis à genoux derrière sa femme. Il glissa sa queue tendue entre ses fesses, puis entre ses lèvres, et la pénétra doucement mais jusqu’au bout aussi.
- »Doigte-la comme je te baise ! Je veux qu’elle ressente ce que tu ressent quand tu te fait prendre par une belle bite ! »
Thomas attrapa les hanches de sa femme et la démonta ! Amandine s’en prenait tout autant. Toutes les deux gémissaient en chœur. Il devenait trop excité, et il ne voulait pas jouir de suite. Il lui restait encore du temps d’esclavage. Il ordonna un 69, avec Clémentine au dessus. Elles se mirent en position, et Thomas se plaça devant sa femme. « Montre-moi comment tu la lèches ! » Et Clémentine lécha la chatte de son amante avec la même passion que si elle avait sucé Thomas. Il balada ses mains sur le corps de sa femme, puis se mit derrière elle. Il lui caressa les fesses à pleines mains, tout en voyant Amandine lui lécher les lèvres. Il se pencha, et embrassa l’anus offert. Clémentine se faisait de nouveau stimuler doublement. Thomas commença à préparer l’anus pour une sodomie. Clémentine semblait adoré le traitement qu’on lui faisait. Thomas enfila un préservatif et commença à appuyer son gland sur l’anus pour le dilater un peu plus. Il demanda à Amandine d’aller chercher le gode. Pendant son absence, Thomas commença à pénétrer le cul de sa femme.
Amandine revint avec le sextoy. Elle se remit sous Clémentine, et joua avec le bout du gode sur les lèvres dégoulinantes. Clémentine repris son cunnilingus, et Amandine s’occupa du clitoris avec sa bouche. Très rapidement, Clémentine fut submergée par les plaisirs multiples. Elle ne pouvait plus s’occuper de son amante. Thomas accéléra le rythme, et Amandine enfonça tout le sextoy dans la chatte de Clémentine. La triple stimulation eut raison de nouveau de Clémentine. Elle eu un puissant orgasme accompagné d’une éjaculation violente, qu’Amandine s’est prise en grande partie dans la bouche. Elle dû déglutir plusieurs fois pour avaler le foutre de son amante. Et vu sa façon de lécher le pubis pour le nettoyer, elle a dû aimer ça.
Thomas laissa sa femme reprendre ses esprits, et retira le préservatif. Tout en se massant la queue pour la maintenir dure, il leurs expliqua qu’il voulait jouir sur sa femme pendant qu’elles faisaient l’amour.
Amandine ne se fit pas prier, et monta sur Clémentine. Elle fit glisser ses seins sur son corps, puis l’embrassa passionnément. Clémentine, encore épuisée, caressa du bout des doigts les courbes délicates de son amante. Thomas s’installa sur le fauteuil et regardait le spectacle, un joint et un verre, tout en se masturbant. Le câlin a vite évolué en préliminaires. Les mains enfouies entre les jambes de l’autre, Thomas savaient ce qu’elles se faisaient. Amandine se mis à califourchon sur une jambe de Clémentine, et appuya son pubis sur le sien. Et elle commença à se masturber l’une sur l’autre. Thomas se mis à genou devant le visage de sa femme, et se masturba plus rapidement.
- »Ho oui Maître, je veux te boire ! »
Il n’en fallu pas plus à Thomas pour jouir. Clémentine n’en perdit pas une goutte, puis lécha le gland dégoulinant. Elle avala le sperme, puis entreprit une fellation pour finir de le vider. Amandine commença à jouir en regardant le spectacle. Elle aussi eu une éjaculation qui ruina le canapé… mais ça en valait la peine.
Les femmes souillées partirent se laver encore une fois. Avant de les rejoindre, Thomas se demandait comment il pourrait présenter son amant à sa femme. Après tout, ça pourrait être sympa aussi...
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